Comment libérer des données publiques, concrètement ? « LeRomanais
►http://leromanais.wordpress.com/2010/02/02/comment-liberer-des-donnees-publiques-concretement
La base de donnée des producteurs locaux devrait être libre et accessible aux citoyens comme bon leur semble. J’ai donc décidé, unilatéralement, de la libérer. Je suis persuadé qu’elle devrait intéresser de nombreux sites
#cartographie #data #amap
Ahlala, il est bien gentil ce Monsieur mais c’est carrément inconscient ce qu’il fait ! La porte ouverte à une pure prise de pouvoir de #technocrate qui s’ignore et de plus totalement inculte au vu des outils google qu’il utilise, unilatéralement mon pied au cul oui !. C’est bien là le rêve de l’#opendata des #donnée_personnelles ! en échange des #opendata_publiques, faire que des nigauds se prennent au jeu et aillent compiler des données confidentielles pour le bien de tous.
Bon, on est face à un débile léger.
C’est aussi ça l’Internet mondial, le véritable open-data.
Un référencement naturel et volontaire des abrutis.
Connaissez-vous le mouvement post-privacy ?
►https://de.wikipedia.org/wiki/Post-Privacy
Leur devise : « Privacy ist sowas von Eighties » (l’idée d’une sphère privée était bonne pour les années 80.)
►http://blog.spackeria.org/about
Vu que ce n’est décrit que dans l’édition allemande de Wikipedia je suppose (et j’espère !) qu’une telle secte de nigauds dangereux n’existe qu’en Allemagne, pays du Gesamtkunstwerk bon marché à portée de tout le monde.
pour @klaus un article/livre qui a beaucoup buzzé en France récemment c’est
“La vie privée, un problème de vieux cons ?” de Jean-Marc Manach
►http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2010/07/02/la-vie-privee-un-probleme-de-vieux-cons-le-livre
J’avoue être fatiguée des gens ou des entreprises qui s’arrogent le droit de faciliter l’accès, la pérennité et le recroisement de données personnelles informatisées, qui plus est, sans l’avis des intéressés.
Arguer de rendre service sous prétexte de nécessité marchande et se vanter de « libérer » des données est soit d’une grande naïveté soit d’une mauvaise foi prétentieuse. Je connais des producteurs locaux qui ne veulent pas autant de publicité, ni sur internet, ni ailleurs et cela est leur droit le plus strict.
Si je l’accuse d’être crétin c’est qu’il croit faire du libre mais participe seulement à réduire l’écart entre donnée privée et donnée privative sans la moindre conscience ni vergogne. On trouve le même confusionnisme chez Manach.
Donc, ne me demande pas d’applaudir ceux qui allument des feux sur la banquise pour qu’elle fonde plus vite, j’ai vu, ça fond déjà sans eux.
@touti Si ce sont des données personnelles, la loi (en France ou en Allemagne) est très claire : on n’a pas le droit de les diffuser à sa guise, point. (@fil : nul besoin que les données soient confidentielles)
À lire l’article, je dirais qu’il a en effet violé cette loi mais qu’il a agi d’avantage par maladresse et ignorance que par méchanceté et qu’il faudrait donc lui expliquer.
L’open data concerne les données publiques et ne concerne pas les données personnelles.
En l’espèce il s’agit d’un annuaire d’entreprise. C’est sans doute plus compliqué : il faudrait en savoir plus sur les conditions de l’ajout de ces entreprises à cette base. A priori les règles CNIL ne s’imposent-elles pas aussi ?
@vlentz, détrompe toi-le d’éléphant.
►http://eaves.ca/2012/03/29/next-generation-open-data-personal-data-access
@vlentz vous reprendrez bien un peu d’#opendata de #données_personnelles ?
►http://www.internetactu.net/2012/06/19/reutilisation-des-donnees-personnelles-14-rendre-leurs-donnees-aux-uti
Le projet britannique MiData, annoncé en avril 2011, qui consiste à renverser la relation consommateur, a été officiellement lancé à l’automne 2011, avec l’objectif d’amener plusieurs grosses organisations à partager les données personnelles qu’elles détiennent avec les clients que ces données concernent, et ce, afin que ces derniers puissent également en tirer des bénéfices.