Si j’ai un jour une raison d’y allé j’irais voire une sage-femme ou une généraliste.
edit - Une nouvelle façon de refuser l’accès à l’information aux femmes : la tokophobie - ou phobie de la grossesse et de l’accouchement.
Les réseaux sociaux sont jugés responsable d’une épidémie de tokophobie liée au fait que les femmes ont accès à de l’information sur la grossesse et l’accouchement et qui donc une fois informée (enfin un peu loyalement et non plus à base de « plus beau jour de ta vie ») ne sont pas très chaudes pour se faire traiter de genisse par le corps médicale et se retrouvé avec la chatte recousu avec « le point du mari ».
Libé, le Gardian sont parti en croisade contre le droit des femmes à être informé et à choisir de ne pas se faire dépossédé de leur corps par une éjaculat. Les textes sont alarmiste alors qu’on devrait se réjouir qu’enfin 14% des femmes accèdent un peu à la liberté de pas enfanter. Le libre choix des femmes est pathologisé, on parle d’une phobie, alors qu’on peu simplement envisagé ceci comme la réaction rationnelle à une information loyal. Un foetus ca te chie et pisse dans le sang pendant des mois, ca te déchire les entrailles en sortant quant ca te tue pas et tout ce que les femmes ont à y gagné c’est de devenir des servantes invisibles, méprisées.
▻https://www.liberation.fr/france/2018/09/15/les-reseaux-sociaux-contribuent-ils-a-la-peur-d-accoucher_1678820
La tokophobie, c’est la peur panique de la grossesse et de l’accouchement. Selon une étude britannique publiée en mars, regroupant la trentaine d’études à ce sujet, elle affecterait 14% des femmes. L’université de Hull en Angleterre, a consacré un débat à cette maladie mardi, lors du British Science Festival, événement national qui réunissait scientifiques et universitaires.
Parmi eux, Catriona Jones, maître conférencière à Hull et sage-femme, a notamment mis en cause les réseaux sociaux, comme le rapporte le Guardian jeudi. « Il suffit de taper le mot "accouchement" sur les moteurs de recherche pour tomber sur un tsunami d’horreurs », a-t-elle expliqué. Catriona Jones pointe du doigt le plus populaire réseau de forums dédiés à la famille au Royaume-Uni, Mumsnet : « Sur ce forum, il y a des femmes qui racontent de véritables bains de sang, ce qui peut être assez effrayant pour les autres femmes. » Avant de nuancer : « Je ne dirais pas que les réseaux sociaux poussent les femmes à avoir peur d’accoucher, mais qu’ils y contribuent. »
La tokophobie peut être liée à de nombreux facteurs comme des traumatismes liés à un accouchement précédent, ou développés dans l’enfance après, par exemple, un abus sexuel… Mais la cause culturelle de cette phobie est de plus en plus prise en considération, à mesure que des mères n’hésitent plus à raconter minute par minute leur accouchement, sur les réseaux sociaux, forums, émissions de télé-réalité. « Les histoires partagées dans des environnements sains peuvent être informatives, mais certaines femmes sont prédisposées à développer une phobie liée à des histoires extraites de leur contexte… » estime Louise Kenny, qui enseigne à l’université de Liverpool.
Reste maintenant à la science, qui ne s’est penchée que récemment sur la tokophobie, à déterminer avec exactitude si le phénomène est réellement en expansion.
J’avoue que ce qui me surprend et me semble pathologique c’est que des femmes acceptent encore aujourd’hui d’enfanter.
ici le texte du gardian ; ▻https://www.theguardian.com/lifeandstyle/2010/mar/04/i-have-phobia-of-pregnancy
on trouve des ref à cet article dans la press gratuite, grand publique et « féminine », slate, femme actuelle, terra femina... histoire que les femmes reçoivent bien l’info que ne pas vouloir d’enfants est une maladie.
#tokophobie