Fin du Roman national, sommaire complet ici
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Corbillon a compris très tôt que la République devait être défendue contre la montée de la barbarie sous toutes ses formes et qu’il fallait fonder une nouvelle unité nationale, au-delà des partis politiques. C’était très novateur, à la fois gaulliste et pétainiste, si vous voulez. Corbillon me disait souvent : « La vraie France, c’est la République. Dans la République, il n’y a plus ni droite ni gauche, la gauche est devenue la droite, la gauche s’est fondue dans la droite et la droite a absorbé l’extrême droite. Il n’y a plus que l’unité nationale. »