• Rien de tel que de réactiver un bon vieux contentieux territorial (chacun court après l’unité nationale à sa façon…)
    contentieux réactivé en 1962-63 sous la présidence de Rómulo Betancourt, fondateur d’Action démocratique.

    Militares venezolanos exigen a #Guyana retirarse de territorio en disputa
    http://www.el-nacional.com/noticias/politica/militares-venezolanos-exigen-guyana-retirarse-territorio-disputa_279709


    referencial

    Funcionarios del Frente Institucional Militar y miembros de la Institución de Estudios Fronterizos de Venezuela enviaron un informe ante «las acciones y actuaciones de la República Cooperativa de Guyana al pretender desconocer la vigencia del Acuerdo de Ginebra.»

    El informe señala que Venezuela nunca reconoció la validez del Laudo Arbitral de París de 1899, «por estar viciado desde su inicio de componendas entre los árbitros del laudo como ha quedado plenamente comprobado», reseñó Infobae.

    Para el grupo de altos oficiales y profesionales en materia fronteriza, «el 26 de mayo de 1966, Gran Bretaña e Irlanda del Norte dieron la independencia a la Colonia Inglesa de Guayana, asumiendo el Acuerdo de Ginebra de 1966, la República Cooperativa de Guyana y la República de Venezuela».

    Además solicitan que Guyana se retire de la tenencia ilegal del territorio #Esequibo y «de las concesiones de explotación por ser riquezas de Venezuela, inalienables e imprescriptibles».

    El FIM considera que el gobierno, la sociedad civil, política y militar «acuerden una alianza patriótica para ejercer por vía jurisdiccional la reivindicación del territorio Esequibo_», declarando ese territorio Estado de la República Bolivariana de Venezuela.

    • Un excellent point en 2017 sur les contentieux sur le plateau des Guyanes.

      Litiges transfrontaliers sur le plateau des Guyanes, enjeux géopolitiques à l’interface des mondes amazoniens et caribéens
      http://journals.openedition.org/espacepolitique/4242

      Résumé
      Limites et frontières internationales ont toujours constitué des thèmes importants dans les études géopolitiques. Dans une perspective diplomatique, les frontières terrestres et maritimes sont en interrelation. Ces interrelations compliquent les pourparlers pour déterminer des limites, ce qui est particulièrement net dans le cas des différents pays composant le plateau des Guyanes, une région géomorphologique localisée entre les fleuves Orénoque et Amazone en Amérique du Sud. Cette région contient le plus grand espace forestier tropical continu et intact au monde, mais son sous-sol contient aussi du pétrole, de l’or, des diamants et autres ressources naturelles qui suscitent de nombreuses convoitises et accroissent les difficultés pour résoudre les litiges frontaliers hérités de la colonisation. Le présent article analyse les principaux aspects des conflits maritimes et territoriaux toujours en cours sur le Plateau des Guyanes, sous l’angle de la géohistoire et de la géopolitique. Il examine leurs causes et leurs conséquences. Il en conclut que tous les États de la région, à l’exception du Brésil, sont aux prises avec des litiges territoriaux. L’article souligne également l’importance des intérêts économiques dans la résolution de ces litiges territoriaux, car ces zones contestées, riches en ressources aiguisent l’appétit des multinationales dans le jeu géopolitique régional.

      PLAN

      Cadre conceptuel et géographique : Plateau des Guyanes et notion de « revendication territoriale »
      • Le Plateau des Guyanes
      • Les frontières internationales et leur contestation
      Les revendications continentales
      • Le cas de l’Essequibo
      • Le cas du Triangle de la New River
      • Le cas des affluents de la rivière Lawa
      Les revendications maritimes
      Conclusion


      Carte 2 - les litiges du Plateau des Guyanes

    • La Cour internationale de justice est en cours d’examen d’une requête introduite par la Guayana en avril 2018. Le Venezuela a refusé de prendre à l’instance, arguant de l’accord de Genève de 1966 et conteste la recevabilité de la requête.

      Le délai pour la présentation du contre-mémoire par le Venezuela à la Cour à échu hier, 18 avril 2019.

      La Cour doit maintenant statuer sur la recevabilité.

      Sentence arbitrale du 3 octobre 1899 (Guyana c. Venezuela)
      https://www.icj-cij.org/fr/affaire/171