Un chasseur meurt après avoir été percuté par un cerf
Comment Marc : le Gorafi a-t-il racheté la Voix du Nord ?
▻https://www.lepoint.fr/faits-divers/meuse-un-chasseur-meurt-apres-avoir-ete-percute-par-un-cerf-09-11-2022-24969
Un chasseur meurt après avoir été percuté par un cerf
Comment Marc : le Gorafi a-t-il racheté la Voix du Nord ?
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Un robot joueur d’échec attrape et casse le doigt d’un petit garçon de 7 ans..
▻https://www.lepoint.fr/faits-divers/un-robot-joueur-d-echecs-attrape-et-casse-les-doigts-d-un-petit-garcon-24-07
Les quatre années de calvaire d’un Français harcelé par une Russe - Le Point
▻https://www.lepoint.fr/faits-divers/les-quatre-annees-de-calvaire-d-un-francais-harcele-par-une-russe-21-08-2021
Un harcèlement hors-norme. L’histoire commence en 2018. Guillaume Chenier met alors en scène un spectacle à Goa, en Inde. Il va très rapidement devenir l’obsession d’une Russe prénommée Jiulia, rapporte Le Parisien. Pour cette femme, atteinte d’érotomanie, une pathologie psychiatrique délirante, Guillaume est l’homme de sa vie. Une psychose qui a transformé la vie du Français en véritable cauchemar. Et qui pourrait lui coûter la vie.
D’abord, ce ne sont que des messages sur Facebook. Puis, une semaine plus tard, le début d’une traque. Alors que Guillaume rejoint le Rajasthan, Jiulia le poursuit. En retournant en France pour s’illustrer dans des festivals, le trentenaire va s’apercevoir qu’à chaque ville où il pose ses bagages, la ressortissante russe est présente. Cette chasse dure désormais depuis près de quatre ans.
« Je n’arrête pas de me demander lequel de nous deux mourra en premier »
Plus les années passent, plus Jiulia, 36 ans, devient insistante et agressive. En raison de son métier, Guillaume partage ses destinations sur les réseaux sociaux. Une aubaine pour la Russe, pour qui la traque est facilitée. Sur Internet, elle le harcèle, ajoute ses amis, crée de multiples faux comptes, lui envoie des centaines de mails. Et elle ne s’arrête pas là : elle contacte également ses proches, ment pour leur soutirer des renseignements.
La pathologie de la jeune femme empire. Alors que Guillaume séjourne au Rajasthan, Jiulia va jusqu’à fouiller ses poubelles, dans l’espoir de trouver des préservatifs usagers pour s’inséminer. Les interpellations s’enchaînent – une cinquantaine selon Guillaume –, mais, à chaque fois, elle est libérée. Jusqu’au printemps 2020, où les gendarmes prennent pour la première fois l’affaire au sérieux. La trentenaire est internée en psychiatrie à Rennes. Mais le harcèlement ne s’arrête pas et les agressions continuent. « Tous mes lieux de vie sont comme profanés par elle. Ça me bouffe de l’intérieur. C’est comme un viol. Un viol psychique », avoue Guillaume à nos confrères du Parisien.
Jusqu’à la dernière apparition de Jiulia, plus violente et inquiétante que toutes les autres. Le 14 juillet 2021, alors qu’il vit à Montreuil, en Seine-Saint-Denis, avec sa compagne, la ressortissante russe tente de le tuer en le poussant dans les escaliers. Son amie filme la scène. Guillaume réussit finalement à la maîtriser et Jiulia est prise en charge par les pompiers, puis hospitalisée. La police intervient. « J’ai peur que ça finisse très mal. Je n’arrête pas de me demander lequel de nous deux mourra en premier, elle ou moi parce que j’aurai tenté de défendre ma vie », confie-t-il.
« Betty Mannechez, violée par son père de 8 à 18 ans, raconte son enfer - Le Point »
témoignage inceste
▻https://www.lepoint.fr/faits-divers/betty-mannechez-violee-par-son-pere-de-8-a-18-ans-raconte-son-enfer-21-03-20
Hafsia Herzi condamnée pour avoir traité un chauffeur VTC de « sale Arabe »
▻https://www.lepoint.fr/faits-divers/hafsia-herzi-condamnee-pour-avoir-traite-un-chauffeur-vtc-de-sale-arabe-04-1
Selon le conseil de Hafsia Herzi, « l’expression sale Arabe entre deux Arabes ou deux personnes ayant des origines maghrébines a une signification ironique qui peut évidemment échapper en l’absence d’explication de texte ». C’est la défense qu’il avait présentée au Point.
Interné à la demande de son supérieur le préfet, « libéré » par la justice - Le Point
▻https://www.lepoint.fr/faits-divers/interne-a-la-demande-de-son-superieur-le-prefet-libere-par-la-justice-19-08-
Le juge des libertés et de la détention (JLD) du tribunal de grande instance de Grasse a ordonné la mainlevée de l’#hospitalisation_sous_contrainte d’un fonctionnaire de 56 ans, en poste à la direction des territoires des Alpes-Maritimes. En « soins psychiatriques » depuis douze jours, Éric D., agent de catégorie A, avait été interné à la demande du #préfet, qui n’est autre que son supérieur hiérarchique. Le Code de la santé publique prévoit que lorsqu’une personne « compromet la sûreté des personnes ou porte gravement atteinte à l’ordre public », le représentant de l’État (le préfet) peut ordonner son hospitalisation d’office, « par arrêté et au vu d’un certificat médical [...]
Apparemment très agité, Éric D. est placé dans un premier temps à l’isolement et mis « en #contention ». « Pour dire les choses clairement, on l’a attaché à son lit, pieds et poings liés. Il a été privé de douche durant plusieurs jours. Quand il est sorti, il se trouvait dans un état lamentable, sous le choc ; il ne pouvait plus marcher, on aurait dit une loque. ».
...
S’estimant « placardisé » par son chef de service, qu’il accuse d’avoir organisé son désœuvrement en lui confiant « une mission bidon », Éric D. avait, en effet, déposé une plainte pour « harcèlement moral » contre son chef de service, le 2 juin, soit deux mois avant son internement. Rétrogradé deux fois, privé de ses primes, il avait été suspendu de ses fonctions le 7 avril en attendant de comparaître devant le conseil de discipline – décision attaquée depuis par son avocat. « On lui reprochait d’avoir pris fait et cause pour des étrangers qui, après avoir fait la queue toute la nuit dans le froid, avaient été refoulés du bureau de l’accueil et de l’admission au séjour de la préfecture où ils venaient faire enregistrer leur demande », relate son avocate. « Miné par ces conflits à répétition et les pressions dont il faisait l’objet, mon client était dépressif.
#dépression #internement #abus_de_pouvoir #placardisation #répression
#Violences_policières : la #condamnation qui embarrasse la #France
La #Cour_européenne_des_droits_de_l'homme rappelle que les enquêtes visant la police doivent être menées de manière « rapide, effective et impartiale ».
▻https://www.lepoint.fr/faits-divers/violences-policieres-la-condamnation-qui-embarrasse-la-france-27-05-2019-231
#justice #maintien_de_l'ordre #CEDH
Violences policières : la condamnation qui embarrasse la France
▻https://www.lepoint.fr/faits-divers/violences-policieres-la-condamnation-qui-embarrasse-la-france-27-05-2019-231
La Cour européenne des droits de l’homme rappelle que les enquêtes visant la police doivent être menées de manière « rapide, effective et impartiale ».
C’est une décision dont l’État français se serait bien passé, au moment où le ministère de l’Intérieur est mis en cause pour une série de violences policières, en pleine crise des Gilets jaunes. Dans un arrêt du 23 mai 2019, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) condamne la France pour violation de l’article 2 (droit à la vie) de la Convention dont elle est la gardienne. Le requérant, un homme de 43 ans sur lequel un policier avait tiré après une tentative de vol, obtient 20 000 euros au titre du « dommage moral ».
En revanche, la CEDH met en cause la manière dont l’enquête a été conduite à la suite de cet événement, que le requérant a voulu présenter comme une « bavure policière ». La Cour pointe, pêle-mêle, la « longueur » de l’instruction (plus de dix ans) et ses nombreuses « irrégularités ». « Les procédures d’enquête concernant l’incident n’ont été ni rapides ni effectives », sermonne-t-elle dans son arrêt. « Dans un premier temps, et alors même qu’il a été blessé par arme à feu, seule une enquête sur les faits reprochés au requérant est déclenchée (…). C’est à sa seule initiative qu’une information judiciaire sera ouverte deux ans plus tard » sur ses blessures, relève-t-elle.
Saisie du couteau irrégulière, disparition de scellés, absence d’expertise médicale et balistique… La CEDH évoque de nombreuses « lacunes » et « retards » qui « auraient pu être évités » et qui ont eu « des conséquences sur l’effectivité de la procédure devant le juge d’instruction ». Elle regrette encore que, dans un premier temps, l’enquête sur les blessures du requérant ait pu être conduite par le commissariat de Thionville, unité dans laquelle travaillait... le policier mis en cause. « La Cour a déjà conclu à un manque d’indépendance de l’enquête lorsque les personnes qui en sont chargées sont des collègues immédiats de la personne visée », rappelle-t-elle dans son arrêt du 23 mai.
Tous ces éléments mis bout à bout conduisent la CEDH à conclure que les autorités françaises n’ont pas respecté l’obligation découlant de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme. En conséquence, elle condamne la France pour violation du volet procédural de l’article 2 sur le droit à la vie.
Gilets jaunes : un boulanger placé en garde à vue - Le Point
▻https://www.lepoint.fr/faits-divers/gilets-jaunes-un-boulanger-place-en-garde-a-vue-12-02-2019-2292769_2627.php
VIDÉO. Un policier en civil portant un brassard s’était vu refusé l’accès à une boulangerie à cause de son arme. La scène avait été diffusée sur les réseaux sociaux.
La vidéo avait créé la polémique durant la douzième semaine de manifestation des Gilets jaunes à Paris près de la place de la République, le 2 février dernier. La séquence montrait un policier en civil porteur d’un brassard empêché de rentrer dans une boulangerie à cause de son arme. « Tu vois une arme là ? demande au boulanger l’agent de la brigade anti-criminalité (BAC), c’est bon, on peut passer ? » « Si vous n’avez pas d’arme, oui », répond le boulanger. « Je crois que je vais aller ailleurs, et à un autre moment de la journée, je vais aussi regarder ailleurs », s’indigne le fonctionnaire de police semblant signifier que si des casseurs s’en prennent à la boulangerie, il n’interviendra pas. Le boulanger a été placé en garde à vue ce mardi pour refus de vente et outrage à personne dépositaire de l’autorité publique. Sur l’extrait, les charges retenues contre Emmanuel G., 32 ans, originaire de Montpellier n’apparaissent pas évidentes.
Selon un témoin contacté par Le Parisien à l’époque des faits, la vidéo diffusée a été tournée quelques minutes après le début de l’altercation. « Nous étions en plein mouvement de foule (...) Une street-medic (des manifestants-secouristes, NDLR) blessée se trouvait à l’intérieur du magasin. Deux policiers ont débarqué, sans rien dire, armés et cagoulés. Le responsable du magasin a accepté de leur servir un café mais seulement s’ils enlevaient cagoules et armes. Et ils n’ont pas apprécié », a-t-il raconté au quotidien.