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  • #Nantes : le gué Moreau se rappelle au souvenir de Kaufman & Broad, qui n’a pas écouté les alertes des riverains, entraînant par fissures la formation d’un fond de lac après avoir rendu un immeuble inhabitable... La course aux profits immobiliers mène les entrepreneurs aux pires décisions, décidément.
    Photo : > http://www.flickr.com/photos/valkphotos/31346579551

    Flickr

    Lire plus : http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-nantes.-travaux-a-l-arret-rue-de-la-carterie-un-inquietant-

    #travaux

  • Nantes Révoltée - Exclusif : notre #enquête sur le #journalisme...
    https://www.facebook.com/Nantes.Revoltee/photos/a.336512019718311.70910.294803323889181/1011968875505952/?type=3

    Exclusif : notre enquête sur le journalisme policier

    Tu as peut-être vu passer dans Ouest France, quotidien local de référence, un article sur Nantes Révoltée. Ta page préférée y était accusée – sans rire ! – d’être un groupuscule paramilitaire composé de « lieutenants » appartenant au « bras armé de l’ultra gauche qui tire les ficelles » des manifestations. Rien que ça ! Dans le registre des flatteries, la page est également présentée comme donnant « le ton » des jolies #manifestations qui secouent la ville depuis deux mois.

    Ne te méprends pas, il ne s’agit pas d’une #interview naïvement accordée à la presse dominante mais un test. Une #expérience sociale et politique menée par les petits filous de l’équipe de Nantes Révoltée. En effet, Ouest France est régulièrement accusé d’être un journal au service de la #police. N’écoutant que notre courage, nous avons voulu obtenir une (nouvelle) confirmation. Voici notre enquête.

    Pendant deux semaines, Laura Jarry, journaliste chez Ouest France encombre la messagerie de Nantes Révoltée en ces termes : « je souhaite réaliser un papier sur les pages nantaises en ligne de lutte et #résistance », elle ne reçoit pour seule réponse qu’un silence gêné.
    Presque quotidiennement, alors qu’elle n’obtient aucun retour, la journaliste harcèle notre équipe avec des messages mielleux de ce type : « Nous tenons véritablement à avoir une discussion avec vous : votre présence en ligne est plus qu’importante aux yeux des Nantais, notamment de la jeune génération ». Après une série d’échecs, la même journaliste joue la carte de la pluralité : « Je me permets d’insister. Souhaitant donner la parole à tous, je me suis adressée à un certain nombre de groupes actifs sur Nantes » et insiste sur son « #éthique et [sa] volonté de donner la parole à chacun. »

    En guise de test, nous réclamons un droit de regard sur ce qui sera publié, et l’anonymat des témoignages. Malgré ses promesses, la journaliste piétinera immédiatement ces conditions en tentant lourdement et sans succès d’obtenir des noms (pourquoi ?), et en refusant toute relecture de son article. « Justice et vérité », tel est la devise figurant quotidiennement en « une » du journal.

    Le rendu final est donc édifiant. Au delà des attentes. Nantes Révoltée, qui rappelons le n’est qu’un média relayant les luttes locales, est transformé artificiellement en secte armée « attisant les tensions », manipulant les lycéens et « organisant » les émeutes. Comme si la jeunesse de Nantes n’était pas capable de se révolter toute seule !

    Bien entendu, à aucun moment la question des #violences policières (toujours mises entre guillemets) ou de l’#injustice sociale – à l’origine de toutes les confrontations – n’est posée. Nous sommes plus proches de la farce que de « l’investigation ». La journaliste, prise dans on ne sait quel délire malsain, va jusqu’à accuser les rédacteurs de Nantes Révoltée de rester « trois rangs derrière » dans les cortèges et de « contrôler l’ensemble » des manifestants ! Un tel niveau de #mythomanie est vertigineux ! On ne sait s’il faut rire ou pleurer. Faut-il expliquer aux journalistes qu’une manifestation ne fonctionnera jamais comme les escadrons hiérarchisés et casqués de leurs amis policiers ?

    Dans cet article d’une insondable médiocrité, rien ou presque ne reste de la longue interview gracieusement offerte à cette journaliste à la #déontologie impeccable. Toutes les citations, ou presque, sont tronquées. Pire, la majorité de l’article relaie, sans aucun recul, la parole d’un policier anonyme qui peut déballer ses fantasmes délirants, à base de « lieutenants » qui enverraient des lycéens « en première ligne face aux forces de l’ordre ». L’affaire est entendue, il ne s’agit donc pas d’un article sur les « pages de lutte et de résistance » mais bien d’un dossier à charge, dicté par la police de Nantes.

    Pire encore, sur la même page, un groupuscule néo-nazi – Défend Naoned – composé d’une dizaine de vendéens et de supporters racistes se voit offrir une tribune complète sans aucun recul critique. Ainsi, la page d’extrême droite se voit attribuer un article rien qu’à lui : plus de 925 caractères de citations – contre 576 caractères pour Nantes Révoltée – , sans aucune contradiction apportée à son discours. Complaisance totale. Salir celles et ceux qui luttent, privilégier l’extrême droite : la ligne éditoriale du journal est on ne peut plus claire.

    Cette expérimentation politique et sociale sur le journalisme nantais s’est donc révélée concluante, et confirme une vieille leçon : ne jamais répondre à la presse policière. Merci quand même à Laura Jarry : on a bien rigolé !

    Heureusement, la vraie vie est loin des colonnes de Ouest-France. Développons nos propres #médias, construisons des luttes autonomes !

    –—

    Juste pour rire, l’article complet ici : http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-comment-nantes-revoltee-donne-le-ton-des-manifs_fil-2972256

    #mensonge #manipulation #Les_Affabulateurs #propagande #diffamation

  • Exclusif : notre enquête sur le journalisme policier
    par Nantes Révoltée
    (libéré de facebook)
    https://www.facebook.com/Nantes.Revoltee/photos/a.336512019718311.70910.294803323889181/1011968875505952

    Tu as peut-être vu passer dans Ouest France, quotidien local de référence, un article sur Nantes Révoltée. Ta page préférée y était accusée – sans rire ! – d’être un groupuscule paramilitaire composé de « lieutenants » appartenant au « bras armé de l’ultra gauche qui tire les ficelles » des manifestations. Rien que ça ! Dans le registre des flatteries, la page est également présentée comme donnant « le ton » des jolies manifestations qui secouent la ville depuis deux mois.

    Ne te méprends pas, il ne s’agit pas d’une interview naïvement accordée à la presse dominante mais un test. Une expérience sociale et politique menée par les petits filous de l’équipe de Nantes Révoltée. En effet, Ouest France est régulièrement accusé d’être un journal au service de la police. N’écoutant que notre courage, nous avons voulu obtenir une (nouvelle) confirmation. Voici notre enquête.

    Pendant deux semaines, Laura Jarry, journaliste chez Ouest France encombre la messagerie de Nantes Révoltée en ces termes : « je souhaite réaliser un papier sur les pages nantaises en ligne de lutte et résistance », elle ne reçoit pour seule réponse qu’un silence gêné.
    Presque quotidiennement, alors qu’elle n’obtient aucun retour, la journaliste harcèle notre équipe avec des messages mielleux de ce type : « Nous tenons véritablement à avoir une discussion avec vous : votre présence en ligne est plus qu’importante aux yeux des Nantais, notamment de la jeune génération ». Après une série d’échecs, la même journaliste joue la carte de la pluralité : « Je me permets d’insister. Souhaitant donner la parole à tous, je me suis adressée à un certain nombre de groupes actifs sur Nantes » et insiste sur son « éthique et [sa] volonté de donner la parole à chacun. »

    En guise de test, nous réclamons un droit de regard sur ce qui sera publié, et l’anonymat des témoignages. Malgré ses promesses, la journaliste piétinera immédiatement ces conditions en tentant lourdement et sans succès d’obtenir des noms (pourquoi ?), et en refusant toute relecture de son article. « Justice et vérité », tel est la devise figurant quotidiennement en « une » du journal.

    Le rendu final est donc édifiant. Au delà des attentes. Nantes Révoltée, qui rappelons le n’est qu’un média relayant les luttes locales, est transformé artificiellement en secte armée « attisant les tensions », manipulant les lycéens et « organisant » les émeutes. Comme si la jeunesse de Nantes n’était pas capable de se révolter toute seule !

    Bien entendu, à aucun moment la question des violences policières (toujours mises entre guillemets) ou de l’injustice sociale – à l’origine de toutes les confrontations – n’est posée. Nous sommes plus proches de la farce que de « l’investigation ». La journaliste, prise dans on ne sait quel délire malsain, va jusqu’à accuser les rédacteurs de Nantes Révoltée de rester « trois rangs derrière » dans les cortèges et de « contrôler l’ensemble » des manifestants ! Un tel niveau de mythomanie est vertigineux ! On ne sait s’il faut rire ou pleurer. Faut-il expliquer aux journalistes qu’une manifestation ne fonctionnera jamais comme les escadrons hiérarchisés et casqués de leurs amis policiers ?

    Dans cet article d’une insondable médiocrité, rien ou presque ne reste de la longue interview gracieusement offerte à cette journaliste à la déontologie impeccable. Toutes les citations, ou presque, sont tronquées. Pire, la majorité de l’article relaie, sans aucun recul, la parole d’un policier anonyme qui peut déballer ses fantasmes délirants, à base de « lieutenants » qui enverraient des lycéens « en première ligne face aux forces de l’ordre ». L’affaire est entendue, il ne s’agit donc pas d’un article sur les « pages de lutte et de résistance » mais bien d’un dossier à charge, dicté par la police de Nantes.

    Pire encore, sur la même page, un groupuscule néo-nazi – Défend Naoned – composé d’une dizaine de vendéens et de supporters racistes se voit offrir une tribune complète sans aucun recul critique. Ainsi, la page d’extrême droite se voit attribuer un article rien qu’à lui : plus de 925 caractères de citations – contre 576 caractères pour Nantes Révoltée – , sans aucune contradiction apportée à son discours. Complaisance totale. Salir celles et ceux qui luttent, privilégier l’extrême droite : la ligne éditoriale du journal est on ne peut plus claire.

    Cette expérimentation politique et sociale sur le journalisme nantais s’est donc révélée concluante, et confirme une vieille leçon : ne jamais répondre à la presse policière. Merci quand même à Laura Jarry : on a bien rigolé !

    Heureusement, la vraie vie est loin des colonnes de Ouest-France. Développons nos propres médias, construisons des luttes autonomes !

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    Juste pour rire, l’article complet ici : http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-comment-nantes-revoltee-donne-le-ton-des-manifs_fil-2972256

    #medias #automedias

  • #élections vs #représentatitivité :
    le titre : Karine Daniel (PS) élue avec 55,44 % des voix.
    l’info : 25% de votes dont 12% de vote blanc.
    le décalage :

    Karine Daniel n’aura été devancée que dans la partie rurale de la circonscription. « C’est conforme à nos prévisions », commentait la candidate, avant même que soient connus les résultats des villes où l’on votait plus tardivement.

    http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-legislative-partielle.-karine-daniel-ps-elue-avec-55-44-des

  • Nantes : Huit militants tentant d’ouvrir un squat interpellés. Info - Nantes.maville.com
    http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-nantes-huit-militants-tentant-d-ouvrir-un-squat-interpelles

    Huit militants du collectif de soutien aux #mineurs_isolés_étrangers ont été interpellés ce mardi matin alors qu’ils tentaient d’ouvrir un #squat pour des #migrants, à Nantes.(...) « Comment faire autrement, alors que tant de gamins en exil sont dehors, à Nantes ? Les deux squats déjà ouverts pour eux, dans la ville, sont archi plein. Il n’y avait pas d’autres choix aujourd’hui que d’en ouvrir un troisième. »

    Il était autour de 10 heures ce mardi matin lorsque les policiers ont débarqué, mettant un coup d’arrêt à l’ouverture du 9, rue des Girondins, quartier Chantenay, à Nantes. Un local de bureau désaffecté, convoité par le collectif pour y héberger les adolescents migrants venus d’Afrique noire, du Pakistan, du Bangladesh, et d’ailleurs. 

    Plusieurs dizaines d’entre eux ont échoué ici, perdus, errants. Le collectif tâche de leur fournir de quoi les nourrir. Et de quoi les abriter, quitte à recourir faute de mieux à l’occupation illégale de locaux inoccupés.

    Les huit militants ont été placés en garde à vue à l’hôtel de police pour dégradations, ayant tenté d’entrer par effraction dans ce bâtiment appartenant à la caisse primaire d’assurance maladie (CPAM).

    Rassemblement mercredi
    Cet incident a lieu la veille du rassemblement, mercredi 27, à midi, du collectif Uni-e-s contre une immigration jetable devant le palais de justice, pour exiger la création de structures adaptées pour pouvoir accueillir et accompagner les mineurs isolés étrangers, et la mise en place d’un suivi éducatif pour touts ces adolescents migrants, mineurs ou jeunes majeurs. Entre autres revendications.

  • Manif anti-NDDL. Françoise Verchère (FG) écrit ses doutes à Manuel Valls. Info - Nantes.maville.com
    http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-manif-anti-nddl.-francoise-verchere-fg-ecrit-ses-doutes-a-m

    Françoise Verchère, conseillère générale Parti de gauche et l’une des responsables du collectif des élus doutant de la pertinence de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Cedpa) co-organisateur, vient d’adresser une lettre ouverte à Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, dans lequelle elle s’interroge sur le dispositif policier et l’attitude des forces de l’ordre .

    "Monsieur le Ministre de l’Intérieur,

    Je vous ai entendu commenter dès samedi soir les événements en marge de la manifestation contre l’aéroport de Notre Dame des Landes et vos propos appellent de ma part quelques réactions et aussi plusieurs questions. .

    Sur les fameux casseurs : je vous avoue que j’ai été très surprise de comprendre que vos services les connaissaient visiblement bien (vous avez donné des précisions sur leur origine, leur positionnement politique) et même qu’ils savaient ce qui allait se passer. Depuis deux jours, les bruits couraient sur des incidents à venir ; les avocats savaient qu’ils risquaient d’être réquisitionnés pour de nombreuses gardes à vue. Samedi matin, au moment où nous étions avec les tracteurs à l’aéroport de Nantes-Atlantique, les policiers présents nous ont spontanément parlé des « blacks blocs », en nous disant « qu’ils allaient gâcher notre manifestation ».

    Je m’étonne donc que « les forces de l’ordre » n’aient pas été au fond plus efficaces puisque cela aurait dû être leur mission, n’est-ce pas ? Puisque l’on sait désormais interdire un spectacle avant même qu’il n’ait lieu, et puisque nous n’avons pas sur la ZAD 1000 casseurs ni blacks blocs, pourquoi ne les avez-vous pas fait arrêter avant leur arrivée ? J’imagine que s’ils sont si dangereux, vous avez certainement des preuves et même des faits graves à leur reprocher ?
    (...)
    Organisateurs qui ont pourtant tenté d’éviter l’affrontement en interposant des tracteurs entre l’imposant mur de fer érigé et ceux qui voulaient effectivement en découdre.

    Organisateurs dont le métier n’est pas d’assurer l’ordre, vous en conviendrez et à qui il serait malvenu de demander de faire mieux que vous… Organisateurs particulièrement choqués, en tout cas, par les propos du Préfet de Loire-Atlantique qui n’a pas hésité à affirmer que nous « opposants historiques » devions cesser « d’être la vitrine légale d’un mouvement armé ». Je me suis pincée pour y croire…encore un peu de temps et nous finirons nous-mêmes par être tenus pour de dangereux terroristes alors que nous avons participé loyalement au débat public, et à toutes les commissions mises en place. Débat déloyal puisqu’il y a une « vérité officielle » intangible même quand elle est contraire aux faits, aux chiffres et à la réalité. Le Premier Ministre ne reconnaît la validité que de la commission du dialogue à qui il avait donné mission de valider à nouveau le projet, mais refuse de regarder les conclusions accablantes de la commission des experts scientifiques au regard de la loi sur l’eau. Comment croire encore à la parole de l’État ?

    En réalité, Monsieur le Ministre, tout cela est très lisible et vieux comme le pouvoir.

    Pour discréditer notre combat, et tenter de retourner l’opinion publique qui nous est aujourd’hui favorable, on fera appel à la peur du désordre, on utilisera l’image, déplorable je vous l’accorde, des dégradations commises par les méchants casseurs et on justifiera ainsi une nouvelle opération policière pour aller enfin nettoyer la ZAD de ses « délinquants dangereux », en même temps que de ses tritons et de ses paysans. Il faudra mettre les moyens (ils sont mille, ne l’oublions pas, et les tritons innombrables…) mais vous y êtes peut-être prêts pour que « force reste à la loi » ? Permettez-moi de vous le déconseiller car pour que nous, citoyens, acceptions désormais cette clef de voûte théorique de la société, (« la seule violence légitime est celle de l’État »), il faudrait que l’État soit irréprochable, que la loi soit juste et que ses représentants soient dignes du mandat que nous leur avons confié. Vous avez compris, je pense, que ce n’est pas le cas depuis longtemps.
    (...)
    Mais je voudrais aussi vous rappeler que samedi des personnes âgées, des enfants ont été noyées sous les lacrymogènes. Et qu’un jeune manifestant a perdu un oeil à cause d’un éclat de grenade assourdissante. Ce n’était pas un casseur. Et cela nous rappelle le même malheur survenu déjà à Nantes, à cause d’un tir tendu de flash ball lors d’une manifestation sans violence devant le Rectorat. Les aubettes seront reconstruites, cela fera même monter le P.I.B mais ce jeune restera, lui, marqué à jamais. Cela m’interroge sur la manière dont les forces de l’ordre utilisent leurs armes et me scandalise davantage que la casse matérielle. Et demain, si le gouvernement persistait dans son projet d’aéroport, la destruction du bocage de Notre Dame des Landes et de la vie qu’il abrite serait elle aussi irréversible.

    Il faut arrêter un projet désormais dans l’impasse et régler le problème en prenant la seule décision raisonnable : respecter la loi sur l’eau, améliorer l’aéroport de Nantes-Atlantique et rendre sa sérénité à Notre Dame des Landes pour que la ZAD redevienne une campagne où vivre et travailler. Vous pourrez ainsi, Monsieur le Ministre, vous consacrer aux blacks blocs si vous le jugez indispensable".

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    Discours de Fr. Verchére (PG-CéDpa) à Nantes 22fev #NDDL
    http://www.youtube.com/watch?v=rXp12vrXdVw&feature=youtu.be

  • Aéroport de Notre-Dame-de-Landes : ce qui est arrivé à Quentin, à Nantes, le 22 février 2014. |
    http://dormirajamais.org/nddl

    Aucune mention n’a été faite, en revanche, des manifestants blessés.

    Aujourd’hui, 23 février, Caroline m’écrit :

    Quentin a eu 29 ans hier à Nantes. Il était comme nous à la manifestation contre l’aéroport. Il est charpentier, c’est le fils d’un de nos amis, et nous sommes en colère. Voici la retranscription du témoignage de Quentin, gravement blessé.

    (...)
    (Quentin n’a plus d’œil gauche)

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    Manifestation de Nantes : des casseurs, mais aussi des tracteurs
    Barnabé Binctin et Hervé Kempf (Reporterre)
    http://www.reporterre.net/spip.php?article5458

    La manifestation de Nantes samedi contre le projet d’aéroport de Notre Dame des Landes a été marquée par des affrontements entre des « antifas » et autres éléments, et la police. Une réalité qui fait oublier la forte présence des paysans et le nombre des manifestants.

    #NDDL

    • ND-des-Landes : Quentin, manifestant, a perdu un œil
      http://www.ouest-france.fr/nd-des-landes-quentin-manifestant-perdu-un-oeil-1956907

      Dans le cortège contre l’aéroport de samedi, une vingtaine de manifestants ont été blessés.Parmi eux, Quentin, un Nantais de 29 ans.

      Quentin est hospitalisé depuis samedi au service ophtalmologie et chirurgie plastique du CHU de Nantes, blessé par ce qu’il croyait être une grenade assourdissante, pendant la manifestation contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Au CHU, les médecins ont constaté une destruction du globe oculaire après un tir de flashball. Quentin a perdu son œil gauche. « Les flashball n’ont pas leur place dans une manifestation. Perdre un œil pour une manif, je ne trouve pas ça juste. »

      Ni « militant pur et dur, ni activiste », pas plus professionnel des manifestations (sa deuxième contre l’aéroport) mais « juste charpentier venu manifester », il était venu avec son amie et des copains au départ du rassemblement à la préfecture à 13 h. Surpris par les lacrymos dans le secteur de la place du Commerce, il l’est tout autant par les actions de « certains venus clairement en découdre avec la police ».

      Vers 18 h, Quentin se retrouve dans une zone, entre le CHU et Gloriette, qui lui semble calme, « avec plein de familles. Oui, des manifestants jetaient des choses mais les CRS gazaient à tout va. Nous reculions, je ne m’attendais pas à ça ! » Quentin n’a pas porté plainte pour l’instant.

      Lire l’intégralité du témoignage dans l’édition Ouest-France de mardi.

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      ND-des-Landes : Un manifestant condamné à cinq mois de prison
      http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-nd-des-landes-un-manifestant-condamne-a-cinq-mois-de-prison

      La décision vient de tomber pour l’un des cinq manifestants jugés en comparution immédiate cet après-midi à Nantes.

      Un Rezéen de 28 ans a été condamné ce lundi après-midi à cinq mois de prison ferme sans mandat de dépôt, pour avoir jeté une bouteille sur les CRS, samedi, lors de la manifestation contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes.

      Quatre autres manifestants comparaissent ce lundi. « Aucun d’entre eux n’est un casseur professionnel » a prévenu le procureur. « Ceux qui sont jugés aujourd’hui ne sont pas ceux qui ont saccagé la ville ».

  • Stockage CO2 : ArcelorMittal retire le projet Ulcos à Florange
    http://www.romandie.com/news/n/_Stockage_CO2_ArcelorMittal_retire_le_projet_Ulcos_a_Florange4206122012112

    BRUXELLES - Le groupe ArcelorMittal a retiré le projet projet Ulcos pour le captage et le stockage du CO2 à Florange, dans l’est de la France, à cause de difficultés techniques, a annoncé jeudi la Commission européenne.

    Le projet Ulcos, expérimentation grandeur nature d’une production d’acier émettant beaucoup moins de CO2, était le dernier espoir de redémarrage d’un des hauts fourneaux de Florange, actuellement à l’arrêt.

    Ce projet constituait la clef de voûte de laccord passé vendredi soir entre le gouvernement français de Jean-Marc Ayrault et Lakshmi Mittal, patron dArcelorMittal.

    ArcelorMittal a informé la Commission qu’il retire le projet Ulcos à cause de difficultés techniques, a indiqué à l’AFP Isaac Valero, porte-parole de la Commissaire en charge du Climat Connie Hedegaard.

    La Commission a toujours été prête à considérer un cofinancement de ce projet dans le cadre du programme NER300, a-t-il ajouté.

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    Notre-Dame-des-Landes, audience au tribunal administratif de Nantes
    http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-Notre-Dame-des-Landes-audience-au-tribunal-administratif-de

    L’audience va débuter au tribunal adminstratif de Nantes devant lequel sont stationnés trois tracteurs de la Confédération paysanne.

    Le tribunal va étudier les recours contre les arrêtés de cessibilité dans la cadre de la déclaration d’utilité publique de l’aéroport de Nantes

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    Ayrault affirme que le chantier de l’EPR "ira jusqu’au bout"
    http://www.liberation.fr/depeches/2012/12/06/ayrault-affirme-que-le-chantier-de-l-epr-de-flamanville-ira-jusqu-au-bout

    Jean-Marc Ayrault a affirmé jeudi que le chantier du réacteur EPR en construction de Flamanville irait « jusqu’au bout », en dépit des surcoûts annoncés par EDF en début de semaine, relevant que cette centrale devait durer 60 ans.

    « Ce chantier ira jusqu’au bout. Il y a des difficultés mais je pense qu’il faut assumer cela parce que (...) c’est nécessaire », a déclaré le Premier ministre sur RTL.

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    Ah , François Hollande a une idée...

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    Communiqué - Entretien entre le Président de la République et M. Nicolas HULOT , Président de la Fondation pour la Nature et l’Homme - Présidence de la République

    http://www.elysee.fr/president/les-actualites/communiques-de-presse/2012/communique-entretien-entre-le-president-de-la.14441.html

    Le Président de la République a reçu ce matin à l’Elysée, M. Nicolas HULOT, Président de la Fondation pour la Nature et l’Homme auquel il a décidé de confier, en accord avec le Gouvernement, une mission internationale en faveur de la préservation de l’environnement.

  • Notre-Dame-des-Landes : le transport de carburant et d’explosifs interdit - Nantes.maville.com
    http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-Notre-Dame-des-Landes-le-transport-de-carburant-et-d%26amp%

    Par arrêté, le préfet de Loire-Atlantique a interdit "le transport de tout carburant par jerricanes, cubitainers, bidons, flacons ou récipients divers sur le territoire des communes de Notre-Dame-des-Landes et Vigneux-de-Bretagne, du 3 décembre à 6 heures au 10 décembre à 6 heures à l’exception des produits spécifiquement destinés à l’alimentation d’appareils de chauffage individuels".

    Dans un deuxième arrêté, il interdit également le transport sur ces mêmes communes et sur la même période de tout explosif inflammable et feu d’artifice.

    Le préfet entend ainsi prévenir les risques de troubles à l’ordre public durant cette période et « prévenir tout incident » occassionné par leur utilisation « inconsidérée », selon les termes des arrêtés.

    Charge à la gendarmerie de faire respecter l’exécution de ces arrêtés, sachant que les contrevenants s’exposent à des poursuites.

    Presse-Océan 

    Assaut dans la semaine ?

    #NDDL

  • Nantes. Le procès d’une militante anti-aéroport renvoyé au 14 décembre - Nantes.maville.com

    La jeune femme de 35 ans poursuivie pour avoir jeté des pierres sur les forces de l’ordre mercredi, à Vigneux-de-Bretagne, sera jugée le 14 décembre prochain. Cette opposante au projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes, qui avait participé à la construction de barrages sur une route départementale, a demandé un délai pour préparer sa défense.

    D’ici là, elle a été placée sous contrôle judiciaire avec interdiction de paraître et de séjourner en Loire-Atlantique. « Je ne suis pas un danger public, je ne vois pas pourquoi on m’exclurait du département », a-t-elle expliqué au tribunal. Tout en ajoutant qu’elle « respecterait la décision ».

    http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-Nantes.-Le-proces-d-une-militante-anti-aeroport-renvoye-au-

  • lettre-warin-nddl.pdf (Objet application/pdf)
    http://upload.ouestfrance.fr/ouest-france.fr/pdf/lettre-warin-nddl.pdf

    Monsieur le Président, mon cher camarade, cher François,
    J’ai décidé de vous adresser cette lettre, écrite ce matin du 30 octobre, alors qu’une
    nouvelle opération de police de grande envergure se déroule à quelques dizaines de
    kilomètres d’Angers mon lieu de résidence, ville et région qui vous sont également
    familières

    Lien donné par l’édition en ligne de Ouest-France
    http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-Notre-Dame-des-Landes.-La-contestation-enfle-contre-le-futu

    Aujourd’hui, les opposants se tournent à nouveau vers le chef de l’État. Ils ont trouvé un relais en la personne d’un socialiste angevin, Patrick Warin, compagnon de promotion de Hollande à l’Ena et ex-directeur de la Caisse des dépôts et consignations. « Vous êtes face à un nouveau Larzac ! », l’a-t-il averti, dans une lettre ouverte, en souvenir de cette longue bataille qui fit échouer l’agrandissement d’un camp militaire.

    François, encore un effort pour être républicain !

  • Notre-Dame-des-Landes : destructions au Sabot et dans la forêt de Rohanne
    http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-Notre-Dame-des-Landes-destructions-au-Sabot-et-dans-la-fore

    Ce mercredi sur la zone réservée pour un aéroport à Notre-Dame-des-Landes, les forces de l’ordre ont délogé les opposants de deux lieux hautement symboliques de la contestation : le squat du Sabot et les cabanes perchées en forêt Rohanne.

    Un gendarme s’est blessé en chutant mais le face-à-face s’est avéré beaucoup moins tendu que la veille sur un périmètre dont l’accès est resté bouclé à tout véhicule.

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    Notre-Dame-des-Landes : un gendarme hospitalisé après une chute de 5 mètres | PresseOcean.fr
    http://www.presseocean.fr/actualite/notre-dame-des-landes-un-gendarme-hospitalise-apres-une-chute-de-5-metre

    Un militaire du peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Briançon a été transporté ce matin au CHU de Nantes après avoir chuté d’une hauteur de cinq mètres.

    Il intervenait sur une cabane perchée dans un arbre, à Notre-Dame-des-Landes où les opérations d’évacuation d’opposants se poursuivaient ce mercredi matin.

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    Derrière la bagarre, les gens calmes de Notre Dame des Landes

    http://www.reporterre.net/spip.php?article3425

    Comment les habitants et les squatteurs de la Zone à défendre s’organisent-ils pour faire barrage aux travaux annoncés ? Ce reportage, réalisé les jours derniers, les fait témoigner - ils sont sereins...

    vidéo : http://vimeo.com/52486501

  • "Nantes sous les bombes alliées", une avant-première le 12 septembre - Nantes.maville.com
    http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-Nantes-sous-les-bombes-alliees-une-avant-premiere-le-12-sep

    Le Cinématographe, 12 bis rue des Carmélites à Nantes, projettera en avant-première, le mercredi 12 septembre à 20 h 30, un documentaire de 52 minutes intitulé « Nantes sous les bombes alliées : une histoire oubliée de la France en guerre ».
    Ce film réalisé par François Gauducheau pour France Télévision revient sur cette funeste journée du 16 septembre 1943. Il est 16 h 05 lorsque les bombes américaines qui visaient le port tombent sur la ville (photo de la place Royale après le passage des bombardiers). Le bilan est terrible : 1 000 morts et 2 000 blessés. Jamais pendant la seconde guerre mondiale une ville française n’aura connu autant de morts en un laps de temps si court.

    Ce documentaire sera ensuite diffusé sur France 3 Pays de la Loire le samedi 15 septembre à 15 h 20 et le lundi 12 novembre 2012 à 0 h10

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    Si les Anglais sur Le Havre le 5 septembre 1944:

    Les bombardements du Havre

    Images d’archives : le premier corps britannique encercle Le Havre début septembre 1944, c’est le début du siège qui durera 12 jours. La population devient l’otage d’un bras de fer psychologique entre les les allemands et les alliés . Ces derniers pensent que le colonel WILDERMUTH va se rendre. Burkhardt WILDEMUTH, son fils, explique que son père a fait deux offres pour épargner les civils. Richard JELF, ancien officier britannique explique que le général BUBBLES est allé voir le général CROCKER pour que celui-ci ne bombarde pas la ville. Malgré les supplications, le 5 septembre 1800 tonnes de bombes sont déversées sur la ville.

    http://www.ina.fr/histoire-et-conflits/seconde-guerre-mondiale/video/R09132666/les-bombardements-du-havre.fr.html

    « Le premier gros bombardement a lieu le 5 septembre de 17 h 45 à 19 h 30, sur le centre de la ville, où il n’y a pas d’objectifs militaires : 1820 tonnes de bombes explosives, 30000 bombes incendiaires, 1 tonne d’explosif par 720 mètres carrés, une bombe incendiaire tous les 43 mètres carrés. Près de 3000 civils tués.

    http://denistouret.fr/textes/Beaudufe.html