Contre le chaos de l’impérialisme en putréfaction, le programme de lutte de la classe ouvrière

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  • Contre le chaos de l’impérialisme en putréfaction, le programme de lutte de la classe ouvrière |
    Le mensuel de #Lutte_Ouvrière
    https://mensuel.lutte-ouvriere.org//2018/09/16/contre-le-chaos-de-limperialisme-en-putrefaction-le-programm

    Il y a un lien profond, organique, entre les différents événements d’une situation mondiale chaotique, aussi bien dans son économie que dans les relations internationales et dans l’évolution politique des puissances impérialistes, et jusque dans l’incapacité de l’humanité à faire face aux conséquences écologiques de sa propre activité, du réchauffement de la planète à la transformation des océans en poubelles.

    – Lutte entre capitalistes pour la plus-value…
    – … sur fond de guerre de classe impitoyable contre les exploités
    – Les conflits militaires, manifestation des guerres économiques
    – La nécessité d’un programme de classe pour les exploités et d’un parti pour l’incarner

    #crise #imperialisme #capitalisme #lutte_de_classe

    #podcast https://audio.lutte-ouvriere.org/audiolo/podcast/ldc

  • Contre le #chaos de l’impérialisme en putréfaction, le programme de lutte de la classe ouvrière | Le mensuel de #Lutte_Ouvriere
    https://mensuel.lutte-ouvriere.org//2018/09/16/contre-le-chaos-de-limperialisme-en-putrefaction-le-programm

    Il y a un lien profond, organique, entre les différents événements d’une situation mondiale chaotique, aussi bien dans son économie que dans les relations internationales et dans l’évolution politique des puissances impérialistes, et jusque dans l’incapacité de l’humanité à faire face aux conséquences écologiques de sa propre activité, du réchauffement de la planète à la transformation des océans en poubelles.
    La réalité qui s’exprime par tous ces faits et événements multiformes, c’est la présente #crise de l’#économie_capitaliste mondiale. Nous parlons de crise actuelle, car les crises rythment périodiquement l’économie capitaliste depuis ses débuts et constituent en quelque sorte son régulateur normal.

    #Trotsky, parlant des crises «  ordinaires  » du capitalisme, déclarait, en juin 1921, lors du troisième congrès de l’Internationale communiste  : «  Tant que le #capitalisme n’aura pas été brisé par une révolution prolétarienne, il vivra les mêmes périodes de hausse et de baisse, il connaîtra les mêmes cycles. Les crises et les améliorations sont propres au capitalisme dès le jour de sa naissance et l’accompagneront jusqu’à sa tombe.  »

    Mais il constatait également  : «  Pendant les périodes de développement rapide du capitalisme, les crises sont courtes et ont un caractère superficiel (…). Pendant les périodes de décadence, les crises durent longtemps et les relèvements sont momentanés, superficiels et basés sur la spéculation.  »

    L’évolution de fond, le poids déterminant de la finance, la «  transformation des actionnaires en parasites sociaux  » (Trotsky, Le #marxisme et notre époque, 1939), la décomposition de l’économie capitaliste ne datent certes pas d’aujourd’hui. La financiarisation de l’économie non plus, bien que la crise actuelle en souligne les dégâts, avec netteté.

    Ce constat avait amené Lénine, il y a un siècle déjà, à parler de l’#impérialisme comme du «  stade sénile  » du capitalisme, et Trotsky, dans le Programme de transition, à parler de «  l’agonie du capitalisme  ».

    Cette agonie dure bien plus longtemps que Lénine et Trotsky ne l’avaient espéré. Mais...