Quand mon propre piège se referme sur moi. Cherchant une image dans mon vaste foutoir en ligne, Désordre, ce que je peine à faire pour ne plus y avoir foutu les pieds depuis plus d’un an maintenant (c’est comme si j’étais enfin à égalité avec mes visiteurs et visiteuses, désormais, pour ce qui est de m’y orienter), je tombe, par inadvertance finalement, sur une série dont j’avais oublié, du tout au tout, à la fois les images, le son et une certaine complexité d’enchaînement, en grande partie dûe à l’aléatoire. Immodestement, je me dis que cela pourrait intéresser les personnes qui me suivent ici sur notre beau Facebook bio. Et que je devrais presque en faire une manière de parution hebdomadaire (à l’image des #flux_detendus) : partir à la recherche des deux ou trois chefs d’oeuvre oubliés du Désordre. Une sorte de #retour_au_désordre. Une vraie cérémonie d’enterrement en somme.
▻http://desordre.net/photographie/numerique/muesum/velasquez/titre.htm