• Ikea s’excuse après qu’un père et sa fille ont été placés en garde à vue pour avoir mal scanné des articles à la caisse 10 Octobre 2018
    https://www.francetvinfo.fr/economie/entreprises/ikea/un-pere-et-sa-fille-places-en-garde-a-vue-pour-avoir-mal-scanne-des-tup

    Une étudiante a raconté sur Twitter la situation dans laquelle elle et son père se sont retrouvés après ne pas avoir remarqué que des couvercles possédaient des #code-barres distincts des boîtes avec lesquels ils étaient vendus.


    De banales courses ont tourné à la véritable épreuve pour Emilie. Cette étudiante de 21 ans et son père ont été placés en garde à vue, lundi 1er octobre, après avoir effectué des achats dans un magasin Ikea à Strasbourg (Bas-Rhin), comme le raconte la jeune femme sur Twitter, mardi 9 octobre.

    Bon je vais raconter comment je suis allée en garde à vue à cause des tupperware d’IKEA https://twitter.com/thepeacefulriot/status/1049759711174774784/photo/1
    — Emilie (@thepeacefulriot) 9 octobre 2018
    (https://seenthis.net/messages/728156)

    Emilie et son père optent pour le passage en caisse automatique. Mais ils oublient de scanner les couvercles de boîtes, qui possèdent leurs propres code-barres. Ils sont alors interceptés par le vigile, s’excusent et proposent de payer ces articles. Mais l’employé chargé de la sécurité prévient alors le directeur du magasin, lequel accuse le père et sa fille d’avoir voulu voler les couvercles des bocaux.

    Trois heures de garde à vue
    Le ton monte entre les deux hommes. Le directeur n’en démords pas et appelle la police. Les agents arrivent sur place. Après s’être entretenu avec le directeur du magasin, une des policières s’adresse à Emilie : « On vous embarque pour vol à l’étalage organisé à plusieurs, on vient de mobiliser une deuxième brigade pour transporter votre père, vous vous venez avec moi ! »

    Père et fille sont emmenés au commissariat, où ils sont placés en garde à vue et pù ils se retrouvent en cellule. Interrogés l’un après l’autre par des agents qui n’ont pas participé à leur interpellation, ils sont finalement relâchés, poursuit Emilie dans son récit. Contactée par franceinfo, la direction de Ikea en France confirme les faits.
    . . . . .