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  • @simplicissimus
    Simplicissimus @simplicissimus 12/04/2021
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    @vanderling
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    @02myseenthis01
    @rastapopoulos
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    6

    Musique. Il sort un album depuis la maison d’arrêt de Brest
    ▻https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/musique-il-sort-un-album-depuis-la-maison-d-arret-de-brest-dd1e218e-9a1

    https://media.ouest-france.fr/v1/pictures/MjAyMTA0MTk3NmI4NmNjNzM3YmFhNDU5ZjA2NGU0ZWNhNjJjYmU?width=1260&height=712&focuspoint=50%2C50&cropresize=1&client_id=bpeditorial&sign=55e9d2eb4203b5ec0d609acda04057fb8a1fc3c43fd273ab6eb1c5697bf1c533#.jpg

    À 26 ans, Tom Simon, Ahmed Idris Hussein pour la vie artistique, sort un premier album : Help Myself. Un bijou musical aux confins du blues, hip-hop, soul et reggae.

    Né à Djibouti en 1995, Ahmed Idris Hussein est devenu Tom Simon après son adoption. Depuis l’âge de 15 ans, le jeune homme a vécu un parcours chaotique, entre foyers d’accueil et couloirs judiciaires, « quand les limites explosent ».

    Son recours face à cette vie pas facile : la musique. Tom a commencé très jeune à gratter sa guitare et est devenu rapidement un musicien talentueux. « Tous ceux qui l’ont entendu peuvent en témoigner », souligne un copain. Ses influences musicales : « Le blues, le reggae, une pointe de jazz et de rap. »
    On retrouve dans son univers autodidacte l’influence d’artistes comme Gorillaz, Amy Whinehouse, Damian Marley, « sans oublier l’incontournable J. J. Cale, qui reste pour moi le guitariste de référence ».

    « La prison tue l’inspiration »
    Après une première participation à un groupe, Tom a décidé de se consacrer à la création. Pour lui, pas question de courir après la notoriété et de venir faire les yeux doux aux maisons de disques et aux grandes scènes : « Je me suis construit en tant que musicien en jouant dans la rue. »

    Un univers de rencontres et d’expériences diverses, qui lui a offert une voix de bluesman, troublante ressemblance avec celle du grand Tom Waits.

    En 2019, Tom a repris comme nom d’artiste son patronyme originel, Ahmed Idris Hussein, et écrit onze titres, pour la plupart biographiques, tous en anglais. « Le français est bien pour la poésie, l’anglais se prête mieux à au débit de paroles qu’exige ce style de musique. »

    Pour le jeune homme, « cet album est l’amalgame de vécus et d’influences variées qui donnent naissance à un hip-hop teinté de soul, de blues et de reggae ».

    Restait à transformer ces textes en album : « Cela a été rendu possible grâce à mes frères d’amitié, FL-How et Tideux. Ils ont créé des musiques inspirantes, qui ont permis de mettre en scène mes textes. »

    Incarcéré à la maison d’arrêt de Brest, Ahmed a pu compter aussi sur ses amis, « qui m’ont soutenu pour produire l’album ».

    Une aventure rendue possible grâce au soutien de sa mère, « toujours présente, même dans les pires moments ». Ils ont organisé une cagnotte sur Internet et permis de financer la production de l’album, en CD et en vinyle.

    Pour Ahmed, la sortie de l’album et la marque des soutiens reçus est une grande satisfaction. « Plus qu’un simple album écrit et enregistré en six mois, c’est pour moi une thérapie et une échappatoire à la prison. »
    Difficile pourtant d’espérer, pour l’instant, l’ébauche d’un deuxième album : « La prison tue l’inspiration », souffle le jeune homme, qui rêve de retrouver sa guitare et refaire des projets de vie, « où la musique sera toujours présente ».

    ▻https://www.youtube.com/watch?v=1mziSwhkxaE

    Simplicissimus @simplicissimus
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 13/04/2021
      @sinehebdo

      Une autre sur youtube cette fois plus dancehall :
      ▻https://www.youtube.com/watch?v=25WbiWBwWXg

      Et surtout son Bandcamp avec tout :
      ▻https://ahmedidrishussein.bandcamp.com/album/help-myself

      #musique #soul #blues #hip-hop #dancehall #Ahmed_Idris_Hussein @sinehebdo

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 13/04/2021

      Ça me fait un peu (beaucoup) penser à Ky-Mani Marley parfois, sur plusieurs morceaux, ce mélange de chant/reggae/dancehall mais sur des beats comme le hip-hop. Surtout son premier album The Journey.

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 18/04/2021

      merci!

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 30/08/2020
    1
    @vanderling
    1

    À Brest, Bouygues Télécom va devoir démonter ses antennes Huawei
    ▻https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/a-brest-bouygues-telecom-va-devoir-demonter-ses-antennes-huawei-6950290

    À Brest, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) refuse le déploiement de la 5G sur les antennes réseaux fabriquées par l’entreprise chinoise Huawei. L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) n’a pas autorisé le déploiement de la future 5G par des antennes réseau de la marque chinoise Huawei dans quatre villes françaises dont Brest. En raison de la proximité de la base navale et des sous-marins nucléaires de l’Ïle-Longue. Après des soupçons d’espionnage (...)

    #ANSSI #Bouygues #Huawei #5G #technologisme #surveillance

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @ant1
    ant1 @ant1 CC BY-NC 10/12/2019
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    @loutre
    @simplicissimus
    2

    ▻https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-le-president-de-l-universite-en-colere-apres-l-intervention-muscl

     »Matthieu Gallou, président de l’université de #Bretagne occidentale (UBO), n’a pas tardé, lui non plus, à réagir. Dans un courrier adressé à ses collègues, il confie « avoir appris avec une vive émotion l’intervention policière musclée qui a eu lieu ce mardi matin dans le hall de la BU Lettres de Brest. »
    « Je tiens tout d’abord à exprimer ma profonde sympathie à l’égard des personnels et usagers de la #BU, particulièrement choqués par cette #intervention, poursuit le président de l’UBO. J’ai immédiatement saisi le sous-préfet de #Brest pour lui demander des explications, afin de faire la lumière sur ces faits qui ne correspondent pas à des usages remontant à presque #800_ans. Ceux-ci prévoient qu’en dehors de situations d’urgence absolue, les #forces_de_l’ordre ne peuvent intervenir sur un site universitaire que sur réquisition du président. » »

    ant1 @ant1 CC BY-NC
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  • @simplicissimus
    Simplicissimus @simplicissimus 16/11/2018
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    @recriweb
    @bce_106_6
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    Ce maire breton refuse une invitation d’Emmanuel Macron à l’Elysée
    ▻https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/un-maire-breton-refuse-l-invitation-de-macron-6073672

    https://media.ouest-france.fr/v1/pictures/3e1c350a8db62141fdc033625fad4803-un-maire-breton-refuse-l-invitation-de-macron_0.jpg

    Le premier magistrat du #Relecq-Kerhuon, près de Brest, ne se rendra pas à l’Élysée pour rencontrer le Président de la République. Il estime qu’Emmanuel Macron ne respecte pas la parole qu’il avait donnée aux maires il y a un an.

    « Je ne répondrai pas favorablement à votre invitation Monsieur le Président de la République. Mais j’espère bien vous voir, l’année prochaine, Porte de Versailles, en 2019 et ainsi respecter l’intégralité des Maires, pas juste une poignée, triés sur le volet par les Préfectures et/ou par le ministère de l’Intérieur. » C’est par ces mots que se conclut le courrier de Yohann Nédélec, maire du Relecq-Kerhuon (près de Brest), à Emmanuel Macron.

    Yohann Nédélec faisait partie des maires invités à rencontrer le Président mercredi 21 novembre, à l’Élysée. Une cérémonie qui ne compense pas, selon l’élu breton, l’absence d’Emmanuel Macron au congrès des maires, organisé porte de Versailles.

    « Il y a un endroit, il s’agit de la porte de Versailles, écrit Yohann Nédélec, par ailleurs secrétaire fédéral du PS finistérien. Il y a une tradition, c’est que le Président vienne s’exprimer devant les Maires. Il y a le respect de la parole donnée, celle qui a été la vôtre l’année dernière » Le Président avait alors promis de venir rendre compte, devant les maires, des engagements qu’il avait pris.

    Assimilant la rencontre à l’Élysée à une « contre-manifestation », il craint qu’elle ne vise « très probablement à séduire individuellement les Maires plutôt que d’affronter une salle qui se pose légitimement des questions ».

    Simplicissimus @simplicissimus
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