▻https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/le-coronavirus-dans-les-marges-romandes?id=11166053
Une émission sur de nouvelles formes d’accueil et de secours, en particulier a Lausanne
▻https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/le-coronavirus-dans-les-marges-romandes?id=11166053
Une émission sur de nouvelles formes d’accueil et de secours, en particulier a Lausanne
En voyant #Pompeo dans une chaîne de télé libanaise je me suis rappelé qu’il était présenté comme un homme pieux, alors que je me le représente comme un mafieux ; j’ai alors voulu connaître ce qu’il en était pour les mafieux attitrés.
Pieux comme un mafieux - Radio - Play RTS
▻https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/pieux-comme-un-mafieux?id=4082303
Libye, terre des #hommes_violés
En Libye, le viol est une arme de guerre. Mais, contrairement à dʹautres pays qui connaissent aussi ce fléau, ce sont les hommes qui sont les premiers touchés. La juriste Céline Bardet a longtemps travaillé sur les crimes de masse au Tribunal pénal international de la Haye. Elle suit de près la situation libyenne. Entretien avec Guillaume Henchoz.
▻https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/libye-terre-des-hommes-violes?id=9899115&station=a9e7621504c6959e35c3ecbe7f6bed0
#viol #hommes #Libye #viol_comme_arme_de_guerre #violences_sexuelles
Libye - Anatomie d’un crime
▻https://www.arte.tv/fr/videos/065872-000-A/libye-anatomie-d-un-crime
70 min
Disponible du 23/10/2018 au 21/12/2018
Le viol est devenu, depuis une trentaine d’années, une arme de destruction massive en Bosnie, au Rwanda, au Congo et en Syrie. Alors que les femmes et les enfants en sont les premières cibles, dans la poudrière libyenne, ce crime de guerre érigé en système frappe d’abord les hommes. Exilés libyens à Tunis, Emad, un militant, et Ramadan, un procureur, tentent dans la clandestinité de recueillir les preuves d’une barbarie dont les victimes restent emmurées dans l’indicible. À force d’opiniâtreté, ces activistes, aidés par Céline Bardet, une juriste internationale, obtiennent les premiers récits circonstanciés d’une poignée d’hommes qui ont subi ces supplices. Anéantis, le fantomatique Yacine, Nazir ou encore Ahmed livrent des bribes effroyables de leur histoire et de leur intimité saccagée. La voix brisée, ils racontent les prisons clandestines, la violence, les humiliations et les tortures commises par les milices armées dans un pays plongé dans le chaos depuis la chute de Kadhafi. Dans ce cycle sans fin d’horreur organisée, les migrants aussi sont utilisés. Détenu dans une dizaine de geôles, Ali, tout juste libéré, témoigne, lui, de la généralisation du viol qui vise systématiquement les Tawergha, une tribu noire ostracisée.