Changer le monde, un octet à la fois.

Bonjour @etraces ! Je viens de tomber un peu par hasard sur ce super-chouette doc sur peertube et du coup je me demandais s’il y avait moyen de prioriser le lien peertube ►https://peertube.mastodon.host/videos/watch/ea2d5153-4704-4a6e-8a13-d09a411c9760 plutôt que youtube dans votre publication afin que je puisse la partager (et la faire rebondir sur les réseaux marchands) l’esprit léger ?

Je rajoute aussi la description de la vidéo qui contient les noms et sites des différents intervenants (j’avoue le fait que ce soit autour de lieux que je connais bien à #Nantes et avec certains intervenants dont j’apprécie le taf me rend un peu joyeuse !)
Un film documentaire en 10 chapitres, composé d’interviews autour du sujet complexe des données personnelles : nos usages du web, les dérives, les espoirs de la loi RGPD, les solutions locales, etc.

Réalisation : Big Blue Eyes Productions
(© Tous Droits Réservés - 2019)

AVEC :
@laquadrature du Net : ►https://www.laquadrature.net
#FAImaison : ►https://www.faimaison.net
Café Vie Privée : ▻https://cafevieprivee-nantes.fr
K’ Rément Libre : ▻https://www.krementlibre.org
#Framasoft : ▻https://framasoft.org/fr
#Olivier_Ertzscheid : ►https://www.affordance.info
#Duchesse : ▻https://duchesse.chat
Exodus Privacy : ▻https://exodus-privacy.eu.org/fr

Ça sert à quoi de mettre sont œuvre dans le domaine public, c’est à dire non-protégée par le copyleft ?

Cette licence me semble un gros cadeau fait aux GAFAM qui pourront publier les travaux dérivés sous licence propriétaire. On est très loin de la GPLv3 ou de l’AGPL.

En lisant l’article de Framasoft je trouve ça :

Pour moi, l’intérêt principal, c’est de sortir en dehors du cadre du droit d’auteur. Avec les licences libres, on passe de la logique du copyright à celle du copyleft, mais on reste encore dans le système du droit d’auteur. Les licences libres ne sont pas une négation du droit d’auteur, mais une autre manière de le faire fonctionner. Avec la licence CC0, on n’est plus dans le copyright, ni même dans le copyleft, mais littéralement dans le copy-out. On décide sciemment que son œuvre n’est plus saisie par le droit d’auteur et ne doit plus être comprise à travers ce filtre.

Ça me semble être une position complètement erronée dans la mesure où les dérivées pourront entrer dans le droit d’auteur - celui-ci n’est donc pas combattu.

Avec le copyleft au moins on combat le droit d’auteur en réduisant ses capacités d’action. Et cette offensive est nécessaire actuellement.