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  • Les #voitures_électriques assoiffent les #pays_du_Sud

    Pour extraire des #métaux destinés aux voitures électriques des pays les plus riches, il faut de l’eau. Au #Maroc, au #Chili, en #Argentine… les #mines engloutissent la ressource de pays souffrant déjà de la sécheresse.

    #Batteries, #moteurs… Les voitures électriques nécessitent des quantités de métaux considérables. Si rien n’est fait pour limiter leur nombre et leur #poids, on estime qu’elles pourraient engloutir plusieurs dizaines de fois les quantités de #cobalt, de #lithium ou de #graphite que l’on extrait aujourd’hui.

    Démultiplier la #production_minière dans des proportions aussi vertigineuses a une conséquence directe : elle pompe des #ressources en eau de plus en plus rares. Car produire des métaux exige beaucoup d’eau. Il en faut pour concentrer le métal, pour alimenter les usines d’#hydrométallurgie, pour les procédés ultérieurs d’#affinage ; il en faut aussi pour obtenir les #solvants et les #acides utilisés à chacun de ces stades, et encore pour simplement limiter l’envol de #poussières dans les mines. Produire 1 kilogramme de cuivre peut nécessiter 130 à 270 litres d’eau, 1 kg de nickel 100 à 1 700 l, et 1 kg de lithium 2 000 l [1].

    Selon une enquête de l’agence de notation étatsunienne Fitch Ratings, les investisseurs considèrent désormais les #pénuries_d’eau comme la principale menace pesant sur le secteur des mines et de la #métallurgie. Elle estime que « les pressions sur la ressource, comme les pénuries d’eau localisées et les #conflits_d’usage, vont probablement augmenter dans les décennies à venir, mettant de plus en plus en difficulté la production de batteries et de technologies bas carbone ». Et pour cause : les deux tiers des mines industrielles sont aujourd’hui situées dans des régions menacées de sécheresse [2].

    L’entreprise anglaise #Anglo_American, cinquième groupe minier au monde, admet que « 75 % de ses mines sont situées dans des zones à haut risque » du point de vue de la disponibilité en eau. La #voiture_électrique devait servir à lutter contre le réchauffement climatique. Le paradoxe est qu’elle nécessite de telles quantités de métaux que, dans bien des régions du monde, elle en aggrave les effets : la sécheresse et la pénurie d’eau.

    Au Maroc, la mine de cobalt de #Bou_Azzer exploitée par la #Managem, qui alimente la production de batteries de #BMW et qui doit fournir #Renault à partir de 2025, prélèverait chaque année l’équivalent de la consommation d’eau de 50 000 habitants. À quelques kilomètres du site se trouvent la mine de #manganèse d’#Imini et la mine de #cuivre de #Bleida, tout aussi voraces en eau, qui pourraient bientôt alimenter les batteries de Renault. Le groupe a en effet annoncé vouloir élargir son partenariat avec Managem « à l’approvisionnement de #sulfate_de_manganèse et de cuivre ».

    Importer de l’eau depuis le désert

    Importer du cobalt, du cuivre ou du manganèse depuis la région de Bou Azzer, cela revient en quelque sorte à importer de l’eau depuis le désert. Les prélèvements de ces mines s’ajoutent à ceux de l’#agriculture_industrielle d’#exportation. À #Agdez et dans les localités voisines, les robinets et les fontaines sont à sec plusieurs heures par jour en été, alors que la température peut approcher les 45 °C. « Bientôt, il n’y aura plus d’eau, s’insurgeait Mustafa, responsable des réseaux d’eau potable du village de Tasla, lors de notre reportage à Bou Azzer. Ici, on se sent comme des morts-vivants. »

    Un des conflits socio-environnementaux les plus graves qu’ait connus le Maroc ces dernières années s’est produit à 150 kilomètres de là, et il porte lui aussi sur l’eau et la mine. Dans la région du #Draâ-Tafilalet, dans la commune d’Imider, la Managem exploite une mine d’#argent, un métal aujourd’hui principalement utilisé pour l’#électricité et l’#électronique, en particulier automobile. D’ailleurs, selon le Silver Institute, « les politiques nationales de plus en plus favorables aux véhicules électriques auront un impact positif net sur la demande en argent métal ». À Imider, les prélèvements d’eau croissants de la mine d’argent ont poussé les habitants à la #révolte. À partir de 2011, incapables d’irriguer leurs cultures, des habitants ont occupé le nouveau réservoir de la mine, allant jusqu’à construire un hameau de part et d’autre des conduites installées par la Managem. En 2019, les amendes et les peines d’emprisonnement ont obligé la communauté d’Imider à évacuer cette #zad du désert, mais les causes profondes du conflit perdurent.

    « Ici, on se sent comme des morts-vivants »

    Autre exemple : au Chili, le groupe Anglo American exploite la mine de cuivre d’#El_Soldado, dans la région de #Valparaiso. Les sécheresses récurrentes conjuguées à l’activité minière entraînent des #coupures_d’eau de plus en plus fréquentes. Pour le traitement du #minerai, Anglo American est autorisé à prélever 453 litres par seconde, indique Greenpeace, tandis que les 11 000 habitants de la ville voisine d’#El_Melón n’ont parfois plus d’eau au robinet. En 2020, cette #pénurie a conduit une partie de la population à occuper l’un des #forages de la mine, comme au Maroc.

    #Désalinisation d’eau de mer

    L’année suivante, les associations d’habitants ont déposé une #plainte à la Cour suprême du Chili pour exiger la protection de leur droit constitutionnel à la vie, menacé par la consommation d’eau de l’entreprise minière. Face au mouvement de #contestation national #No_más_Anglo (On ne veut plus d’Anglo), le groupe a dû investir dans une usine de désalinisation de l’eau pour alimenter une autre de ses mégamines de cuivre au Chili. Distante de 200 kilomètres, l’usine fournira 500 litres par seconde à la mine de #Los_Bronces, soit la moitié de ses besoins en eau.

    Les entreprises minières mettent souvent en avant des innovations technologiques permettant d’économiser l’eau sur des sites. Dans les faits, les prélèvements en eau de cette industrie ont augmenté de façon spectaculaire ces dernières années : l’Agence internationale de l’énergie note qu’ils ont doublé entre 2018 et 2021. Cette augmentation s’explique par la ruée sur les #métaux_critiques, notamment pour les batteries, ainsi que par le fait que les #gisements exploités sont de plus en plus pauvres. Comme l’explique l’association SystExt, composée de géologues et d’ingénieurs miniers, « la diminution des teneurs et la complexification des minerais exploités et traités conduisent à une augmentation exponentielle des quantités d’énergie et d’eau utilisées pour produire la même quantité de métal ».

    Réduire d’urgence la taille des véhicules

    En bref, il y de plus en plus de mines, des mines de plus en plus voraces en eau, et de moins en moins d’eau. Les métaux nécessaires aux batteries jouent un rôle important dans ces conflits, qu’ils aient lieu au Maroc, au Chili ou sur les plateaux andins d’Argentine ou de Bolivie où l’extraction du lithium est âprement contestée par les peuples autochtones. Comme l’écrit la politologue chilienne Bárbara Jerez, l’#électromobilité est inséparable de son « #ombre_coloniale » : la perpétuation de l’échange écologique inégal sur lequel est fondé le #capitalisme. Avec les véhicules électriques, les pays riches continuent d’accaparer les ressources des zones les plus pauvres. Surtout, au lieu de s’acquitter de leur #dette_écologique en réparant les torts que cause le #réchauffement_climatique au reste du monde, ils ne font qu’accroître cette dette.

    Entre une petite voiture de 970 kg comme la Dacia Spring et une BMW de plus de 2 tonnes, la quantité de métaux varie du simple au triple. Pour éviter, de toute urgence, que les mines ne mettent à sec des régions entières, la première chose à faire serait de diminuer la demande en métaux en réduisant la taille des véhicules. C’est ce que préconise l’ingénieur Philippe Bihouix, spécialiste des matières premières et coauteur de La ville stationnaire — Comment mettre fin à l’étalement urbain (Actes Sud, 2022) : « C’est un gâchis effroyable de devoir mobiliser l’énergie et les matériaux nécessaires à la construction et au déplacement de 1,5 ou 2 tonnes, pour in fine ne transporter la plupart du temps qu’une centaine de kilogrammes de passagers et de bagages », dit-il à Reporterre.

    « C’est un #gâchis effroyable »

    « C’est à la puissance publique de siffler la fin de partie et de revoir les règles, estime l’ingénieur. Il faudrait interdire les véhicules électriques personnels au-delà d’un certain poids, comme les #SUV. Fixer une limite, ou un malus progressif qui devient vite très prohibitif, serait un bon signal à envoyer dès maintenant. Puis, cette limite pourrait être abaissée régulièrement, au rythme de sortie des nouveaux modèles. »

    C’est loin, très loin d’être la stratégie adoptée par le gouvernement. À partir de 2024, les acheteurs de véhicules de plus de 1,6 tonne devront payer un #malus_écologique au poids. Les véhicules électriques, eux, ne sont pas concernés par la mesure.

    LES BESOINS EN MÉTAUX EN CHIFFRES

    En 2018, l’Académie des sciences constatait que le programme de véhicules électriques français repose sur « des quantités de lithium et de cobalt très élevées, qui excèdent, en fait et à technologie inchangée, les productions mondiales d’aujourd’hui, et ce pour satisfaire le seul besoin français ! » En clair : si on ne renonce pas à la voiture personnelle, il faudra, pour disposer d’une flotte tout électrique rien qu’en France, plus de cobalt et de lithium que l’on en produit actuellement dans le monde en une année.

    L’Agence internationale de l’énergie estime que la demande de lithium pour les véhicules électriques pourrait être multipliée par 14 en 25 ans, celle de cuivre par 10 et celle de cobalt par 3,5. Simon Michaux, ingénieur minier et professeur à l’Institut géologique de Finlande, a calculé récemment que si l’on devait électrifier les 1,4 milliard de voitures en circulation sur la planète, il faudrait disposer de l’équivalent de 156 fois la production mondiale actuelle de lithium, 51 fois la production de cobalt, 119 fois la production de graphite et plus de deux fois et demie la production actuelle de cuivre [3]. Quelles que soient les estimations retenues, ces volumes de métaux ne pourraient provenir du recyclage, puisqu’ils seraient nécessaires pour construire la première génération de véhicules électriques.

    https://reporterre.net/Les-voitures-electriques-assoiffent-les-pays-du-Sud
    #eau #sécheresse #extractivisme #résistance #justice #industrie_automobile #métaux_rares

    • #Scandale du « cobalt responsable » de BMW et Renault au Maroc

      Pour la fabrication des batteries de leurs véhicules électriques, BMW et Renault s’approvisionnent en cobalt au Maroc en se vantant de leur politique d’achat éthique. « Cette publicité est mensongère et indécente. L’extraction de cobalt dans la mine de Bou Azzer, au sud du Maroc, se déroule dans des conditions choquantes, au mépris des règles les plus élémentaires de sécurité, du droit du travail et de la liberté d’association », s’insurgent plusieurs responsables syndicaux et associatifs, basés en France et au Maroc.

      Pour la fabrication des batteries de leurs véhicules électriques, BMW et Renault s’affichent en champions de la mine responsable. Depuis 2020, la marque allemande s’approvisionne en cobalt au Maroc auprès de la Managem, grande entreprise minière appartenant à la famille royale. En 2022, Renault l’a imité en signant un accord avec le groupe marocain portant sur l’achat de 5000 tonnes de sulfate de cobalt par an pour alimenter sa « gigafactory » dans les Hauts de France. Forts de ces contrats, les deux constructeurs automobiles ont mené des campagnes de presse pour vanter leur politique d’achat de matières premières éthiques, BMW assurant que « l’extraction de cobalt par le groupe Managem répond aux critères de soutenabilité les plus exigeants » en matière de respect des droits humains et de l’environnement.

      Cette publicité est mensongère et indécente. L’extraction de cobalt dans la mine de Bou Azzer, au sud du Maroc, se déroule dans des conditions choquantes, au mépris des règles les plus élémentaires de sécurité, du droit du travail et de la liberté d’association. Elle est responsable de violations de droits humains, d’une pollution majeure à l’arsenic et menace les ressources en eau de la région, comme l’ont révélé l’enquête de Celia Izoard sur Reporterre et le consortium d’investigation réunissant le quotidien Süddeutsche Zeitung, les radiotélévisions allemandes NDR et WDR et le journal marocain Hawamich (2).

      Une catastrophe écologique

      Les constructeurs automobiles n’ont jamais mentionné que la mine de Bou Azzer n’est pas seulement une mine de cobalt : c’est aussi une mine d’arsenic, substance cancérigène et hautement toxique. Depuis le démarrage de la mine par les Français en 1934, les déchets miniers chargés d’arsenic ont été massivement déversés en aval des usines de traitement. Dans les oasis de cette région désertique, sur un bassin versant de plus de 40 kilomètres, les eaux et les terres agricoles sont contaminées. A chaque crue, les résidus stockés dans les bassins de la mine continuent de se déverser dans les cours d’eau.

      A Zaouit Sidi-Blal, commune de plus de 1400 habitants, cette pollution a fait disparaître toutes les cultures vivrières à l’exception des palmiers dattiers. Les représentants de la commune qui ont mené des procédures pour faire reconnaître la pollution ont été corrompus ou intimidés, si bien que la population n’a fait l’objet d’aucune compensation ou mesure de protection.

      Dans le village de Bou Azzer, à proximité immédiate du site minier, treize familles et une vingtaine d’enfants se trouvent dans une situation d’urgence sanitaire manifeste. Faute d’avoir été relogés, ils vivent à quelques centaines de mètres des bassins de déchets contenant des dizaines de milliers de tonnes d’arsenic, au milieu des émanations d’acide sulfurique, sans argent pour se soigner.

      Depuis vingt ans, la mine de Bou Azzer, exploitée en zone désertique, n’a cessé d’augmenter sa production. Le traitement des minerais consomme des centaines de millions de litres d’eau par an dans cette région durement frappée par la sécheresse. Les nappes phréatiques sont si basses que, dans certains villages voisins de la mine, l’eau doit être coupée plusieurs heures par jour. A l’évidence une telle exploitation ne peut être considérée comme « soutenable ».

      Mineurs sacrifiés

      Les conditions d’extraction à Bou Azzer sont aussi alarmantes qu’illégales. Alors que le recours à l’emploi temporaire pour les mineurs de fond est interdit au Maroc, des centaines d’employés de la mine travaillent en contrat à durée déterminée pour des entreprises de sous-traitance. Ces mineurs travaillent sans protection et ne sont même pas prévenus de l’extrême toxicité des poussières qu’ils inhalent. Les galeries de la mine s’effondrent fréquemment faute d’équipement adéquat, entraînant des décès ou des blessures graves. Les entreprises sous-traitantes ne disposent d’aucune ambulance pour évacuer les blessés, qui sont transportés en camion. Les nombreux mineurs atteints de silicose et de cancer sont licenciés et leurs maladies professionnelles ne sont pas déclarées. Arrivés à la retraite, certains survivent avec une pension de moins de 100 euros par mois et n’ont pas les moyens de soigner les maladies contractées dans les galeries de Bou Azzer.

      Enfin, si la Managem prétend « promouvoir les libertés syndicales et les droits d’association », la situation politique du Maroc aurait dû amener BMW et Renault à s’intéresser de près à l’application de ces droits humains. Il n’existe à Bou Azzer qu’un syndicat aux ordres de la direction, et pour cause ! En 2011-2012, lors de la dernière grande grève sur le site, les tentatives d’implanter une section de la Confédération des travailleurs ont été violemment réprimées. Les mineurs qui occupaient le fond et qui n’exigeaient que l’application du droit du travail ont été passés à tabac, des grévistes ont été torturés et poursuivis pour « entrave au travail », de même que les membres de l’Association marocaine pour les droits humains qui soutenaient leurs revendications.

      Comment, dans ces conditions, les firmes BMW et Renault osent-elles vanter leurs politiques d’achat de « cobalt responsable » ? Au regard ne serait-ce que des lois sur le devoir de vigilance des entreprises, elles auraient dû prendre connaissance de la situation réelle des mineurs et des riverains de Bou Azzer. Elles auraient dû tout mettre en œuvre pour faire cesser cette situation qui découle d’infractions caractérisées au droit du travail, de l’environnement et de la santé publique. Mieux encore, elles devraient renoncer à la production en masse de véhicules qui ne sauraient être ni soutenables ni écologiques. Les luxueuses BMW i7 pèsent 2,5 tonnes et sont équipées de batteries de 700 kg. La justice sociale et l’urgence écologique imposent aux constructeurs automobiles et aux dirigeants de prendre leurs responsabilités : adopter des mesures drastiques pour réduire le poids et le nombre des véhicules qui circulent sur nos routes. La « transition » pseudo-écologique portée par les pouvoirs publics et les milieux économiques ne doit pas ouvrir la voie au greenwashing le plus éhonté, condamnant travailleurs et riverains à des conditions de travail et d’environnement incompatibles avec la santé et la dignité humaines et renforçant des logiques néocoloniales.

      (1) Tous nos remerciements à Benjamin Bergnes, photographe, qui nous cède le droit de disposer de cette photo dans le cadre exclusif de cette tribune.

      Premiers signataires :

      Annie Thébaud-Mony, Association Henri-Pézerat

      Alice Mogwe, présidente de la Fédération internationale pour les droits humains

      Patrick Baudouin, président de la Ligue des droits de l’Homme

      Agnès Golfier, directrice de la Fondation Danielle-Mitterrand

      Lawryn Remaud, Attac France

      Jawad Moustakbal, Attac Maroc/CADTM Maroc

      Hamid Majdi, Jonction pour la défense des droits des travailleurs, Maroc

      Pascale Fouilly, secrétaire générale du syndicat national des mineurs CFDT, assimilés et du personnel du régime minier de sécurité sociale

      Marie Véron, coordinatrice de l’Alliance écologique et sociale (qui réunit les Amis de la Terre, Attac, la Confédération paysanne, FSU, Greenpeace France, Oxfam France et Solidaires)

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      https://reporterre.net/BMW-et-Renault-impliques-dans-un-scandale-ecologique-au-Maroc

      https://reporterre.net/Mines-au-Maroc-la-sinistre-realite-du-cobalt-responsable

      https://reporterre.net/Au-Maroc-une-mine-de-cobalt-empoisonne-les-oasis

      https://www.tagesschau.de/investigativ/ndr-wdr/umweltstandards-bmw-zulieferer-kobalt-marokko-100.html

      https://www.sueddeutsche.de/projekte/artikel/wirtschaft/bou-azzer-arsen-umweltverschmutzung-e-autos-bmw-e972346

      https://www.ndr.de/der_ndr/presse/mitteilungen/NDR-WDR-SZ-Massive-Vorwuerfe-gegen-Zulieferer-von-BMW,pressemeldungndr24278.html

      https://www.br.de/nachrichten/bayern/schmutzige-kobalt-gewinnung-vorwuerfe-gegen-bmw-zulieferer,TvPhd4K

      https://www.dasding.de/newszone/bmw-zulieferer-marokko-verdacht-umwelt-arbeit-kobalt-100.html

      https://hawamich.info/7361

      https://blogs.mediapart.fr/les-invites-de-mediapart/blog/131123/scandale-du-cobalt-responsable-de-bmw-et-renault-au-maroc

    • Scandale du cobalt marocain : lancement d’une enquête sur BMW

      À la suite de l’enquête de Reporterre et de médias internationaux sur l’extraction de « cobalt responsable » au Maroc pour les voitures électriques, l’autorité fédérale allemande de contrôle a engagé une procédure contre BMW.

      La mine de cobalt de Bou Azzer, qui alimente la production de batteries de BMW et qui doit fournir Renault à partir de 2025, intoxique les travailleurs et l’environnement. À la suite de nos enquêtes sur ce scandale, l’Office fédéral allemand du contrôle de l’économie et des exportations (Bafa) a ouvert une enquête sur le constructeur automobile BMW. Le gouvernement a confirmé cette information après une question écrite du groupe parlementaire de gauche Die Linke le 25 novembre, selon le quotidien Der Spiegel.

      L’autorité de contrôle pourrait infliger des sanctions à BMW pour avoir enfreint la loi sur le devoir de vigilance des entreprises. Depuis 2020, BMW fait la promotion de son « approvisionnement responsable » au Maroc sans avoir mené d’audit dans cette mine de cobalt et d’arsenic, comme l’a révélé notre investigation menée conjointement avec le Süddeutsche Zeitung, les chaînes allemandes NDR et WDR et le média marocain Hawamich.
      Les mineurs en danger

      Privés de leurs droits syndicaux, les mineurs y travaillent dans des conditions illégales et dangereuses ; les déchets miniers ont gravement pollué les oasis du bassin de l’oued Alougoum au sud de Ouarzazate, où l’eau des puits et les terres présentent des concentrations en arsenic plus de quarante fois supérieures aux seuils.

      En vigueur depuis janvier 2023, la loi allemande sur le devoir de vigilance vise à améliorer le respect des droits humains et de l’environnement dans les chaînes d’approvisionnement mondiales. Comme dans la loi française, les grandes entreprises ont l’obligation de prévenir, d’atténuer ou de mettre fin à d’éventuelles violations.

      Mais les moyens de contrôle de l’autorité fédérale sont ridiculement insuffisants pour faire appliquer cette loi, estime Cornelia Möhring, députée et porte-parole du parti de gauche Die Linke au Bundestag, interviewée par Reporterre : « Le cas de BMW, qui se vante d’exercer sa responsabilité environnementale et sociale “au-delà de ses usines” et qui a préféré ignorer la réalité de cette extraction, est emblématique, dit-elle. Il montre que le volontariat et l’autocontrôle des entreprises n’ont aucun sens dans un monde capitaliste. Face au scandale du cobalt, le gouvernement fédéral doit maintenant faire la preuve de sa crédibilité en ne se laissant pas piétiner par l’une des plus grandes entreprises allemandes. »

      « L’autocontrôle des entreprises n’a aucun sens »

      Le propriétaire de BMW, Stefan Qandt, est le quatrième homme le plus riche d’Allemagne, souligne Cornelia Möhring. En cas d’infraction avérée au devoir de vigilance, les sanctions maximales prévues par l’autorité de contrôle allemande sont une exclusion des marchés publics pour une durée de trois ans ou une amende allant jusqu’à 2 % du chiffre d’affaires annuel du groupe (celui de BMW était de 146 milliards d’euros en 2022). Le constructeur s’est déclaré prêt à « exiger de son fournisseur des contre-mesures immédiates » pour améliorer la situation à Bou Azzer. De son côté, la députée Cornelia Möhring estime qu’« une action en justice à l’encontre de BMW pour publicité mensongère serait bienvenue ».

      Quid de Renault, qui a signé en 2022 un accord avec l’entreprise Managem pour une fourniture en cobalt à partir de 2025 pour les batteries de ses véhicules ? Il a lui aussi fait la promotion de ce « cobalt responsable » sans avoir enquêté sur place. Interrogé par Reporterre, le constructeur automobile assure qu’« un premier audit sur site mené par un organisme tiers indépendant » sera mené « très prochainement », et qu’« en cas de non-respect des normes et engagements ESG [environnementaux, sociaux et de gouvernance] du groupe, des mesures correctives seront prises pour se conformer aux normes ». Reste à savoir quelles « normes » pourraient protéger les travailleurs et l’environnement dans un gisement d’arsenic inévitablement émetteur de grands volumes de déchets toxiques.

      https://reporterre.net/Scandale-du-cobalt-marocain-l-Etat-allemand-va-enqueter-sur-BMW


  • L’économiste politique et journaliste Sonja Lerch (1883-1918) est une socialiste révolutionnaire oubliée de la Grande Guerre en Allemagne. Elle s’était engagée dans la révolution russe de 1905, était membre du Bund, puis, en Allemagne, l’une des fondatrices de l’USPD (la branche dissidente de la SPD) et avait participé à l’organisation des grèves de janvier 1918. Ses prises de paroles lors des réunions n’ont pas été conservées… parce qu’elle était une femme. « Si, par exemple, un informateur de la police participait à la sténographie d’une réunion politique, il sténographiait bien entendu le discours de Kurt Eisner ou de Felix Fechenbach ou d’Ernst Toller. Si une femme prenait la parole, il cessait de sténographier et écrivait tout au plus : et puis une femme s’est manifestée, elle a dit quelque chose sur un ton hystérique. » (Günther Gerstenberg). Son mari universitaire divorça car l’engagement politique de son épouse aurait nuit à sa carrière. Celle qui a contribué à l’avènement de la révolution allemande fut retrouvée pendue dans sa cellule. Son personnage inspira la pièce {Masse Mensch. Ein Stück aus der sozialen Revolution des 20. Jahrhunderts} (1920) au dramaturge Ernst Toller, lui-même engagé dans la brève République des Conseils de Munich.
    https://www.br.de/radio/bayern2/die-vergessene-heldin-der-novemberrevolution-100.html

    Sur la révolution de 1918/1919 à Munich : http://raete-muenchen.de/start
    Sur Masse Mensch : https://www.historisches-lexikon-bayerns.de/Lexikon/Masse_Mensch_(Ernst_Toller,_1919/20)

    #Sonja_Lerch #révolution #socialisme #pacifisme #révolution_allemande #Ernst_Toller #histoire #visibilisation_des_femmes

  • Einheits-Gesichter statt Kalter-Krieg-Köppe
    https://taz.de/Einheits-Gesichter-statt-Kalter-Krieg-Koeppe/!1740599
    Es war einmal eine Zeit, in der das SFB-Fernsehen der politische Arm der CDU war (ist die erzkonservative Abendschau das heute nicht?), und der US-Stadtkommandant die politischen Spitzen Berlins zum wöchentlichen Rapport nach Dahlem bestellte. Von wegen „Freies Berlin“ im Sender oder in der Politik. Die Nachwende-Nachfolge bei der Berliner Abenschau trat dann Ulrike (mit damals noch schamhaft verschwiegenem „von“) Möllendorff als Moderatorin an. Wer waren noch einmal diese von Möllendorffs?

    Eine Straße widmet Ihnen liebevoll und immer um zeitgemäße Schreibweisen bemüht der Bezirk Lichtenberg, Vor 1878 bis 1910 hieß sie, nomen est omen, einfach Dorfstraße . 1910 dann wollte das aufstrebene Lichtenberg seine Verbundenheit mit den Großen der Preußen zeigen. Da paßte Dorfstraße nicht mehr, und so beförderte man sie zur Möllendorffstraße. 1921 schlug dann eine der beliebten Rechtschreibreformen zu und vertrieb das Doppel-F. Ab 1922 waren Straßenverzeichnisse, Stadtpläne und Adreßbücher auf Möllendorfstraße mit Einfach-F umgestellt. Am 3.5.1935 rückten die Nazis die Verhältnisse wieder zurecht und die Anwohner durften ihre Briefköpfen um ein F bereichern. Das fiel kaum auf, rollten doch seit drei Jahren nicht nur Briefköpfe.

    Das Doppel-F blieb, bis die Führung der DDR im Jahr 1976 diesen freundlichen älteren Herren ehrte, der im Vorjahr getorben war. Ab da gab es die Jacques-Duclos-Straße, und der olle Möllendorff interessierte nicht mehr


    Jacques Duclos hatte es faustdick hinter den Ohren. Von 1926 bis zu seinem Tod war er französischer Parlamentarier, nur durfte er während der deutschen Besatzung Frankreichs und den Zeiten im Untergrund seine Mandate nicht ausüben. Die bürgerliche Justiz des Vorkriegs-Frankreich verurteilte den kommunistischen Parlamentarier Duclos unter immer neuen Vorwänden zu insgesamt 47 Jahren Zuchthaus.

    Während der Besatzungszeit folgte er der Linie Moskaus und ermöglichte durch seine Weigerung, die Partei unmittelbar nach Sieg der Deutschen in die Klandestinität zu führen, zahlreiche Verhaftungen von Kommunisten durch die französische Polizei im Auftrag der Besatzungsmacht. Nach dem Überfall der Naziarmeen auf die Sowjetunion leitete Jacques Duclos die kommunistische Résistance und mit ihr verbundene Widerstandskräfte.

    Sogar nach dem Krieg wurde er verhaftet, als die Polizei in seinem Auto bei der Jagd erlegte Tauben fand. Die wurden von der Staatsnwaltschaft flink zu Spionage-Brieftauben aus Moskau erklärt, und Duclos verschand für die Dauer der affaire des pigeons in Untersuchungsfaft.

    1969 erhielt Jacques. Duclos als kommunistischer Präsidentschaftskandidat 4,8 Millionen oder 21,3 % der abgegebenen Stimmen. Dank der starken KPF unter Jacques Duclos gab es enge nenschliche, politische und wirtschaftliche Verbindungen zwischen Frankreichs und der DDR, so daß er nach seinem Tod vom antifaschistischen Deutschland mit der Widmung einer Straße geehrt wurde, die bis dahin an die die Elite des preußischen Militarismus erinnerte.

    Die Bewunderer Preußens strichen 1992 den Kommunisten Duclos aus dem Stadtbild und setzten die Möllendorff-Ehrung fort. Ulrike von Möllendorff starb im Jahr 2017. Dafür leitet heute Gabriele von Moltke die Berliner Redaktion der Abendschau.
    Noblesse oblige.
    01.09.2017: https://www.rbb-online.de/unternehmen/presse/presseinformationen/unternehmen/2017/08/20170830_v_moltke_leitet_Abendschau.html

    14. 12. 1990 von kotte, TAZ Ausgabe 3286 - Bei der Berliner »Abendschau« wird wieder einmal der Versuch unternommen, zu einer wahrhaftigen Metropolen-Sendung zu mutieren/ Statt der altbewährten Frontstadt-Moderatorenschar soll ein Duo die Sendungen wie bei den »Tagesthemen« leiten

    Masurenallee. Bei der SFB- Abendschau, der Lieblingsfernsehsendung aller Durchhalte-BerlinerInnen, sollen nun endlich die Köpfe des Kalten Krieges gegen Einheits- Gesichter ausgetauscht werden. Ab Januar 1991, so hat es SFB-Regionalchefin Barbara Friedrichs geplant, sollen die alte ModeratorInnen-Riege um Hans-Werner Kock (Macht’s gut, Nachbarn!) und das provinzielle Outfit der erzkonservativen Abendsendung weg. Keine betulich-rosa bestrickte Evelyn Lazar mehr und kein streng rechtsstaatlicher, immer nadelgestreifter Gerhard Lenz. Statt dessen sollen dann Abendschau-Reporter Friedrich Moll und die ZDF-Nachrichtenredakteurin Ulrike von Möllendorff moderieren.

    Die beiden werden sich dabei wöchentlich abwechseln, ganz so wie dies auch bei der ARD-Nachrichtensendung Tagesthemen üblich ist. Möllendorff hatte bereits zehn Jahre für die SFB-Abendschau gearbeitet, bis sie das ZDF zunächst zur Drehscheibe und dann zur Nachrichtensendung heute holte. Bei heute ist die in Hamburg lebende und aus Berlin stammende Möllendorff als freie Mitarbeiterin tätig.

    Auch die Dekoration und die inhaltliche Konzeption der Abendschau sollen reformiert werden — allerdings bleibt fraglich, ob das schon ab 2. Januar 1991 klappen wird. Die SFB-Pressestelle und Regional-Chefin Friedrichs jedenfalls halten sich noch sehr bedeckt — ebenso wie die designierten Moderatoren Moll und Möllendorff. Beim SFB räumt man bisher nur ein, daß konzeptionell gearbeitet werde (»in Abstimmung mit der Abendschau-Redaktion«) und daß mit Ulrike Möllendorf noch verhandelt wird. Im Ungewissen läßt der SFB öffentlich auch noch, ob sich bei den Abendschau-Reportern Veränderungen ergeben. Muß etwa Hans-Joachim Lorenz, genannt »das schwarze Loch«, seinen Hut nehmen? Und ist der verschlafene Siegfried Schenk noch zeitgemäß? Ebenso unklar ist weiterhin, in welche Sendungen die angestammten Frontstadt-ModeratorInnenschar der Abendschau (Marianne Behland, Hans-Werner Kock, Evelyn Lazar, Gerhard Lenz, Angelika Neumann und Jeanette Schiemann) abwandern könnte oder müßte — eine Möglickeit wäre die in diesem Jahr etablierte Regionalsendung Berlin-Brandenburg. Oder spielen inhaltliche und politische Gründe womöglich gar keine Rolle bei den Abendschau-Reformen, geht es nur um zwei neue Gesichter?

    Im Gegensatz zu ihren Chefs jedenfalls hat die alte Abendschau- Garde bereits rege öffentliche Tätigkeit entfaltet. In der Springerpresse sind seit Tagen Meldungen zu lesen, die die beiden neuen Moderatoren Moll und Möllendorf madig machen sollen. Eine bewährte Strategie des Uraltteams, das auf diese Weise schon des öfteren Reformen bei der Abendschau torpediert hat. Da wird einmal im Verein mit den Springer- Blättern ’Morgenpost‘ und ’Bild‘ (die ganz besonders) Abendschau- Reporter Moll als bekannter »linker Scharfmacher« tituliert — mit der Begründung, daß Moll sich gegen die penetrante CDU-Lastigkeit bei der Auswahl von Interviewpartnern gewendet habe. In einem Artikel der ’Bildzeitung‘ wird sich über angeblich zu hohe Gagen der Moderatoren (pro Sendung 1.000 Mark) aufgeregt — mit der Nebenbemerkung, daß der SFB im Jahre 1990 mindestens 13 Millionen Mark Minus mache. Eine völlig schwachsinnige Empörung, denn die ModeratorInnen der Abendsendung von RIAS-TV beispielsweise bekommen nach Informationen der taz pro Sendung mindestens ebensoviel, wenn nicht mehr an Honoraren.

    Und die von Möllendorffs? Die sind uninteressant, nicht vom Kaliber eines Moltke oder Bismarck.

    08.10.2017, Frühere ZDF-Moderatorin Ulrike von Möllendorff gestorben
    https://www.br.de/nachrichten/kultur/fruehere-zdf-moderatorin-ulrike-von-moellendorff-gestorben

    Kaupert und Wikipedia wissen genug über die von Möllendorffs.
    https://m.kauperts.de/Strassen/Moellendorffstrasse-10367-Berlin
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/M%C3%B6llendorf

    Die Moderatoren der Abendschau - Ein Rückblick
    https://www.rbb-online.de/abendschau/55_jahre_abendschau/abendschau_chronik/die_moderatoren_der.html

    Harald Karas (1958-1984)
    Günther Piecho (1958, 1959)
    Alexander von Bentheim (1958-1978, 1981-1984, 1988)
    Hans Werner Kock (1962-1991)
    Wolfgang Hanel (1963-1984)
    Gerhard Lenz (1970-1992)
    Arvid Wahl (1970-1991)
    Heinz Deutschendorf (1970-1974,1998)
    Alexander Kulpok (1971-1975, 1988)
    Evelyn Lazar (1971-1991)
    Richard Schneider (1973-1984)
    Roderich Boes (1975-1984)
    Werner Thies (1980-1988)
    Irene Collyer (1981-1984)
    Klaus Strebe (1981-1983,1987)
    Gert Ellinghaus (1984-1987)
    Marianne Beland (1985-1991)
    Jeanette Enders-Schiemann (1985-1991)
    Angelika Neumann (1986-1998)
    Winfried Göpfert (1986,1988-1989)
    Jochen Sprentzel (1987-1989)
    Barbara Friedrichs (1989-1990)
    Friedrich Moll (1990-2007)
    Ulrike von Möllendorff (1991-1997)
    Raiko Thal (seit 1992)
    Olaf Krieger (1994-1995)
    Harald Prokosch (1994-1998)
    Cathrin Böhme (seit 1997)
    Ellen Arnhold (1999)
    Jan Lerch (1999-2004)
    Sascha Hingst (seit 2007)
    Eva-Maria Lemke (seit 2018)

    Stand vom 24.10.2013

    Das Organigramm des Senders RBB von 2020
    https://www.rbb-online.de/unternehmen/der_rbb/struktur/organigramm-rbb.file.html/rbb.pdf

    #Straßenumbenennung #Berlin #Medien #Berliner_Abendschau #Charlottenburg #Masurenallee #Frankreich#Nazis #Résistance #Jacques-Duclos-Straße #Möllendorffstraße #Lichtenberg #Möllendorf

  • Beim jüngsten Armutsbericht der Bundesregierung auch von einem Reic...
    https://diasp.eu/p/12803000

    Beim jüngsten Armutsbericht der Bundesregierung auch von einem Reichtumsbericht zu reden, sei verlogen, sagte der Sozialethiker und Wirtschaftswissenschaftler Friedhelm Hengsbach im DLF. Seit der Abschaffung der #Vermögenssteuer gebe es gar keine Daten mehr über Reichtum oberhalb von gewissen Vermögenslagen. https://www.deutschlandfunk.de/armuts-und-reichtumsbericht-mischung-aus-zutreffenden.694.de.html?dr

    • Publications de Friedhelm Hengsbach :
      https://www.perlentaucher.de/autor/friedhelm-hengsbach.html

      –---------------------

      45 Min., 2017 - Conversation sur la #justice_sociale et le rôle des #marchés_financiers #EU / #UE / #Europe et #Dublin_III

      https://www.br.de/fernsehen/ard-alpha/sendungen/alpha-forum/friedhelm-hengsbach-sendung-102.html
      https://cdn-storage.br.de/geo/b7/2017-10/26/b64f6e4aba7f11e7bca2984be109059a_X.mp4

      avec un script de pdf :
      https://www.br.de/fernsehen/ard-alpha/sendungen/alpha-forum/friedhelm-hengsbach-110.html

      [...]

      Es gibt verschiedene Vorstellungen über Gerechtigkeit. Der Dialogpartner von Sokrates, Thrasymachos, sagte: „Was ist schon Gerechtigkeit? Doch nur das, was die Mächtigen für gerecht halten.“ Es wird also seit Urzeiten über Gerechtigkeit und was sie ist gestritten. Es gab Anfang des Jahrtausends eine große Debatte unter den Parteien, in der es hieß, die Deutschen müssten sich verabschieden von den traditionellen Vorstellungen über Gerechtigkeit, Verteilungsgerechtigkeit sei „out“, ebenso Bedarfsgerechtigkeit. Stattdessen müssten wir in einer Leistungsgesellschaft darauf Wert legen, dass Leistung sich wieder lohnt. Das bedeutet, Gerechtigkeit wird als Leistungsgerechtigkeit definiert und am besten als Marktgerechtigkeit. Das ist meiner Meinung nach selbstverständlich eine Verkümmerung dessen, was Gerechtigkeit sein
      soll. Denn man kann ja auch fragen, ob Gerechtigkeit nicht etwas zu tun hat mit der Anerkennung eines jeden Menschen als Person. Und dann könnte man sagen, Gerechtigkeit hat in erster Linie etwas mit Gleichheit zu tun. Das heißt, in einer demokratischen Gesellschaft oder in einer egalitären Gesellschaft – das ist vielleicht ein Zirkelschluss – gestehen sich die Mitglieder wechselseitig zu, das gleiche Recht zu haben und als gleiche Personen anerkannt zu werden. Das ist etwa der Kantische Imperativ: Der andere Mensch darf nie nur als Instrument zum eigenen Vorteil benutzt werden, sondern er muss immer auch als Zweck in sich selbst wahrgenommen werden. Das wäre eine Form der Gerechtigkeit, denn man könnte das sehr wohl noch verschärfen. Gerechtigkeit in einer ungleichen Gesellschaft, also in einer Gesellschaft, die von sehr ungleichen Machtverhältnissen bestimmt ist, müsste eigentlich definiert werden als das Recht auf Rechtfertigung. Und wer hat dieses Recht? Nicht die, die die gesellschaftlichen Verhältnisse verursacht haben, also die Mächtigen, sondern diejenigen, die davon betroffen sind.

      [...]

      à min.11 : « Was ist los mit Dir, Europa ? » / Qu’est-ce qu’il va pas avec toi, Europe ?
      https://www.westendverlag.de/buch/was-ist-los-mit-dir-europa

      [...]

      Ich denke, die Krise in Griechenland und auch in anderen, von der Finanzkrise in besonderem Maße betroffenen Staaten ist nicht in erster Linie individualistisch zu deuten. Das, was da mit diesen Legenden betrieben wird, ist gleichsam ein individualistischer Fehlschluss, wenn es heißt, dieses oder jenes Land hätte schlecht gewirtschaftet. Der Europäische Rat hat einmal festgestellt, dass die Finanzkrise und die Verschuldungskrise dieser Peripheriestaaten nicht in erster Linie diesen Staaten zuzurechnen sind, sondern dass diese Krisen systemisch bedingt sind. Ich denke auch: Die Banken haben die Krise verursacht und haben dann nach dem Staat gerufen, der sie retten sollte. Der Staat hat sie gerettet und sich dabei selbst hoch verschuldet. Und hinterher sagen die Banken, der Staat müsse seine Verschuldung abbauen, und zwar schnell, indem er die Sozialleistungen kürzt und die schwächeren Staaten sanktioniert. Das hat man getan, aber ich denke, dass das der falsche Weg ist. Es muss in erster Linie dafür gesorgt werden, dass die Arbeitslosigkeit der Jugendlichen beseitigt wird und nicht in erster Linie, dass die Gläubiger-Schuldner-Verhältnisse neu geregelt werden. Das sieht selbst Herr Schäuble ein: dass irgendwas geschehen muss mit Griechenland, dass die Gläubiger beteiligt werden müssen am Überwinden der Krise, die einzelne Länder in besonderer Weise betrifft.

      [...]

  • Maskenpflicht an Schule : Gericht in Weimar sorgt für Wirbel | BR24
    https://www.br.de/nachrichten/deutschland-welt/keine-maskenpflicht-an-schule-urteil-in-weimar-sorgt-fuer-wirbel,SULl1qn

    À Weimar, le Tribunal d’instance lève pour deux enfants l’obligation de port du masque et de respect de la distanciation imposée par l’école. Sur la base de souffrance imposée sans cause et au vu d’une sélection d’articles scientifiques sur l’inefficacité des masques.

    Ein Beschluss des Amtsgerichts Weimar hat die Maskenpflicht an zwei Schulen in Thüringen außer Kraft gesetzt und sorgt im Netz für Aufregung. Nun reagiert das Bildungsministerium in Erfurt – und zweifelt an der rechtlichen Wirkung.
    Ein Beschluss des Amtsgerichts Weimar, der dem BR vorliegt, schlägt Wellen: Per einstweiliger Anordnung wurde verfügt, dass an zwei Weimarer Schulen die Maskenpflicht nicht angeordnet werden darf. Auch Schnelltests wurden untersagt. Hintergrund des Verfahrens war der Antrag der Mutter von zwei acht und 14 Jahre alten Jungen, die das Kindeswohl gefährdet sieht.
    In den Entscheidungsgründen des Gerichts wird unter anderem der „fehlende Nutzen des Maskentragens und des Einhaltens von Abstandsvorschriften für die Kinder selbst und Dritte“ und die „Ungeeignetheit von PCR-Tests und Schnelltests zur Messung des Infektionsgeschehens“ angegeben.

  • Regensburger Gericht lädt Alexa als Zeugin | BR24
    https://www.br.de/nachrichten/netzwelt/regensburger-gericht-laedt-alexa-als-zeugin,SJR53nE


    Les gens qui croyaient Amazon quand ils racontaient que leurs assistants n’enregistrent et ne stockent qu’à la demande de l’utilisateur savent à quoi s’en tenir sur les allégations des GAFAM en termes de respect de la vie privée.
    Ce qui marche pour un meurtre n’a pas de raisons de ne pas marcher pour une réunion syndicale, par exemple…

    Am Mittwoch wurde ein 54-jähriger Mann zu einer langjährigen Haftstrafe verurteilt, weil er nach Ansicht des Gerichts seine Ex-Freundin beim Sex erwürgt hat. Die Staatsanwaltschaft Regensburg griff dabei auf ein besonders Beweismittel zurück: Zwei Aufzeichnungen des smarten Lautsprechers Amazon Echo. Der Lautsprecher mit Alexa-Sprachassistentin befand sich im Schlafzimmer der getöteten Frau und hat in der Tatnacht zwei Dateien aufgenommen, auf denen die Stimme des nun verurteilten Täters zu hören ist.

  • #Dissent in #German #Higher_Education

    –-> ce fil rassemble les données dispo sur la situation en Allemagne

    –-> pour plus d’Info / en lien avec :

    **Dissent in European higher education**

    Partout en Europe, les étudiant-es et le personnel se soulèvent contre les faibles rémunérations, les lourdes charges de travail entraînant surmenage et burn out, une précarisation des emplois, l’évaluation néomanageriale ou encore le financement de la recherche par projets.

    https://academia.hypotheses.org/lheure-est-greve/dissent-in-european-higher-education

    • Burnout im Studium
      Tipps und Hilfen, Zahlen und Fakten

      Jeder fünfte Student hat psychische Probleme, wenn es dir ähnlich geht, bist du nicht allein. Doch wann kann man von psychischen Problemen sprechen. Musst du gleich zum Psychiater? Welche Konsequenzen hat das? Hier findest du Tipps:

      –-> site du Bayrischer Rundfunk autour de souffrance psychologique des étudiant.es dans le système universitaire allemand

      https://www.br.de/fernsehen/ard-alpha/sendungen/campus/burnout-an-der-uni-mittel-gegen-uni-stress-100.html

      #burn_out #dépression #stress #soutien #psychologie #vidéo

      Burnout im Studium (video, 30min)
      https://www.br.de/mediathek/video/campus-magazin-14052015-burnout-im-studium-av:5a3c3bf1dd95b200180bba6d

      Depression und Burnout nehmen zu (article)
      https://www.br.de/fernsehen/ard-alpha/sendungen/campus/burnout-depression-100.html

      Psychische Krankheiten bei Studierenden auf dem Vormarsch (audio)
      https://www.br.de/radio/b5-aktuell/sendungen/campusmagazin/psychische-krankheiten-studenten-100.html

    • Leistungsorientiert in den professoralen Burn-out? Vom Brennen und Ausbrennen deutscher Professoren

      von: Benedict Jackenkroll und Christian Julmi
      in: schwerpunkt Change: Chancen und Grenzen des Einzelnen // wissenschaftsmanagement 6 (2016)

      Obwohl Professoren als in hohem Maße intrinsisch motivierte Berufsgruppe gelten, sollen sie über extrinsische Anreize leistungsorientiert gesteuert werden. Von einer Befragung ausgehend erörtern die Autoren in diesem Beitrag, wie sehr deutsche Professoren schon heute von Burn-out betroffen sind und inwiefern extrinsische Anreize die bereits bestehende Burn-out-Problematik dramatisch verschärfen könnten.

      Mit der an den Leitlinien des New Public Managements orientierten Etablierung leistungsorientierter Steuerungsprinzipien an deutschen Universitäten versprach man sich eine Verbesserung der Leistungserstellung in akademischer Forschung und Lehre. Zu den damit verbundenen Steuerungsinstrumenten gehören die leistungsorientierte Mittelvergabe, die W-Besoldung sowie Leistungsvereinbarungen zwischen den Hochschulleitungen und den Professoren beziehungsweise der Fakultät. Leistungsorientierte Steuerungsprinzipien üben qua Definition Leistungsdruck aus, da sie nur greifen, wenn Professoren ihre Leistung danach ausrichten, entsprechend nachweisen und gegebenenfalls rechtfertigen können. Eine solche Steuerungslogik widerspricht jedoch dem Selbstverständnis vieler deutscher Professoren, „in Einsamkeit und Freiheit“ (Schmid/Wilkesmann 2015, 57) ihrer Arbeit in Forschung und Lehre nachzugehen, das nach wie vor auch verfassungsrechtlich gesichert ist.

      [...]

      https://www.researchgate.net/publication/317559643_Leistungsorientiert_in_den_professoralen_Burn-out_Vom_Brenne

    • Psychische Belastung: Prof. Dr. Depressiv

      Lehrende an deutschen Hochschulen sind so produktiv wie nie – gleichzeitig häufen sich psychische Probleme

      Von Martin Spiewak

      Vor Kurzem erhielt Isabella Heuser einen dieser Anrufe: Eine Professorin aus ihrer Fakultät fragte, ob man sich vielleicht einmal treffen könne – aber keinesfalls im Büro, sondern außerhalb. Heuser, Direktorin am Institut für Psychiatrie der Berliner Charité , ahnte, worum es ging: Wieder einmal hatte der Arbeitsalltag in der Universität jemanden in eine scheinbar ausweglose Lage gebracht.

      Seit geraumer Zeit erhält sie öfter solche vertraulichen Anfragen. Meist sind es Frauen, die ihren Rat suchen. Die Nöte jedoch, die sich in den Gesprächen offenbaren, sind bei Professoren wie Professorinnen die gleichen. Heuser kennt sie als Expertin für Depressionen aus ihrer Forschungspraxis. Die Kollegen klagen, selbst in den Semesterferien nicht mehr zur Ruhe zu kommen. Sie berichten von chronischen Kopf- oder Rückenschmerzen, von Freudlosigkeit und latenter Aggressivität. Die meisten Betroffenen funktionieren zwar noch im Seminar oder Labor. „Die haben auf Autopilot gestellt“, sagt die Psychiaterin. Doch hinter der Fassade akademischer Geschäftigkeit wächst die Angst vor dem Absturz.

      Seit Jahren stehen die Hochschulen unter Druck: Die Exzellenzinitiative hat die Idee von der Gleichheit aller Universitäten zerschlagen. Die alte Studienstruktur ist abgewickelt und durch eine neue ersetzt ( Bologna-Reform ). Die traditionellen akademischen Gefüge wurden auf Effizienz getrimmt. Jetzt gibt der Wettbewerb auf allen Ebenen den Takt vor – um Fördermittel, Image oder Personal.

      Die Eingriffe haben in relativ kurzer Zeit eine Produktivitätsexplosion ausgelöst. Niemals zuvor haben deutsche Professoren so viel ausgebildet und geforscht wie heute. Die Kurve aller ihrer Kennzahlen – Publikationen, Patente, Drittmittel – weist nach oben. Nun fordert die Reform Tribut bei ihren Hauptträgern . „Wir alle betreiben extremen Raubbau an unseren Körpern und Seelen“, sagt der Jenaer Soziologe Hartmut Rosa . Es sei Konsens unter Kollegen, dass es in dem Tempo nicht mehr lange weitergehe, „ohne dass die Ersten zusammenklappen“.

      Der Hamburger Uni-Präsident Dieter Lenzen warnt gar vor einem „organisatorischen Burn-out“ der Institution Universität. Und die Deutsche Universitätszeitung (DUZ) erklärt das seelische Ausbrennen von Forschern mittlerweile für so „normal wie eine Erkältung im Winter“. Schon heute finden sich in den einschlägigen Kliniken neben Managern oder Lehrern auch immer häufiger Professoren unter den Patienten, die unter der Erschöpfungsdepression leiden. „Das ist relativ neu“, sagt Gernot Langs, Chefarzt der Schön Klinik im schleswig-holsteinischen Bad Bramstedt. „Früher hatten wir diese Klientel nicht.“

      Eine Reihe weiß getünchter Häuser in einer Sackgasse, rundherum Wald. Vom Balkon aus blickt man auf einen stillen See. Knapp drei Monate verbrachte die Juraprofessorin Charlotte Petri* in der brandenburgischen Natur, um „zurück ins Leben“ zu finden. So lautet das Motto der Oberberg-Klinik , einer Spezialeinrichtung für ausgebranntes Personal der Dienstleistungsgesellschaft. Einzel- und Gruppengespräche gehören ebenso zum Therapieprogramm wie gutes Essen und lange Spaziergänge. Allein während ihres Aufenthaltes traf Petri drei weitere Hochschullehrer, denen Ärzte eine lange Zwangspause von der Wissenschaft verordnet hatten.

      Für die groß gewachsene, zupackende Frau mit dunklen Haaren begann der Absturz, als sie ihr Ziel erreicht hatte: eine unbefristete Stelle an einer Berliner Universität. Jahrelang hatte die Juristin darauf hingearbeitet. Studium in Köln und den USA, Tätigkeit als Fachanwältin, Doktorarbeit mit Stipendium, Lehraufträge. Von einer Sprosse zur nächsten hatte sie sich nach oben gekämpft. „Ich mache mir einen Plan und arbeite die Stationen einzeln ab – so läuft das Leben, dachte ich.“

      Die Führungskräfte der Hochschulen bedürfen der Personalentwicklung

      Mit viel Energie warf sich die Juraprofessorin in die Arbeit an ihrer neuen Hochschule. Penibel bereitete sie ihre Seminare vor, ließ sich in verschiedene Gremien wählen, scheute keine Konflikte. Dass sie die ersten Jahre über Hunderte Kilometer pendeln musste, weil zu Hause ihr kleiner Sohn wartete, war nicht zu vermeiden. Jammern bringt nichts, lautete einer ihrer Leitsprüche. Einmal traf sie im Fahrstuhl einen Kollegen, der auf die beiläufige Frage, wie es ihm gehe, in Tränen ausbrach. „Was hat der denn für Probleme?“, fragte sie sich damals. „Der hat doch einen tollen Job.“ Drei Jahre später war sie selbst so weit.

      Überlastung durch die Lehre ist die wichtigste Ursache für die psychische Erschöpfung

      Zuerst musste sie feststellen, dass sie auf ihren neuen Job kaum vorbereitet war. Sie konnte zwar forschen und wissenschaftliche Texte verfassen oder sich mit Mandanten und Richtern auseinandersetzen. Aber wie bringt man oft nur mäßig motivierten Studenten die Grundlagen des Arbeitsrechtes bei? Hochschulen gerieren sich heute vielerorts als Unternehmen. Dass ihre Führungskräfte Personalentwicklung benötigen, hat sich jedoch noch nicht herumgesprochen.

      So sind Professoren bis heute auf vielen Feldern Autodidakten. Sie haben oft weder gelernt zu unterrichten, noch Leistungen zu bewerten. Sie sollen Fördermittel heranschaffen, Mitarbeiter führen, Kontakte zur Praxis aufbauen. Das Handwerkszeug dazu müssen sie entweder mitbringen oder sich selbst aneignen.

      Doch dafür blieb Petri keine Zeit. Denn ihr Arbeitsbeginn fiel zusammen mit der Umstellung ihrer Hochschule auf die Bachelorstruktur, die ständige Leistungskontrollen vorsah. Zudem wuchs von Semester zu Semester die Zahl der Studenten, statt anfangs dreißig saßen nun sechzig in ihrem Seminar. Die Menge der Klausuren vervierfachte sich. Daneben stapelten sich Dutzende Abschlussarbeiten auf ihrem Schreibtisch. Die Überlastung durch die Lehre ist die wichtigste Ursache für die psychische Erschöpfung von Professoren. Das ergab eine Metaanalyse angloamerikanischer Studien zum Thema Burnout in university teaching staff, die Anfang dieses Jahres im Fachjournal Educational Research erschien.

      Petri hatte das Gefühl, ihr Bestes zu geben, ohne dass Gutes dabei herauskam. Ähnlich erging es ihr in den endlosen Sitzungen der akademischen Selbstverwaltung. Mitunter traf man sich über viele Monate immer wieder, hörte sich Bewerber für unbesetzte Stellen an, las umfangreiche Lebensläufe und Publikationen – um schließlich zu erfahren, dass die Stelle gestrichen worden war.

      Das eigene Seelenheil scheint Wissenschaftler nicht zu interessieren

      Als zum Frust über vergebliche Mühen noch ein schwelender Konflikt mit der Hochschulspitze kam, begann Petri langsam abzurutschen in die Depression. Sie wachte oft mitten in der Nacht auf und wälzte Probleme, die sich am nächsten Morgen als inexistent erwiesen. Ihr Ärger über die Hochschule schlug in Selbstzweifel um. Beim Betreten des Instituts fing sie an zu schwitzen. Auf dem Heimweg fragte sie sich, ob sie genug Alkohol zu Hause habe, um abschalten zu können.

      In der Universität sprach sie mit niemandem über ihre wachsende Verzweiflung. Denn Scheitern gilt im Hochleistungsapparat Hochschule als Tabu. Erschöpfte Sportler und Politiker machen Schlagzeilen, viele Studien belegen die berufsbedingte Überforderung von Lehrern, Ärzten und Pfarrern. Sogar die emotionale Not von Psychotherapeuten ist empirisch ergründet. Nur das eigene Seelenheil scheint Wissenschaftler nicht zu interessieren: Bis heute existiert nicht eine einzige Untersuchung zur Gesundheit der deutschen Professoren.

      Jede Universität bietet Studenten Beratung für psychische Krisen ; ihre Sprechstunden sind voller denn je. Für Hochschullehrer dagegen erweist sich die Alma Mater als Rabenmutter, die sich nicht um das Wohl ihrer Schützlinge kümmert. Zu klagen gehöre eben nicht zur „akademischen Etikette“, sagt Charité-Psychiaterin Heuser.

      Auch Charlotte Petri war es peinlich, zuzugeben, am Ende ihrer Kräfte zu sein. Denn gibt es einen besseren Job als den eines fest angestellten Hochschullehrers? Das Gehalt ist gut, das Ansehen hoch. Man arbeitet weitgehend selbstbestimmt, hat das persönliche Erkenntnisinteresse quasi zum Beruf gemacht. Ein deutscher Beamtenposten ist fast so sicher wie der des Papstes. Den meisten Professoren ist ihre privilegierte Stellung bewusst. Sie münzen sie um in einen hohen Leistungsanspruch – der anfällig macht für Überforderung.

      Ein Jahr noch kämpfte sich Petri mit inneren Durchhalteparolen weiter. Ein Forschungssemester im Ausland brachte etwas Erholung. Als sie zurückkam, ging es dann schnell. Die Angst vor der Arbeit fraß sich in alle Lebensbereiche. Sie brach alle privaten Kontakte ab. Aus Angst zu ersticken, konnte sie keine U-Bahn mehr besteigen. In ihrem letzten Seminar wurde ihr immer wieder schwarz vor Augen; in der Pause musste sie sich in ihrem Büro auf den Boden legen. Ihre Studenten sagten später, es sei eine gute Veranstaltung gewesen. Sie hatten nichts bemerkt.
      Langsam wächst das Bewusstsein für das Thema

      Den Professoren in Petris Fakultät fiel erst recht nicht auf, dass ihre Kollegin kurz vor dem Zusammenbruch stand. Dass sie sich schon ausrechnete, was von der Beamtenpension bliebe, wenn sie sich dauerhaft arbeitsunfähig schreiben ließe. Laut dem Humboldtschen Ideal arbeitet der deutsche Professor in Einsamkeit und Freiheit. Man kann das auch als Drohung verstehen. Professoren sind Einzelkämpfer und Fakultäten kein guter Ort, um Freundschaften zu schließen. Für Privates fehlt oft die Zeit. Erst seit Kurzem bemühen sich deutsche Hochschulen darum, für Professoren wie in den USA eine Art Faculty Club einzurichten.

      „Hühnerställe“ nennt Petri die Dozentenbüros, acht Quadratmeter, vollgestellt mit Ordnern und Büchern. „Da rennt man zwischen den Vorlesungen und Sitzungen kurz rein und sieht zu, bald wieder nach Hause zu kommen“, sagt sie. So fällt es kaum auf, wenn jemand über Monate an seinem Arbeitsplatz nicht auftaucht.

      Mehr als ein Jahr blieb sie der Uni fern, ging in die Klinik, machte eine Therapie. Heute forscht und unterrichtet sie wieder, wenn auch mit reduziertem Stundendeputat. Doch während ihrer Auszeit kam kein Anruf aus der Hochschule, keine Karte erreichte sie zu Hause und fragte nach ihrem Ergehen – obwohl der eine oder andere Kollege am Ende erfahren hatte, dass sie krank war.

      Charlotte Petri weiß inzwischen, dass jedes Burn-out viele Ursachen hat, auch persönliche. Zeitgleich zu ihrer Lebenskrise erkrankte ihre Mutter an Alzheimer und starb. Sie selbst ging auf die fünfzig zu, für viele ein Alter, um eine erste Bilanz zu ziehen. Dennoch ist sie überzeugt, dass es hauptsächlich die Hochschule war, die sie krank gemacht hatte.

      Sie steht mit dieser Meinung nicht allein. „Die Universitäten fördern selbstschädigendes und arbeitssüchtiges Verhalten“, sagt Monika Klinkhammer . Seit einigen Jahren bereitet die Gestalttherapeutin junge Hochschullehrer in Seminaren und Coachings auf ihre neue Rolle vor. Als Führungskräfte sollen sie lernen, Konflikte mit Mitarbeitern auszutragen, Prioritäten zu setzen und sich selbst besser zu organisieren. Klinkhammer versteht ihre Arbeit durchaus als Burn-out-Prävention, in der Regel ohne dass das Wort in den Coachingsitzungen fällt. Sogar im vertraulichen Einzelgespräch täten sich ihre Klienten oft noch schwer, eine drohende Überforderung einzugestehen – selbst wenn sie stark gefährdet seien. So stelle sie immer wieder fest, dass der letzte längere Urlaub der Wissenschaftler Jahre zurückliege.

      Universitäten in Berlin, Bochum oder Braunschweig bieten solche Coachings seit einiger Zeit für ihre neuen Professoren an. Für fast alle von ihnen war der Weg auf die Lebensstelle ein Marathon. Doch nach ihrer Berufung sollen sie jetzt erst recht aufdrehen. Wer dann nicht gelernt hat, mit seinen Kräften zu haushalten und das Leben neben der Uni nicht zu vergessen, ist gefährdet. Deshalb ist die Zeit einige Jahre nach der ersten Professur die gefährlichste biografische Phase. In den USA spricht man schon von der post-tenure depression.

      Immerhin: Langsam wächst das Bewusstsein für das Thema. Als erste Universitätsklinik hat die Berliner Charité erhoben, wie stark sich die Arbeitsverdichtung auf die Gesundheit des wissenschaftlichen Personals auswirkt. Die Studie erscheint voraussichtlich Anfang nächsten Jahres. Doch schon jetzt heißt es, die Ergebnisse seien „höchst alarmierend“. In Paderborn soll ein hochschulweites Bündnis gegen Depression entstehen. Die Präsidentin der Universität Göttingen, Ulrike Beisiegel , versprach den Wissenschaftlern in ihrer Antrittsrede Anfang dieses Jahres, sie wolle für eine „gezielte Entschleunigung“ sorgen.

      Charlotte Petri hat die Forderung für ihr Leben bereits umgesetzt. Demütiger sei sie geworden, sagt sie, und weniger ehrgeizig. Ob sie zwei oder drei Aufsätze im Jahr publiziere, sei ihr mittlerweile egal. Dennoch ist die Angst geblieben vor einem erneuten Zusammenbruch. Das Gefühl wird sie noch lange begleiten.

      *Name von der Redaktion geändert

      #Exzellenzinitiative #réforme_de_Bologne #compétition #efficacité #dépression #désespoir

      –-> der Weg zu einem " ’organisatorisches Burn-out’ der Institution Universität ?

      https://www.zeit.de/2011/45/Professoren-Burnout/komplettansicht

    • Burn-out bei Professoren: „Jeden Tag schuldig ins Bett“

      Von Martin Spiewak

      DIE ZEIT: Sie erforschen, wie die Beschleunigung in Arbeit und Alltag Menschen unter Druck setzt, sie im schlimmsten Fall krank macht. Warum sind auch Professoren davon betroffen? Denen kann doch niemand vorschreiben, was sie zu tun und zu lassen haben.

      Hartmut Rosa: Theoretisch sind Professoren weitgehend Herren ihrer Zeit. Dennoch ist auch unsere Arbeitsverdichtung in den vergangenen Jahren enorm gestiegen . Zudem haben sich die Anerkennungsmechanismen für Hochschullehrer grundsätzlich gewandelt: Nicht mehr ihre Position zählt, sondern ihre Leistung.

      ZEIT: Kann sich ein Professor also nicht mehr mit seinem einmal erworbenen Status begnügen?

      Rosa: Als ich meine Habilitation abschloss, dachte ich: So, das war die letzte Prüfung in meinem Leben. Doch bald musste ich feststellen, wie falsch ich damit lag. Eigentlich werde ich bei jeder Evaluation, jedem Antrag auf Forschungsgelder wieder neu geprüft. Als Bewertungsmaßstab wird dabei zunehmend nicht mehr die gesamte Forscherkarriere angelegt, sondern das, was ich in den vergangenen zwei, drei Jahren geleistet habe. Ein Hochschullehrer muss immer beweisen, dass er seine Position zu Recht innehat.

      ZEIT: Dieses Schicksal teilen Sie mit vielen gut verdienenden Beschäftigten.

      Rosa: Ich behaupte auch nicht, dass Professoren besonders leiden. Nur ist dieser Druck, bestimmte Ergebnisse zu produzieren, relativ neu. Bis vor wenigen Jahren zum Beispiel mussten Geistes- und Sozialwissenschaftler keine Drittmittel einwerben. Sie konnten es, aber es bestand keine Pflicht dazu. Heute ist das anders. Wenn ich jetzt irgendetwas von meiner Hochschulleitung möchte, kommt sofort die Gegenfrage: Was haben Sie in der letzten Zeit für die Universität an Forschungsgeldern reingeholt?

      ZEIT: Hochschullehrer werden aus Steuermitteln bezahlt. Leistungskontrollen sind deshalb legitim.

      Rosa: Problematisch wird es, wenn unsere Arbeit so gut wie nur noch an Kennzahlen – Drittmittel, Promotionen, Veröffentlichungen – gemessen wird. Das ist zurzeit der Fall. Zudem soll der Output möglichst von Jahr zu Jahr steigen. Das Hamsterrad dreht sich immer schneller, denn jeder erfolgreiche Antrag in diesem Jahr steigert das Problem im nächsten: Man sollte sich möglichst selbst übertreffen, in jedem Fall aber andere Professoren.

      ZEIT: Das nennt sich Wettbewerb.

      Rosa: Es gibt auch einen ruinösen Wettbewerb, der dem System schadet. In jedem Fall sorgt er für eine Entsolidarisierung und schlechte Stimmung. Denn mein Erfolg ist eine Bedrohung für den Kollegen, der sich die Frage gefallen lassen muss, warum er weniger Geld einwirbt.

      ZEIT: Viel mehr aber auch nicht, Sanktionen muss er keine fürchten.

      Rosa: Aber er verliert an Image und immer häufiger auch Geld, da durch die leistungsabhängige Bezahlung, die mittlerweile überall gilt, auch die Gehaltssteigerungen von Hochschullehrern an Kennzahlen geknüpft werden.

      ZEIT: Der effektivste Weg eines Professors, seinen Verdienst zu steigern, bleibt weiterhin die Bleibeverhandlung mit seiner Heimatuniversität, wenn er ein anderes Angebot erhält. Daran hat sich nichts geändert.

      Rosa: Auch hier steigt der Druck. Früher galt eine Regel: Ein Professor, der einen Lehrstuhl neu besetzte, musste für mehrere Jahre dort bleiben. Für andere Hochschulen war er sozusagen gesperrt. Diese Vorschrift hat man in vielen Bundesländern aufgehoben. Die Folge ist nun, dass die Zahl der gegenseitigen Abwerbeversuche enorm steigt. Ich traf neulich einen recht erfolgreichen Kollegen, den drei Rufe gleichzeitig ereilt hatten. Der Druck, sich entscheiden zu müssen, hat ihn so fertiggemacht, dass er überlegt hat, psychologische Hilfe in Anspruch zu nehmen.

      „Eine individuelle Verweigerungsstrategie ist überlebensnotwendig“

      ZEIT: Er hätte sich auch über die Anerkennung freuen können.

      Rosa: Hat er sicherlich auch. Gleichzeitig hat er sich aber gewünscht, nicht immer neu über seine Zukunft entscheiden zu müssen, sondern einfach in Ruhe arbeiten zu können. Ich beobachte, dass die Beschleunigung zu einer Entwertung unserer Arbeit führt.

      ZEIT: Inwiefern?

      Rosa: Die Aufgabe der Wissenschaft, Fragen zu stellen und über viele Jahre hinweg an deren Beantwortung zu arbeiten, tritt zunehmend in den Hintergrund. Heute entfacht die Konstruktion eines Forschungsprojektes und die Suche nach Geldgebern mehr Leidenschaft als die Forschung selbst. Wir haben mittlerweile ein libidinöses Verhältnis zum Schreiben von Drittmittelanträgen. Das gleiche Problem stellt sich für die Forschungsergebnisse. Alle publizieren immer mehr, mit der Folge, dass immer weniger gelesen wird. Man schreibt und schreibt und schreibt, erhält jedoch kaum eine inhaltliche Reaktion. Da beschleicht einen das paradoxe Gefühl, immer mehr zu veröffentlichen und gleichzeitig immer irrelevanter zu werden.

      ZEIT: Sie dürften das Problem weniger haben. Ihre Forschung wird stark wahrgenommen.

      Rosa: Das Interesse schmeichelt mir natürlich. Es zieht jedoch auch Arbeit nach sich, die mich wiederum vom Forschen abhält. Ich werde in Gremien gewählt, soll die Publikationen anderer Wissenschaftler begutachten, werde um Empfehlungsschreiben für irgendwelche Stipendien gebeten oder von den Medien angefragt. Die Liste ist niemals abzuarbeiten. Jeden Tag geht man schuldig ins Bett.

      ZEIT: Wie schützen Sie sich?

      Rosa: Ich versuche, mich nicht mehr schuldig zu fühlen, selbst wenn ich ein wichtiges Gutachten nicht geschrieben habe oder einem Journalisten erst zwei Wochen nach seiner E-Mail antworte. Eine individuelle Verweigerungsstrategie ist überlebensnotwendig. Besser wäre natürlich, wenn sich am System etwas änderte.

      ZEIT: Was zum Beispiel?

      Rosa: Grundsätzlich sollten die Universitäten den Professoren wieder mehr Vertrauen entgegenbringen. Die meisten Hochschullehrer haben ein hohes Arbeitsethos. Die drei, vier faulen Professoren, die es auch gibt, kann man da durchaus verkraften. Zudem braucht Forschung mehr Ruhe und Zeit, um Früchte zu tragen. Ein gutes Buch erfordert in meinem Fach schon einmal fünf oder mehr Jahre, bis es fertig ist. Und das ist es doch, was die meisten Wissenschaftler langfristig wollen: Nicht 30 Aufsätze und Bücher in einer Publikationsliste aufzählen zu können, sondern die eine Veröffentlichung vorzuweisen, die noch in 30 Jahren gelesen wird.

      ZEIT: Die Deutsche Forschungsgemeinschaft möchte bei Anträgen von Wissenschaftlern seit einiger Zeit nur die fünf wichtigsten Publikationen genannt bekommen . Ein richtiger Schritt?

      Rosa: In jedem Fall, ich hatte Ähnliches schon vor Jahren vorgeschlagen. Das Ganze hat jedoch einen Haken. Die Gutachter, welche die Anträge bewerten sollen, umgehen die Regelung jetzt, indem sie auf der Website der Antragsteller nachschauen, was diese sonst noch so veröffentlicht haben. Das zeigt, dass es wenig bringt, nur an einer Stellschraube zu drehen.

      https://www.zeit.de/2011/45/Burnout-Interview-Rosa/komplettansicht

    • Sind deutsche Professoren ausgebrannt?
      Burnout und dessen Folgen für die Leistungserstellung in deutschen Universitäten.

      In: Hochschulmanagement, 13 (2018) 2, S. 34-40

      Abstract

      Während einerseits die outputorientierte Mittelvergabe und die Besoldung der Professoren die Effizienz der Universitäten gesteigert hat, geht damit aber auch ein erhöhter Leistungsdruck und ein Gefühl der Fremdbestimmung für Professoren einher. Vor diesem Hintergrund analysiert der Beitrag nicht nur die Burnout-Gefahr von 329 Professoren an deutschen Hochschulen, sondern vielmehr, inwieweit ein Burnout die Qualität in Forschung und Lehre der betroffenen Professoren beeinflusst. Ausweislich ihrer Modellschätzungen finden die Verfasser, dass ausgebrannte Professoren weniger publizieren, weniger Drittmittel akquirieren aber keine schlechtere Lehre organisieren. (HoF/Text übernommen).

      https://www.fachportal-paedagogik.de/literatur/vollanzeige.html?FId=1144386#vollanzeige

    • Arbeitsbedingungen an Universitäten: Weg mit den Lehrstühlen!

      Ein Gastbeitrag von Jule Specht

      In der Hoffnung, irgendwann eine Professur zu bekommen, lassen sich junge Wissenschaftler auf extrem schwierige Arbeitsbedingungen ein. Gegen die jahrelange Unsicherheit protestieren inzwischen nicht nur Doktoranden und Postdocs, sondern auch junge Professoren wie die Psychologin Jule Specht. Gemeinsam mit anderen Mitgliedern der Jungen Akademie schlägt sie deshalb vor, die Hochschulen umzubauen. Ihre Forderung lautet: Departments statt Lehrstühle.

      Stellen Sie sich vor: Sie arbeiten Vollzeit, bekommen aber nur eine halbe Stelle bezahlt. Nicht weil es Ihnen an Qualifikation mangelt – im Gegenteil, Sie gehören zu den am besten ausgebildeten Menschen im Land, haben studiert oder sind sogar promoviert. Sie tun das unter anderem deshalb, weil Ihr Vertrag nur noch wenige Monate läuft und die Anschlussfinanzierung ungesichert ist. Aus diesem Grund zögern Sie auch die Gründung einer Familie hinaus. Schließlich pendeln Sie wöchentlich einmal quer durch die Republik, um Partnerin oder Partner zu sehen. Seit Jahren schon. Mal in die eine, mal in eine andere Stadt. Alles in allem ist das weder eine gute Basis für Familiengründung und Work-Life-Balance noch für Muße zu guten Ideen und ambitionierten Projekten.

      Was in vielen Arbeitsbereichen undenkbar scheint, ist in der Wissenschaft Alltag. Ein Beispiel: Eine Doktorandin arbeitet als wissenschaftliche Mitarbeiterin durchschnittlich um die 40 Stunden pro Woche, oftmals auf halben Stellen, und erhält dafür laut des Bundesberichts Wissenschaftlicher Nachwuchs ein Nettoeinkommen von durchschnittlich 1.261 Euro. Also etwa 7,50 Euro pro Arbeitsstunde. Auch nach der Promotion wird es oft nicht besser: immer wieder Befristungen, Jobwechsel, Pendeln, Umziehen. Außerdem sind viele Stellen inhaltlich einem Lehrstuhl untergeordnet, also keineswegs frei in Forschung und Lehre.

      Planbarkeit fürs Leben, Freiheit für die Forschung

      Auf diese schwierigen Bedingungen lassen sich viele junge Wissenschaftlerinnen und Wissenschaftler ein – in der Hoffnung, irgendwann eine unbefristete Stelle zu bekommen. Das Problem: Diese Jobs gibt es kaum noch. Zum einen, weil die Wissenschaft immer stärker durch Drittmittel gefördert wird: Die so finanzierten Projekte und Stellen sind so gut wie immer befristet. Zum anderen werden auch die Grundmittel, die den Universitäten langfristig zur Verfügung stehen, immer häufiger für befristete Stellen eingesetzt, zurzeit 75 Prozent davon. Die Folge: Einer gleichbleibend geringen Anzahl an Professuren steht eine steigende Anzahl an befristet beschäftigten Wissenschaftlern gegenüber. Etwa vier von fünf hoch qualifizierten Wissenschaftlerinnen gehen letztendlich leer aus – nachdem sie über viele Jahre hinweg hohe Leistung gezeigt haben und ihr Leben einem prekären Job untergeordnet haben.

      So kann es nicht weitergehen. Wir müssen jungen Wissenschaftlerinnen früher Sicherheit und Planbarkeit geben und gleichzeitig mehr Freiheit für ihre Forschung und Lehre. Der Schlüssel dazu ist, wissenschaftliche Arbeit anders zu organisieren. Im bisherigen Lehrstuhlsystem kann lediglich ein Bruchteil, nämlich etwa 13 Prozent der Wissenschaftler, als Professorin oder Professor frei forschen und lehren und auf oftmals unbefristeten Stellen arbeiten. Sie sind die „Sonnenkönige“ des Systems und genießen viele Privilegien. Der Rest gehört zum wissenschaftlichen Mittelbau, arbeitet also meist in Unsicherheit und Abhängigkeit von den Lehrstuhlinhaberinnen und -inhabern. Um das zu ändern, sollten wir uns von den Lehrstühlen verabschieden – zugunsten einer Departmentstruktur.

      Die Rolle der Professoren verändert sich

      In einer Departmentstruktur gibt es mehr Professuren und weniger Mittelbau. Zentrale Entscheidungen über Ressourcen, Einstellungen und Entfristungen liegen nicht mehr bei einzelnen Lehrstuhlinhabern, sondern sie können im Department gemeinsam getroffen werden: entweder bei regelmäßigen Treffen – oder das Department wählt demokratisch Verantwortliche für einzelne Entscheidungsbereiche. Die wissenschaftliche Laufbahn beginnt bei einer Departmentstruktur in Graduiertenzentren. Diese Zentren, an denen die Doktorandinnen und Doktoranden promovieren, sind dem gesamten Department und nicht einzelnen Professuren zugeordnet. Als nächster Karriereschritt kann nach der Promotion eine befristete Professur folgen, die bei hervorragender Leistung in Forschung und Lehre entfristet wird – sogenannte Tenure-Track-Professuren. So entstehen früher als bisher langfristige Perspektiven. Und statt jahrelanger Wechsel zwischen unterschiedlichen Universitäten und Lehrstühlen wird die wissenschaftliche Karriere nach der Promotion auch innerhalb einer Universität möglich.

      In einer Departmentstruktur ändert sich die Professorenrolle erheblich. Professorinnen sind weniger Wissenschaftsmanagerinnen als aktiv Forschende, die im engen Austausch mit den Studierenden lehren. Die zahlreichen Aufgaben bei Prüfung und Begutachtung, Betreuung und Personalführung, Transfer und Selbstverwaltung verteilen sich auf mehr Schultern, was die Professoren entlastet. Gleichzeitig werden die Kernaufgaben in Forschung und Lehre gestärkt. Davon profitieren auch die Studierenden: Sie lernen bei Menschen, die Erfahrungen in der Lehre sammeln und darauf aufbauen können, anstatt bei Dozentinnen und Dozenten, die von Semester zu Semester wechseln.

      #Lehrstuhlsystem

      https://www.zeit.de/arbeit/2018-07/arbeitsbedingungen-universitaeten-lehrstuhl-befristungen-wissenschaftler-jobs

    • Arbeitsbedingungen an Universitäten: Die Lebenslüge

      Von Anna-Lena Scholz

      Junge Wissenschaftler beklagen prekäre Arbeitsbedingungen, die Uni-Chefs halten dagegen: Befristungen müssen sein! Jetzt wird der Streit endlich ausgetragen, sogar im Kino.

      Das akademische Leben in Deutschland hat es ins Kino geschafft. Weitermachen Sanssouci heißt der Film, eine Satire. Überzeichnete Figuren, skurrile Dialoge. Ein Zerrbild der Universität, das allerdings all jenen, die dort arbeiten, höchst realistisch anmuten dürfte. Präzise seziert der Regisseur Max Linz die Frage: Ist der wissenschaftliche Sektor ein guter Arbeitgeber?

      Der Film kommt zu einem Zeitpunkt, da es in vielen Wissenschaftlerseelen kocht. Denn die Kanzlerinnen und Kanzler der Universitäten (das sind jene, die das Geld verwalten) haben gerade die viel diskutierte „Bayreuther Erklärung“ veröffentlicht. Darin fordern sie, dass sich die Universitäten offensiv zu befristeten Arbeitsverträgen bekennen – und damit das glatte Gegenteil dessen, was die jungen Wissenschaftler derzeit unter dem Schlagwort #FrististFrust erstreiten wollen: mehr Entfristungen. Der Konflikt spaltet die Wissenschaft. Ein Zusammenschluss wissenschaftlicher Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter sprach von einer „Bayreuther Bankrotterklärung“; die Gewerkschaften halten die Hochschulleitungen für „verantwortungslos“. Letztere aber sind dankbar für die klare Ansage, die das Papier macht.

      Die Schmerzpunkte des Wissenschaftsbetriebs sind vielfältig, auch im Film: Die Professorin Brenda Berger, gespielt von Sophie Rois, leitet in Berlin ein – Achtung, hier setzt die Satire schon ein – Institut für Simulationsforschung. Es soll abgewickelt werden, falls es nicht positiv evaluiert wird. Nervös flattert Berger durch ihr Büro, beruft Teamsitzungen ein, engagiert eine Unternehmensberaterin, um „Workflow und Feedback zu optimieren“. Die Universität ist hier keine Bildungsstätte voll erleuchteter Geistesmenschen. Stumpf stehen die Wissenschaftler vor ihren Studierenden, eifrig dienen sie sich den Geldgebern an: Wie wäre es, schlägt eine junge Wissenschaftlerin vor, den Forschungsbericht in Bast zu binden? „Das sieht dann direkt nach was aus.“

      Bergers Mit- und Gegenspielerin ist ihre Doktorandin Phoebe Phaidon (Sarah Ralfs). Eine 28-Prozent-Stelle bietet Berger ihr an, „das ist nicht besonders anspruchsvoll“; nur ein paar „administrative Dinge“ müsse sie erledigen, ansonsten wäre Zeit, sich „einzulesen, die Richtung zu sondieren“. Denn Zeit, betont Berger, sei „die wichtigste Ressource im Leben einer Wissenschaftlerin“. Die Miete bezahlen kann man davon freilich nicht, wie beide wissen, und derweil Phoebe sich auf ihrem Stuhl windet ("Ich, ähm, hmmm"), schweift Berger gedanklich ab. In süffisantem Ton legt sich die Stimme von Sophie Rois über das Vorstellungsgespräch: „Sie war eine jener hoch qualifizierten jungen Leute, bei denen man sich fragte, warum sie nie etwas gegen ihre Situation unternahmen. Ihre Arbeit jedenfalls machten sie gut.“

      Der Zielkonflikt ist klar, im Film wie in der Realität. Hier die Professorin, eine von 48.000 – dort jene hoch qualifizierten jungen Leute, das sind rund 300.000 Menschen, die das Statistische Bundesamt als Doktoranden und wissenschaftliches Personal unterhalb der Professur erfasst. 93 Prozent dieses Nachwuchses sind befristet angestellt. Etwa die Hälfte dieser Arbeitsverträge läuft weniger als ein Jahr. Auf die Einjahresstelle folgt eine siebenmonatige Projektverlängerung, ein zehnmonatiger Anschlussvertrag, eine zweimonatige Elternzeitvertretung – und so fort, über Jahre, Institutionen, Städte hinweg. Wer von den Hunderttausenden es schließlich auf eine Lebenszeitprofessur schafft, entscheidet sich im Schnitt erst mit 42 Jahren: zu einem Zeitpunkt, da der außerakademische Sektor mit hoch spezialisierten Wissenschaftlerinnen kaum mehr etwas anzufangen weiß (und umgekehrt).

      –-> #film: Weitermachen Sanssouci

      https://www.zeit.de/2019/45/arbeitsbedingungen-universitaeten-mittelbau-promovieren

    • Weitermachen Sanssouci

      Ab 24.10.2019 deutschlandweit im Kino.

      Die Erde hat nicht die ideale Gestalt einer Kugel. Sie sieht vielmehr aus wie eine Kartoffel. Klimaforscherin Phoebe soll helfen, am Institut für Kybernetik den Klimawandel zu simulieren.  Alles hängt von einer erfolgreichen Evaluation am Ende des Semesters ab. Nudging wird zum Zauberwort. Studierende unterbrechen den Betrieb.  Phoebe versucht, hinter das Rätsel der Simulation zu kommen. Die Apokalypse beginnt. 

      Nach „Ich will mich nicht künstlich aufregen“ verschaltet Max Linz in seinem zweiten Spielfilm am Beispiel des fiktiven Instituts für Kybernetik der Berliner Universität die Simulation des Klimawandels mit der Wirklichkeit der Universitätsbetriebs, um auf komödiantische Weise die Frage zu stellen, wann man sich darauf geeinigt hat, dass der Zukunftshorizont sich auf die nächste Deadline verengt und Befristung die einzige Kontinuität ist.

      Mit
      Sarah Ralfs
      Sophie Rois
      Philipp Hauß
      Bernd Moss
      Maryam Zaree
      Bastian Trost
      Leonie Jenning
      Luis Krawen
      Martha von Mechow
      Max Wagner
      Anna Papenburg
      Olga Lystsova
      Kerstin Grassmann
      Jean Chaize
      Friedrich Liechstenstein

      Drehbuch - Max Linz, Nicolas von Passavant
      Bildgestaltung - Carlos Andrés López
      Ton - Andreas Mücke-Niesytka
      Szenografie - Sylvester Koziolek
      Kostümbild - Pola Kardum
      Maskenbild - Julia Böhm, Ferdinand Föcking
      Musik - Gajek
      Mit Liedern von Franz Friedrich & Valeria Gordeev
      Montage - Bernd Euscher, René Frölke
      Produtkion - Maximilian Haslberger
      Regie - Max Linz
      Eine Koproduktion von Amerikafilm mit dem rbb, gefördert durch das Kuratorium Junger Deutscher Film, Medienboard Berlin-Brandenburg und BKM.
      Entstanden im Rahmen der Initiative Leuchtstoff von rbb und Medienboard Berlin-Brandenburg.

      https://vimeo.com/360738724

    • Eine Längsschnittstudie über Promovierende und Promovierte

      Nacaps steht für National Academics Panel Study und ist eine neue Längsschnittstudie über Promovierende und Promovierte. Nacaps erhebt erstmals systematisch Daten zu Karriereverläufen von Hochqualifizierten in Deutschland - für Forschung, Hochschulen und Wissenschaftspolitik.

      https://www.nacaps.de

    • @_kg_ : j’ai mis deux références sur academia que tu as indiquées :
      https://academia.hypotheses.org/lheure-est-greve/dissent-in-european-higher-education

      Les autres concernent surtout les étudiant·es (c’est évidemment important, mais ça mérite un chapitre à part) et certaines références sont très intéressantes, mais elles dates un peu... du coup, c’est vraiment bien d’avoir tout sur ce fil de discussion, que je vais ajouté à la métaliste...

    • unter_bau

      Selbstverständnis

      Wie könnte eine kämpferische Gewerkschaft für den Hochschulbereich aussehen? Darüber machten sich ab Anfang 2015 einige Menschen aus verschiedenen Statusgruppen der Uni Frankfurt Gedanken. Im April 2016 ging diese Initiative dann an die Öffentlichkeit. Im November 2016 erfolgte dann die Gründung einer alternativen Hochschulgewerkschaft für die Goethe-Universität Frankfurt. Ihr Ziel ist es, die Verhältnisse nicht einfach mitzuverwalten, sondern sie umzugestalten.

      Arbeitsbedingungen werden prekarisiert und Stellen abgebaut, Arbeiten outgesourct und Belegschaften gespalten, Zwang im Studium erhöht und kritische Inhalte verdrängt, die soziale Selektion verschärft und Bildung der Verwertung von Humankapital unterworfen… Weder die Vertretungen der Beschäftigten noch die Proteste von Studierenden konnten dem etwas entgegensetzen. Es fehlt ein organisatorisches Herzstück, welches die Kräfte und Kämpfe bündelt. Vor allem mangelt es an einer Gewerkschaftspolitik, welche die Machtstrukturen an den Hochschulen aufbricht, die jene Entscheidungen bedingen.

      Macht von unten aufbauen

      Grundsätzlich bedarf es einer Organisation, die Einfluss auf Alltag und Struktur der Hochschulen nimmt sowie Erfahrungen aus Kämpfen weitergibt – und das kontinuierlich. Wir orientieren uns dabei am Konzept einer inklusiven Basisgewerkschaft, wie es aus anderen Ländern bekannt ist. In ihr soll Platz sein für alle, die sich gegen die Verhältnisse wehren und sie überwinden wollen – unabhängig von ihrer Statusgruppe. Ob WiMis, Reinigungs- und Mensakräfte, Hilfskräfte, Lehrbeauftragte, Studierende oder Verwaltungsangestellte – wir brauchen eine föderale Gewerkschaft, in der die Basis koordiniert agiert.

      Gewerkschaft anderen Typs

      Unsere Vorstellungskraft reicht aus, um gewerkschaftliche Praxis auch jenseits der hierarchisch organisierten Sozialpartnerschaft zu denken. Die Gewerkschaftsbasis soll selbst über Aufgaben, Forderungen und Vorgehensweisen entscheiden. So soll ein Raum geschaffen werden, in dem wir uns ermächtigen und Solidarität miteinander üben. Dabei interessiert uns mehr als die Arbeitsbedingungen. Unser Ziel ist eine soziale Hochschule in basisdemokratischer Selbstverwaltung: Ihre Angehörigen sollen gleichberechtigt mitbestimmen, ihr Profil nicht von wirtschaftlichen Interessen bestimmt sein.

      Blick über den Tellerrand

      Als Beschäftige und Studierende an der Hochschule ist diese der Ausgangspunkt für unsere eigenen Kämpfe. Allerdings funktioniert sie nicht losgelöst vom Rest der Gesellschaft, deren Herrschaftsverhältnisse uns stets in Gestalt materieller Zwänge entgegenschlagen. Die Chancen auf eine soziale Neuausrichtung der Hochschule, ja des Bildungsbereiches generell erhöhen sich daher, wenn sich unsere Kämpfe mit denen in anderen Gesellschafts- und Lebensbereichen verbinden. Wir suchen daher aktiv den Kontakt mit anderen Initiativen, Netzwerken und Organisationen – lokal, überregional und international.

      Alle Interessierten sind herzlich dazu eingeladen, zum Gelingen der Organisation beizutragen. Kommt vorbei zu den Treffen unserer Gewerkschaft und bringt euch ein! Öffentliche Termine könnt ihr unserem Kalender entnehmen. Ihr könnt euch aber auch in unseren Interessiertenverteiler eintragen, über den ihr Einladungen zu Veranstaltungen, Versammlungen und Arbeitstreffen zum Reinschnuppern erhaltet. Und wenn ihr generell auf dem Laufenden sein wollt, was im unter_bau so geschieht, dann abonniert doch unseren monatlichen Newsletter, in dem die neuesten Entwicklungen zusammengefasst werden.

      #réseau #syndikat_combatif #Frankfurt

      https://unterbau.org/unteruns/selbstverstaendnis

    • @cdb_77 oui, tout à fait ;-) Je t’ai laissé un message Facebook mais t’as pas vu je pense...donc pour ce fil : je rassemble tout et ensuite tu peux voir s’il y a des turcs tu penses pertinent à ajouter quelques part...

    • Sinon, tu peux aussi construire ta première métaliste...
      Tu rassembles sur différents fils de discussions des choses qui te semblent aller ensemble, et tu fait une liste où tu compiles les différents fils de discussions en mettant en avant la thématique et en mettant le lien URL dudit fil de discussion...
       :-)

    • Compris ;-) ...juste une question de démarche : pour ’réutiliser’ les commentaires de ce fil dans les différents fils de métaliste, pour ne pas tout refaire, tu fais comment ? Cliquer sur ’modifier’ ensuite copier coller de ce fil au nouveau fil ?

    • University workers of the world, unite! Reflections on the paradox of German academic precarity (Nicolas Pons-Vignon)

      Dr. Nicolas Pons-Vignon [Ela Bhatt Visiting Professor, ICDD, University of Kassel]

      Discussant: Dr. Alexander Gallas [ICDD, University of Kassel] - first part of the comment available only

      ICDD, Kassel, 17 December 2019

      Nicolas Pons-Vignon is an economist, senior researcher at the University of the Witwatersrand (South Africa) and Ela Bhatt Visiting Professor at the ICDD (University of Kassel) from October to December 2019. In his farewell talk “University workers of the world, unite! Reflections on the paradox of German academic precarity” he presents an outsider’s perspective on the situation of German university workers, while reflecting on the strategies used to combat it, starting from the premise: What can we learn from the experience of precarious workers outside of Germany to empower the struggles here? The discussant is Alexander Gallas, faculty member of the ICDD at Kassel University.

      Notes

      ’Studentische Hilfskräfte’ financed through budget for ’Sachmittel’
      Precarity of ’PrivatdozentInnen’
      Hierarchy
      Gender roles (2005 15% —> 2015 23%)
      Unter_bau Frankfurt
      Bayreuther Erklärung
      Short-term contracts justified by the argument: ’folgenden Studierendengenerationen eine Chance ermöglichen [sic]’
      Power relations
      Professors, coming from academia, are not trained to management/organization
      Activism can be punished (working in the system you’re fighting)
      Only 9% of university staff is member of unions
      Germany = one case of many across the globe
      Confrontational strategy necessary —> university administration doesn’t feel frightened by the movement
      People join movements if they feel hope
      ’I’m the object and the subject of the research’

      "It’s important to tell the story and to tell it internationaly" (Pons-Vignon)

      https://univideo.uni-kassel.de/video/University-workers-of-the-world-unite-Reflections-on-the-paradox-of-German-academic-precarity-Nicolas-Pons-Vignon/13c7631e7d27c2d1317ad1d8b7cbdc69

      #iccd #work #precarity #university #academia #Germany #fixed-term_contracts

    • Précarité et diversité dans l’enseignement supérieur en Allemagne… parlons-en !

      Un groupe de chercheur·es s’est réuni à Cologne le 6 mars 2020 pour former une sorte alliance symbolique avec les grèves ayant cours en France et au Royaume-Uni.

      Le groupe “diversity precarious” lutte, depuis l’Allemagne, contre la poussée néolibérale dans le monde universitaire.

      Une chercheuse a envoyé à Academia une carte mentale réalisée à partir des notes du brainstorming issues de cette journée : qu’elle en soit remeciée.

      https://academia.hypotheses.org/22100

  • “CDU-Zerstörer” Rezo: Es kamen “Diskreditierung, Lügen, Trump-Wordings und keine inhaltliche Auseinandersetzung” | Telepolis
    https://www.heise.de/tp/features/CDU-Zerstoerer-Rezo-Es-kamen-Diskreditierung-Luegen-Trump-Wordings-und-keine-i

    Ce youtubeur prouve que les chrétiens-démocrates allemands sont coupables de tous les crimes et par leur incompétence et par la collaboration avec le crime organisé. Ce jeune homme est tellement populaire que la droite est obligée de réagir.

    Selten hat ein politisches Video in Deutschland ein so großes Echo bei Jugendlichen gefunden: Youtuber Rezo „zerstört“ die CDU.

    Les sources : https://www.youtube.com/redirect?event=video_description&v=4Y1lZQsyuSQ&q=https%3A%2F%2Fdocs.google.

    Hier sind alle Quellen vom CDU-Video. Hoffe es ist alles korrekt übertragen. Falls irgendwo ein Flüchtigkeitsfehler drin ist oder so, schreib mir gern auf den verschiedenen Socialmedia Plattformen :)

    [W1] https://www.cdu.de/partei

    [W2]https://www.isw-muenchen.de/2017/12/kluft-zwischen-arm-und-reich-in-deutschland-so-gross-wie-vor-100-jahren

    [W3] https://www.axel-troost.de/de/article/9455.bericht-zur-armutsentwicklung-in-deutschland-2017.html

    [W4] https://www.diw.de/documents/publikationen/73/diw_01.c.575768.de/dp1717.pdf
    Zusammenfassung:
    https://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/vermoegen-45-superreiche-besitzen-so-viel-wie-die-halbe-deutsche-bevoelkerun

    [W5] https://link.springer.com/article/10.1186/s41937-017-0012-9

    [W6] media.boeckler.de/Sites/A/Online-Archiv/12836 (S 20 ff)

    [W7]https://www.wiwiss.fu-berlin.de/fachbereich/vwl/steiner/aktuelles/Bach-et-al-Steuerlastverteilung-hbs_347.pdf (S 44 ff)

    [W8]https://www.wiwiss.fu-berlin.de/fachbereich/vwl/steiner/aktuelles/Bach-et-al-Steuerlastverteilung-hbs_347.pdf

    [W9] https://read.oecd-ilibrary.org/education/equity-in-education_9789264073234-en#page1

    [W10]https://www.welt.de/wirtschaft/article137635705/Die-Wahrheit-ueber-die-Armut-in-Deutschland.html

    [W11]https://www.welt.de/wirtschaft/article137635705/Die-Wahrheit-ueber-die-Armut-in-Deutschland.html

    [W12]https://www.pewglobal.org/2017/04/24/middle-class-fortunes-in-western-europe/st_2017-04-24_western-europe-middle-class_0-01

    [W13]https://www.pewglobal.org/2017/04/24/middle-class-fortunes-in-western-europe/st_2017-04-24_western-europe-middle-class_1-04

    [W14]https://www.sueddeutsche.de/politik/berlin-vor-spitzentreffen-union-kritisiert-spd-forderung-nach-hoeheren-

    [W15] https://de.statista.com/infografik/15423/bildungsausgaben-gemessen-am-bip

    [W16]https://www.deutschlandinzahlen.de/no_cache/tab/bundeslaender/bildung/bildungsausgaben/staatliche-ausgaben-je-schueler?tx_diztables_pi1%5BsortBy%5D=col

    [W17]https://www.zeit.de/gesellschaft/schule/2019-02/lehrermangel-umfrage-grundschulen-belastung

    [W18]https://www.zeit.de/2015/38/marode-schulen-kommunen-finanzen

    [W19]https://www.gew.de/aktuelles/detailseite/neuigkeiten/wie-deutschland-bei-der-bildung-abschneidet

    [W20]https://www.haufe.de/thema/mietpreisbremse

    [W21]Q1https://de.statista.com/statistik/daten/studie/164047/umfrage/jahresarbeitslohn-in-deutschland-seit-1960
    Q2(https://www.deutschlandinzahlen.de/tab/deutschland/finanzen/preise/immobilienpreisinde

    [W22]https://www.stern.de/wirtschaft/immobilien/mietpreisbremse--drei-jahre-mietpreisbremse---was-hat-es-gebracht--7884218.htm

    [W23]https://www.dvv-vhs.de/mehr-geld-fuer-bildung

    [W24]“https://www.oecd.org/berlin/themen/pisa-studie

    [W25]http://www.taz.de/!5555162

    [W26]https://www.br.de/nachrichten/deutschland-welt/wo-steht-die-bildungsrepublik-deutschland,RCmwxjP

    [a1] Ceballos, G., Ehrlich, P.R., Barnosky, Anthony D. et al. 2015. Accelerated modern human–induced species losses: Entering the sixth mass extinction. Science Advances 1: e1400253, https://doi.org/10.1126/sciadv.1400253

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    [K97]https://www.handelsblatt.com/politik/deutschland/energiewende-merkel-legt-sich-fest-wir-werden-2038-aus-der-braunkohle-aussteigen/23948952.html

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    [L2]https://www.zeit.de/wirtschaft/2014-07/bundestag-mindestlohn-entscheidung

    [L3]https://www.cdu.de/system/tdf/media/dokumente/071203-beschluss-grundsatzprogramm-6-navigierbar_1.pdf?file=1&type=field_collect

    [L4]https://www.handelsblatt.com/politik/deutschland/freiwilligendienst-geplant-bundestag-beschliesst-das-ende-der-wehrpflicht/3985968.html?ticket=ST-1588365-InGS3BXc1Q4ycXsDsZeC-ap2

    [L5]https://www.cdu.de/system/tdf/media/dokumente/071203-beschluss-grundsatzprogramm-6-navigierbar_1.pdf?file=1&type=field_collect

    [L6]https://www.welt.de/politik/deutschland/article13460039/Bundestag-beschliesst-Atomausstieg-bis-2022.html

    [L7]https://www.gew.de/aktuelles/detailseite/neuigkeiten/wie-deutschland-bei-der-bildung-abschneidet

    [L8]https://www.sueddeutsche.de/politik/angela-merkel-falsche-versprechungen-ueberlasse-ich-schroeder-1.309069-

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    [L11]https://www.antenne.de/nachrichten/deutschland/pkw-maut-startet-oktober-2020-in-deutschland

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    [L13]https://www.youtube.com/watch?v=iSwQxRjFT2A&t=97s

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    [L20] https://twitter.com/europarl_de/status/1100705082470027264?lang=de

    [L21]https://twitter.com/c_lindner/status/1104683096107114497?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E11

    [L22] https://youtu.be/OAoPkVfeTo0?t=893

    [L23] https://www.scientists4future.org/stellungnahme

    [L25] https://twitter.com/tilman_s/status/1105864836892762112

    [L26]https://youtu.be/Yd2bYRKuYfo?t=180

    [L27]https://www.tagesspiegel.de/politik/koalitionsbeschluss-wehrpflicht-wird-zum-1-juli-2011-ausgesetzt/3597026.html

    [L28]https://www.youtube.com/watch?v=4WY3wQDEWt8

    [L29]https://www.fr.de/politik/verfolgte-retter-10973351.html

    [L30]https://www.n-tv.de/politik/Polizisten-fordern-Cannabis-Legalisierung-article20268395.html

    [L31]https://www.heise.de/tp/features/15-Jahre-entkriminalisierte-Drogenpolitik-in-Portugal-3224495.html

    [L32]https://www.br.de/puls/themen/welt/drogenpolitik-portugal-102.html

    [L33]https://www.deutschlandfunk.de/portugals-drogenpolitik-therapie-statt-gefaengnis.795.de.html?dram:a

    [L34]https://www.spiegel.de/panorama/justiz/cannabis-bund-deutscher-kriminalbeamter-fordert-ende-des-verbots-a-1191381.h

    [L35]https://de.wikipedia.org/wiki/Daniel_Caspary#/media/File:Daniel_Caspary_2019.jpg

    [L36]https://de.wikipedia.org/wiki/Axel_Voss#/media/File:Axel_Voss_01.JPG

    [L37] https://youtu.be/9GMiDy0LZQ4?t=585

    [B1] https://www.dw.com/de/935-l%C3%BCgen-zum-irak-krieg/a-3086399

    [B2] https://www.dw.com/de/irak-krieg-am-anfang-stand-die-l%C3%BCge/a-43279424

    [B3] https://www.faz.net/aktuell/politik/cdu-csu-merkel-verteidigt-irak-krieg-189806.html

    [B4] https://youtu.be/lxjahxsm3GU?t=145

    [B5] https://youtu.be/lxjahxsm3GU?t=224

    [B6] https://www.youtube.com/watch?v=_EaEVIh9t5I&feature=youtu.be&t=114

    [B7] https://dipbt.bundestag.de/dip21/btd/18/110/1811023.pdf

    [B8]https://daserste.ndr.de/panorama/aktuell/USA-fuehren-Drohnenkrieg-von-Deutschland-aus,ramstein146.html

    [B9] https://www.youtube.com/watch?v=5rXPrfnU3G0&t=300s

    [B10]

    [B11]https://www.spiegel.de/fotostrecke/drohnen-basis-ramstein-bundesregierung-bestreitet-mitwissen-fotostrecke-1258

    [B12]https://www.zeit.de/politik/ausland/2015-05/drohnenkrieg-ramstein-jemen-opfer-klage
    [B13]https://www.sueddeutsche.de/politik/leitkolumne-ramstein-toetet-1.4378778

    [B14]https://www.welt.de/politik/ausland/article122884542/15-Tote-bei-Drohnenangriff-auf-Fahrzeugkonvoi.html

    [B15]https://qz.com/569779/drone-strikes-are-creating-hatred-towards-america-that-will-last-for-generations

    [B16]https://www.cato.org/publications/policy-analysis/step-back-lessons-us-foreign-policy-failed-war-terror#_idTextAnchor066

    [B17] https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_major_terrorist_incidents

    [B18] https://de.wikipedia.org/wiki/Genfer_Konventionen#Wichtige_Bestimmungen

    [B19]https://www.spiegel.de/politik/ausland/bradley-manning-zu-35-jahren-haft-verurteilt-a-917844.html

    [B20] https://www.zeit.de/politik/ausland/2013-10/Drohnen-Moral-Voelkerrecht/seite-2

    [B21]https://www.amnesty.de/allgemein/pressemitteilung/vereinigte-staaten-von-amerika-voelkerrechtswidrige-us-drohnenangriffe

    [B22]https://netzpolitik.org/2015/live-blog-aus-dem-geheimdienst-untersuchungsausschuss-brandon-bryant-fr

    [B23] https://youtu.be/Y0_BxzSWdKI?t=889

    [B24] https://youtu.be/VMjUR_cY8g4?t=1529

    [B25] https://youtu.be/STqv600KN3k?t=219

    [B26]https://www.sueddeutsche.de/politik/us-drohnenkrieg-ramstein-urteil-ovg-muenster-1.4373794

    [B27] https://www.bundestag.de/parlament/plenum/abstimmung/abstimmung?id=540

    [B28] https://youtu.be/KdDULYzDBvg?t=213

    [B29]https://www.spiegel.de/politik/deutschland/us-atomwaffen-in-deutschland-die-atom-eier-von-buechel-a-1251697.html

    [B30] https://yougov.de/news/2015/10/01/bevolkerung-will-keine-us-atomwaffen-deutschland

    [B31] https://youtu.be/C4RalenYhoY?t=37

    [B32]https://de.wikipedia.org/wiki/Globale_%C3%9Cberwachungs-_und_Spionageaff%C3%A4re

    [B33]https://www.spiegel.de/politik/ausland/snowden-asyl-usa-sollen-deutschland-gedroht-haben-a-1024841.html

    [B34]https://www.bundesregierung.de/breg-de/aktuelles/fuer-eine-welt-ohne-atomwaffen-479596

    [B35]

    [B36] http://www.ruestungsexport.info/info/BuReg_2017.pdf

    [B37] https://www.zeit.de/2018/29/waffenexporte-bundesregierung-jemen-krieg/komplettansicht

    [B38] https://de.wikipedia.org/wiki/Milit%C3%A4rintervention_im_Jemen_seit_2015

    [B39]https://www.fr.de/politik/waffenexporte-saudi-arabien-deutschland-liefert-wieder-waffen-12185951.html

    [B40]https://www.zeit.de/wirtschaft/2019-01/ruestung-waffenexporte-deutschland-bundesregierung-katar-raketensystem-teile

    [B41] https://de.wikipedia.org/wiki/Menschenrechte_in_Katar

    [B42] https://www.zeit.de/politik/2018-10/nachrichtenpodcast-was-jetzt-23-10-2018

    [B43] https://de.wikipedia.org/wiki/Bahrain#Menschenrechte

    [B44]https://www.tagesspiegel.de/politik/weiter-waffen-fuer-jemen-krieg-mehr-ruestungsexporte-in-die-emirate/24156146.html

    [B45]https://www.dw.com/de/human-rights-watch-die-vae-sind-kein-toleranter-staat/a-47357520

    [B46]https://www.n-tv.de/politik/Milizen-im-Jemen-kaempfen-mit-westlichen-Waffen-article20845112.html

    [B47]http://www.ard.de/home/die-ard/presse-kontakt/pressearchiv/_Panzer_fuer_das_Kalifat____Waffen_fuer_Bahrain_/113308/index.html

    [B48]https://www.ipg-journal.de/rubriken/aussen-und-sicherheitspolitik/artikel/das-geschaeft-mit-der-ruestung-3437

    [B49 ] https://de.wikipedia.org/wiki/AGM-114_Hellfire

    [B50]https://www.faz.net/aktuell/politik/wikileaks/moderne-kriegsfuehrung-das-collateral-murder-video-1982035.html

    [B51]https://www.spiegel.de/politik/ausland/umstrittene-apache-angriffe-hoellenfeuer-aus-dem-himmel-a-724482.html

    [B52] https://www.zeit.de/politik/ausland/2010-07/wikileaks-militaer-geheimvideo

    [B53] https://www.youtube.com/watch?v=NeQM1c-XCDc

    [B54]https://www.google.com/search?q=ramstein&oq=ramstein&aqs=chrome.0.69i59l3j69i60j69i61j69i59.975j1j7

    [B55] https://youtu.be/Ses8mRjm-Ew?t=28

    [B56] https://youtu.be/Y0_BxzSWdKI?t=919

    [B57] https://youtu.be/rMHZTJQjnKc?t=112

    [B58] https://youtu.be/STqv600KN3k?t=470



    [B59] https://youtu.be/VMjUR_cY8g4?t=1468

    [B60]https://www.sueddeutsche.de/politik/nsa-ausschuss-ehemaliger-us-drohnenpilot-zwoelfjaehrige-galten-als-legi

    [B61]https://www.sueddeutsche.de/politik/prozess-in-koeln-us-drohnenkrieg-darf-ueber-ramstein-laufen-1.2495841

    [B62]https://www.sueddeutsche.de/politik/drohnenangriffe-was-in-ramstein-vor-sich-geht-1.3277427

    [B63]https://www.spiegel.de/politik/ausland/syrien-kampf-gegen-islamischer-staat-mehrere-zivilisten-in-baghus-getoetet-a

    [B64]https://www.spiegel.de/politik/ausland/syrien-luftangriff-der-us-koalition-toetet-mindestens-43-menschen-a-1239032.

    [B65]https://www.amnesty.org/en/latest/news/2019/04/syria-unprecedented-investigation-reveals-us-led-coalition-killed-more-than

    [B66]Experten gehen von insgesammt 7596 getöteten Zivilisten durch die Koalition aus. UN-Experten nehmen die Airwars-Zahlen sehr ernst.“ Video daneben zeigen: https://www1.wdr.de/daserste/monitor/videos/video-die-zivilen-opfer-der-anti-is-koalition-100.html

    [B67]According to Airwars, 1,472 civilians had been killed by the U.S. air campaign in Iraq and Syria in March 2017 alone https://www.independent.co.uk/news/world/middle-east/us-coalition-air-strikes-isis-russia-kill-more-civilians-march-middle

    [B68]an einem einzigen Tag: On March 17, a U.S.-led coalition airstrike in Mosul killed more than 200
    civilianshttps://www.independent.co.uk/news/world/americas/us-air-strike-mosul-200-civilians-killed-isis-northern-iraq-pentagon-

    [B69]Hier auch gute Übersicht: https://airwars.org/conflict/coalition-in-iraq-and-syria

    [B70] https://youtu.be/Cb485CVJKBw?t=136

    bis 2:33

    [B71]https://www.zeit.de/politik/deutschland/2018-01/waffenexporte-ruestungsexporte-deutschland-krisengebiete-rekordhoch

    [B72]https://www.youtube.com/watch?v=XuiqnFpptYA

    [B73]https://www.tagesspiegel.de/politik/trotz-exportstopp-deutsche-ruestungsgueter-fuer-400-millionen-euro-an-jemen-kriegsallianz/24153698.html

    [B74]https://de.wikipedia.org/wiki/GBU-12_Paveway_II#/media/File:GBU-12_xxl.jpg
    Gemeinfrei, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=593515

    [B75]https://de.wikipedia.org/wiki/AGM-114_Hellfire#/media/File:Lockheed_Martin_Longbow_Hellfire.jpg
    Gemeinfrei, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=593515

    [B76]https://www.youtube.com/watch?v=UjSYSO7-cM0

    [B77]https://www.spiegel.de/politik/deutschland/deutschland-muss-drohneneinsaetze-der-usa-aus-ramstein-pruefen-a-1258647.htm

    [B78]https://youtu.be/HZ8YAiVWToI?t=697

    #Allemagne #CDU #politique #environnement

  • #failoftheweek: München und Microsoft - ein schwerer Ausnahemefehler | Zündfunk | Bayern 2 | Radio | BR.de
    https://www.br.de/radio/bayern2/sendungen/zuendfunk/fail-muenchen-und-microsoft-ein-schwerer-ausnahmefehler-100.html

    Comment le lobbying de Microsift a tué Linux à Munich

    08.02.2019 - von: Christian Schiffer

    2003 schaute die Welt auf München. Die Stadt hatte es gewagt, sich gegen den Tech-Giganten Microsoft zu stellen. Die Computer der Stadt liefen von da auf dem Open Source-System Linux. 2020 wird dieser Ausflug beendet sein. Denn Microsoft ist mächtig.

    Steve Ballmer irgendwann in den Nullerjahren. Der damalige Chef von Microsoft springt auf einer Firmen-Veranstaltung über die Bühne. Ballmer schwitzt, Ballmer kreischt, Ballmer schüttelt den Kopf, weil er das einfach nicht fassen kann, wie geil, also wirklich WIE GEIL, diese Firma ist: Microsoft. Microsoft! Der sanfte IT-Riese, den alle lieben! Microsoft! Die Firma mit Windows, Word und Excel! Microsoft! Die Firma, die die Menschheit fast im Alleingang ins Digitalzeitalter gewummst hat! Microsoft! Die Firma mit dem Internet-Explorer, dem ja wohl gesamt-geilsten Internet-Browser der Welt! Paint, Minesweeper, Solitär: Alles geiler Microsoft-Shit!
    Power-Hühne und Ex-Microsoft-Chef Steve Ballmer

    Irgendwann kommt der hüpfende Power-Hüne vor einem Mikrofon schwer atmend zum Stehen. Der 1,96 Meter große Vorstandsvorsitzende wirkt damals ein wenig wie der Oliver Kahn unter den Unternehmenslenkern: Engagiert, verrückt, animalisch, voll auf Testosteron. Vor allem aber wirkt er wie jemand, mit dem man lieber nicht alleine in einem Raum sein möchte, wenn er unzufrieden ist.

    Doch das genau muss im Jahr 2003 der damalige Münchner Oberbürgermeister Christian Ude. München beschließt damals, die Stadtverwaltung auf Open Source umzustellen. Hintergrund ist, dass Microsoft kurz vorher den Support für Windows NT4 einstellt und die Stadt zwingen will, Millionen auszugeben, um auf eine neue Windows-Version umzusteigen. Die Entscheidung der Stadt München auf freie Software zu setzten, wird damals auf der ganzen Welt aufmerksam verfolgt. Auch deswegen unterbricht Steve Ballmer extra seinen Ski-Urlaub, um Christian Ude nochmal persönlich ins Gewissen zu reden, doch Ude bleibt hart.
    Bill Gates lauert am Rande der Bundesgartenschau

    Später lauert dem Münchner Oberbürgermeister dann auch noch Bill Gates am Rande der Bundesgartenschau auf und bittet ihn ein Stück in seinem Auto mitzufahren. Was dann passiert, schilderte Christian Ude im Deutschlandfunk so: „Und dann fragte er: Warum tun Sie das, das ist doch ein irrer Schritt, warum machen Sie das? – Und ich sagte: Um unabhängig zu werden. – Ja, von wem denn unabhängig? – Und dann sagte ich: Von Ihnen.“

    Ude bleib erneut hart und München startet das LiMux-Projekt. Auf den 15.000, zum Teil offenbar veralteten Rechnern der Stadtverwaltung soll nun Linux laufen. Über die Jahre spart die Stadt so eine Menge Geld ein, doch die Systeme sind auch fehleranfällig. Einmal fällt zum Beispiel das gesamte Mail-System der Stadt aus, weil jemand eine Nachrichte mit einer überlangen Betreffzeile schreibt. Die CSU mäkelt immer wieder an dem Projekt herum und dann kommt mit Dieter Reiter ein Oberbürgermeister ans Ruder, der sich in einem Interview als bekennender Microsoft-Fan outet.

    Vielleicht wegen dem ganzen geilen Microsoft-Shit, vielleicht aber auch, weil er als Wirtschaftsreferent seine Finger im Spiel hat, als der IT-Riese 2013 entscheidet, seine Zentrale von Unterschleißheim nach München zu verlegen.

    Dieter Reiter ist bekennender Microsoft-Fan

    Diese Woche kam dann aber auch noch heraus, dass die Unternehmensberatung Accenture mit Microsoft eine gemeinsame Service-Sparte gründen möchte. Accenture wiederum ist ausgerechnet die Unternehmensberatung, die Ende 2016 München dazu rät, doch bitte wieder zu Microsoft zurück zu kehren.

    Wieder Steve Ballmer. Diesmal noch verschwitzter und mindestens genau so bizarr: Der Ex-Microsoft-Chef beschwört die Wichtigkeit der Software-Entwickler – und damit hat er recht! Software-Entwickler bräuchte aber vor allem die Open Source-Szene, denn freie Software schreibt sich schließlich nicht von selbst, auch hier müssen Programmierer bezahlt werden. Und genau deswegen wäre es so wichtig, dass Städte und Gemeinden auf Open Source setzen. Einerseits wird dauernd der Einfluss von großen Software-Konzernen beklagt, man beschwert sich, dass Microsoft, Google, Facebook und alle die anderen Unternehmen im Plattform-Kapitalismus so mächtig geworden sind. Andererseits weigert man sich, die beachtliche staatliche Power dafür einzusetzen, Alternativ-Plattformen zu fördern, die günstiger sind und sicherer.

    Städte und Gemeinden sollten auf Open Source setzen

    Open Source kann eben nur funktionieren, wenn viele mitmachen. LiMux hätte hierbei ein Anfang sein können und gilt heute stattdessen tragischerweise als schwerer Ausnahmefehler.

    #Allemagne #Munich #Linux #Microsoft #politique

  • alpha-retro: Berlin - Mitteilungen über eine Stadt | ARD-alpha | Fernsehen | BR.de
    https://www.br.de/fernsehen/ard-alpha/programmkalender/ausstrahlung-1529264.html


    Ein Film über das Leben in der Mauerstadt von 1969, in dem die Berliner Mauer nicht vorkommt, weil sie für das Leben der Menschen kaum eine Bedeutung hat. Regie Manfed Durniok, Musik zeitgenössisch u.a. Kompositionen von Oskar Sala

    Berlin von morgens bis spät in die Nacht, von West nach Ost, von ländlicher Gegend bis zur Großstadt, von der Hochkultur bis zur singenden Heilsarmee: Der Film von 1968 versucht einzufangen, was Berlin als Stadt insgesamt ausmacht, dabei wird nicht verglichen zwischen Ost und West, sondern es wird gezeigt, wie sich die Gesellschaft hüben wie drüben immer mehr angleicht, denn die Probleme und Themen sind dieselben: Wohnen, Verkehr, Konsum, Versorgung, Freizeitgestaltung, Vergnügen. Was gibt es alles zu sehen? Beatlokale, Stadtautobahn, Wachablösung am Ehrenmal in Ostberlin, den Ernst-Reuter-Platz und Sonnenbadende, die Neue Nationalgalerie usw. usf. Durch den Tag begleitet wird der Zuschauer dabei von kleinen Radiobruchstücken aus Ost und West. Und untermalt wird dieses für die damalige Zeit doch recht schnell geschnittene Bilderpotpourri von der Musik des Komponisten und Trautoniumspielers Oskar Sala.

    Redaktion: Martin Posselt

    Zum Start von „Babylon Berlin“ im Ersten: alpha-retro: Berlin | Pressemitteilungen | Presse | BR.de
    https://www.br.de/presse/inhalt/pressemitteilungen/ard-alpha-alpha-retro-berlin-100.html

    Die Free-TV-Premiere von „Babylon Berlin“ ab dem 30. September 2018 im Ersten ist ein TV-Ereignis. ARD-alpha begleitet den Start der international erfolgreichen, vielfach preisgekrönten Kriminalserie vor Beginn der Ausstrahlung mit einem großen, dreiteiligen Berlin-Schwerpunkt: am 15., 22. und 29. September 2018, 20.15 Uhr

    Der Schwerpunkt markiert zugleich den Auftakt des neuen Samstagabendprogramms von ARD-alpha: Unter dem Label alpha-retro präsentiert der Bildungskanal ab dem 15. September 2018 mit Unterstützung der Landesrundfunkanstalten der ARD Kostbarkeiten aus den Fernseharchiven und lädt zur besten Sendezeit ab 20.15 Uhr zu unterhaltsamen, bewegenden und überraschenden Zeitreisen in deutsche Städte und Regionen ein.
    ...
    Auch die anderen beiden Berlin-Abende setzen jeweils einen thematischen Schwerpunkt: "Frontstadt und Nachtleben“ (15. September) und "Alltag und Musike“ (22. September). Präsentiert werden persönlich gehaltene Korrespondentenberichte und -geschichten aus dem Alltag und dem Nachtleben einer geteilten Stadt sowie ein kurzweiliges Musikprogramm aus Ost und West – von den späten 50er Jahren bis 1990. Einen besonderen Glanzpunkt setzt dabei die einstündige Friedrichstadt-Palast-Revue "Alles weg’n de Leut“ am 22. September 2018 um 21.00 Uhr, in der der junge Walter Plathe bekannte und wiederentdeckte Texte des Couplet-Sängers und Komikers Otto Reutter interpretiert.

    Samstag, 22. September 2018: Alltag und Musike

    20.15 Uhr: Berlin – Mitteilungen über eine Stadt
    Dokumentation, 1968, RBB-Übernahme

    21.00 Uhr: Alles weg’n de Leut
    Walter Plathe singt Couplets von Otto Reutter
    Konzert, DDR 1987

    22.00 Uhr: Folklore in Berlin
    Deutsche Liedermacher und internationale Volksmusik
    Reportage, 1971, RBB-Übernahme

    Werkverzeichnis Dokumentarfilm von Manfred Durniok
    http://www.durniok.com/pdf/documentaries.pdf
    Der bemerkenswerte Berlinfilm von 1968 fehlt in dieser Liste.

    HTML-Startseite durniok.com
    http://www.durniok.com/durniok_de.html

    #Berlin #Geschichte #Mauer

  • Rote Sonne | Rudolf Thome | 1970 (v.o.)
    http://www.spiegel.tv/videos/1547351-rote-sonne


    Film de 1970 en streaming gratuit.

    Thomas trampt von Hamburg nach München, um seine verflossene Liebe Peggy (Uschi Obermaier) wieder zu sehen. Sie nimmt ihn mit in ihre WG. Thomas ahnt jedoch nicht, dass Peggy und ihre Mitbewohnerinnen sich geschworen haben, jeden Liebhaber nach vier Tagen umzubringen.

    Eine rätselhafte Mordserie erschüttert München. Dahinter stecken vier junge Frauen, die gemeinsam in einer WG in Schwabingen wohnen. Die Opfer sind ihre Liebhaber, die sie gewissenlos umbringen, wenn die Beziehung länger als vier Tage dauert. Als nächstes planen sie ein Sprengstoffattentat auf ein Kaufhaus. Als die Anführerin Peggy plötzlich Thomas, ihren Ex-Freund aus Hamburg, mit in die WG bringt, droht ihm das gleiche Schicksal. Doch Thomas ahnt schnell, dass mit den Frauen etwas nicht stimmt.

    Rote Sonne (Film) – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Rote_Sonne_(Film)

    Langhans stellt fest, dass es im Film die Frauen waren, die ein Jahr vor der Bildung der RAF, hypothetisch im Film den Einsatz von Sprengstoff zu politischen Zwecken erwogen haben. Er bezieht sich für die Hintergrundgedanken des Filmes auf das Flugblatt von SDS-Frauen „Befreit die sozialistischen Eminenzen von ihren bürgerlichen Schwänzen“ (auf dem er als einziger männlicher SDS-Führer nicht aufgeführt war).

    Rouge sang (film, 1970)
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Rouge_sang_(film,_1970)

    Rouge sang (Rote Sonne) est une comédie dramatique allemande réalisée par Rudolf Thome. Il a été tourné en 1969 et sort en septembre 1970 sur les écrans de la République fédérale d’Allemagne. Le rôle principal féminin est attribué à la militante soixante-huitarde Uschi Obermaier et le film aborde la question de l’émancipation féminine par la violence.

    Peggy, Sylvie, Isolde et Christine, quatre jeunes et sexy colocataires d’un appartement à Munich, séduisent les hommes et les assassinent cinq jours après les avoir rencontrés. Mais quand Peggy rencontre Thomas, elle ne peut pas se résoudre à le tuer...

    #Allemagne #film #féminisme #révolution_sexuelle

    • @aude_v Ceci n’est pas une rape and revenge story comme Thriller - A Cruel Picture (1973), Death Wish (1974), Taxi Driver (1976) et Dirty Weekend (1991/1993).

      C’est un film de 1970 qui discute la question de la violence entre hommes et femmes. Sa conception de base est assez intelligente car elle tente la déclinaison d’une devise de l’époque qui est déjà une parodie de la libération sexuelle :

      Wer zweimal mit derselben pennt, gehört schon zum Establishment

      On pourrait la traduire par uniquement les bourgeois ringards couchent deux fois avec la même fille . Le film dévoile le caractère misogyne et sexiste de l’esprit du temps par sa configuration de base :

      1. Afin d’être sûr de ne pas coucher trop souvent avec la même personne, il faut l’éliminer après un période brève et déterminée.

      2. Ce rituel s’impose aux les hommes machistes mais il est pratiqué par les femmes dans la configuration présente.

      C’est une oeuvre qui profite du voyeurisme parce que tout le monde a envie de regarder Uschi Obermayer quand elle se met à poil. L’équipe de réalisation fond réflexion intellectuelle et soft-porno dans un radical chic typique pour quelques protagonistes du Neuer Deutscher Film .

      Radical Chic
      https://en.wikipedia.org/wiki/Radical_chic

      Unlike dedicated activists, revolutionaries, or dissenters, those who engage in “radical chic” remain frivolous political agitators. They are ideologically invested in their cause of choice only so far as it advances their social standing.

      Cet aspect de l’histoire est assez drôle car le réalisateur Rudolph Thome et le scénariste Hark Bohm sont devenus des réalisateurs militants sérieux (un peu social-démocrates) alors que la bande de Rainer Langhans et Uschi Obermaier ne s’est jamais attaquée à des problèmes au-delà de leur propre petit monde.

      Les grands médias aiment la révolte révoltante comme elle est présentée dans le film car elle n’a rien en commun avec les révoltes véritables après 1970 . Pourtant ce film a contribué à semer le doute et à provoquer des discussions dans l’Allemagne d l’époque encore très marquée par la mémoire occultée du fascisme et la participation de sa population entière aux masscres des juifs et des habitant des pays de l’Est.

      Rote Armee Fraktion
      https://de.wikipedia.org/wiki/Rote_Armee_Fraktion

      Die RAF, in ihrem Selbstverständnis eine kommunistische, antiimperialistische Stadtguerilla nach südamerikanischem Vorbild ähnlich den Tupamaros in Uruguay, wurde 1970 von Andreas Baader, Gudrun Ensslin, Horst Mahler, Ulrike Meinhof und weiteren Personen gegründet.

      Sponti-Sprüche
      https://de.wikipedia.org/wiki/Sponti-Spr%C3%BCche

      Arbeitskraft? Nein danke.
      Keine Macht für Niemand!

      Hark Bohm
      https://www.filmportal.de/person/hark-bohm_b67a1552073a409fa9aa3894c4e066de

      Hark Bohm im Gespräch mit Liane von Billerbeck
      https://seenthis.net/messages/712967

      Rudolf Thome
      https://seenthis.net/messages/712969

      Neuer Deutscher Film
      https://de.wikipedia.org/wiki/Neuer_Deutscher_Film

      Der Neue Deutsche Film (auch Junger Deutscher Film, abgekürzt JDF) war ein Filmstil in der Bundesrepublik Deutschland der 1960er und 1970er Jahre. Prägende Regisseure waren Alexander Kluge, Hansjürgen Pohland, Edgar Reitz, Wim Wenders, Volker Schlöndorff, Werner Herzog, Hans-Jürgen Syberberg, Werner Schroeter und Rainer Werner Fassbinder. Diese Filmemacher stellten Gesellschafts- und politische Kritik in den Mittelpunkt ihrer Arbeit, auch in Abgrenzung zu reinen Unterhaltungsfilmen. Als Autorenfilme wurden diese Produktionen in der Regel unabhängig von großen Filmstudios realisiert. Der Neue Deutsche Film wurde von der französischen „Nouvelle Vague“ und der 68er-Protestbewegung beeinflusst.

      Filmverlag der Autoren
      https://de.wikipedia.org/wiki/Filmverlag_der_Autoren

      Der Filmverlag der Autoren ist ein deutscher Filmverleih, der auch im Handel mit Filmrechten (Lizenzen) und als Filmproduzent tätig ist. Ein Schwerpunkt des Repertoires ist der Neue Deutsche Film. 1971 in München als Selbsthilfeorganisation des deutschen Autorenfilms gegründet, gehört der Filmverlag seit 1999 zur Unternehmensgruppe Studiocanal (Berlin).

      Margarethe von Trotta - Die bleierne Zeit (1981)

      Alexandra und Alexander Kluge - Gelegenheitsarbeit einer Sklavin (1973)

      Hark Bohm - Der Fall Bachmeier (1984)

    • @aude_v

      Christina Perincioli « Die Macht der Männer »
      https://www.youtube.com/watch?v=w8PBlUCaXPo

      Christina Perincioli ist eine Filmpionierin, Mitgründerin der Lesbenbewegung (1972), des Berliner Frauenzentrums (1973) und des ersten Vergewaltigungs-Notrufs (1977). Diese ersten Schritte beschreibt sie in ihrem Buch Berlin wird feministisch - Das Beste, was von der 68er Bewegung blieb .
      In ihren Spielfilmen Für Frauen – 1. Kapitel, Anna & Edith , Die Macht der Männer ist die Geduld der Frauen repräsentierte sie den frühen Frauenfilm auch international.

      Je prodite de l’occasion pour comparer la traduction automatique de DeepL ( https://www.deepl.com/translator ) avec celle de Google utilisée par #Seenthis

      Christina Perincioli
      https://de.wikipedia.org/wiki/Cristina_Perincioli

      Leben
      Cristina Perincioli wurde 1946 in Bern als Tochter des Bildhauers Marcel Perincioli und der Kunsthandweberin Hélène Perincioli geb. Jörns geboren. Sie ist Enkelin des Berner Bildhauers Etienne Perincioli. Cristina Perincioli zog 1968 zum Studium an der Deutschen Film- und Fernsehakademie nach Berlin. Hier motivierte die 68er Bewegung sie zu Dokumentarfilmen („Nixon in Berlin“, „Besetzung eines Studentenwohnheims“, „Kreuzberg gehört uns“, „Population Explosion“) und zu Spielfilmen.

      Perinciolis Kurzfilm zu einem Frauenstreik „Für Frauen 1. Kapitel“ von 1971 ist einer der ersten „Frauenfilme“ der Zeit und wird in Oberhausen im selben Jahr mit dem 1. Preis der Filmjournalisten ausgezeichnet. Harun Farocki schreibt: „Zu sehen ist der Spaß, den befreiende Erkenntnis macht.“[1] Der Film wurde 2014 in einer Kurzfilmanthologie zu fünf Jahrzehnten „Frauenfilm“ wieder veröffentlicht.[2] Eleonor Benítez hebt in der Frankfurter Allgemeinen Zeitung die vernachlässigte zeitgeschichtliche Bedeutung der Kinopionierinnen auch für den Jungen Deutschen Film hervor. Sie sieht Perinciolis „Für Frauen 1. Kapitel“ als paradigmatisch für ein Thema, das alle Filmemacherinnen dieser Ära verbindet:

      „Wenn sich aber ein Thema in zahlreichen weiblichen Filmstimmen Gehör verschafft, dann das des Strebens nach Freiheit. In dem witzigen Film von Cristina Perincioli, den sie zusammen mit Verkäuferinnen und Hausfrauen drehte, erheben sich Supermarktangestellte geschlossen gegen männliche Bevormundungs- und Überwachungsstrategien. Bedenkt man, dass Frauen bis 1977 in der BRD nicht ohne Zustimmung des Ehemanns erwerbstätig sein durften, bildet Perinciolis Film von 1971 ein revolutionäres Stück Zeitgeschichte ab.“
      1969 war Perincioli aktiv beim Anarcho-Blatt Agit 883, dann 1972 Mitgründerin der Lesbenbewegung und 1973 des ersten Berliner Frauenzentrums in der Kreuzberger Hornstrasse 2, und 1977 des Frauennotrufs (West-)Berlin. 1975 schrieb sie zusammen mit ihrer Lebensgefährtin Cäcilia Rentmeister das Drehbuch für den ersten Spielfilm zu einer lesbischen Beziehung im deutschen Fernsehen („Anna und Edith“, ZDF).

      1977 gründete Perincioli die Sphinx Filmproduktion GmbH mit Marianne Gassner als Produktionsleiterin. Die Dokufiction „Die Macht der Männer ist die Geduld der Frauen“ (ZDF 1978) wird auch international aufgeführt. Aus einem Interview mit Perincioli:

      „Als ich 1974 in England die ersten Häuser für misshandelte Frauen sah, begann ich in Berlin Frauen zu Gewalt von Partnern zu befragen und fand ein nie geahntes Ausmaß an Misshandlung. Wir – Frauen aus der Frauenbewegung und engagierte Journalistinnen – fingen nun an, die Öffentlichkeit zu mobilisieren mit Hörfunk- und Fernsehsendungen und dem Buch Gewalt in der Ehe. 1976 entstand in Westberlin das erste Frauenhaus. 1978 drehten wir diesen Film zusammen mit Frauen aus diesem Frauenhaus. International erfolgreich verstärkte der Film die Frauenhausbewegung in Deutschland, Australien, Kanada, den USA, der Schweiz, Österreich, Schweden und Indien. Der Titel wurde zur Parole.“
      Michael Althen beschrieb 2008 in der Frankfurter Allgemeinen Zeitung Funktionen und Wirkungen des Films als eine „… Dokufiction, in der Bewohnerinnen des ersten Berliner Frauenhauses ihre Erfahrungen mit häuslicher Gewalt nachstellen und kommentieren. Es geht dabei nicht ums Einzelschicksal, sondern um die wiederkehrenden Muster von Gewalt und Reue auf Männerseite, Schuldgefühl und Scham auf Frauenseite, um demütigende Erfahrungen auf Ämtern und den ganzen Teufelskreis sozialer und emotionaler Abhängigkeiten. Der Film ist am stärksten, wenn er das Stillschweigen des sozialen Umfelds und die mangelnde Zivilcourage artikuliert. Den prügelnden Mann spielt übrigens Eberhard Feik, der spätere Assistent von Kommissar Schimanski.“

      Ab den 70er Jahren publizierte Perincioli auch als Hörfunk- und Buchautorin und trug damit – angeregt durch Recherchen in London und Harrisburg/USA – zur öffentlichen Debatte und Bewußtseinsbildung über Häusliche Gewalt sowie zu Risiken der Atomenergie bei. Ab 1990 entwickelte sie interaktives Story-Telling, darauf basierend ein erstes Adventure mit interaktivem Video (1992), und gestaltete sieben Computer-Lernspiele für den öffentlichen Raum („Laut ist out“, „Ach die paar Tropfen“, „Weiblich, männlich – und dazwischen“, „Kulturtester Rebellion“).

      Sie lehrte Regie am KIMC Kenya Institute of Mass Communication in Nairobi und der Hochschule der Künste Berlin, Computeranimation an der Deutschen Film- und Fernsehakademie, der Filmhochschule Babelsberg und der Merz Akademie Stuttgart, und Multimediadesign an den Schulen für Gestaltung in Bern und Base bis 1997.

      Ab Ende der 1990er Jahre wagte sie sich an „heikle Themen“ wie sexuelle und häusliche Gewalt und schuf – unter Anwendung nutzerfreundlicher Methoden wie „Entdeckendes, selbstgesteuertes Lernen“ – preisgekrönte Webplattformen für die Fortbildung, Opferhilfe und Prävention, mit Förderung durch die Deutsche Bundesstiftung Umwelt, die Stiftung Deutsche Jugendmarke, das Daphne-Programm der Europäischen Kommission und das Bundesministeriums für Familie, Senioren, Frauen und Jugend BMFSFJ.

      2015 erschien Perinciolis Buch „Berlin wird feministisch. Das Beste, was von der 68er Bewegung blieb“. Am Beispiel Berlins erzählt sie die furiosen Jahre der Neuen Frauen- und Lesbenbewegung 1968–1974 aus eigenem Erleben und lässt 28 weitere Akteurinnen zu Wort kommen. Den Beginn der Neuen Frauenbewegung beschreibt sie dabei als Beispiel, wie eine Modernisierung der Gesellschaft „von unten“ initiiert wurde und nennt Autonomie und Basisdemokratie als Voraussetzungen. In einer einstündigen Reportage von Vera Block im rbb-Rundfunk 2015 schildert Perincioli auch die kaum bekannte Tatsache, inwiefern auch Anarchismus eine Vorbedingung zu einer autonomen Frauenbewegung war.

      Für Sonya Winterberg wird durch das Buch deutlich, dass die neue deutsche Frauenbewegung ’viele Mütter’ hat:

      „Perincioli…[gibt] ausführlich und höchst unterhaltsam Einblicke in die frühe Lesben- und Frauenbewegung […] Undogmatisch, basisdemokratisch, autonom und höchst kreativ entstanden so lebendige Projekte, Frauenzentren und Lesbengruppen, die zum Teil bis heute Bestand haben. Wenn Perincioli vom ’Besten, was von der 68er Bewegung blieb’ schreibt, ist dies keine Übertreibung […] Wer immer noch glaubt, dass Alice Schwarzer die Mutter der neuen Frauen- und Lesbenbewegung war, tut gut daran, hier einen Blick hinter die Kulissen zu werfen.“
      Den neuen ’Blick hinter die Kulissen’ betont auch Claire Horst:

      „Was für eine Biografie! Cristina Perincioli kann die Entstehungsgeschichte der zweiten deutschen Frauenbewegung aus erster Hand erzählen, denn sie war von Anfang an dabei […] Grabenkämpfe und Konflikte innerhalb der Bewegung werden also nicht ausgespart… [Was die Biografie auch] mit Gewinn lesen lässt, ist die selbstkritische und oft humorvolle Haltung, die die Autorin heute einnimmt, ohne sich aber von den ehemaligen Zielen zu distanzieren.“ Horst hebt auch den Berlin-Bezug hervor: „Das Buch kann auch als Kulturgeschichte des alternativen Berlins der 60er und 70er Jahre gelesen werden.“

      Auszeichnungen
      1972 erhielt Perincioli auf den Informationstagen mit Filmen aus der Bundesrepublik Deutschland und West-Berlin bei den Kurzfilmtagen Oberhausen den „1. Preis der Jury der Arbeitsgemeinschaft der Filmjournalisten“ für ihren Abschlussfilm an der dffb (Deutsche Film- und Fernsehakademie Berlin) „Für Frauen 1. Kapitel“. Gwendolyn Audrey Foster zu ihren Regiearbeiten: „Cristina Perincioli is an important figure in the tradition of Straub, Huillet and Fassbinder …“ (in „Women Film Directors. An International Guide …“ 1995, p. 306). Bestbewertung für die CD-ROM „Save Selma“ (Präventionssoftware für Kinder/Adventure zu sexuellem Missbrauch) in Feibels Kindersoftwareratgeber 1999 und 2000.[13] Für ihre Webplattform „www.4uman.info“ zur Gewaltprävention in Partnerschaften erhielt Perincioli auf dem 6. Berliner Präventionstag 2005 den Preis der Securitas für den „innovativen Charakter der Website in der Gewaltprävention“. Ihre Website „www.spass-oder-gewalt.de“ zur Prävention sexualisierter Gewalt unter Jugendlichen erhielt 2007 den Thüringer Frauenmedienpreis.

      Werke
      Filme

      –—début de la traduction DeepL---
      existence
      Cristina Perincioli est née à Berne en 1946, fille du sculpteur Marcel Perincioli et de la tisseuse Hélène Perincioli née Jörns. Elle est la petite-fille du sculpteur bernois Etienne Perincioli. Cristina Perincioli s’installe à Berlin en 1968 pour étudier à l’Académie allemande du cinéma et de la télévision. C’est là que le mouvement de 1968 les a poussés à faire des films documentaires ("Nixon à Berlin", « Occupation d’une résidence étudiante », « Kreuzberg nous appartient », « Population Explosion ») et des longs métrages.

      Le court métrage de Perincioli pour une grève des femmes « Für Frauen 1. Kapitel » de 1971 est l’un des premiers « films féminins » de l’époque et a reçu la même année à Oberhausen le premier prix des journalistes de cinéma. Harun Farocki écrit : « Seeing is the fun that liberating knowledge makes »[1] Le film a été réédité en 2014 dans une anthologie de courts métrages sur cinq décennies de « Frauenfilm »[2] Eleonor Benítez souligne dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung la signification historique contemporaine négligée des pionnières du cinéma, également pour le jeune film allemand. Pour elle, « For Women Chapter 1 » de Perincioli est le paradigme d’un thème qui unit toutes les cinéastes féminines de cette époque :

      "Mais si un sujet est entendu dans de nombreuses voix féminines, c’est bien celui de la poursuite de la liberté. Dans le film drôle de Cristina Perincioli, qu’elle a tourné avec des vendeurs et des ménagères, les employés des supermarchés sont unis contre le paternalisme masculin et les stratégies de surveillance. Considérant que jusqu’en 1977, les femmes n’étaient pas autorisées à travailler en Allemagne sans le consentement de leur mari, le film de Perincioli de 1971 dépeint une partie révolutionnaire de l’histoire contemporaine.
      En 1969, Perincioli a été active dans le journal anarchique Agit 883, puis, en 1972, co-fondatrice du mouvement lesbien et, en 1973, du premier centre de Berlin pour femmes à Kreuzberger Hornstrasse 2, et en 1977, de l’Appel d’urgence des femmes (Berlin-Ouest). En 1975, avec sa partenaire Cäcilia Rentmeister, elle a écrit le scénario du premier long métrage sur une relation lesbienne à la télévision allemande ("Anna und Edith", ZDF).

      En 1977, Perincioli fonde Sphinx Filmproduktion GmbH avec Marianne Gassner comme directrice de production. La docufiction « Die Macht der Männer ist die Geduld der Frauen » (ZDF 1978) est également présentée au niveau international. D’après une interview avec Perincioli :

      « Lorsque j’ai vu les premiers foyers pour femmes victimes de violence en Angleterre en 1974, j’ai commencé à poser des questions aux femmes sur la violence conjugale à Berlin et j’ai constaté un niveau de violence sans précédent. Nous - des femmes du mouvement des femmes et des journalistes engagés - avons maintenant commencé à mobiliser le public avec des émissions de radio et de télévision et le livre Violence in Marriage. Le premier refuge pour femmes a été construit à Berlin-Ouest en 1976. En 1978, nous avons tourné ce film avec des femmes de ce refuge pour femmes. Succès international, le film a renforcé le mouvement des femmes en Allemagne, en Australie, au Canada, aux Etats-Unis, en Suisse, en Autriche, en Suède et en Inde. Le titre est devenu le slogan. »
      En 2008, Michael Althen a décrit les fonctions et les effets du film dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung comme une « .... docufiction dans laquelle les résidentes du premier refuge pour femmes à Berlin reconstituent et commentent leurs expériences de violence domestique. Il ne s’agit pas du destin individuel, mais des schémas récurrents de violence et de remords du côté masculin, des sentiments de culpabilité et de honte du côté féminin, des expériences humiliantes dans les bureaux et tout le cercle vicieux des dépendances sociales et émotionnelles. Le film est plus fort lorsqu’il articule le silence de l’environnement social et le manque de courage civil. Le batteur est joué par Eberhard Feik, devenu plus tard l’assistant du commissaire Schimanski ».

      A partir des années 1970, Perincioli a également publié comme auteur de livres et de radio, contribuant ainsi au débat public et à la sensibilisation sur la violence domestique et les risques de l’énergie nucléaire - inspiré par la recherche à Londres et à Harrisburg/USA. A partir de 1990, elle a développé un conte interactif, basé sur un premier jeu d’aventure avec vidéo interactive (1992), et a conçu sept jeux d’apprentissage sur ordinateur pour l’espace public ("Laut ist out", « Ach die paar Tropfen », « Weiblich, männlich - und dazwischen », « Kulturtester Rebellion »).

      Elle a enseigné la mise en scène au KIMC Kenya Institute of Mass Communication à Nairobi et à la Hochschule der Künste Berlin, l’animation par ordinateur à la Deutsche Film- und Fernsehakademie, la Filmhochschule Babelsberg et la Merz Akademie Stuttgart, et le design multimédia à la Schulen für Gestaltung à Berne et à la Base jusqu’en 1997.

      Dès la fin des années 1990, elle s’est lancée dans des « questions sensibles » telles que la violence sexuelle et domestique et a créé des plates-formes web primées pour la formation, l’aide aux victimes et la prévention - en utilisant des méthodes conviviales telles que « Discovering, self-directed learning » - avec le soutien de la Deutsche Bundesstiftung Umwelt, la Stiftung Deutsche Jugendmarke, le programme Daphne de la Commission européenne et le ministère fédéral des Affaires familiales, des Personnes âgées, des Femmes et de la Jeunesse.

      Le livre de Perincioli « Berlin wird feministisch. Le meilleur qui reste du mouvement de 1968 ». Prenant Berlin comme exemple, elle raconte les années furieuses du New Women’s and Lesbian Movement 1968-1974 à partir de sa propre expérience et laisse la parole à 28 autres actrices. Elle décrit le début du Nouveau mouvement des femmes comme un exemple de la manière dont une modernisation de la société a été initiée « d’en bas » et cite l’autonomie et la démocratie de base comme conditions préalables. Dans un rapport d’une heure de Vera Block sur rbb-Rundfunk 2015, Perincioli décrit également le fait peu connu dans quelle mesure l’anarchisme était une condition préalable à un mouvement autonome de femmes.

      Pour Sonya Winterberg, le livre montre clairement que le nouveau mouvement des femmes allemandes a’beaucoup de mères’ :

      « Perincioli....[donne] un aperçu détaillé et très divertissant du mouvement des premières lesbiennes et des femmes (...) Des projets non dogmatiques, démocratiques de base, autonomes et très créatifs, des projets vivants, des centres de femmes et des groupes de lesbiennes ont vu le jour, dont certains existent encore aujourd’hui. Si Perincioli écrit » le meilleur qui reste du mouvement 68 « , ce n’est pas exagéré (...) Quiconque croit encore qu’Alice Schwarzer était la mère du nouveau mouvement des femmes et des lesbiennes ferait bien de jeter un coup d’œil dans les coulisses ».
      Claire Horst met également l’accent sur le nouveau « regard derrière les coulisses » :

      « Quelle biographie ! Cristina Perincioli peut raconter l’histoire du deuxième mouvement des femmes allemandes de première main, car elle était là depuis le début[&] la guerre des tranchées et les conflits au sein du mouvement ne sont donc pas épargnés....[Ce que la biographie permet aussi] de lire avec profit est l’attitude autocritique et souvent humoristique que l’auteur adopte aujourd’hui sans se distancer de ses anciens objectifs... ». Horst souligne également la référence à Berlin : « Le livre peut aussi être lu comme histoire culturelle de Berlin alternative dans les années 1960 et 1970 ».

      distinctions
      En 1972, Perincioli a reçu le « 1er prix du jury de l’Association des journalistes de cinéma » pour son film final à la dffb (Deutsche Film- und Fernsehakademie Berlin) « Für Frauen 1. Kapitel » pendant les journées d’information avec des films de la République fédérale d’Allemagne et de Berlin-Ouest au Kurzfilmtage Oberhausen. Gwendolyn Audrey Foster sur sa mise en scène : « Cristina Perincioli est une figure importante dans la tradition de Straub, Huillet et Fassbinder... ». (dans « Women Film Directors. An International Guide .... » 1995, p. 306). La meilleure note pour le CD-ROM « Save Selma » (logiciel de prévention pour enfants/aventure sur les abus sexuels) dans le guide Feibel 1999 et 2000[13] Perincioli a reçu le prix Securitas pour le « caractère innovant du site Web sur la prévention de la violence » pour sa plate-forme Web « www.4uman.info » pour la prévention de la violence en partenariat lors de la 6e Journée de la prévention de Berlin 2005. Son site web « www.spass-oder-gewalt.de » pour la prévention de la violence sexuelle chez les jeunes a reçu le Prix des médias des femmes thuringiennes en 2007.

      textes
      films cinématographiques
      –— fin de la traduction DeepL---

      #traduction_automatique #film #cristina_perincioli