Je crois qu’il se passe quelque chose d’important par ici :
▻https://twitter.com/jack/status/1026984242893357056
Pas seulement parce que le patron de twitter explique pourquoi #twitter ne va pas clôturer le compte de #Alex_Jones ni de #Infowars, contrairement à la plupart des autres réseaux sociaux, mais parce qu’il réaffirme le besoin de confronter les opinions et surtout de contrer les fausses informations de manière visible, chose que peut se permettre un twitter où les commentaires sont beaucoup plus lus qu’ailleurs...
If we succumb and simply react to outside pressure, rather than straightforward principles we enforce (and evolve) impartially regardless of political viewpoints, we become a service that’s constructed by our personal views that can swing in any direction. That’s not us.
Accounts like Jones’ can often sensationalize issues and spread unsubstantiated rumors, so it’s critical journalists document, validate, and refute such information directly so people can form their own opinions. This is what serves the public conversation best.
Je suis tombée là dessus grâce à un tweet de #Olivier_Tesquet qui fait un article super complet pour telerama sur la descente aux enfers des #GAFAM de Alex Jones :
La “Big Tech” à l’épreuve du roi des conspirationnistes
En privant Alex Jones, conspirationniste en chef de l’extrême-droite américaine, de ses comptes Facebook, Spotify ou Youtube, les géants de l’Internet prennent le risque d’ouvrir un débat sur la privatisation de la liberté d’expression.
▻https://www.telerama.fr/medias/la-big-tech-a-lepreuve-du-roi-des-conspirationnistes,n5756062.php
#liberte_d_expression #conspirationnisme #complotisme #extreme_droite ...