Effectivement, c’est du lourd !
– la femme qui traine pour faire du shopping tirée par la main de « son homme »
– le slogan « see buy fly » jouant, comme toujours sur les pulsions, jeveux ce que je vois, je veux tout ce que l’on me présente et puis après je m’en vais ailleurs ne regardant pas les conséquence de mes actes de consommation
– la transformtion en espace de consommation de tous les espaces de vie (les gare de train, de RER, les aéroports, la dernière salle des musées et salles d’expositions) faisant de tout espaces collectifs des supermarchés, le but n’étant plus le service proposer (transporter des gens) mais de les faire converger dans un espace où ils devront consommer.
Il ne doit plus y avoir de temps mort (déjà bien grignotés par l’usage des téléphones portables), il faut que l’individu soit constamment sous pression pour consommer… « je consomme donc je suis »