L’AUTEUR PHILIPPE DE JONCKHEERE À LA PEUPLERAIE – CA Orsay Rugby Club

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  • http://www.orsay-rugby.org/lauteur-philippe-de-jonckheere-a-la-peupleraie

    Pour amateurs et amatrices de la chose ovale, demain, dimanche 16 décembre, à l’occasion de la rencontre entre Orsay et le PUC, à l’occasion de la fête traditionnelle de fin d’année du club, je présente et dédicace Raffut que l’on s’échange dans tous les vestiaires de l’ovalie, nul doute.

    Les autres animations (dont la paella monstre) sur cette autre page : http://www.orsay-rugby.org/animations-orsay-puc-16-decembre-2018

    #shameless_autopromo

    • Je n’ai jamais bien compris les règles du jeu au rugby, enfin j’ai pas vraiment cherché à comprendre non plus. J’ai rien contre le sport malgré que je n’en pratique aucun depuis bien longtemps mais dès qu’il y a compétition, ça m’emmerde.

      A l’occasion du match contre le PUC le 16 décembre 2018, le CA Orsay Rugby Club invite Philippe de JONCKHEERE à venir rencontrer les supporters et dédicacer son dernier roman autobiographique, Raffut. Il sera installé à côté du bar tenu par les joueurs, au bord de la pelouse.

      Par contre les règles de comptoir, je connais bien !
      Les brèves de Jean-Marie Gourio aussi :

      « La viande la plus chère, c’est le footballeur. »

    • @ericw Tu sais je crois que je ferai un peu moins le malin à la fin de la foire quand on compte les bouses et que mon éditeur me dira combien de mes livres il a vendu.

      @vanderling Les règles de notre très beau jeu sont incompréhensibles et souvent illogiques, et il y a des raisons historiques à cela. En revanche l’évolution de ces règles et surtout l’évolution du jeu sont à pleurer, le rugby a vendu son âme au diable en 1995 en passant sport professionnel et il semble que le diable commence à exiger son dû. J’ai encore beaucoup de plaisir derrière la main courante à encourager des copains quand ils affrontent des types comme eux, patauds et pas toujours très rapides, et dans un tel fouillis il arrive encore que l’on voit de beaux gestes, en revanche le rugby qui passe à la télévision a perdu toute grâce à mes yeux depuis sept ou huit ans. Et les échos que j’en perçois désormais ne risquent pas de me faire changer d’avis, tout le contraire, cela risque de m’en détourner définitivement. En ce qui me concerne les mouches ont changé d’âne .

    • Bon ben c’était chouette, j’ai été très bien accueilli par toute une équipe de personnes, toutes bénévoles, qui se sont pliées en quatre pour m’être agréable et j’ai vu deux matchs de rugby, du vrai, avec des gars qui ne courent pas de façon supersonique quand bien même ils font plus de cent kilos, des passes ratées, des en-avants, des gros qui suent, des mêlées qui fument et une fanfare avec soubassophone derrière la main courante qui a joué, d’ailleurs, un très beau Hey Jude . Et un match qui s’est terminé dans la pénombre ce qui permet de faire des petites économies d’électricité. Du vrai rugby. Rien à voir avec la téloche.

      Je suis reparti en ayant un peu mal au genou dans cette froidure humide, mais avec le sourire, cela oui (et j’ai vendu plus d’exemplaires du livre qu’à certaines rencontres en librairie).

      Et j’ai mangé une crêpe en bord de terrain et on m’a donné une belle portion de paella pour « Émile », le personnage principal de Raffut qui adore ça (c’est son plat préféré que je ne sais pas bien préparer, je me suis, entre autre, fait expliquer en bord de terrain, que c’était obligatoire de la faire avec du riz rond et surtout pas du riz basmati, ce qui expliquerait bien de choses dans mes ratages précédents).