Séparer l’inséparable grâce aux puissances pulsées

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  • Séparer l’inséparable grâce aux puissances pulsées
    https://www.actu-environnement.com/ae/news/Dechets-recyclage-puissances-pulsees-xcrusher-33398.php4

    Le principe est d’appliquer à des matériaux de très fortes puissances électriques par intermittence : cela génère des arcs électriques qui traversent le matériau avec des vitesses qui varient selon la conductivité de chaque composant. Ces différences de conductivité provoquent une onde de choc et ainsi une fragmentation du produit et la dissociation des différentes matières avec une moindre altération, donc une valeur ajoutée pour tous les flux. Le tout sans aucune chimie et au final peu d’énergie.

    Un projet industriel a été mis en œuvre avec Suez Environnement, avec réussite puisqu’il a été possible lors de la dissociation de la résine et des fibres de carbone de conserver la longueur des fibres intacte pour permettre la remise en bobine du matériau.

    La technologie des puissances pulsées pourrait aussi trouver des applications bien utiles pour le recyclage des bétons armés dont on pourrait séparer le sable, le ciment et le fer. Mais aussi pour le traitement de sables de dragage souillés par les hydrocarbures. On voit ainsi que la technologie recèle de très gros potentiels, partout où des matières ont besoin d’être dissociées pour être mieux valorisées

    Les belles promesses du #recyclage_industriel
    #puissances_pulsées

    • À quel coût ?

      C’est peut-être rentable pour récupérer des fibres de carbone dans toute leur longueur, mais pour le sable ? Du moins tant qu’il en reste…

      Xcrusher | Présentation
      https://www.xcrusher.fr/fr/presentation

      • Comment faire pour séparer les constituants matières de nos objets complexes et, par là même, simplifier leur tri ?
      • Comment faire pour extraire les terres rares, les minéraux stratégiques de nos écrans et portables déposés en couche mince ?
      • Comment récupérer l’or et les métaux de nos cartes bancaires constituées à 99 % de plastique ?
      • Commet parvenir à séparer le plastique, le papier et l’aluminium de nos emballages d’aliments ou de médicaments sans recourir à des solutions chimiques ou à d’autres techniques énergivores et à fort impact carbone ?

      Avec Xcrusher, nous avons eu à cœur de développer une solution de récupération, de dépollution et de valorisation des déchets industriels, qu’il s’agisse de chutes ou de sous-produits, en utilisant uniquement le phénomène physique que représente un arc électrique et son onde de choc.
      L’électricité au service du recyclage, des électrons par milliers pour séparer les constituants de nos déchets… Voilà où résident les principes sous-jacents de la technologie Xcrusher. Aucun produit chimique, uniquement des phénomènes de plasma froid générés par des décharges électromagnétiques, qui nous permettent de récupérer l’indium des écrans LCD de nos mines urbaines, de recycler la fibre de carbone de nos avions ou de nos cannes à pêche…

    • Séparer l’inséparable des déchets à haute valeur ajoutée avec les puissances pulsées.
      Tout de suite, ça en jette ! et c’est tout à fait sérieux sauf que je vois pas l’intérêt de récupérer des déchets pour fabriquer d’autres déchets,
      ou d’autres objets à haute valeur ajoutée qui finiront forcément comme déchets.
      http://alternatives-projetsminiers.org

      « Extra-quoi ? » Le terme « #extractivisme » déroute. Il manque d’élégance, exige un effort de prononciation. Pourtant, ce vocable circule de plus en plus pour désigner l’exploitation industrielle de la nature qui s’intensifie partout sur la planète. Ce livre coup de poing est consacré à cet envers largement occulté de la « croissance économique ». L’extractivisme ne renvoie pas qu’à l’extraction à outrance des ressources naturelles non renouvelables – minerais et hydrocarbures –, il concerne aussi les grands projets hydroélectriques, l’agriculture industrielle, les monocultures forestières, la pêche intensive... L’appétit sans limite de la mégamachine productiviste en a fait une activité coupée du réel, aux effets destructeurs pour les peuples, la biodiversité et la sauvegarde du système Terre. En une plongée vertigineuse au coeur de la « planète marchandise », Anna Bednik documente minutieusement ces logiques : qu’extrait-on ? Où et comment le fait-on ? Avec quels objectifs, quelles légitimations, quelles conséquences et quelles perspectives pour l’avenir ? Partout dans le monde, l’extractivisme est synonyme de transformation de vastes territoires en « zones de sacrifices », comme le montre le délirant projet « Montagne d’or » en Guyane. Il est ainsi devenu le nom de l’adversaire commun de multiples résistances collectives et locales, dont les raisons, les formes et la portée sont aussi restituées dans cet ouvrage pionnier.

      https://nouveautes-editeurs.bnf.fr/annonces.html