Une tradition française ?
►https://fr.wikipedia.org/wiki/French_Connection
En 1898, alors que le Viet Nam fait partie de l’empire français, le futur président de la république, Paul Doumer, alors gouverneur général de l’Indochine, décide de créer un monopole d’état dans l’opium dans le sud sous forme de régie générale. C’est donc l’administration qui achète, fait préparer et vend l’opium. Ce qui représente, à l’époque, un tiers des recettes du budget du gouvernement général. À Saïgon, Doumer fait construire une raffinerie d’opium à haut rendement. Cette politique axée sur l’opium fit que le gouvernement enregistra un excédent dans son budget. En 1912, la première Convention Internationale est signée à La Haye, en vue d’éradiquer le trafic d’opium. Malgré cela, les autorités françaises indochinoises continuèrent leurs productions alors qu’officiellement le gouvernement métropolitain menait des actions contre le trafic de l’opium.
puis :
►https://en.wikipedia.org/wiki/French_Connection
The French Connection was a scheme through which heroin was smuggled from Turkey to France and then to the United States. The operation reached its peak in the late 1960s and early 1970s, and was responsible for providing the vast majority of the illicit heroin used in the United States. It was headed by the Corsican criminals François Spirito, Paul Carbone and Antoine Guérini, and also involved Auguste Ricord, Paul Mondoloni, Salvatore Greco,[citation needed] and Meyer Lansky.[citation needed] Most of its starting capital came from assets that Ricord had stolen during World War II when he worked for Henri Lafont, one of the heads of the Carlingue (French Gestapo) during the German occupation in World War II.