La journaliste Caroline Fourest malmenée à la Fête de l’Huma

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  • Pour ceux qui ne s’en souviennent pas : le drolatique récit de Pierre Tevanian sur de multiples épisodes durant lesquels sœur Caroline Fourest s’est trouvée humiliée, menacée, lynchée ou, carrément, censurée. Ouh là là, mais c’est une véritable persécution ! Je suis tombé par terre c’est la faute à Venner, tempête dans un verre d’eau c’est la faute à Caro
    http://lmsi.net/Je-suis-tombe-par-terre-c-est-la

    On peut lire enfin le récit d’un Café littéraire qui s’est tenu à l’Institut du Monde Arabe, au cours duquel le public, par des questions et des critiques en bonne et due forme, pointant preuves à l’appui les contre-vérités de ses écrits, a déstabilisé à ce point la serialmenteuse qu’elle s’est mise à insulter tout le monde, y compris l’organisateur du débat, et à quitter l’assistance sans répondre à qui que ce soit. Un communiqué totalement mensonger fut diffusé dès le lendemain dans tous les réseaux politiques et institutionnels par sa compagne Fiammetta Venner, ce qui poussa l’Institut du Monde Arabe à publier un démenti officiel (cf. http://lmsi.net/Une-campagne-honteuse).

    On ne trouvera pas, en revanche, car je n’avais jamais pris la peine de le raconter, la scène du croche-pattes et du jus d’orange - mais en visionnant Burqa-blabla, l’épisode ne pouvait que me revenir en mémoire ! Qu’on me permette donc de terminer par le récit un peu détaillé de cet épisode cocasse, qui à mon sens remet utilement en perspective le personnage Fourest et son éthique de la discussion.