* Le Service National Universel, le SNU qui vient ! Campus Lille *

/744470

  • Camarade, lâche-moi la grappe avec l’Union Européenne
    https://nantes.indymedia.org/articles/44385

    Depuis quelque temps, certains font mine de découvrir que l’Union Européenne mène une politique libérale sur le plan économique. Les adeptes du départ de l’union européenne se sentent pousser des ailes. Avec le mouvement des #gilets_jaunes, pas une assemblée sans que quelqu’un ne rappelle que « rien ne se fera » sans cette sortie, la Frortie [1]...

    #gilets_jaunes

    • Que cet article rappelle certaines vérités, c’est indéniable. Je cite :

      Si les décisions de l’Europe sont si nuisibles aux populations européennes, ce n’est pas en vertu d’un pacte secret signé sur notre dos, mais bien le résultat du processus démocratique habituel de nos sociétés. La classe politique Européenne n’est rien d’autre que l’addition des classes politiques des différents pays européens. Les médiocrités qu’on y retrouve sont les mêmes et surtout, les intérêts défendus sont les mêmes. Comme partout on y décide sans nous.

      Derrière chaque prétendue application de politique européenne il y a des politiciens bien français qui agissent.
      C’est évident.

      De la à faire l’apologie des bienfaits des décision prises au caprice des dieux, il faut être aveugle.

      Quand on regarde l’état de la société c’est la guerre et ses dévastations. Elle est là la guerre.
      – Celles et ceux qui dorment dans la rue.
      – Celles et ceux qui ont faim, sujet tabou ou presque sur les réseaux sociaux.
      – Abandon de régions entières.
      – Militaires partout, dans les gares par exemple, comme sous vichy, fouille dans les rues, quartiers en couvre feu, pour certaines banlieues.
      – Des quartiers qui s’écroulent, bombardés par la pauvreté, la spéculation immobilière, voir Marseille.
      – Déportation de population, les travailleurs détachés.
      – Censure dans les médias, et « je suis partout » dans les éditoriaux.
      – Rationnement pour ce qui est d’une nourriture correcte, ersatz partout.
      – Rationnement pour ce qui est de l’école et des études, parcoursup . . . . .
      – Re militarisation, le Service Universel qui vient.
      https://seenthis.net/messages/744470
      – Pillage financier des pays.
      – . . . . . . . . .
      Une vision de la réalité.

      On remarquera, que sous prétexte d’indépendance la reprise de l’argumentaire enmarche, on peut dire aussi l’argumentaire néo libéral, par de soit disant médias indépendants, sur les gilets jaunes racistes, antisémites, qui roulent au diesel . . .
      Curieux n’est il pas ?

      Il est vrai que cette révolte d’une partie de la France profonde, ils ne l’ont pas vu venir.
      Jalousie intellectuelle avant toute chose.
      Idem de la part des syndicats, enfin de leurs dirigeants, la CGT comme exemple.
      https://seenthis.net/messages/755396
      Le très peu qu’ont obtenu les révoltés de la France oubliée est bien supérieur à 30 ans de luttes syndicales.

      C’est bien de jouer au penseur universitaire sur les réseaux sociaux , encore faudrait il ne pas tomber dans la collaboration de classe. N’est pas Lordon qui le proclame.
      Tiens, où sont LO ? Le NPA . . . et tant d’autres ?

      L’union européenne, une calamité à supprimer.

  • Assurons à nos lycéens une solide éducation scientifique au climat et à la biodiversité !
    https://blogs.mediapart.fr/les-invites-de-mediapart/blog/151218/assurons-nos-lyceens-une-solide-education-scientifique-au-climat-et-

    L’alerte que nous lançons est d’autant plus urgente que ces programmes doivent être approuvés mardi 18 décembre par le Conseil supérieur des programmes du ministère de l’éducation nationale.

    A ce stade, la place accordée à l’enseignement sur le changement climatique apparaît dérisoire : à peu près rien avant la terminale pour les enseignements du tronc commun au lycée ! Seuls une petite fraction d’élèves choisissant l’enseignement de spécialité « sciences de la vie et de la terre » (SVT) en terminale auraient, peut-être, droit à une formation plus complète et consistante sur ces enjeux majeurs.

    Les nouveaux programmes sont articulés autour de grands enjeux contemporains, mais le changement climatique n’y est quasiment pas présent : seul le bilan d’énergie de la terre est abordé en seconde, de façon théorique et comme on aurait pu le faire dans les années 1970, sans véritable discussion sur l’origine des rejets de gaz à effet de serre, responsables du réchauffement dramatique de notre planète par le biais de l’augmentation de l’effet de serre.

    Le programme scientifique insiste sur la manière dont la science se construit et progresse, ce qui est bienvenu pour construire une culture générale à la démarche scientifique, mais pratiquement aucune place n’est accordée aux sciences récentes, celles qui ont émergé au cours des quarante dernières années, et notamment aux sciences du climat modernes.

    Le temps consacré à l’enseignement en relation avec les deux enjeux vitaux à l’échelle planétaire, l’effondrement de la biodiversité et le changement climatique, apparaît ainsi très insuffisant, au collège comme au lycée.

    De façon plus générale, mais tout aussi préoccupante, l’enseignement en lien avec le développement durable apparaît en recul par rapport aux précédents programmes, alors que l’intégration des dimensions sociales, économiques et environnementales s’affirme comme un enjeu central pour les citoyens, les entreprises et les collectivités, à l’ère de la transition écologique et solidaire.

    #écolologie #éducation #sciences