Ça ressemble trait pour trait aux débats franco-québécois des années 1950-60…
Sinon,
El investigador mexicano Raúl Ávila elaboró en 1994 un estudio sobre 430.000 palabras pronunciadas en la radio y la televisión de su país y concluyó que el 98,4% de ellas pertenecían al español general. El hecho diferencial se quedaba en un 1,6%.
También comprobó que el doblaje de la película estadounidense La chaqueta metálica hecho en México habría servido perfectamente en España si nos atenemos al vocabulario (otra cosa sería el acento). Por tanto, solamente habría necesitado un trabajo de subtitulación, y no dos.
Ben oui, le doublage est délibérément réalisé dans un ton neutre et en éliminant les localismes…
Cf. ce documentaire sur le doublage au Venezuela, dont je découvre au passage qu’il talonne le Mexique pour cette activité ; propulsé par le grand boom des telenovelas brésiliennes de années 1980 et relancé par une longue grève du doublage espagnol (citée comme gargantas cerradas dans le documentaire) en 1993 (101 jours du 24 mai au 1er septembre)
La huelga de doblaje de 1993 y sus extraños resultados - CINEMANÍA (2012)
▻http://cinemania.elmundo.es/noticias/la-huelga-de-doblaje-de-1993-y-sus-extranos-resultados
Doblaje en Venezuela Detrás de las Cámaras | Programa Completo Televen TV (2015)
▻https://www.youtube.com/watch?v=y-TX1DfXAX4
On évite les expressions spécifiques comme carro ou ¡ay, que chévere !
Le documentaire a quelques redites et le ton du présentateur au début et à la fin est assez insupportable, mais il m’a bien fait rigoler. Tous les acteurs ont un (gros) accent vénézuélien, et là où je m’explose, c’est quand ils refont les voix des annonces des programmes de télévision (toute ma jeunesse ;-)
¡en VenevisiÓnnnn !
à noter aussi, la mention élogieuse de RCTV dont la l’autorisation d’émettre n’a pas été renouvelée en 2007 par le gouvernement de Chávez pour cause de soutien au coup manqué de 2002.