« Nous ne savions pas si les otages seraient capables de survivre »

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  • Laurent Isnard, chef des opérations spéciales : « Nous ne savions pas si les otages seraient capables de survivre »
    https://www.europe1.fr/international/laurent-isnard-chef-des-operations-speciales-nous-ne-savions-pas-si-les-otag

    « C’était une occasion unique, sachant que l’action était pointue. Car les terroristes ont pour consigne d’abattre leurs otages si ceux-ci risquent d’être libérés. Les commandos devaient donc s’approcher au plus près, en toute discrétion, pour être absolument certains de neutraliser les terroristes et de libérer les otages sains et saufs. C’est la raison pour laquelle nos commandos sont entrés simultanément dans les différentes huttes sans être certains de ce qu’ils y trouveraient. Il y a donc bien eu une prise de risque, assumée, partagée, car elle fait partie de notre métier. »

    J’ai suivi de très loin cette histoire. Mais comme depuis hier, il est impossible de louper les sanglots de la veuve... bon.

    Je ne trouve pas le nombre de ravisseurs « neutralisés », ni si la « neutralisation » correspond à un zigouillage en règle ou à une remise à la justice locale.