• Azote : la crise environnementale dont vous n’avez pas encore entendu parler - UP’ Magazine
    http://urlr.me/dpv59

    La création des engrais de synthèse au début du XXe siècle a marqué un tournant dans l’histoire de l’humanité, permettant une augmentation des rendements agricoles et provoquant un boom démographique. Mais l’utilisation excessive d’azote et de phosphore provenant de ces engrais est à l’origine d’une crise environnementale, avec la prolifération des algues et l’augmentation de la fréquence et de l’ampleur des « zones mortes » océaniques. Sur les neuf « limites planétaires » que les scientifiques affirment que nous ne devons pas franchir pour maintenir la vie humaine, la limite associée aux déchets d’azote et de phosphore a été largement dépassée, mettant en péril le système de fonctionnement de la Terre. Les responsables politiques mondiaux commencent lentement à reconnaître l’ampleur du problème, alors que le changement climatique menace de l’aggraver. En l’absence de réformes majeures des pratiques agroalimentaires, les scientifiques cherchent à convaincre le monde de réagir.

    #engrais #agriculture #algue #crise_environnementale #anoxie_océanique #ordovicien #permien #anthropocène

  • CrimethInc. : Greece: The Refugee Camp of Moria Burns as State Repression Intensifies
    https://fr.crimethinc.com/2020/09/14/greece-moria-burns-repression-intensifies-moria-burns-

    Another month, another report on the situation here in Greece. There has been no pause in the repression of the state, nor any peace for the marginalized and excluded. Another historic squat has been evicted, the economic despair many already face is becoming generalized, society drifts towards the right at the guidance of state and corporate media, and the largest concentration camp housing migrants in all of Europe has been engulfed in flames, displacing thousands.

    As in the rest of the world, each morning brings new concerns, new disasters, new forms of precarity. We share the following information in the pursuit of a relentless and borderless solidarity.

    –Radio Fragmata, September 2020

    https://www.france24.com/fr/20200914-achat-de-rafale-par-la-gr%C3%A8ce-les-premiers-appareils-seront-l

    Alors que les tensions entre la #Grèce et son puissant voisin turc ne cessent de s’accentuer en Méditerranée orientale, le Premier ministre grec a annoncé samedi l’achat de 18 avions Rafale. Kyriakos Mitsotakis a donné des précisions dimanche sur ce contrat historique qui fait de la Grèce le premier pays européen à se doter de l’avion de combat français.

    #en_même_temps

    • Grèce-Turquie : différends frontaliers en mer Égée. par @reka
      https://seenthis.net/messages/876495

      Jean-Yves Le Drian n’est plus ministre de la défense mais #Dassault vend toujours des Rafale (un exploit qui enchante et émerveille Le Figaro). Alors que la Turquie et la Grèce s’opposent en Méditerranée orientale, Athènes a annoncé son intention d’acheter 18 de ces avions de combat. Les #ventes_d’armes restent l’expression privilégiée des ambitions géopolitiques de Paris, expliquait le reportage de Romain Mielcarek fin 2018 en Asie. Pendant ce temps, Le Monde diplomatique de septembre se demande quel « État profond » pilote vraiment le ministère des affaires étrangères…

      https://www.monde-diplomatique.fr/2018/12/MIELCAREK/59355

      La diplomatie du Rafale

      En Inde, le recours à un intermédiaire proche du premier ministre dans le contrat d’achat d’avions Rafale fait scandale. En France, le financement par ce même intermédiaire d’un film ayant à son affiche la compagne de l’ancien président François Hollande ne semble intéresser personne. Les ventes d’armes, notamment d’avions de combat, restent l’expression privilégiée des ambitions géopolitiques de Paris, comme en témoigne la mission qui s’est déroulée cet été en Asie.

      https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/geopolitique-aeronefs

      Romain Mielcarek
      Journaliste et docteur en sciences de l’information et de la communication, auteur de Marchands d’armes. Enquête sur un business français, Tallandier, Paris, 2017.

  • U.N. tells UK - Allow #Assange to leave Ecuador embassy freely | Reuters
    https://uk.reuters.com/article/uk-britain-assange-un-idUKKCN1OK1U1

    Les experts de l’#ONU exhortent le #Royaume-Uni à honorer ses obligations en matière de droits et à laisser M. Julian Assange quitter librement l’ambassade d’Équateur à Londres
    https://www.legrandsoir.info/les-experts-de-l-onu-exhortent-le-royaume-uni-a-honorer-ses-obligation

    GENÈVE (21 décembre 2018) - Les experts des #droits de l’homme de l’ONU ont réitéré aujourd’hui leur demande que le Royaume-Uni respecte ses obligations internationales et permette immédiatement au fondateur de #Wikileaks, Julian Assange, de quitter l’ambassade d’#Equateur à Londres où il est depuis plus de 6 ans, craignant une arrestation par les autorités britanniques et une #extradition aux #Etats-Unis.

    « Les États qui sont fondés sur la primauté du droit et qui en font la promotion n’aiment pas être confrontés à leurs propres #violations du droit, ce qui est compréhensible. Mais lorsqu’ils admettent honnêtement ces violations, ils honorent l’esprit même de la primauté du droit, gagnent un plus grand respect à cet égard et donnent des exemples louables dans le monde entier », a déclaré le Groupe de travail sur la détention #arbitraire (GTDA) des Nations Unies.

    • Pour Julian Assange
      par Serge Halimi - décembre 2018
      https://www.monde-diplomatique.fr/2018/12/HALIMI/59366

      L’acharnement des autorités américaines contre M. Assange est encouragé par la lâcheté des journalistes qui l’abandonnent à son sort, voire se délectent de son infortune. Ainsi, sur la chaîne MSNBC, l’animateur-vedette Christopher Matthews, ancien cacique du Parti démocrate, n’a pas hésité à suggérer que les services secrets américains devraient « agir à l’israélienne et enlever Assange »…

      https://seenthis.net/messages/739285

    • Analyse : Les États-Unis ramèneront Assange chez eux, enchaîné, par Ann Garrison
      Source : Ann Garrison, Consortium News, 14-11-2018
      https://www.les-crises.fr/analyse-les-etats-unis-rameneront-assange-chez-eux-enchaine-par-ann-garri
      Il est de plus en plus probable que Julian Assange, le fondateur et éditeur de Wikileaks, finisse entre les griffes du gouvernement américain.

      C’est à peine surprenant, vu qu’en l’espace de dix ans, Wikileaks a publié plus d’informations classées que tous les autres médias réunis. L’organisation a dévoilé des abus relatifs aux droits de l’homme, des cas d’espionnage, de torture et des crimes de guerre à une échelle sans précédent.

      Wikileaks a lancé un avertissement au gouvernement, aux grandes entreprises et même au Pentagone, au FBI, à la CIA et autres services de renseignement, en leur faisant comprendre qu’ils ne pourraient plus compter sur le secret de leurs opérations.

      L’organisation a créé un trésor d’informations provenant de sources primaires, que les journalistes sérieux et les chercheurs pourront exploiter pendant des années. Ses publications sont accessibles aux lecteurs qui préfèrent ce type de sources aux informations transmises par des intermédiaires.

      Wikileaks a tellement mis en rage les institutions américaines criminelles et corrompues les plus violentes, que Hillary Clinton a suggéré, en plaisantant à moitié, d’aller bombarder Assange à l’aide un drone. D’autres politiciens américains ont réclamé son exécution par d’autres moyens. (...)
      https://seenthis.net/messages/745280

  • Comment tuer une ville

    Le 29 août 2005, un #ouragan s’abattait sur La #Nouvelle-Orléans, tuant près de deux mille personnes et détruisant des dizaines de milliers d’habitations. Cette catastrophe a permis aux décideurs et aux élites économiques d’expérimenter un urbanisme de la #table_rase, visant à remplacer les pauvres par des touristes. Une méthode dont risquent bien de s’inspirer d’autres dirigeants désireux de tirer profit des tragédies climatiques…


    https://www.monde-diplomatique.fr/2018/12/CYRAN/59367
    #New_Orleans #catastrophe_naturelle #urbanisme #touristes #pauvreté #pauvres #vide #géographie_du_vide #climat

    v. aussi
    #Stratégie_du_choc de #Naomi_Klein

  • Un autre Macron est possible, par Pierre Rimbert (décembre 2018)
    https://www.monde-diplomatique.fr/2018/12/RIMBERT/59364

    Il a 39 ans, des diplômes clinquants, un regard habité et des envies de changement. Entouré de jeunes chefs d’entreprise et de « porteurs de causes » issus de la « société civile », il lance un « mouvement politique » destiné à « sauver les démocraties libérales » menacées par l’« insurrection populiste ». Parce que c’est notre projet, exhorte-t-il, « à nous, désormais, de marcher ».

    Après la formation de M. Emmanuel Macron, voici Place publique, fondée en novembre par l’essayiste Raphaël Glucksmann. L’un domine le centre droit ; l’autre investit le centre gauche, où la désintégration du Parti socialiste laisse un vide et des classes moyennes cultivées désemparées. D’où va-t-on désormais proclamer que rien ne va plus et qu’il faut tout changer — sauf l’essentiel : les structures économiques et sociales ? Avec Les Enfants du vide (Allary Éditions), livre-manifeste publié cet automne, Glucksmann a d’un coup comblé la béance. De L’Obs à L’Humanité en passant par Mediapart, on s’arrache l’homme providentiel. Il est chez lui sur France Inter, louangé permanent au Monde, en « une » de Libération, en couverture de Politis. Des personnalités socialistes, écologistes ou communistes projettent sur son visage souriant leurs aspirations ravalées. Glucksmann a compris que son public cible n’aimait rien tant que battre sa coulpe, triturer sa mauvaise conscience, ruminer ses échecs et y remédier au moyen de recettes toujours identiques, mais ripolinées aux couleurs du jour — le vert, en l’occurrence. Cela tombe bien : Raphaël, qui s’est souvent trompé, met en scène confessions et conversion. À L’Obs (4~octobre~2018), il confie : « Je dois réapprendre à m’oublier. » Ambitieux programme.

  • Pour Julian Assange, par Serge Halimi (décembre 2018)
    https://www.monde-diplomatique.fr/2018/12/HALIMI/59366

    Fier comme Artaban, souriant, entouré d’une cinquantaine de photographes et de cadreurs, Jim Acosta a opéré, le 16 novembre dernier, son retour en fanfare à la Maison Blanche. Quelques jours plus tôt, il avait perdu son accréditation de correspondant de Cable News Network (CNN), mais la justice américaine a obligé le président Donald Trump à annuler la sanction. « C’était un test, et nous l’avons passé avec succès, a fanfaronné Acosta. Les journalistes doivent savoir que, dans ce pays, la liberté de la presse est sacrée, et qu’ils sont protégés par la Constitution [pour] enquêter sur ce que font nos gouvernants et nos dirigeants. » Fondu enchaîné, musique, happy end…

    Réfugié depuis six ans à l’ambassade d’Équateur à Londres, M. Julian Assange n’a sans doute pas pu suivre en direct sur CNN un dénouement aussi émouvant. Car son existence à lui ressemble à celle d’un prisonnier. Interdiction de sortir, sous peine d’être arrêté par les autorités britanniques, puis, sans doute, extradé vers les États-Unis ; communications réduites et brimades de toutes sortes depuis que, pour complaire à Washington, le président équatorien Lenín Moreno a résolu de durcir les conditions de séjour de son « hôte ».

  • Le Macron nouveau est arrivé, il se nomme Raphaël Glucksman.
    « De L’Obs à L’Humanité en passant par Mediapart, on s’arrache l’homme providentiel. »
    https://www.monde-diplomatique.fr/2018/12/RIMBERT/59364

    Il a 39 ans, des diplômes clinquants, un regard habité et des envies de changement. Entouré de jeunes chefs d’entreprise et de « porteurs de causes » issus de la « société civile », il lance un « mouvement politique » destiné à « sauver les démocraties libérales » menacées par l’« insurrection populiste ». Parce que c’est notre projet, exhorte-t-il, « à nous, désormais, de marcher ».

    Après la formation de M. Emmanuel Macron, voici Place publique, fondée en novembre par l’essayiste Raphaël Glucksmann. L’un domine le centre droit ; l’autre investit le centre gauche, où la désintégration du Parti socialiste laisse un vide et des classes moyennes cultivées désemparées. D’où va-t-on désormais proclamer que rien ne va plus et qu’il faut tout changer — sauf l’essentiel : les structures économiques et sociales ? Avec Les Enfants du vide (Allary Éditions), livre-manifeste publié cet automne, Glucksmann a d’un coup comblé la béance. De L’Obs à L’Humanité en passant par Mediapart, on s’arrache l’homme providentiel. Il est chez lui sur France Inter, louangé permanent au Monde, en « une » de Libération, en couverture de Politis. Des personnalités socialistes, écologistes ou communistes projettent sur son visage souriant leurs aspirations ravalées. Glucksmann a compris que son public cible n’aimait rien tant que battre sa coulpe, triturer sa mauvaise conscience, ruminer ses échecs et y remédier au moyen de recettes toujours identiques, mais ripolinées aux couleurs du jour — le vert, en l’occurrence. Cela tombe bien : Raphaël, qui s’est souvent trompé, met en scène confessions et conversion. À L’Obs (4 octobre 2018), il confie : « Je dois réapprendre à m’oublier. » Ambitieux programme.

    Lui qui fut tour à tour admirateur de M. Nicolas Sarkozy en 2008, animateur de la revue néoconservatrice Le Meilleur des mondes, conseiller du président géorgien néolibéral et atlantiste Mikheïl Saakachvili, lui qui admettait volontiers : « Ça ne m’a jamais fait vibrer de manifester pour les retraites » (M Le magazine du Monde, 22 mars 2014) et se déclarait au printemps 2017 « fier » de l’élection de M. Macron, revendique à présent Occupy Wall Street et dit « nous » quand il parle de la gauche. « On a zappé complètement la question sociale », admet-il. « Mon logiciel de pensée a contribué à former l’impasse dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui » (Mediapart, 14 novembre 2018). La mise à jour dudit « logiciel » copie-colle les constats effectués depuis des lustres par ceux que combattait hier Raphaël : « On voit les entreprises multinationales refuser les lois des nations et chercher à leur imposer les leurs. On voit les banques sauvées par l’argent public maquiller leurs comptes et cacher leurs fonds dans des paradis fiscaux. » À tout cela s’ajoute la menace d’un anéantissement de la planète par le réchauffement climatique.

    Alors, que faire ? Contre « les anciennes idéologies, les vieux partis, les antiques structures », contre les inégalités et le gaz carbonique, Glucksmann propose plus de participation citoyenne, plus d’écologie, plus d’Europe. « Nous assumons l’horizon d’une République européenne », écrit-il. Des « porteurs de causes » aussi frétillants que MM. Valéry Giscard d’Estaing, François Bayrou, Daniel Cohn-Bendit et Bernard-Henri Lévy ânonnent les éléments de ce credo depuis bientôt quatre décennies. Les papys du vide ont trouvé leur héritier.

    • Merci Marielle pour l’info, un homme marqué, il était le conseiller du corrompu, criminel recherché Saakashvilli, de même que lui même s’est enrichi en tant que « conseillé » il a participé au coups d’état pro-européen du Maidan. Humainement il n’a aucun crédit, proche des néocons ayant voulu ces guerres post-11 septembre meurtrière dans les pays arabes (remodelage du grand moyen-orient) il est même dangereux pour le peuple. Qu’il n’oublie pas son discrédit surtout ..

  • Pour Julian Assange
    https://www.monde-diplomatique.fr/2018/12/HALIMI/59366

    Fier comme Artaban, souriant, entouré d’une cinquantaine de photographes et de cadreurs, Jim Acosta a opéré, le 16 novembre dernier, son retour en fanfare à la Maison Blanche. Quelques jours plus tôt, il avait perdu son accréditation de correspondant de Cable News Network (CNN), mais la justice américaine a obligé le président Donald Trump à annuler la sanction. « C’était un test, et nous l’avons passé avec succès, a fanfaronné Acosta. Les journalistes doivent savoir que, dans ce pays, la liberté de la presse est sacrée, et qu’ils sont protégés par la Constitution [pour] enquêter sur ce que font nos gouvernants et nos dirigeants. » Fondu enchaîné, musique, happy end…


    Réfugié depuis six ans à l’ambassade d’Équateur à Londres, M. Julian Assange n’a sans doute pas pu suivre en direct sur CNN un dénouement aussi émouvant. Car son existence à lui ressemble à celle d’un prisonnier. Interdiction de sortir, sous peine d’être arrêté par les autorités britanniques, puis, sans doute, extradé vers les États-Unis ; communications réduites et brimades de toutes sortes depuis que, pour complaire à Washington, le président équatorien Lenín Moreno a résolu de durcir les conditions de séjour de son « hôte » (lire « En Équateur, le néolibéralisme par surprise »).

    La détention de M. Assange ainsi que la menace de quelques dizaines d’années de prison dans un pénitencier américain (en 2010, M. Trump avait souhaité qu’il soit exécuté) doivent tout au site d’information qu’il a fondé. WikiLeaks est à l’origine des principales révélations qui ont indisposé les puissants de ce monde depuis une dizaine d’années : images des crimes de guerre américains en Afghanistan et en Irak, espionnage industriel des États-Unis, comptes secrets aux îles Caïmans. La dictature du président tunisien Zine El-Abidine Ben Ali fut ébranlée par la divulgation d’une communication secrète du département d’État américain qualifiant cette kleptocratie amie de Washington de « régime sclérosé » et de « quasi-mafia ». C’est également WikiLeaks qui révéla que deux dirigeants socialistes français, MM. François Hollande et Pierre Moscovici, s’étaient rendus, le 8 juin 2006, à l’ambassade des États-Unis à Paris pour y regretter la vigueur de l’opposition du président Jacques Chirac à l’invasion de l’Irak.

    Mais ce que la « gauche » pardonne moins que tout à M. Assange, c’est la publication par son site des courriels piratés de la campagne de Mme Hillary Clinton. Estimant que cette affaire a favorisé les desseins russes et l’élection de M. Trump, elle oublie que WikiLeaks a alors dévoilé les manœuvres de la candidate démocrate pour saboter la campagne de M. Bernie Sanders durant les primaires de leur parti. À l’époque, les médias du monde entier ne s’étaient pas privés de reprendre ces informations, comme ils l’avaient fait pour les précédentes, sans pour autant que leurs directeurs de publication soient assimilés à des espions étrangers et menacés de prison.

    L’acharnement des autorités américaines contre M. Assange est encouragé par la lâcheté des journalistes qui l’abandonnent à son sort, voire se délectent de son infortune. Ainsi, sur la chaîne MSNBC, l’animateur-vedette Christopher Matthews, ancien cacique du Parti démocrate, n’a pas hésité à suggérer que les services secrets américains devraient « agir à l’israélienne et enlever Assange »…

    Serge Halimi

    #Julian_Assange