• بعد ثلاثة عقود على « آيات شيطانية »... سلمان رشدي مطعوناً في نيويورك
    https://al-akhbar.com/Media_Tv/343066

    Le quotidien libanais Al-Akhbar, considéré comme "proche du Hezbollah", publie un long dossier pour la droit de Salman Rushie à écrire librement et condamnant toute tentative de faire taire ses idées par le meurtre" (« من هذه المنطلقات كلّها، نقدم هذا الملفَّ، دفاعاً عن حق سلمان رشدي، وإدانةً لمصادرة رأيه عبر محاولة تصفيته جسدياً »)

    [Bien entendu, ce n’est qu’une odieuse manoeuvre de fourbes et d’hypocrites qui manient avec talent la célèbre takiya (https://atlantico.fr/article/decryptage/la-taqiya-ou-le-concept-coranique-qui-permet-aux-musulmans-radicaux-de-dis) comme on dit dans les bons médias.]

    #salman_rushdie

  • « طهران » : آخر حيل اسرائيل « في حربها الناعمة » على ايران
    https://al-akhbar.com/Media_Tv/291913

    Tiens ! Encore un habile feuilleton de propagande israélienne !

    https://fr.timesofisrael.com/la-nouvelle-serie-israelienne-teheran-sera-diffusee-sur-apple-tv
    Apple TV+ a acheté les droits de « Téhéran », une série israélienne se déroulant dans la capitale iranienne, co-créé par Moshe Zonder, un scénariste de la série à succès de Netflix « Fauda ».

    La vente, qui se serait élevée à plusieurs millions de dollars, a été négociée par Cineflix Rights et Paperplane Productions, ainsi que par les producteurs de la série, Dana Eden et Shula Spiegel. Dana Eden, co-créatrice de la série, et Shula Spiegel ont déclaré qu’Apple avait déjà commandé trois saisons.

    « Téhéran » se concentre sur l’histoire de Tamar Rabinayan, incarnée par l’actrice israélienne Niv Sultan, une jeune hackeuse douée travaillant pour une unité de renseignement israélienne. Elle est appelée à rejoindre le Mossad et envoyée en mission périlleuse en Iran, où elle reçoit l’ordre de pirater un réacteur nucléaire.

    Lorsque sa mission ambitieuse échoue, Tamar Rabinayan est coincée sur la terre de son enfance, où elle découvre ses racines locales et se lie d’amitié avec les militants pro-démocratie locaux.

    « ‘Téhéran’ vise à jeter une nouvelle lumière sur le conflit israélo-iranien et à engager des luttes universelles autour de l’immigration, de l’identité et du patriotisme pour examiner s’il est possible de se libérer de ces contraintes », avait expliqué Moshe Zonder à Deadline l’année dernière.

    #israël #iran #feuilletons_poison

  • « أم هارون » الحقيقية ليست يهودية... ولم تعِش في الكويت !
    https://al-akhbar.com/Media_Tv/287999

    Grosse polémique des feuilletons de ramadan cette année, autour d’une évidente poursuite, via 2 feuilletons (Oum Haroun et Makhraj7) des campagnes de normalisation avec l’Etat israélien de la part des chaînes du Golfe, principalement saoudienne (MBC).
    A cette occasion, ce récit de vie d’une femme de la région, qui donne un peu une idée de la complexité des choses dans l’Orient décidemment complilqué !

    سيدة يهودية تُدعى أم جان. إنها امرأة يهودية تركية عاشت في مدينة البصرة العراقية في الثلاثينات من القرن الماضي، وتزوّجت من رجل هندي مسيحي. ومع انتهاء الحرب العالمية الثانية، قررت العائلة الرحيل من العراق إلى إيران، ثم عادت لتقيم في البحرين. كان لدى أم جان ولدان توفيا، وبنت هاجرت إلى أستراليا، وعملت السيدة لسنوات في البحرين كقابلة. وفي أواسط السبعينات من القرن الماضي، هاجرت لتعيش مع ابنتها في أستراليا، وهي تتكلم العربية بشكل جيد وباللهجة البحرانية.

    حتى الآن، والجميع يؤكّد أن هذه السيدة يهودية، ولكنها هي ذاتها لا تذكر شيئاً عن ديانتها في اللقاء الذي أُجري معها. وهناك من زعم أنها هندية، غير أن التقرير الصحافي الذي نشرته جريدة «الوقت» (عدد 12 شباط/ فبراير 2006) حول هذه السيدة حسم الجدل تقريباً وأخبرنا أنها شابة تُدعى روث روزيز وهي أرمنية وليست يهودية، وقد هربت إثر حملات إبادة الأرمن في تركيا، واستقرّت في البصرة لتتزوج من شاب هندي يعمل في دائرة الصحّة التابعة لجيش الاحتلال البريطاني في العراق. وبعد انتهاء الحرب ومغادرة الأجانب للعراق، غادرت هي وزوجها إلى إيران ثم إلى البحرين لتستقرّ هناك، وهنا نعود إلى تكملة السيناريو السابق. ويبدو أنّ هذه الرواية أكثر قابلية للتصديق من غيرها لأنها موثقة بالأسماء والصور والتواريخ.

    Une femme juive nommée la "mère de Jan" [Jean ?]. C’est une femme juive turque qui vivait dans la ville irakienne de Bassorah dans les années 1930 et qui a épousé un chrétien indien. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, la famille a décidé de quitter l’Irak pour l’Iran, puis est retournée résider à Bahreïn. La mère de Jan a eu deux fils qui sont décédés, et une fille qui a immigré en Australie, et la femme a travaillé pendant des années à Bahreïn en tant que sage-femme. Au milieu des années 1970, elle a émigré pour vivre avec sa fille en Australie, et elle parle bien l’arabe en dialecte bahreini.

    Jusqu’à présent, tout le monde confirme que cette dame est juive, mais elle-même ne mentionne rien de sa religion lors de la rencontre qui a eu lieu avec elle. Il y en a qui prétendent qu’elle est indienne, mais le rapport de presse publié par le journal "Al-Waqt" (n ° 12 février 2006) à propos de cette femme a presque mis un point final à la controverse. Il s’agirait d’une jeune femme nommée Ruth Roses, une Arménienne, et non pas juive, qui a fui le génocide arménien en Turquie, Elle s’est installée à Bassora pour épouser un jeune indien travaillant dans le département de la santé de l’armée d’occupation britannique en Irak. Après la fin de la guerre et le départ des étrangers en Irak, elle et son mari sont partis pour l’Iran, puis à Bahreïn pour s’y installer. Episode après lequel on revient au scénario précédent. Il semble que ce récit soit plus crédible que d’autres car il est documenté par des noms, des images et des dates.

    #migrations

  • Vous avez entendu parler de ces compagnies israéliennes régulièrement montrées du doigt parce que participant à l’espionnage ou au piégeage d’appareils électroniques à des fins politiques.

    L’une d’entre elles est NSO, pour le logiciel Pegasus, lié à l’assassinat de Jamal Khashoggi et à l’espionnage d’Amnesty International, mais aussi à d’autres saloperies au Mexique, au Panama etc.

    On trouve parmi les actionnaires principaux de NSO, le couple formé du Britannique Stephen Peel et de sa femme, la Canadienne Yana Peel. Lui était membre du conseil d’administration de Global Witness, une organisation de défense des droits humains (!), et elle était la présidente du conseil d’administration d’une grande galerie d’art internationale, Serpentine Galleries.

    Dénoncé par des militants, il a du démissionner en février dernier. Quant à elle, le Guardian ayant rendu ces fait publiquement la semaine dernière, elle a également été poussée à la démission.

    Stephen Peel has stepped down as a member of the Global Witness Board
    Global Witness, le 18 février 2019
    https://www.globalwitness.org/en/press-releases/stephen-peel-has-stepped-down-member-global-witness-board

    UK rights advocate co-owns firm whose spyware is ’used to target dissidents’
    Jon Swaine et Stephanie Kirchgaessner, The Guardian, le 14 juin 2019
    https://seenthis.net/messages/787319

    Serpentine Galleries Chief Quits, With Harsh Words for Activist Artists
    Alex Marshall, The New-York Times, le 18 juin
    https://www.nytimes.com/2019/06/18/arts/design/serpentine-galleries-ceo-resigns.html

    #Palestine #israel #NSO #Pegasus #surveillance #Jamal_Khashoggi #Stephen_Peel #Yana_Peel #Global_Witness #Serpentine