Une faute médicale provoque la mort d’une jeune mère de 25 ans au CHRU

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  • Sécurité sociale : il existerait 1,8 million de numéros de sécurité sociale attribués sur la base de faux documents qui coûterait « 14 milliards d’euros par an »
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/15396-securite-sociale-il-existerait-1-8-million-de-numeros-de-securite-s

    Ça vous étonne que l’Assemblée nationale ne fasse rien ? Alors je me permets de vous rappeler que la France à signé le 11 décembre 2018 le pacte de Marrakech qui prévoie, planifie et légalise, l’installation de 5 à 89 millions d’immigrés en France d’ici 2050, ceci pour le plus grand plaisir du patronat, et dont les prestations sociale, éducative, médicale seront assurées par nos impôts, privatisation des profits et socialisation des pertes comme pour les ... Banques... La conséquence d’Emmanuel Macron serat Marine Le Pen à la présidence de la République française, et c’est voulu, après avoir mis le pied à l’étrier à Emmanuel Macron, Jacques Attali ne se vantait il pas de connaître LA future présidente de la France en 2022 ?

    Le Sénat a adopté un amendement prévoyant que le (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

    • * Roubaix-Lille Une faute médicale provoque la mort d’une jeune mère de 25 ans au CHRU
      http://lavdn.lavoixdunord.fr/509783/article/2018-12-19/une-faute-medicale-provoque-la-mort-d-une-jeune-mere-de-25-ans-au

      Le 5 juin 2017, une Roubaisienne de 25 ans tout juste opérée d’une appendicite au CHRU est renvoyée chez elle malgré une forte fièvre. Elle décédera cinq jours plus tard, laissant une fillette orpheline de 8 ans. L’hôpital a reconnu des manquements et devra sous quatre mois indemniser la famille de la victime.

      C’était le lundi de Pâques. Dans la matinée, Salima Ghrib est arrivée aux urgences du CHRU, se plaignant de douleurs au ventre. Elle sera opérée dans la soirée d’une « appendicite aiguë perforée ».


      La fièvre ne la quitte pas. « Le 4 juin, elle avait 38,7º degrés et le 5 au matin, sa CRP, (marqueur d’une infection dans le sang NDLR), est à 378 alors que la normale est inférieure à 6 », souligne aujourd’hui, Me Angélique Opovin qui représente la famille Ghrib. « On la renvoie malgré tout chez elle, le 5 juin en lui disant que ses douleurs sont une suite opératoire normale  », s’indigne l’avocate. «  Le 9 juin, alors qu’elle est chez ses parents, alitée dans une chambre, elle est soudain si mal que sa fillette qui était avec elle fait irruption dans le salon en criant : « maman est en train de mourir. » »

      De la fièvre et le mauvais antibiotique
      Salima est ramenée en urgence à l’hôpital. Les médecins ne pourront rien faire pour la sauver. Elle meurt le 10 juin, laissant sa famille avec de multiples questions. Du côté du centre hospitalier de Lille, les bévues s’enchaînent : le dossier médical remis aux parents de Sabrina Ghrib est incomplet. Le CHR leur adresse une nouvelle version sous forme d’un CD-Rom qui s’avérera être le dossier d’un autre patient.

      En avril 2018, Me Angélique Opovin saisit la commission de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux, une procédure civile qui évite le recours au tribunal correctionnel. Un médecin expert en chirurgie viscérale et digestive conclut sans ambiguïté : « Salima Ghrib présentait un cas d’appendicite très lourd, la CRP à 378 aurait dû alerter et entraîner des examens supplémentaires », rapporte l’avocate.

      L’expert relève une autre faute médicale : la patiente a été renvoyée de l’hôpital avec un traitement à base d’Augmentin alors qu’une analyse de sang faite avant la sortie révélait que l’infection de Salima Ghrib était résistante à cette souche d’antibiotiques. L’expert vient de considérer que la faute a contribué au décès de la jeune femme, à hauteur d’au moins 80 %.

      Plusieurs vies bouleversées
      Le CHR n’a jamais contesté sa responsabilité dans la mort de Salima Ghrib et a reconnu des manquements. L’hôpital a dorénavant quatre mois pour indemniser la famille. Reste à savoir si les proches seront dédommagés à la hauteur du bouleversement économique qui s’ajoute à leur douleur.

      * Salima était le pivot d’une auto-école créée avec ses deux sœurs, près de la gare à Roubaix. Il a fallu tout réorganiser sans elle. Mais surtout Salima Ghrib élevait seule sa fillette. L’enfant habite désormais chez ses grands-parents. Un couple de gens âgés d’une soixantaine d’années, aux revenus modestes et à la santé fragile, qui ont dû se replonger dans l’éducation d’une fillette de 8 ans.

      #Hopital déglingué #Femme Merci le #PS , Merci aussi aux députés #enmarche, et à #emmanuel_macron de continuer la destruction du systéme de santé français.