Il y a des jours comme ça où l’actualité donne des coups d’accélérateurs ou l’illustration du vieil adage « un malheur n’arrive jamais seul » :
►http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/10/11/tecnicolor-l-usine-d-angers-placee-en-liquidation-judiciaire_1773391_3234.ht
l n’y avait pas eu d’offre de reprise pour l’usine de fabrication de décodeurs numériques de Technicolor, à l’issue de la date limite fixée au 1er octobre par le tribunal de Nanterre.
►http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/10/08/technicolor-les-syndicats-s-attendent-a-la-liquidation-du-site-d-angers_1772
A plusieurs reprises, le nom de repreneurs pour Angers a été évoqué : on a parlé de la société d’électronique Eolane et d’une autre, la PME Minerva. Cette dernière défendait un projet d’ateliers partagés qui aurait permis d’employer 100 salariés .../... Mais, lundi, Mme Carole Martinez aurait expliqué aux salariés que les deux sociétés, Eolane et Minerva, avaient jeté l’éponge. « Les deux repreneurs avaient besoin qu’un industriel, Technicolor ou un autre, leur donne de la ’charge’, pour leur donner le temps, financièrement, de la reconvertir », explique Patrice Gilbert, représentant de la CFE-CGC.
Moralité : quand les #pigeons peinent à être « liquides », les employés se doivent d’être « flexibles ».