Edith Scob est morte. Elle m’aura terrorisé, enfant, dans Les Yeux sans visage
▻http://desordre.net/favorite/videos/les_yeux_sans_visage.mp4
Edith Scob est morte. Elle m’aura terrorisé, enfant, dans Les Yeux sans visage
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Abécédaire des prépositions : Nuages
▻http://liminaire.fr/palimpseste/article/abecedaire-des-prepositions-nuages
La forme détournée de l’abécédaire est un genre voué à la célébration de l’acte créateur (le livre des livres). Cette année j’ai décidé d’aborder l’abécédaire par la #Vidéo. Deux fois par mois, je diffuserai sur mon site, un montage d’extraits de films (à partir d’une sélection d’une centaine de mes films préférés : fiction, documentaire, art vidéo) assemblés autour d’un thème. Ces films d’une quinzaine de minutes seront accompagnés sur le site par l’écriture d’un texte de fiction. Ce projet est un dispositif à double (...)
#Palimpseste / #Récit, #Écriture, #Voix, #Sons, Vidéo, #Cinéma, #Nature, #Nuit, #Regard, Société, #Politique, #Voyage, Abécédaire des prépositions (le film des films), (...)
#Société #Abécédaire_des_prépositions_le_film_des_films_ #Numérique
« ►http://bit.ly/filmdesfilms »
@liminaire Magnifique, toujours plus magnifique, de plus en plus magnifique !
Merci Philippe, je n’avais pas vu ton film ▻http://desordre.net/favorite/videos/en_mon_absence.htm je suis en train de le regarder, c’est superbe, ça me rappelle avec émotion les montagnes de Corse !
Et je découvre à cette occasion que tu as été et que tu as vu et filmé, à Sénéchas dans les Cévènnes, la fresque la « Chaine de l’évolution » de Zoo Project à partir duquel j’écris une fiction depuis plusieurs mois. ▻https://youtu.be/INO9N93-QVU
@liminaire Les Cévennes c’est la Corse sans la mer !
Alors ce n’est pas tout à fait à Sénéchas mais à Chalap. Et c’est un autre film de Zoo Project qui m’a mis sur la voie de cette fresque il y a quatre ans. J’avais reconnu l’endroit au sifflement du vent dans les pins. Cela n’a pas été facile de trouver cet endroit. En 2014 la fresque était dans un état très délabré. Et puis elle a été restaurée par un groupes d’amies et d’amis de Bilel. L’automne dernier elle faisait encore bonne figure, mais le climat cévenol n’est pas clément avec la peinture j’en sais quelque chose étant donné la fréquence à laquelle je suis contraint de repeindre les volets de ma maison.
Un extrait de La cordelette (un épisode cévenol) qui est dans le numéro 9 de La Moitié du fourbi dont la soirée de lancement est ce mercredi 15 mai à 19H au Monte en l’Air, passe, cela me fera très plaisir.
Mais j’ai beau ne pas regarder la fenêtre je peux très bien l’imaginer, ses huis laqués en rouge brique, pour les garantir des âpretés des saisons cévenoles, le froid mordant en hiver et la brutalité d’un soleil peu contredit en été, sans compter des pluies torrentielles en automne, d’ailleurs on appelle ces déluges des épisodes cévenols et c’est dans cette vallée que naissent de tels phénomènes, redoutés dans tout le Sud-Est de la France, lorsque des nuages chauds du Sud, viennent buter contre la barre haute et froide du mont Lozère, déclenchant des orages sauvages qui vont recracher leur violence et leurs cataractes en redescendant vers la Méditerranée ; et je peux voir de telles manifestations prendre forme depuis cette fenêtre, je les ai observées et photographiées, filmées même, moult fois, c’est dire si la contemplation de la fenêtre peut facilement détourner le cours de mes pensées...
▻http://www.desordre.net/favorite/sons/coltrane_my_favorite_things.mp3
►http://www.desordre.net/favorite/index.htm
Tandis que Sarah et moi sucions des anguilles japonaises à une terrasse parisienne ensoleillée du mois de juin, chantonnant l’air de I Remember April in Paris, riant de concert à notre bonheur simple, sucer des anguilles parisiennes à une terrasse japonaise ensoleillée en juin, presque en avril, le téléphone de poche de Sarah vibra pour lui apporter une nouvelle tant attendue et heureuse, le genre de trucs top secrets dont elle ne devait parler à personne, pas même moi (surtout pas) avec qui elle suçait des anguilles de juin : on lui proposait en effet d’écrire une douzaine d’interprétations différentes d’un thème éculé, My Favorite Things, elle pouvait choisir chanteurs, chanteuses, musiciennes, musiciens, et traducteur japonais. Sarah avait l’air assez jouasse pour ne rien vous cacher, et si elle avait perdu toute contenance elle aurait volontiers repris des anguilles de terrasse. Il faisait beau. Nous étions à une terrasse de restaurant, un de nos endroits préférés, qui servait notre plat préféré, des anguilles de Paris à la japonaise, et m’est venue en tête la première phrase d’un texte « Mon My favorite things préféré c’est celui de Coltrane ». Mais je n’ai rien dit. Mais cette phrase, une petite heure plus tard, dans le métropolitain, je l’ai notée sur mon calepin, qui fait aussi office de téléphone de poche. Et le soir-même j’ouvrais un fichier de bloc-notes et je notais la suite de cette phrase restée en suspens, deux points ouvrez les guillemets : « … l’époque Atlantic, le moment même de la bascule ― j’aime les moments de bascule, ce sont ceux-là que je préfère, quand cela ne peut plus jamais être la même chose par la suite, qu’on ne peut plus faire comme avant, et après, même longtemps après, comprendre que c’est à tel ou tel moment que s’est faite la bascule, et pour Coltrane c’est à ce moment-là, un peu au moment où justement il essaye de nouvelles choses, notamment au soprano et, juste après, il bascule dans la période Impulse !, il change de galaxie, et j’aime assez quand on change de galaxie ―, dans mes choses vraiment préférées, il y a une odeur disparue, celle de ma fille Sarah bébé … » Et, à vrai dire, j’étais un peu lancé. Il me faut peu de choses des fois.
Ce qui est amusant c’est que trois ou quatre jours plus tard je suis allé écouter Sarah (qui ignorait tout de cette manière un peu curieuse avec laquelle j’avais occupé mes derniers jours, à savoir : écrire une liste désordonnée des choses que je préfère dans la vie, des anguilles au chiffre 5 de Jasper Johns, en passant par le pélardon et d’autres trucs encore), en concert, avec le sextet de Sylvain Cathala (dans lequel joue Michel Foucault à la guitare) et comme je croisais Sarah avant qu’elle n’entre en scène, je lui confiais une enveloppe de papier kraft dans laquelle j’avais imprimé en hâte mon premier jet de ce qui était devenu My Favorite Favorite Things, tout en lui recommandant, prudemment, de n’ouvrir cette enveloppe que plus tard, quand elle serait rentrée chez elle, le soir, à tête reposée, comme on dit, comme si Sarah se reposait beaucoup la tête. Pendant ce temps-là je prenais place dans la salle de concert et mon téléphone de poche a vibré, c’était un message de Sarah, depuis les coulisses, qui n’avait pas pu s’empêcher de regarder le contenu de l’enveloppe, les cinquante pages de choses que je préfère dans la vie, dont le My Favorite Things de Coltrane, boire mon café devant la vallée de la Cèze dans les Cévennes, et le dossier M de Grégoire Bouillie que je n’avais pas encore commencé à le lire.
Alors vous dire ce que je pense du film My Favorite Things que Sarah a fait avec Paul Ouazan, ce serait une exercice périlleux tant j’ai pu voir comment cela agitait de l’intérieur Sarah. Cela m’amusait d’ailleurs pas mal, je me suis dit virgule, elle est comme moi quand je suis en train d’écrire un roman, je suis incapable d’avoir un autre sujet de conversation qu’à propos du récit que je suis en train d’écrire. N’empêche douze interprétations d’un thème aussi ingrat en somme, fallait le faire, fallait les écrire, fallait le jouer, l’enregistrer et le filmer et le monter. Et elle l’a fait. Et il l’a fait. Et ils et elles l’ont fait.
D’ailleurs c’est là : ►https://www.arte.tv/fr/videos/086299-001-A/les-sessions-d-arte-studio-my-favorite-things
Sans vouloir divulgâcher le My Favorite Things de Sarah, à la fin il y a une petite fille qui saute à la corde de joie (et de fierté), je crois que c’est la première fois que je m’identifie à une petite fille qui saute à la corde, on peut rêver non ? Et oublier qu’on a mal aux genoux. D’ailleurs ma convalescence suite à mon opération de prothèse de genou n’a été que bonheur, calme et volupté en tissant tous les liens hypertextes de cette version en ligne de My Favorite Favorite Things, on a les loisirs qu’on peut et moi, ce que je préfère faire dans la vie, dans toute la vie, c’est faire de l’html. Point.
Et pour tout avouer, en bon aficionado de Coltrane j’ignorais absolument tout que My Favorite Things fût une chanson dont les paroles sont une liste de choses que leurs auteurs, Richard Rodgers et Oscar Hammerstein II
Raindrops on roses
And whiskers on kittens
Bright copper kettles and warm woolen mittens
Brown paper packages tied up with strings
These are a few of my favorite things
Cream-colored ponies and crisp apple strudels
Doorbells and sleigh bells
And schnitzel with noodles
Wild geese that fly with the moon on their wings
These are a few of my favorite things
Girls in white dresses with blue satin sashes
Snowflakes that stay on my nose and eyelashes
Silver-white winters that melt into springs
These are a few of my favorite things
When the dog bites
When the bee stings
When I’m feeling sad
I simply remember my favorite things
And then I don’t feel so bad
Raindrops on roses and whiskers on kittens
Bright copper kettles and warm woolen mittens
Brown paper…
Les gouttes de pluie sur des roses
Et les moustaches de chat
Les bouilloires en cuivre brillant
Et des mitaines en laine chaude
Les emballages de carton ramassés avec de la ficelle
Ce sont mes choses préférées
Les robes crème des poneys
Et des strudels aux pommes croustillantes
Les sonnettes et les grelots
Et les escalopes pânées avec des nouilles
Ce sont mes choses préférées.
Les oies sauvages volant la Lune sur leurs ailes
Les filles en robes blanches et rubans de satin bleu
Les flocons qui collent au nez et aux cils
Les hivers blanc argent qui se fondent dans le printemps
Ce sont mes choses préférées.
Quand le chien mord,
Quand l’abeille pique,
Quand je suis triste,
Je me souviens de mes choses préférées,
Et je ne me sens pas si mal
Du coup, sans même connaître l’existence de ces paroles, il semble que j’avais vu juste dans leurs intentions en écrivant My Favorite Favorite Things
C’est en fait le personnage de gouvernante, joué par Julie Andrews dans La Mélodie du Bonheur qui chante cette chansons aux 7 enfants dont elle s’occupe...
Autre discussion sur le sujet :
▻https://seenthis.net/messages/744893
After recording seven albums with the major label imprint Asylum, Waits spent the following decade with #Island_Records before eventually signing with the noted indie Anti- in 1999, where he remains to this day. Earlier this month, Anti- reissued the seven albums that comprise Waits’s ‘70s Asylum Records catalog, which is now available on #Bandcamp in addition to the entirety of his Anti- catalog.
A Tom Waits Listening Primer « Bandcamp Daily
Here are 10 of Waits’s greatest albums now available on Bandcamp.
▻https://daily.bandcamp.com/2018/03/26/a-tom-waits-listening-primer
▻https://tomwaits.bandcamp.com/track/virginia-avenue
Je suis en train de découvrir Orphans , c’est un peu comme si on avait découvert un nouveau tintin ! Les déchets de Tom Waits, c’est quelque chose, il y a tant de tant de musiciens qui se damneraient pour avoir écrit et chanté des trucs pareils.
Quel bonheur de se replonger là dedans, et beaucoup de chansons sont détaillées, avec les paroles, et parfois les musiciens...
Vous connaissiez celle là ?
Road To Peace
Tom Waits, Orphans : Brawlers, Bawlers & Bastards, 2006
▻https://tomwaits.bandcamp.com/track/road-to-peace
@sinehebdo Je l’ai découverte, comme toi, dimanche, je n’en reviens pas. Et de se dire que c’est ses déchets, nom de nom !
Oh, non, j’avais acheté ce coffret dès sa sortie, et j’avais remarqué ce rare texte explicitement politique chez Tom Waits (pas son meilleur d’ailleurs, mais c’est l’intention qui compte !). Mais je n’avais rien emporté au Canada, donc ça me donne l’occasion de tout réécouter... c’est vrai qu’il n’y a pas grand chose à jeter chez le grand Tom, et le récent est aussi bon que l’ancien, ce qui n’est pas le cas chez grand monde...
J’aurais même tendance à dire que c’est de meilleur en meilleur (les Mules variations, c’est quelque chose !). J’ai entendu une fois quelqu’un dire, je ne sais plus qui, qu’il était admirable de voir que des deux cool guys de Down by law , Tom Waits n’avait cessé d’aller dans le sens d’une recherche imaginative de plus en plus aventice alors qu’il avait démarrré comme chanteur de blues et que John Lurrie c’était un peu le contraire, venu du jazz expérimental (No Pain For Cakes, Lounge Lizards), il avait rejoint un jazz nettement plus main stream (en tout cas il est passé très en dessous de mes radars, ce qui ne prouve rien), c’est assez juste je trouve.
Petite déception en ce qui concerne le site web : pour Orphans, non seulement on n’a pas l’année d’enregistrement, ni les musiciens, mais on n’a pas non plus les auteurs, ce qui est gênant quand on sait que c’est l’un des rares disque où Tom Waits reprend des musiciens ou des auteurs à qui il rend hommage : Leadbelly, les Ramones, Johnny Cash, Kerouac, Burroughs, Bukowski. etc.
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Orphans:_Brawlers,_Bawlers_%26_Bastards
Son Orphans : Brawlers, Bawlers & Bastards (triple album)
▻https://www.discogs.com/fr/Tom-Waits-Orphans-Brawlers-Bawlers-Bastards/master/14152
triple album - pas si fréquent dans l’industrie du disque, tout du moins à ce niveau de qualité. Quelle chance vous avez d’être bilingue. Je l’ai beaucoup écouté surtout Rain Dogs sur une cassette Island-rds. Une réelle bonne surprise de découvrir 10 de ses albums sur Bandcamp.
Sur discogs son impressionnante #discographie réalisé en majeure partie avec sa complice #Katleen_Brennan.
▻https://www.discogs.com/fr/artist/82294-Tom-Waits?page=1
il y a aussi une biographie que je n’ai jamais pris le temps de lire de Barney Hoskyns chez rivages rouge. ( 656 pages pour 11€ ) vraiment généreux ce bawlers.
▻http://www.payot-rivages.fr/rivages/livre/tom-waits-une-biographie-9782743624675
Pour les anglophones, toutes ses interviews sont des chefs d’oeuvre d’intelligence et d’humour :
▻http://www.tomwaits.com/press
J’aime ce qu’il fait « récemment » (la révolution Kathleen Brennan commence avec son changement de maison de disque et l’album Swordfishtrombone en 1983, période qui n’est pas sur Bandcamp), mais j’aime aussi les années 1970 où c’est plus piano-bar, jazz, blues...
Impossible à classer, même par les grammys : Alternative Music, Contemporary Folk, Americana, Rock...
▻https://www.grammy.com/grammys/artists/tom-waits
Ah, et il y en a un peu plus que 10, il y en a 14 si on va là:
▻https://tomwaits.bandcamp.com
Moi c’est Bad As Me que je ne connaissais pas, avec cette réponse au Satisfaction des Stones (avec Keith Richards à la guitare !) :
▻https://tomwaits.bandcamp.com/track/satisfied
Mais quel bonheur de réécouter les Mules Variations. Il n’y a que lui qui peut chanter :
Without love, it ain’t nothin but a house,
a house where nobody lives.
ou
I love you baby, and I always will,
ever since I put your picture in a frame
Sans sonner complètement ridicule...
The Devil don’t exit
It’s only God when he’s drunk
oops, je corrige, les interviews c’est là, ce n’est pas le site officiel, mais c’est un fan et il y a presque tout, de 1973 à 2009 (après 2009, il faut aller sur le site officiel) :
▻http://www.tomwaitslibrary.info/interviews.html
+ qu’un fan @sinehebdo ce site est aussi riche que l’officiel
une des chansons les plus populaires de Waits, « Christmas Card from A Hooker in Minneapolis ».
▻https://www.youtube.com/watch?v=mxVo5mjK4eg
This album is one of THOSE albums, ie the ones that make you feel a deep pity for those who don’t dig them or haven’t yet discovered them. Tom Waits gives ’West Side Story’ a make-over with a broken whiskey bottle and a flick-knife. He explores that dark world that surrounds all of us, many of us not noticing it’s there; the world of poverty and the dispossessed, the world of the black market and the addict, the world of the predator and the tough-guy-dying-young, the world of broken dreams and crushed souls. And he does it with the utmost, heart rending sincerity. The concept of this work of art could so easily have led to schmaltzy, sentimental cartoonery, but in Waits’ hands we get the sublime rather than the ridiculous. His musicians are perfect for the job, and the production is near-perfect and does not call attention to itself, (admittedly, on the first track there are thick waves of gushing strings, but this serves to set up the dark mood for the rest of the album perfectly) . The songs are...simply brilliant!
▻https://www.discogs.com/fr/Tom-Waits-Blue-Valentine/master/14059
Quelle putain de chanson de #Noël... (et quel disque !)
oui, c’est en visitant Fip.fr que je suis retourné écouter Tom Waits
Les fêtes en musique avec quelques pépites tirées des bandes originales de film autour de Noël.
▻https://www.fip.fr/emissions/certains-l-aiment-fip/2018/la-bo-de-noel-au-cinema-12-23-2018-20-00
J’ai beaucoup écouté ce disque (comme quoi tout n’était pas si mauvais dans les années 80) et tiens je vais me l’offrir pour Noël.
@vanderling Je dois pouvoir te le mettre en téléchargement quelque part et sinon il est là :
Merci @philippe_de_jonckheere mais je n’écoute rien en téléchargement ou plutôt je ne conserve aucun téléchargement. J’écoute beaucoup de musique en streaming pour découvrir ou redécouvrir et pour cela #Bandcamp me comble au-delà de ce qu’il me faut. Ouille-Tube aussi mais j’y reste beaucoup moins longtemps et les suggestions de Google sont toujours merdique. J’étais abonné à Spotify il y a 2 ou 3 ans mais cette plate forme était trop chronophage pour moi et en plus je ne possède pas de smartphone. Je résiste, je résiste mais je crois que je ne vais pas y couper. Si cela arrive alors il sera temps pour moi de m’en aller en espérant ne pas me faire incinérer avec une de ces saloperie.
Quand j’aime vraiment un disque, j’essaye de me le procurer physiquement au format CD. Je n’écoute pas de vinyle. Je passe régulièrement chez OCD qui a encore un beau stock de CD d’occasion. A Rennes, j’ai vu le magasin se faire envahir par les DVD et les jeux. Mais ils ont conservé une douzaine de mètres de bacs CD. Je trouve parfois des cadeaux de Noël revendu ou échangé après les fêtes et je suis à peu près sur d’y trouver Blue Valentine pour moins de 10 euros.
Merci de m’avoir donné une chance de le ré-écouter, quel bonheur, et juste pour 29$...
(c’est le disque par lequel j’ai découvert Tom Waits, le seul qui lui ressemble étant Heartattack And Vine, mais j’aime aussi ce qu’il a fait avant et après !)
cette photo extraite du desordre.net/bloc/ursula de @philippe_de_jonckheere
Merci, j’y ai trouvé aussi No pain for cakes des Lounge Lizards
▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/sons/lounge_lizards.mp3