Un moment que j’adore en fin de repas, c’est quand l’ami·e qui se revendique clairement « de droite » balance : « en fait, je suis plus à gauche que la plupart des gens de gauche ».
Un moment que j’adore en fin de repas, c’est quand l’ami·e qui se revendique clairement « de droite » balance : « en fait, je suis plus à gauche que la plupart des gens de gauche ».
c’est un peu comme les mecs qui y connaissent rien et qui se disent plus féministes que les féministes (déjà entendu plein de fois la même phrase : « en fait je suis plus féministe que <machine ou tel groupe> ») (déjà vu sur seenthis aussi d’ailleurs)
@arno T’as des amis et amies de droite ?
@rastapopoulos Oui, c’est le billet de @mad_meg qui me l’a rappelé :
▻https://seenthis.net/messages/699047
@philippe_de_jonckheere Oh mais oui. J’ai même des amis qui votent pour le parti socialiste, t’imagines. (Et donc j’ai aussi beaucoup d’amis qui votent, alors rien que ça, déjà…)
« Ivre, il vote en 2017 », graffitti fontenaysien qui m’a fait hurler de rire l’année dernière.
Centre Presse : Pourquoi voit-on plus de tags en ce moment ?
▻http://www.centre-presse.fr/article-528391-pourquoi-voit-on-plus-de-tags-en-ce-moment.html
Entre les deux tours, un énorme « Ni Macron, Ni Le Pen » est apparu rue des Carmélites, alors que « Ivre, il vote en 2017 », a été vu Porte de Paris et rue des Trois-Rois. Sans oublier « Philippe Poutou, Bourgeoisie Nulle Part », rue de la Chaîne. Si ces slogans font parfois sourire, d’autres sont beaucoup plus violents comme le « Shoot un ministre pour l’humanité » rue du Trottoir (toujours visible ce vendredi) ou encore cette potence avec le nom de Macron rue Pierre-Rat. D’ailleurs, la Ville de Poitiers précise qu’elle enlève « en priorité » les tags incitant à la haine, au racisme ou à la discrimination sexuelle. Mais devant la recrudescence de tags, dont beaucoup de grandes tailles, les agents municipaux ont été très sollicités.
Je comprends. J’ai même un ami banquier…