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  • Sánchez avanza en el reconocimiento del Estado palestino junto a Irlanda, Malta y Eslovenia | Público
    https://www.publico.es/internacional/sanchez-avanza-reconocimiento-del-palestino-irlanda-malta-y-eslovenia.html

    Et dire qu’il faut considérer cela comme un acte courageux au regard de la lâcheté des autres : L’Espagne, l’Irlande, Malte et la Slovénie « disposées à reconnaître l’Etat palestinien » quand cela pourra être une contribution positive et quand les circonstances seront réunies.

    Pauvres Palestiniens...

    España, Irlanda, Malta y Eslovenia han mostrado su predisposición a reconocer el Estado palestino, cuando hacerlo «pueda hacer una contribución positiva y las circunstancias sean las correctas», han señalado en un comunicado.

  • A flotilla of migrant boats from Tunisia overwhelms an Italian island and tests Meloni’s policy - ABC News
    https://abcnews.go.com/International/wireStory/italian-island-lampedusa-sees-5000-migrants-arriving-100-103144921

    A flotilla of flimsy boats, crowded with migrants and launched from Tunisia, overwhelmed a tiny southern Italian island on Wednesday, taxing the coast guard’s capability to intercept the smugglers’ vessels and testing Premier Giorgia Meloni’s pledge to thwart irregular migration.

    Compounding the political pressure on Italy’s first post-war far-right leader were vows by France and Germany to rebuff migrants who arrive by sea on Italian shores, and, in defiance of European Union asylum system rules, head northward to try to find jobs or relatives.

    Starting early Tuesday, the unseaworthy, overcrowded iron boats, came one after the other in what appeared to be almost a procession to onlookers on Lampedusa, a fishing and tourist island south of Sicily. Around 6,800 migrants came in a span of just over 24 hours — that number is a few hundred higher than the isle’s full-time population.

  • Georgia waits for Ukraine’s decision on ex-Justice Minister Adeishvili’s extradition
    https://agenda.ge/en/news/2015/247

    Georgia has sent all relevant documents regarding ex-Justice Minister Zurab Adeishvili, who is wanted by Georgia’s law-enforcement bodies and INPERPOL’s red notice, to Ukraine and now the latter needs to decide whether or not to transfer him to Georgia.

    Georgia’s Deputy Interior Minister Archil Talakvadze talked about Adeishvili’s staying in Ukraine with local journalists today.

    He said Georgia respected Ukraine as a sovereign state and was now waiting for Ukraine to make an independent decision.

    "We cannot put any pressure on Ukraine regarding this issue,” he said, adding Georgia would respect Ukraine’s decision whatever it would be.

    Adeishvili who was charged in absentia in Georgia for the abuse of power with the use of violence, inhumane treatment, provoking a crime and fabricating evidence, was said to be in Ukraine and participate in the consultations about the ways of the fight against corruption. This information was confirmed by the Ukrainian Ambassador to Georgia.

    INformation trouvée sur un site espagnol proche de Podemos : https://www.publico.es/internacional/exministro-georgiano-condenado-torturas-asesora-ucrania-europa-sancionar-rus

  • La UE aumenta los fondos de gestión migratoria en Marruecos con 500 millones

    La asignación para el periodo 2021-2027 es de casi un 50% más que los 346 millones que había recibido en el anterior.

    La Unión Europea (UE) aumentará el paquete de ayuda a Marruecos para la gestión migratoria en unos 500 millones de euros para el periodo 2021-2027. Esto supone un 50% más que en el periodo anterior (2014-2020) cuando el paquete presupuestario era de 346 millones.

    Estos paquetes de «ayuda sustancial» para Rabat en el ámbito migratorio incluyen un programa de apoyo presupuestario que se encuentra en negociación, pero que podría suponer unos 150 millones de euros, según fuentes comunitarias. Además, se está considerando para el futuro otra fase del programa de apoyo presupuestario por un montante «aproximadamente similar».

    La Comisión Europea y Marruecos acordaron una nueva asociación operativa contra el tráfico de personas, cuando la comisaria de Interior, Ylva Johansson, visitó el país el pasado 8 de julio.

    En particular, prevé un apoyo en la gestión de fronteras, la cooperación policial reforzada (incluidas las investigaciones conjuntas), concienciación sobre los peligros de la migración irregular y una mayor cooperación con las agencias de la UE que trabajan en el ámbito de los asuntos de interior. La Comisión considera que Marruecos «es un socio estratégico y comprometido» con el que los Veintisiete han cooperado en temas migratorios desde hace años.

    Rabat también se beneficiará de nuevas acciones nacionales junto con otras regionales, en las áreas de lucha contra el tráfico y la trata de personas, protección, retorno y reintegración, así como en el ámbito de la migración legal, señalaron fuentes comunitarias. Precisaron, por otra parte, que está en discusión el apoyo futuro a Marruecos en ese contexto y que solo se podrá dar detalles una vez que los diferentes programas estén finalizados.

    La UE tiene la intención de seguir apoyando la gobernanza y la gestión de la migración en Marruecos, incluso con acciones específicas destinadas a garantizar que las fronteras sean gestionadas de acuerdo con las normas internacionales de derechos humanos, indicaron las fuentes. El apoyo financiero de la UE es parte de un diálogo integral UE-Marruecos sobre migración, en línea con los principios consagrados en el Pacto Europeo para la Migración y el Asilo.

    El enfoque principal de la cooperación es la promoción de los derechos y la protección de los migrantes y refugiados vulnerables, el apoyo institucional para la gestión de la migración, así como la creación de oportunidades económicas y el apoyo a los esquemas de movilidad legal como alternativas a la migración irregular, aseguraron las fuentes.

    https://www.publico.es/internacional/ue-aumenta-fondos-gestion-migratoria-marruecos-500-millones.html#md=modulo-p
    #UE #EU #Union_européenne #Maroc #asile #migrations #réfugiés #externalisation #frontières #aide_financière #coopération_policière #police

    • Lutte contre l’immigration clandestine : comment l’UE a fait du Maroc son « #partenaire_privilégié »

      Près de 500 millions d’euros : telle est la somme que va verser l’Union européenne au Maroc pour lutter contre l’immigration clandestine. Un pas de plus dans la collaboration entre l’Europe et le royaume, qui cherche depuis des années à « asseoir son leadership » en matière de migration.

      C’est une preuve de plus du rapprochement qui s’opère entre le Maroc et l’Union européenne (UE) au sujet des questions migratoires. Bruxelles va verser au royaume la somme de 500 millions d’euros « pour renforcer ses actions dans la lutte contre l’immigration clandestine », a affirmé, lundi 15 août, le journal espagnol El Pais.

      Cet argent servira à consolider les nouveaux mécanismes de coopération entre l’UE et le Maroc, à savoir l’appui à la gestion des frontières, le renforcement de la coopération policière (y compris les enquêtes conjointes), et la sensibilisation aux dangers de l’immigration irrégulière.

      Une partie de la somme sera aussi dédiée « au développement des politiques d’intégration et de protection des réfugiés au Maroc », ainsi qu’à « la lutte contre les mafias », relaie le site d’informations marocain Médias24.

      Les 500 millions d’euros d’aide annoncés dépassent largement les 343 millions d’euros reçus précédemment par le Maroc, fait savoir aussi El Pais.

      L’immigration irrégulière, « une source d’instabilité »

      Cette somme promise vient clore un cycle de rencontres et de rapprochements mutuels ayant eu lieu ces derniers mois entre l’UE et le Maroc. Le 8 juillet, la commissaire européenne chargée des affaires intérieures #Ylva_Johansson et le ministre espagnol de l’Intérieur, #Fernando_Grande-Marlaska, avaient rencontré à Rabat le ministre de l’Intérieur marocain, #Abdelouafi_Laftit. Ensemble, ils avaient lancé « un partenariat rénové en matière de migration et de lutte contre les réseaux de trafic de personnes », peut-on lire dans un communiqué de la Commission européenne. Celui-ci couvre les mêmes prérogatives que l’aide financière décidée ces derniers jours.

      En mars, le commissaire européen chargé du voisinage et de l’élargissement #Oliver_Varhelyi avait posé, depuis Rabat, les jalons de cette #collaboration renforcée. « Nous sommes très reconnaissants du travail dur et persistant réalisé par le Maroc et qui doit se poursuivre. Et nous sommes prêts à contribuer de notre part pour faciliter ce travail, parce que nous sommes convaincus que l’immigration irrégulière est une source d’instabilité et de vulnérabilité pour la région », avait-il assuré au ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita.

      Le commissaire avait même affirmé vouloir « élargir cette coopération », avec « des moyens financiers plus élevés qu’avant ».

      Les migrants comme outil de pression

      Pour l’Europe, l’objectif est clair : « Faire face, ensemble, aux réseaux de trafic des personnes, notamment suite à l’émergence de nouveaux modes opératoires extrêmement violents adoptés par ces réseaux criminels », indique encore le communiqué de la Commission européenne, qui voit en Rabat « un partenaire stratégique et engagé [...] en matière de migration », « loyal et fiable ».

      L’enthousiasme de l’UE à l’égard du Maroc avait pourtant été douché en mai 2021, après le passage de plus de 10 000 migrants dans l’enclave espagnole de Ceuta, les 17 et 18 mai. En cause ? Les tensions diplomatiques entre Madrid et Rabat à propos de l’accueil, par l’Espagne fin avril, du chef des indépendantistes sahraouis du Front Polisario, Brahim Ghali, pour des soins médicaux. L’UE avait alors suspendu son aide financière au Maroc tout juste décaissée, et qui devait courir jusqu’à 2027. « Personne ne peut faire chanter l’Europe », avait alors déclaré Margaritis Schinas, vice-présidente de la Commission européenne.

      Un peu plus d’un an plus tard, les drames survenus sur les routes migratoires marocaines qui mènent à l’Europe ont, semblent-ils, changé la donne. La pression migratoire qui s’exerce aux frontières de Ceuta et Melilla et en mer, ont poussé l’UE à faire évoluer sa relation avec le Maroc, qui y trouve son intérêt.

      « Cela fait longtemps que l’Europe et le royaume essaient de trouver des points de convergence. Mais ce dernier a longtemps résisté aux propositions européennes, ne voulant pas être ’otage’ d’un accord multilatéral sur ces questions, et abîmer son image auprès des pays africains, dont il cherche à se rapprocher », explique à InfoMigrants Catherine Withol de Wenden, directrice de recherche au CNRS, spécialiste des migrations internationales. Mais aujourd’hui, le royaume s’attache au contraire « à tirer profit de sa position géographique, pour faire monter la pression côté européen, et asseoir son leadership à ce sujet », précise la spécialiste.

      La stratégie du récent « partenaire privilégié » de l’UE fonctionne aussi sur ses membres. Le 19 mars, Madrid a en effet soutenu pour la première fois publiquement la position de Rabat sur le dossier du Sahara occidental. Et ce, alors même que le pays avait toujours prôné jusqu’ici la neutralité entre Rabat et le Polisario. « En faisant volte-face sur la question du Sahara occidental, l’Espagne a montré son point faible. Elle ne veut plus se brouiller avec le Maroc, car les conséquences, on le sait, sont très fâcheuses », avait confirmé à InfoMigrants Brahim Oumansour, chercheur à l’IRIS (Institut des relations internationales et stratégiques), spécialiste du monde arabe.

      À l’intérieur des frontières du Maroc, dont la politique migratoire est tant vantée par l’UE, s’appliquent pourtant de nombreuses violences à l’égard des migrants, sans papiers ou demandeurs d’asile. La répression des exilés est bien souvent privilégiée par les autorités, en lieu et place d’un accueil digne. Mercredi 17 août, un groupe de 28  migrants doit être jugé à Nador, dans le nord-est du pays, pour avoir tenté de franchir les hautes clôtures qui séparent Melilla du territoire marocain, avec 1 500 autres personnes. Ces prévenus sont, pour la plupart, originaires du Tchad et du Soudan, pays parmi les plus pauvres du monde.


      https://www.infomigrants.net/fr/post/42670/lutte-contre-limmigration-clandestine--comment-lue-a-fait-du-maroc-son

      #partenariat

  • Un grupo de abogados y periodistas denuncia a la CIA por espiar sus conversaciones con Julian Assange
    https://www.publico.es/internacional/grupo-abogados-periodistas-denuncia-cia-espiar-conversaciones-julian-assange
    También acusan al exdirector del servicio de inteligencia estadounidense Mike Pompeo de supervisar y dirigir «una campaña extraordinaria de espionaje ilegal» cuando el fundador de WikiLeaks vivía en la embajada de Ecuador en Londres

  • La ONG israelí B’Tselem denuncia la detención y tortura de dos jóvenes palestinos en Jerusalén | Público
    https://www.publico.es/internacional/ong-israeli-btselem-denuncia-detencion-tortura-jovenes-palestinos-jerusalen.

    El último informe de la organización de derechos humanos B’Tselem confirma que los servicios secretos israelíes del Shin Bet realizan rutinariamente prácticas de tortura contra los palestinos, no solo de la Cisjordania ocupada sino también de Jerusalén este, algo que los palestinos denuncian desde hace muchos años, que Israel niega y que la comunidad internacional ignora para no crear un altercado con el estado judío.

    (...) El informe detalla la pesadilla vivida por Yazan al Rajbi, de 22 años, y Mohammad al Rajbi, de 20 años, que el 22 de agosto de 2021 fueron citados en el cuartel general de la policía de Jerusalén, denominado popularmente Moscobía. Nada más llegar, ambos fueron detenidos y llevados a dependencias del Shin Bet, donde sufrieron interrogatorios bajo tortura durante 42 días.

    Ambos fueron atados a una silla pequeña durante más de 24 horas seguidas, privándoseles del sueño durante ese tiempo. Uno de los palestinos fue encerrado en un armario de madera y también se le privó del sueño hasta que se desmayó. Posteriormente se les trasladó a varias prisiones donde se les encerró en celdas con pájaros, como se conoce a los palestinos que colaboran con las fuerzas israelíes, para que confesaran culpas que ellos negaban.

    Los pájaros colaboracionistas los aislaban dentro de la cárcel para forzarlos a confesar que Yazan y Mohammad al Rajbi habían participado en confrontaciones con las fuerzas de ocupación en julio de 2021 en el barrio de Silwan, justo extramuros de la ciudad vieja de Jerusalén, una zona palestina que Israel está judaizando a un ritmo muy rápido desde hace años. Ambos negaban la acusación.

    Después de un interrogatorio que se prolongó durante veinte días, y cuando ya no podía resistir más la tortura, Mohammad confesó que había tirado una piedra. Los interrogadores no se dieron por satisfechos e intentaron que confesara otras culpas. Después de 42 días, Yazan terminó por admitir que había tirado dos piedras, y fue trasladado a la cárcel de Meguido, en la Galilea.

    Finalmente a los dos jóvenes se les acusó formalmente de participar en protestas y de atacar a un policía, y se les sentenció a ocho meses de cárcel. Quedaron en libertad en marzo de 2022, y ambos se ofrecieron a B’Tselem para hacer pública su experiencia.
    Según la ONG israelí, los interrogatorios bajo tortura de Yazan y Mohammad no se debieron a una iniciativa personal de este o aquel interrogador, sino que forman parte de las prácticas que habitualmente ponen a los detenidos palestinos bajo el uso de la violencia durante un largo periodo de tiempo. Las autoridades participan en el proceso permitiendo los abusos de los agentes del Shin Bet, a quienes se les da impunidad, y dan potestad a los jueces para que prolonguen casi indefinidamente la detención de palestinos.

    #Israël #torture #B'Tselem

  • Zelenski anuncia que Putin «ha empezado la gran batalla por el Donbás»
    https://www.publico.es/internacional/zelenski-anuncia-putin-empezado-gran.html
    Las tropas rusas han aumentado sus despliegues tanto en el este como en el oeste del país el mismo día en el que el presidente de Rusia ha homenajeado a los militares que actuaron en la ciudad en la que se produjo la masacre

  • La UE excluye de las sanciones el lucrativo negocio ruso de los diamantes, que solo en Bélgica mueve 37.000 millones al año
    https://www.publico.es/internacional/guerra-rusia-ucrania-ue-exime-sanciones-rusas-diamantes-mueven-37000-millone
    Bruselas se defiende señalando que penalizar otros sectores como la aviación o la tecnología tendrá «más impacto» sobre Putin

  • El error de la derecha: creer que la energía nuclear ’independizará’ a España de Rusia
    https://www.publico.es/internacional/error-derecha-creer-energia-nuclear-independizara-espana-rusia.html
    La crisis energética europea, derivada de la dependencia gasista y petrolera de Rusia, ha activado discursos pronucleares. Sin embargo, las centrales dependen en buena medida del uranio que Moscú le vende para poder operar

  • Pablo González cumple más de 48 horas detenido en Polonia, incomunicado y sometido a interrogatorios
    https://www.publico.es/internacional/guerra-rusia-ucrania-pablo-gonzalez-cumple-48-horas-detenido-polonia-incomun
    El periodista vasco, detenido el 28 de febrero en las cercanías de la frontera polaca con Ucrania, sigue sin tener acceso a un abogado ni a protección consular, según su abogado, Gonzalo Boye. El Gobierno de Polonia no ha reconocido aún el arresto. A preguntas de Bildu, Pedro Sánchez asegura que los servicios consulares ya se han puesto en contacto con él

  • López Obrador plantea «pausar» las relaciones con España y sus empresas: «México no es tierra de conquista»
    https://www.publico.es/internacional/crisis-mexico-lopez-obrador-plantea-pausar-relaciones-espana.html
    Las empresas españolas han estado en el punto de mira del presidente mexicano durante todo su mandato ya que las acusa de haber logrado contratos ventajosos con la connivencia de anteriores gobiernos

  • Ultras ucranianos transmitían propaganda cocinada por la CIA desde Radio Nacional en el franquismo para debilitar a Moscú
    https://www.publico.es/internacional/ultras-ucranianos-transmitian-propaganda-cocinada-cia-radio-nacional-franqui
    Comenzaron a emitir desde Madrid gracias a un acuerdo suscrito en 1950 por Franco y un enviado del fascista ucraniano Stepan Bandera. Luego la CIA se hizo cargo y financió los programas con el fin de ofrecer una alternativa «ultranacionalista» a la URSS en Ucrania. Los guiones eran hechos por refugiados educados en los jesuitas

  • La UE se blinda al ’estilo Trump’: crecen los muros mientras se reduce la llegada de refugiados
    https://www.publico.es/internacional/muro-fronterizo-ue-blinda-estilo-trump-crecen-muros-reduce-llegada-refugiado
    En lo que va de año, Grecia, Polonia y Lituania han comenzado la construcción de fortalezas para impedir el paso de personas migrantes. Ante la falta de una política de asilo común, Europa se fortifica con más de 1.000 kilómetros de hormigón, vallas y alambradas

  • Noam Chomsky, Yannis Varoufakis y Naomi Klein impulsan la creación de una Internacional Progresista
    https://www.publico.es/internacional/noam-chomsky-yannis-varoufakis-y-naomi-naomi-klein-impulsan-creacion-interna
    La nueva organización nace con la vocación de «fomentar la unión, coordinación y movilización de activistas, asociaciones, sindicatos, movimientos sociales y partidos en defensa de la democracia, la solidaridad, la igualdad y la sostenibilidad»

  • Jeremy Corbyn : Las elecciones británicas se juegan en Israel : los judíos desean la caída del « antisemita » Corbyn | Público
    https://www.publico.es/internacional/jeremy-corbyn-elecciones-britanicas-juegan-israel.html

    Attention, cet article est passible de sanctions pénales pour antisémitisme...

    La campaña contra Corbyn se desarrolla tanto en el Reino Unido, especialmente dentro de su partido, como en Israel. El líder laborista sostiene que no es antisemita pero sus detractores no paran de repetir las acusaciones. No solo judíos británicos sino también británicos no judíos, una circunstancia que el partido conservador de Boris Johnson aprovecha para decir a diario que Corbyn no está capacitado para dirigir el país.

    Este jueves, el Jewish Labour Movement, un grupo judío del Partido Laborista, ha filtrado una investigación en la que denuncia numerosas circunstancias que demostrarían que el Partido Laborista es esencialmente antisemita. No es la primera vez que ocurre algo así en los últimos meses, aunque en esta ocasión la filtración ha llegado apenas unos días antes de las elecciones y con el claro objetivo de defenestrar a Corbyn.

    Estos grupos exigen que Corbyn dimita y abandone su puesto, algo que éste no está dispuesto a hacer. Según los comentarios que acompañan a este tipo de filtraciones, el Partido Laborista actual está trufado de situaciones antisemitas que no lo capacitan para dirigir el país. La prensa hebrea se hace eco cada día de estas acusaciones y las respalda.

    El Jewish Labour Movement centra sus ataques en Corbyn, a quien acusa de haber convertido el partido en un “agradable refugio para antisemitas”. Históricamente ha sido la izquierda europea la que ha defendido mejor a los judíos, pero esta situación ha cambiado en los últimos años debido probablemente a la brutal ocupación israelí de los territorios palestinos.

    La primera frase del documento del Jewish Labour Movement no puede ser más explícita: “El Partido Laborista ya no es un lugar seguro para el pueblo judío o para quienes se enfrentan al antisemitismo”. A continuación recoge el testimonio de setenta miembros actuales o pasados del partido que demostrarían esa tesis. Uno de los declarantes, que aporta 22 testimonios separados, asegura que en las reuniones del partido se le ha llamado “judío del partido conservador”, “asesino de niños” y “basura sionista”.

    Numerosos laboristas acusan a estos grupos de obrar ciegamente en defensa de Israel y de ignorar los derechos humanos en general y los derechos de los palestinos en particular. Los contactos entre estos grupos e Israel suelen ser muy estrechos, de manera que sus detractores sostienen que defienden antes los intereses de la ocupación israelí, que nunca critican, que los intereses de los laboristas británicos.

    Hace unos meses se filtró un documental que aportaba pruebas de la estrecha relación de la embajada de Israel en Londres con algunos de estos grupos. Un funcionario israelí de esa representación alardeaba de decidir lo que hacen y dicen los políticos británicos sionistas en defensa del Estado judío. El documental era tan explícito que la propia embajada tuvo que disculparse públicamente y devolver a Israel al funcionario que aparecía en el documental.

    Aunque desde Israel se azuza a estos grupos, las autoridades evitan en la medida de lo posible realizar declaraciones públicas al respecto. Esta semana, el ministro de Exteriores, Israel Katz, ha roto este comportamiento y ha expresado abiertamente su deseo de que el Partido Laborista británico pierda las elecciones debido a su antisemitismo.

    Entre las decenas de artículos que se han publicado en la prensa hebrea en los últimos días, solo uno, del periodista Gideon Levy, publicado en Haaretz, ha salido en defensa de Corbyn. Pero el periódico liberal de Tel Aviv ha publicado acto seguido otro artículo criticando a Levy. En los demás medios ha habido consenso y unanimidad absoluta en esta cuestión.

  • The UN called him a humanitarian hero. Israel is accusing him of funneling money to Hamas
    Gideon Levy Oct 21, 2019 - Haaretz.com
    https://www.haaretz.com/israel-news/.premium-the-un-called-him-a-humanitarian-hero-israel-is-accusing-him-of-fu

    Mohammed El Halabi, director of the World Vision aid organization in Gaza and the West Bank, has been imprisoned for three years in Israel, which accuses him of aiding the enemy in wartime.

    Next week, after the Jewish holidays end, the trial of Mohammed El Halabi will resume in Be’er Sheva District Court. It’s either/or: Either El Halabi is one of Israel’s greatest and most dangerous enemies ever, as the indictment against him indicates – or he’s the victim of a cynical, cruel propaganda system that is exploiting him to stop the influx of international humanitarian aid into the Gaza Strip. Either he diverted tens of millions of dollars and hundreds of tons of iron to Hamas for tunnel-digging projects, as Israel’s Shin Bet security service maintains, or he’s a “humanitarian hero,” as the United Nations designated him in 2014. Either he’s a long-time Hamas “plant” in World Vision, the huge global aid organization whose Gaza and other branches he headed, or he’s a person who has devoted his life to providing humanitarian aid to farmers, disabled children and cancer patients in the Strip.

    After 52 days of interrogation by the Shin Bet ­– which included severe torture, according to his father, Khalil El Halabi – and more than three years in an Israeli prison, El Halabi, who used to crisscross the world, address parliaments and enter Israel itself frequently, will next Thursday be brought again from Ramon Prison in Mitzpeh Ramon to face a judicial tribunal headed by Be’er Sheva District Court deputy president Natan Zlotchover. El Halabi has been brought into the courtroom 127 times since his initial arrest in June 2016; his testimony went on for nearly a year and he denied all the charges against him.

    According to his lawyer, Maher Hanna, from Nazareth, when his trial began, El Halabi was offered a plea bargain that included a confession of guilt and three years in prison, but he refused. He insisted he was completely innocent. Meanwhile, in Gaza, Khalil is devoting all his time to his son’s struggle. “My heart is broken,” he told me this week.

    El Halabi’s story has been reported relatively widely in international media outlets but in Israel he is a sort of “Inmate X,” with very little published about the case.

    Khalil El Halabi, 65, worked for UNRWA, the United Nations refugee agency, for 40 years as an education supervisor. This week he sent me his photograph together with former U.S. President Jimmy Carter at a 2010 conference in the Al-Mathaf Hotel in Gaza City. Mohammed, his second son, was born in 1978 in the Jabalya refugee camp, is married to Ulla and has five children; the youngest, 4-year-old Faris, knows his father only from behind bars.

    In 2003, Mohammed obtained a master’s degree in civil engineering from the Islamic University of Gaza; he worked in the private sector and later in the UN’s development agency. In 2006 he joined the U.S.-based, Christian, World Vision organization, one of the world’s largest international aid groups, and in short order became its regional director, covering the West Bank, Gaza and East Jerusalem.

    In an interview published on the organization’s website in August 2014, El Halabi related what had drawn him to the field of humanitarian aid: “I was born in Jabalya UNRWA refugee camp in Gaza. It is the densest area in the Middle East and there I experienced the most critical times for Gaza people.” He added, “I met the children whose houses were totally demolished and lost at least one of their beloved people, yet they are singing for peace.”

    El Halabi left the engineering profession after “seeing injured and killed children, and knowing my own children have been traumatized by the violence, [and I] decided to fully dedicate my life to helping people and children to restore their lives.”

    At that time, World Vision was helping 1,500 children as part of the Child Friendly Spaces program he established in the Strip to protect youngsters in emergencies, along with 350 wounded children in hospitals. El Halabi and his staff also “helped 8,000 parents in psychological first-aid training, which significantly reduces the stress on their children during the war,” he said in the same interview. This was the period of Israel’s Operation Protective Edge.

    Photographs from the past show a stocky, smiling young man visiting wheelchair-bound youngsters, disabled athletes and farmers in their Gaza greenhouses; Khalil says his son’s work also often took him abroad. Indeed, one of Mohammed’s last missions was to address the parliament in Canberra; Australia is an important donor to projects he managed. He also traveled extensively in the West Bank and East Jerusalem – with Israeli authorization, of course. On June 15, 2016, when returning from a meeting with his staff in Jerusalem, he was taken into custody at the Erez border crossing into Gaza. His family only learned about the arrest three days later.

    Thus began the ordeal of Citizen H. This week marked his 40th month in detention, during which he has been transferred among a number of prisons. His family is permitted to visit him only once every two months, and only three relatives are allowed to come each time, including the children. They try to take little Faris as often as possible, so he will get to know his father. It’s a grueling 12-hour trip from Gaza for a mere half-hour visit conducted through an armor-plated window. As a result of the torture El Halabi endured – including sleep deprivation, being hung from the ceiling and beatings, his father says – his hearing is 40-percent impaired, which makes the phone conversations through the window during visits even more difficult.

    Attorney Hanna, who visits him occasionally in prison, says his client is strong and determined, and that his spirit has not flagged. Mohammed himself always tells his father in visits that he is certain that justice will prevail.

    El Halabi’s trial is being held partly in camera. On November 22, 2017, he was brought before the Supreme Court for a hearing on the repeated extension of his remands, because there had been so many of them. The revised indictment against him that had been filed early that year includes the following charges, some of which are very serious: contact with a foreign agent, membership in a terror organization, aiding the enemy in wartime, using property for the purposes of terrorism, passing information to the enemy, possession of arms and ammunition, and prohibited military training.

    “The accused exploited his position and status in World Vision, a humanitarian aid organization, to advance the goals of Hamas,” the indictment states.

    El Halabi has also been accused of diverting between hundreds and thousands of tons of iron, originally intended for agricultural purposes, to Hamas for construction of tunnels. He also allegedly “marked coordinates in Israel for operations by the Iz al-Din al-Qassam Brigades” – the Islamist organization’s military wing. Moreover, he is accused of transferring funds for the purchase of equipment for Hamas’ naval commandos, and even of giving the organization information about the security arrangements at the Erez crossing.

    In a briefing for reporters after the indictment was filed, a Shin Bet official claimed El Halabi had transferred tens of millions of dollars to Hamas. A greenhouse project he had managed was allegedly intended to conceal excavation sites for tunnels; a rehabilitation program for fishermen was actually a cover for purchasing diving suits and motorboats for Hamas’ naval force; farmers he hired were lookouts for Hamas. He even allegedly transferred thousands of food parcels to Hamas activists and their families. According to the charge sheet, El Halabi was recruited by Hamas as early as 2004 to “infiltrate” World Vision.

    For his part, Hanna denies all the charges against his client: He is convinced that the purpose of the indictment is solely to intimidate aid groups and effectively halt humanitarian assistance to Gaza, so that its residents will eventually rise up against Hamas, as Israel perhaps hopes for. Indeed, since El Halabi’s arrest, World Vision has suspended its operations in the Strip, until the trial is over. But a comprehensive investigation by the organization itself, at a cost of $3 million, according to Hanna, exonerated El Halabi completely: No wrongdoing was found on his part.

    World Vision’s current director in Israel and the territories, Alex Snary, wrote: “My dear friend and colleague Mohammed El Halabi exposed the total travesty of Israeli ‘justice’ for Palestinians. Three years of torture and detention, over 120 court appearances and Israel still has no actual evidence to support their outrageous allegations.” Snary describes El Halabi as “a man with a big heart,” especially when it comes to children, adding, “It’s long overdue for Israel to admit they made a mistake, stop embarrassing its judicial system and release him to return to his family and the work he loves – improving the lives of suffering children.”

    In August 2016, two months after El Halabi’s arrest, senior diplomats from Western countries in Israel protested to then-Haaretz correspondent Barak Ravid that they had not been given any information or evidence about the possible diversion of aid funds to Hamas. Australia’s Department of Foreign Affairs and Trade announced in March 2017 that, following an investigation, it had concluded there was nothing to suggest improper use of funding or of aid to the Hamas-ruled Gaza government.

    Last June 14, independent Australian journalist Antony Loewenstein published the results of his investigation on the website +972: He, too, concluded that, despite the lengthy period that had elapsed, the charges against El Halabi remained unsubstantiated.

    Hanna, the lawyer, notes that a considerable portion of World Vision’s budget has always been earmarked to facilitate close supervision of the group’s financial activities and contractual bidding processes. He adds that the total amount donated to its activities in Gaza over the years is far smaller than the sums El Halabi is accused of funneling to Hamas.

    Hanna is also highly critical of the legal restrictions he himself has been subject to: Israel has barred him from entering the Strip to meet with defense witnesses, a situation that led him to petition the Supreme Court. The court’s response is expected in December – after the conclusion of El Halabi’s trial. Hanna has also demanded to have several witnesses be brought to Israel to testify, but the authorities are blocking that avenue as well. His request to have them testify via video conference is expected to be addressed in next week’s court session in Be’er Sheva. In the meantime, the defense continues to present its case.

    Hanna: “Everything you touch in this trial is a ‘creative work.’ I am not against the state. I want our judicial system to be the best and most just, but I don’t even get transcripts of hearings that I conducted.” El Halabi understands only about half of what is said in court, Hanna says, because of faulty translation. The Shin Bet approved only one interpreter for the proceedings, for security reasons, but she is not proficient, the lawyer says.

    World Vision representatives have attended some of the hearings. None of El Halabi’s family is present, of course, because they live in the Gaza Strip. There is a gag order on the principal piece of evidence in the trial, for security reasons. According to Hanna, no firm, objective proof of the charges has been presented in court so far – which may attest to the protracted nature of the proceedings.

    Said Khalil El Halabi, this week, “We miss Mohammed. Gaza misses Mohammed. Every day I try to stir interest and awareness of my son’s case. When I was an education supervisor for UNRWA, I introduced a special chapter on the Holocaust into the curriculum. I told everyone that injustice like this is above and beyond any political dispute. I never expected that my son would encounter such gross lack of justice.

    “Please write my message to Benjamin Netanyahu: Your prime minister is worried that he won’t get a fair trial – Mohammed also wants a fair trial. His fate is eating me from within. I want to hold him close to my chest and tell him how proud I am of all he has done for Gaza and for the Palestinian people, without doing harm to Israel. Please, treat Mohammed as though he were your son.”

    • https://europalestine.com/2022/08/31/israel-condamne-un-humanitaire-de-gaza-a-12-ans-de-prison-sous-de-fau

      Un tribunal israélien a condamné mardi le directeur de Gaza d’une importante organisation caritative internationale à 12 ans de prison après l’avoir reconnu coupable d’accusations de terrorisme, malgré des enquêtes indépendantes qui n’ont trouvé aucune preuve d’actes répréhensibles.

      Mohammed el-Halabi, directeur de l’organisation caritative chrétienne internationale World Vision, a été arrêté en 2016 et accusé d’avoir détourné des dizaines de millions de dollars vers le groupe militant islamique Hamas. Le procès qui a compris 170 séances et 6 ans de détention préventive ont tendu davantage encore les relations entre Israël et les organisations humanitaires qui fournissent de l’aide aux Palestiniens.

      Information reprise dans les médias français sans s’arrêter sur l’absence de preuve. A la différence de la presse espagnole par exemple.
      Israel condena a 12 años de cárcel al director de una ONG en Gaza acusado sin pruebas de terrorismo

      https://www.publico.es/internacional/israel-condena-12-anos-carcel-director-ong-gaza-acusado-pruebas-terrorismo.h

    • mercredi 31 août 2022
      Associated Press & Jack Khoury / Haaretz
      Israël condamne un humanitaire de Gaza à 12 ans de prison
      https://www.france-palestine.org/Israel-condamne-un-humanitaire-de-Gaza-a-12-ans-de-prison

      Le procès a mis en lumière la manière dont le système juridique israélien traite les affaires de sécurité sensibles, l’équipe de défense n’ayant qu’un accès limité aux preuves, qui n’ont pas non plus été rendues publiques.

      Mardi, un tribunal israélien a condamné le directeur d’une grande organisation caritative internationale à Gaza à 12 ans de prison après l’avoir déclaré coupable d’accusations de terrorisme, malgré des enquêtes indépendantes qui n’ont trouvé aucune preuve de méfait. (...)

    • Israël condamne un travailleur humanitaire de Gaza à six années supplémentaires de prison
      31 août | Al-Jazeera | Traduction J.Ch. pour l’AURDIP |
      https://www.aurdip.org/israel-condamne-un-travailleur.html

      Mohammad al-Halabi, ancien chef de World Vision à Gaza, a été condamné après avoir déjà passé six ans derrière les barreaux.
      Un tribunal israélien a condamné l’ancien représentant d’une agence humanitaire chrétienne basée aux États-Unis à 12 ans de prison sur des allégations d’envoi d’argent au mouvement palestinien armé du Hamas.
      Mohammad al-Halabi, ancien chef des opérations à World Vision de Gaza, a été condamné mardi par le tribunal du district de Beersabe’ (Beersheba), qui a décidé qu’il devait faire six autres années de prison en plus des six qu’il y a déjà passées.
      Le tribunal a condamné al-Halabi en juin en l’accusant d’avoir envoyé des millions de dollars au Hamas, qui gouverne la Bande de Gaza assiégée, accusation que son avocat et lui-même ont toujours niée.
      L’avocat d’al-Halabi a réitéré sa déclaration d’innocence après la condamnation de mardi. « Il dit qu’il est innocent, qu’il n’a rien fait et qu’il n’y a pas de preuve », a dit Maher Hanna, ajoutant qu’ils feraient appel du verdict auprès de la Cour Suprême d’Israël.
      « Au contraire, il a prouvé au tribunal au-delà de tout doute raisonnable qu’il s’est assuré qu’aucun argent ne serait directement [donné] au Hamas. »
      D’après Hanna, si al-Halabi, père de cinq enfants, avait admis ses torts, on l’aurait relâché.
      Mais il a insisté pour dire que la vérité aussi a de la valeur. Et pour ses valeurs personnelles, et pour les valeurs du travail humanitaire international, il a insisté sur la vérité et il ne peut admettre une chose qu’il n’a pas faite », a dit l’avocat.
      Les forces israéliennes ont arrêté al-Halabi en juin 2016 au passage de la frontière de Beit Hanoun (Erez) alors qu’il revenait à Gaza après des réunions de travail, sur des allégations de transfert de fonds humanitaires allant jusqu’à 50 millions de dollars pour soutenir le Hamas.
      Al-Halabi a passé six ans derrière les barreaux et a subi plus de 160 auditions avant d’être condamné. (...)

  • Venezuela: El fundador de Blackwater busca crear un ejército de mercenarios para derrocar a Maduro | Público
    https://www.publico.es/internacional/fundador-blackwater-busca-crear-ejercito-mercenarios-derrocar-maduro.html

    Blackwater au service de Guaido au #Venezuela : BFM TV va-t-elle en parler ?

    Erik Prince, el fundador de la controvertida empresa de seguridad privada Blackwater y declarado partidario del presidente Donald Trump, ha estado tratando de impulsar un plan para desplegar un ejército privado para ayudar a derrocar al presidente de Venezuela, Nicolás Maduro, según han contado a Reuters cuatro fuentes conocedoras de los esfuerzos.

    En los últimos meses, según las fuentes, Prince ha buscado inversión y apoyo político para tal empresa por parte de influyentes partidarios de Trump y ricos exiliados venezolanos. En encuentros privados en Estados Unidos y Europa, Prince ha esbozado un plan para desplegar a hasta 5.000 soldados a sueldo en nombre del líder opositor Juan Guaidó, según dos fuentes con conocimiento directo de las gestiones de Prince.

    Una de las fuentes ha contado que Prince ha mantenido reuniones sobre este asunto hasta mediados de abril. El portavoz del Consejo de Seguridad Nacional de la Casa Blanca, Garrett Marquis, no ha querido hacer comentarios sobre si Prince ha planteado su plan al Gobierno y si este sería considerado, si bien una fuente conocedora del sentir de la Casa Blanca ha apuntado a que no lo respaldaría.

    Por su parte, el portavoz de Guaidó, Edward Rodríguez, se ha limitado a afirmar que los responsables de la oposición venezolana no han discutido sobre operaciones militares con Prince, mientas que el Gobierno de Maduro no ha querido hacer comentarios.

    Algunos expertos de seguridad estadounidenses y venezolanos, a los que Reuters ha contado el plan, lo han considerado políticamente inverosímil y potencialmente peligroso ya que podría desencadenar una guerra civil.

    Un exiliado venezolano próximo a la oposición se ha mostrado de acuerdo pero ha señalado que los contratistas privados podrían resultar útiles, en caso de que el Gobierno de Maduro se desmorone, ofreciendo seguridad para una nueva administración el día después.

    Marc Cohen, portavoz de Prince, dijo este mes que el fundador de Blackwater «no tiene planes de operar o llevar a cabo una operación en Venezuela» y declinó responder a más preguntas.