• Enquête ouverte après des propos de la chanteuse Izïa évoquant un lynchage d’Emmanuel Macron
    https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/07/08/enquete-ouverte-apres-des-propos-de-la-chanteuse-izia-evoquant-un-lynchage-d

    La chanteuse se produisait sur scène, jeudi, à Beaulieu-sur-Mer, et a imaginé comment Emmanuel Macron pourrait être lynché publiquement par les spectateurs.

    Le parquet de Nice a fait savoir à l’Agence France-Presse, samedi 8 juillet, qu’une enquête visant la chanteuse Izïa Higelin pour « provocation publique à commettre un crime ou un délit » a été ouverte, après que l’artiste a évoqué un lynchage d’Emmanuel Macron lors d’un concert jeudi.
    « C’est la brigade territoriale de la gendarmerie de Beaulieu-sur-Mer (Alpes-Maritimes) et la brigade de recherches » qui sont saisies de l’enquête, a ajouté le procureur de la République de Nice, Xavier Bonhomme, confirmant une information initiale de Nice-Matin. Il a précisé que l’enquête ne faisait pas suite à une plainte.
    Evoquant le chef de l’Etat, lors de son concert jeudi soir à Beaulieu-sur-Mer, dans le cadre du festival Les Nuits Guitare, l’artiste a imaginé comment il pourrait être lynché publiquement par les spectateurs.
    « Je vois déjà le gros titre de “Nice-Matin” »
    « Je le connais, quelle coquine celui-là, il s’est dit : “Là, ce qui serait bien, je pense que ce que le peuple veut, ce dont le peuple a envie, c’est qu’on m’accroche à vingt mètres du sol telle une pinata humaine géante, et qu’on soit tous ici présents munis d’énormes battes avec des clous au bout comme dans Clockwork Orange [Orange mécanique, de Stanley Kubrick]” », a-t-elle raconté sur scène.

    Et la chanteuse de poursuivre, en se déhanchant, sur fond musical, d’après une vidéo postée sur le site et le compte TikTok du magazine culturel InOut Côte d’Azur : « Et, là, on le ferait descendre, mais avec toute la grâce et la gentillesse que les gens du Sud ont, là juste au-dessus de vous, et on aurait tous notre batte avec nos petits clous, et dans un feu de Bengale de joie, de chair vive et de sang, on le foutrait à terre, mais gentiment tu vois… ».
    « Je vois déjà le gros titre de “Nice-Matin” demain : “Izïa appelle au meurtre de Macron” », aurait ensuite ironisé la chanteuse, selon le quotidien régional qui revenait sur ce concert dans ses colonnes samedi matin, évoquant une tentative infructueuse des gendarmes de l’interroger en fin de spectacle.

    #jesuischarlie

  • #Vomir #Canada : D’ici 2028, les vaches laitières devraient pouvoir mettre bas sans être enchaînées Julie Vaillancourt - Radio Canada
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1871152/vaches-laitieres-enchainees-agriculture

    Au Canada, la majorité des vaches laitières sont élevées en stabulation entravée, ce qui implique qu’elles mettent souvent bas, enchaînées, dans des stalles trop petites pour elles. Ça pourrait changer : les experts recommandent maintenant de leur donner plus de liberté de mouvement pour améliorer leur bien-être.


    Il manque d’espace dans les stalles régulières pour que les vaches mettent bas à leur aise. Photo : Radio-Canada

    La scène est désolante aux yeux du profane : une vache, la chaîne au cou, qui met bas dans sa stalle, souvent trop petite pour lui permettre de se mouvoir avec agilité. L’animal tente de se retourner pour voir son veau, mais son carcan métallique l’entrave partiellement ; le producteur laitier doit apporter le nouveau-né en face de sa mangeoire pour que la vache puisse enfin le lécher.

    Une action plus fréquente au Québec qu’ailleurs au Canada, car c’est dans la province qu’on retrouve le plus de fermes en stabulation entravée, un système où chaque vache garde toute sa vie une place fixe dans l’étable, enchaînée à une barre d’attache.


    Un des principes les plus importants, pour le vétérinaire Edwin Quigley, est que les vaches doivent faire le plus possible d’exercice. Photo : Radio-Canada

    Pour le vétérinaire Edwin Quigley, qui pratique dans la région de Chaudière-Appalaches, le fait que 72 % des vaches de la province vivent ainsi (contrairement à la moyenne canadienne de 44 %) est consternant. “Des vaches attachées dans un espace de quatre pieds par six à l’année longue et qui ne changent pas de place, il manque quelque chose.”

    Ce “quelque chose”, c’est la liberté de mouvement, beaucoup plus présente en stabulation libre, une façon d’élever les bovins laitiers dans des espaces à aire ouverte. Avec ce modèle, les vaches disposent de logettes individuelles où elles vont manger ou se reposer à leur guise, sans jamais être immobilisées de force.

    Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en stabulation entravée, la prévalence de blessures aux jarrets chez l’animal est de 56 % comparativement à 47 % en stabulation libre, de 43 % pour les blessures aux genoux comparativement à 24 % en stabulation libre.

    Conséquence, entre autres, d’une surface de couchage souvent trop abrasive en comparaison avec la litière de plus de 15 centimètres d’épaisseur qu’on retrouve régulièrement dans les étables en stabulation libre.

    Quant aux 33 % de blessures au cou en stabulation entravée, elles trouvent évidemment leur source dans le port constant de la chaîne.


    Au Canada, les vaches qui passent leur vie dans des stalles entravées ont plus de blessures qu’avec d’autres systèmes d’élevage. Photo : Radio-Canada

    Le “Code de pratique pour le soin et la manipulation des bovins laitiers”, un outil de référence à l’intention des producteurs laitiers canadiens, est actuellement en révision, puisque la dernière mouture date de 2009.

    Nous avons obtenu la version préliminaire du nouveau code, dont l’élaboration sera terminée d’ici la fin de l’année. Elle propose dorénavant de loger les vaches laitières au pâturage ou en stabulation libre afin qu’elles aient la possibilité de se mouvoir davantage. Quant au vêlage, les producteurs devraient obligatoirement permettre aux vaches de mettre bas en stabulation libre d’ici 2028, s’il n’en tient qu’aux experts canadiens qui se penchent présentement sur la question.

    https://fr.scribd.com/document/566235947/Code-de-pratique-pour-le-soin-et-la-manipulation-des-bovins-laitiers#down

    Ce serait la moindre des choses aux yeux d’Edwin Quigley, qui supervise présentement l’agrandissement de l’étable d’un de ses clients, Dave Kelly, un producteur laitier de Saint-Nazaire-de-Dorchester, dans la région de Chaudière-Appalaches.


    Dave Kelly, producteur laitier, veut améliorer le bien-être de ses vaches et collabore avec son vétérinaire pour changer les choses. Photo : Radio-Canada

    M. Kelly tente d’améliorer le bien-être de ses vaches à la mesure de ses moyens. “Il y a des gens qui pensent qu’on utilise les vaches comme des machines, moi, je ne suis pas d’accord avec ça, mais il faut qu’elles soient bien dans ce qu’elles ont à faire, c’est important.”

    Au programme chez lui, des travaux de construction pour bâtir une section où ses vaches pourront mettre bas en stabulation libre : un enclos de groupe où les vaches auront le loisir de bouger à leur guise pendant le vêlage sans être gênées par l’étroitesse de leurs stalles ou, pire encore, leurs chaînes.


    En stabulation, la litière disposée sur le sol rend la surface plus confortable et aide à éviter l’abrasion. Photo : Radio-Canada

    Un virage pris par de plus en plus de producteurs laitiers du Québec qui, massivement, convertissent leurs troupeaux à l’élevage en stabulation libre pour l’ensemble de leurs opérations, et non uniquement le vêlage. “On fait du rattrapage, soutient Daniel Gobeil, président des Producteurs de lait du Québec.”

    “Des vaches attachées toute leur vie, on tend à éliminer ces pratiques-là. On est à la croisée des chemins en termes de bien-être animal”, conclut-il.

    #chaînes #beurk #boycott #alimentation #sirop_d'érable #assiette #malbouffe #agriculture #élevage #élevage #alimentation #vaches #viande #agrobusiness #lait #agro-industrie #quelle_agriculture_pour_demain_ #violence #torture #capitalisme

    • Monsieur trudeau, vous êtes une honte pour la démocratie ! Veuillez nous épargner votre présence Christine Anderson, députée européenne (Allemande) au Parlement européen

      Après parlé avec des parlementaires européens lors de sa visite officielle de deux jours à Bruxelles, la parole a été donnée à la députée allemande Christine Anderson qui a interpellé le Premier ministre canadien, disant qu’il ne devrait pas pouvoir s’exprimer au Parlement européen.

      Anderson a accusé Trudeau d’admirer ouvertement la dictature de base chinoise et a appelé le Premier ministre pour avoir piétiné “les droits fondamentaux en persécutant et en criminalisant ses propres citoyens en tant terroristes simplement parce qu’ils osent s’opposer à son concept pervers de démocratie”.

      le Canada est passé du statut de symbole du monde moderne à celui de « symbole de la violation des droits civils » sous la « chaussure semi-libérale » de Trudeau.

      Elle a terminé son discours en disant à Trudeau qu’il était « une honte pour toute démocratie. Veuillez nous épargner votre présence.
      https://www.youtube.com/watch?v=vtnfcVAZB6I


      Le député croate Mislav Kolakusic a également dénoncé Trudeau pour avoir violé les droits civils des Canadiens qui ont participé aux manifestations du « Freedom Convoy ». Lors de son propre discours cinglant devant ses collègues parlementaires européens, Kolakusic a déclaré à Trudeau que ses actions en promulguant la loi sur les urgences étaient « une dictature de la pire espèce ».
      Trudeau s’est assis et a écouté Kolakusic informer le premier ministre que de nombreux Européens l’ont vu « piétiner des femmes avec des chevaux » et bloquer « les comptes bancaires de parents célibataires ».
      L’eurodéputé roumain Christian Terhes a également refusé d’assister au discours de Trudeau aux autres membres de l’UE.

      Source :
      https://thecanadian.news/vous-etes-une-honte-un-depute-allemand-interpelle-trudeau-en-face-lors
      https://twitter.com/lemairejeancha2/status/1507033759278940161
      https://vk.com/wall551774088_43985?z=video640533946_456239116%2Fa7ea5429d710b84557%2Fpl_post_55

      NDR Cette députée allemande est de droite, mais la vérité ne fait pas de politique.

       #canada #justin_trudeau #trudeau la #violence #contrôle_social #police #dictature #violences_policières #violence_policière #répression #violence #maintien_de_l'ordre #brutalité_policière #manifestation #violences_policieres

    • Salaire mirobolant et logement de fonction : le train de vie princier du directeur du Fresnoy à Tourcoing Pierre Leibovici
      https://www.mediacites.fr/lu-pour-vous/lille/2022/03/24/salaire-mirobolant-et-logement-de-fonction-le-train-de-vie-princier-du-di

      Les angles morts, Quelques obscurcissements, Prolongations… Le titre de ces romans signés Alain Fleischer était-il prémonitoire ? Il résonne en tout cas avec le rapport publié, vendredi 18 mars, par la Chambre régionale des comptes des Hauts-de-France sur l’association Le Fresnoy — Studio national des arts contemporains, dont il est le directeur.


      Ouvert au public en 1997, l’imposant bâtiment du Fresnoy, situé dans le quartier du Blanc Seau à Tourcoing, abrite une école supérieure d’art ainsi qu’un lieu de représentation et de production (cinéma, danse, photo, arts numériques). L’établissement, imaginé dès 1987 par l’artiste Alain Fleischer à la demande du ministère de la Culture, est aujourd’hui mondialement reconnu. Trente-cinq ans plus tard, et malgré son âge de 78 ans, il n’a toujours pas lâché le bébé.

      Un salaire brut de 91 000 euros
      « Le cinéaste », « l’auteur », « le photographe, le plasticien » : le parcours d’Alain Fleischer est fièrement détaillé sur le site Internet du Fresnoy, qui lui consacre une page entière. « L’ambassadeur du Fresnoy », ajoute la Chambre régionale des comptes dans son rapport : « il en est pilote stratégique, notamment pour l’évolution vers le projet de StudioLab international [un programme de collaboration entre artistes et scientifiques], il initie les grands partenariats et exerce les fonctions de responsable pédagogique ».

      « Le montant de sa rémunération ne s’appuie pas sur son contrat de travail »
      Pour remplir ces missions, Alain Fleischer bénéficie d’un confortable salaire de 91 000 euros bruts par an, soit 7 600 euros bruts par mois. Un montant stable sur la période allant de 2016 à 2019, sur laquelle se sont penchés les magistrats financiers, mais qui interroge : « le montant de sa rémunération ne s’appuie sur aucun élément présent dans son contrat de travail qui date de plus de 30 ans, pas plus que des avenants ultérieurs dont le dernier date, en tout état de cause, de 2002 ». La Chambre demande donc instamment une révision du contrat de travail du directeur et sa validation par le conseil d’administration de l’association.

      Un immeuble pour logement de fonction
      Dans la suite de leur rapport, les magistrats recommandent aussi que le conseil d’administration valide la mise à disposition d’un logement de fonction pour Alain Fleischer. Ou plutôt d’un « immeuble d’habitation », peut-on lire sans plus de précisions. Ce bâtiment, ainsi qu’un autre d’une surface de 11 000 m2, est la propriété de la région Hauts-de-France, principal financeur du Fresnoy.

      Quelle est la valeur de l’avantage en nature consenti à l’association et à son directeur ? Difficile à dire : la dernière évaluation, réalisée en 2002, tablait sur un coût de 455 823 euros par an. Un montant sans doute bien plus élevé vingt ans plus tard, d’autant que la région prend à sa charge les travaux et la majeure partie de l’entretien des bâtiments. « Une réévaluation de la valeur de ces biens immobiliers qui figurent dans les comptes de l’association serait nécessaire », acte la Chambre régionale des comptes.

      Gouvernance à clarifier
      Autre recommandation adressée au studio d’art contemporain : la clarification de la gouvernance de l’association. À l’heure actuelle, un conseil d’administration cohabite avec une assemblée générale. Mais les deux instances, dont les missions diffèrent, sont composées des mêmes membres : 10 membres de droit et 14 personnalités qualifiées. Pour mettre fin à cette « confusion », les magistrats appellent donc l’association à revoir ses statuts.

      Cette dernière recommandation vaut aussi pour la rémunération de certains membres du conseil d’administration. Car, d’après la Chambre régionale des comptes, « des membres du conseil d’administration, du fait de leurs fonctions et qualités professionnelles et artistiques, peuvent être amenés à remplir le rôle de commissaire de certaines expositions du Fresnoy ou à effectuer des missions de représentation, donnant lieu à versement d’émoluments ». Et de conclure, en des termes toujours policés, que l’association devrait réviser ses statuts « par souci de sécurité juridique ».

      Sollicité à l’issue de l’audit des magistrats financiers, le président de l’association, Bruno Racine, s’est engagé à suivre toutes leurs recommandations et à mettre à jour les statuts dans un délai de six mois. « Cette révision permettra de préciser les modalités de recrutement du directeur », a-t-il affirmé. Écrivain et haut-fonctionnaire, aujourd’hui âgé de 70 ans, Bruno Racine a toutes les raisons de prêter attention aux recommandations de la Chambre régionale des comptes : il a un temps été conseiller-maître à la Cour des comptes.

      #Fresnoy #Tourcoing #argent #fric #art #art_press #claude_leveque @legrandmix #art_contemporain pour #bobo #ruissèlement #ruissellement #photographie #guerre_aux_pauvres

    • Énergie : au Royaume-Uni, même les pommes de terre deviennent trop chères LePoint.fr
      https://www.msn.com/fr-fr/finance/other/%C3%A9nergie-au-royaume-uni-m%C3%AAme-les-pommes-de-terre-deviennent-trop-ch%C3%A8res/ar-AAVqibD?ocid=msedgdhp&pc=U531#

      Durant des siècles, les pommes de terre ont été, par excellence, l’aliment de base des populations pauvres. Faciles à cultiver, peu chères à l’achat et nourrissantes, elles étaient l’élément de base ? sinon le seul - de populations entières. À tel point qu’au XIXe siècle, l’apparition du mildiou en Irlande ? une maladie qui anéantit presque totalement la culture de la pomme de terre ? provoqua une famine ? et la mort de près d’un million de personnes.

      Par les temps qui courent, cependant, la pomme de terre semble perdre son avantage auprès des populations dans le besoin. En effet, selon The Guardian, https://www.theguardian.com/business/2022/mar/23/food-bank-users-declining-potatoes-as-cooking-costs-too-high-says-icela de plus en plus de personnes ayant recours aux banques alimentaires refusent les pommes de terre, ne pouvant se permettre la dépense énergétique nécessaire à la longue cuisson de ces dernières.

      Une inflation record en 30 ans
      « C’est incroyablement inquiétant », a expliqué le gérant d’une chaîne de supermarchés low cost sur la BBC. « Nous entendons parler de certains utilisateurs de banques alimentaires qui refusent des produits tels que les pommes de terre et d’autres légumes-racines parce qu’ils n’ont pas les moyens de les faire bouillir », détaille-t-il, parlant de « la crise du coût de la vie » comme du « plus important problème intérieur » au Royaume-Uni.

      Outre-Manche, le coût de la vie continue d’augmenter rapidement, rapporte The Guardian. L’inflation a atteint 6,2 % en février, selon les chiffres de l’Office for National Statistics, une première depuis trente ans. Elle est alimentée par la hausse du coût de l’essence et du diesel et d’un large éventail de produits de nourriture aux jouets et jeux. En 2021, l’inflation spécifique aux produits alimentaires a été de 5,1 % au Royaume-Uni.

      #pauvreté #prix de l’#énergie #spéculation #capitalisme #marché_libre-et_non_faussé #électricité #spéculation #alimentation #banques_alimentaires #pommes_de_terre

  • Susanne Erichsen
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Susanne_Erichsen

    Susanne Erichsen geborene Firle (* 30. Dezember 1925 in Berlin-Steglitz; † 13. Januar 2002 in Berlin) war eine deutsche Schönheitskönigin sowie Mannequin, Fotomodell und Unternehmerin.

    https://m.tagesspiegel.de/mode/west-berliner-stilikonen-modevorbilder-in-der-mauerstadt/8583552.html


    Susanne Erichsen : Winter 1953.

    Sie war die erste deutsche Schönheitskönigin aus Berlin. Susanne Erichsen wurde 1952 in Baden-Baden zur Miss Germany gewählt. Ihr Aussehen war eher streng als lieblich – aber so hatten Mannequins damals auszusehen – aristrokatisch und ladylike. So präsentierte sie die Kleider der Berliner Couturiers wie Uli Richter und Heinz Oestergaard. In die USA flog sie als Modebotschafterin und wurde flugs als „Fräuleinwunder“ berühmt. In den USA verdiente sie als Model mehr als 100 Dollar in der Stunde – eine astronomische Summe. Zurück in Berlin gründete sie ihre eigene Modefirma „Susanne Erichsen Teenager Modelle GmbH“. 1967 wollte sie dann nicht nur mit Kleidern sondern guten Tipps ihre Umgebung verschönern und eröffnete eine Modelschule. Aber auch das schien ihren missionarischen Eifer noch nicht gestillt zu haben, oder sie fühlte einfach, dass es in West-Berlin einen dringenden Bedarf an Schönheitspflege gab: Für alle war die „Schule in Sachen Schönheit. Gewusst wie“.

    #Allemagne #Berlin #Steglitz #mode #histoire #Frauleinwunder

  • Was war. Was wird. Unser Auschwitz. | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Was-war-Was-wird-Unser-Auschwitz-4608060.html


    DEHOMAG-Tabelliermaschine D11, 1936–1945

    Auschwitz führte nicht nur das Alphabet der Vernichtung an. Es war mit der Codenummer 001 der größte Lagerkomplex, gefolgt von Buchenwald (002), Dachau (003), Flossenburg (004), Groß-Rosen (005), Herzogenbusch (006), Mauthausen (007), Natzweiler (008), Neuengamme (009), Ravensbrück (010), Sachsenhausen (011) und Stutthof (012). Die Codenummern wurden von Amt DII im Wirtschafts- und Verwaltungshauptamt der SS (WVHA) unter Leitung des ehemaligen Auschwitz-Kommandanten Rudolf Höß vergeben. Im Sommer 1944 begann man damit, in allen Lagern „Hollerithabteilungen“ einzurichten, die letzte wurde kurz vor Kriegsende in Bergen-Belsen in Betrieb genommen. Ziel war der Aufbau einer zentralen Häftlingskartei, um einen schnellen Überblick über die tatsächliche Arbeitskraft aller Häftlinge in den Lagern zu erhalten. Die WVHA entwickelte ein Codenummern-System, mit dem 6000 verschiedene Berufe erfasst werden konnten und ein weiteres, mit dem 400 verschiedene Formen von Zwangsarbeit vermerkt wurden. Erfasst wurde auch die Zahl der Goldzähne von Häftlingen.

    – In den Hollerithabteilungen übertrugen KZ-Häftlinge die Lagerinformationen auf Karteikarten, die dann an das „Maschinelle Zentralinstitut für optimale Menschenerfassung und Auswertung“ in der Berliner Friedrichstrasse geschickt wurden, das direkt dem SS-Reichsführer unterstand. Dort sollten die Informationen aus der Hollerith-Vorkartei auf Hollerith-Lochkarten übertragen und von Hollerith-Maschinen bearbeitet werden. Das WVHA der SS wollte so einen schnellen Überblick über das Lagersystem bekommen. „Wurden spezielle Facharbeiter in einem bestimmten Lager benötigt, konnte an zentraler Stelle nach den jeweiligen Kapazitäten in anderen Lagern gesucht werden. /../ Neben Angaben zur Einlieferung, Staatsangehörigkeit und Haftkategorie wurden vor allem die erlernten Berufe festgehalten. Die Identifikation des einzelnen Häftlings erfolgte durch die Häftlingsnummer und das Geburtsdatum, für die Namen der Häftlinge war kein Feld vorhergesehen.“

    – Die Namen waren uninteressant, es ging um die Arbeitskraft, so der Bericht des Historikers Christian Römmer, der vor 10 Jahren in den Dachauer Heften erschien. Sein Titel: „Ein gescheitertes SS-Projekt: Die zentrale Häftlingskartei des WVHA“. Im Bericht werden Karteikarten aus der Hollerith-Vorkartei und die aus ihnen produzierten Lochkarten analysiert, von denen ca. 150.000 Stück in deutschen und polnischen Archiven erhalten geblieben sind. Das Projekt scheiterte unter anderem daran, weil die Häftlinge, um weiterhin Arbeit in der Hollerithabteilung haben und weitere Häftlinge in die Abteilung einschleusen zu können, viel mehr Informationen in die Vorkartei füllten, als für die Lochkarten nötig waren.

    – Ausgerechnet vom Lager Auschwitz und seinen zusätzlichen Lagern wie dem Vernichtungslager Birkenau und dem von der I.G.Farben AG gebauten Arbeitslager Monowitz sind keine Karteikarten vorhanden, weil in Monowitz tatsächlich Hollerith-Maschinen für das Stanzen und Auswerten der Lochkarten installiert waren, die hauptsächlich für die Verwaltung der Chemieunternehmen genutzt wurden. Sie wurden vor der Befreiung des Lagers am 27. Januar 1945 vernichtet. Steht also IBM als Kürzel in der unheilvollen Geschichte des Holocaust für Ich Bin Mitschuldig? Als diese Frage 2001 nach der Veröffentlichung des Buches „IBM und der Holocaust“ auftauchte, erklärte Hildegard Hamm-Brücher über den IBM-Chef Thomas J. Watson: „Meiner Ansicht nach hat Watson wie einer der größten Verbrecher des 20. Jahrhunderts agiert. Watson hätte nach dem zweiten Weltkrieg wie andere Kriegsverbrecher auch verurteilt werden sollen mitsamt seinem System.“ Hamm-Brüchers Argumentation fußte damals nicht auf der Nutzung der Lochkarten in der Häftlingsverwaltung der Konzentrationslager, sondern der Nutzung der Lochkarten bei Volkszählungen. In Frankreich, wo man die Juden mit Hilfe von Bleistift und Papier katalogisierte, wurden 24 Prozent erfasst und ermordet, in den Niederlanden, wo man Hollerith-Maschinen benutzte, wurden 73 Prozent der vorab erfassten Juden ermordet.

    – Mit den Hollerith-Maschinen der Deutschen Hollerith Maschinen AG (Dehomag) eng verbunden war der Generaldirektor Willy Heidinger, der im Jahre 1934 bei der Neueröffnung des Dehomag-Werkes in Berlin-Lichterfelde über die Karteikarten schwärmte: „Der Arzt untersucht den Körper des Menschen, stellt fest, ob seine Organe in einer harmonischen Schwingung, d. h. gesund miteinander arbeiten im Interesse des Ganzen. Wir hier sezieren den deutschen Volkskörper weitergehend wie der Arzt bis auf die einzelnen Körperzellen zurück. Wir legen die individuellen Eigenschaften jedes einzelnen Volksgenossen auf einem Kärtchen fest. Wir sind stolz, an einer derartigen Arbeit mitwirken zu dürfen, einer Arbeit, die dem Arzte unseres deutschen Volkskörpers das Material für seine Untersuchung bietet, damit unser Arzt feststellen kann, ob die auf diese Weise errechneten Werte vom Standpunkt der Volksgesundheit aus gesehen in einem harmonischen, d. h. gesunden Verhältnis zueinander stehen, oder ob durch Eingriffe krankhafte Verhältnisse heilend korrigiert werden müssen.“ Auch so kann man die Datenerfassung beschreiben. Die Dehomag besaß in Oberlenningen eine eigene Papierfabrik und konnte bis zum Ende des Krieges und gleich danach zum beginnenden Wiederaufbau Lochkarten für die Erfassung produzieren.

    REICHSBAHN DEHOMAG HOLLERITH Büromaschinen Lochkarten Berlin Lichterfelde 1935 - EUR 100,00 | PicClick DE
    https://picclick.de/Reichsbahn-DEHOMAG-Hollerith-B%C3%BCromaschinen-Lochkarten-Berlin-Lichterfe


    Deutsche Hollerith Maschinen G.m.b.H, Berlin-Lichterflde-Ost, Lankwitzer Straße 13-17
    DEHOMAG – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/DEHOMAG

    Häftlings-Personal-Karte aus dem KZ Buchenwald mit dem Vermerk „Hollerith erfaßt“

    Gründung 1910

    Die Deutsche Hollerith-Maschinen Gesellschaft mbH wurde am 30. November 1910 von Willy Heidinger in Berlin gegründet. Die Gesellschaft war Lizenznehmerin der Tabulating Machine Company. Sie verkaufte in Deutschland die von Herman Hollerith erfundene Lochkarte und vermietete die erforderlichen Lochkartenlocher, Lochkartensortierer und Tabelliermaschinen. Erste Aufträge in der Datenverarbeitung waren Volkszählungen verschiedener deutscher Länder, danach kamen Firmen und öffentliche Ämter als Kunden hinzu.

    Übernahme durch IBM

    1922 hatte die Firma infolge der Deutschen Inflation Lizenzschulden von 450 Milliarden Mark, was 104.000 Dollar entsprach. Es folgte eine 90-prozentige Übernahme durch die Computing Tabulating Recording Corporation, deren Vorstandsvorsitzender Thomas J. Watson war. Die Computing Tabulating Recording Corporation ging im Sommer 1911 als Nachfolgegesellschaft aus der Tabulating Machine Company hervor und firmiert seit Februar 1924 als Tochter der International Business Machines Corporation (IBM). Bis 1949 war damit IBM in Deutschland durch die ertragreiche Tochtergesellschaft DEHOMAG vertreten. Willy Heidinger wurde 1930 Vorsitzender des Aufsichtsrats und Herman Rottke Vorsitzender der Geschäftsleitung. Beide zeigten sich später als überzeugte Nationalsozialisten.

    Zeit des Nationalsozialismus

    1934 folgte die Fusion der IBM-Tochtergesellschaften Optima Maschinenfabrik AG (Sindelfingen), die Waagen, Locher, Prüfer und Ersatzteile für Lochkartenmaschinen produzierte und der Degemag (Deutsche Geschäfts-Maschinen GmbH), die Kontrollapparate, Uhren und Waagen herstellte, mit der DEHOMAG. Um bei dem nationalsozialistischen Regime den Eindruck eines Unternehmens in deutschem Besitz und nicht unter ausländischer Kontrolle zu machen, wurden neben Heidinger auch die Direktoren Herman Rottke und Hans Hummel an der Gesellschaft beteiligt. Die drei besaßen zusammen 15 Prozent DEHOMAG-Anteile, allerdings durften sie diese nicht an Dritte verkaufen oder übertragen.

    1939 hatte die Gesellschaft über 2500 Mitarbeiter und zwei Werke in Berlin-Lichterfelde und Sindelfingen. Durch das Quasi-Monopol waren die Geschäfte der DEHOMAG im Dritten Reich sehr profitabel. Es wurde z. B. im Lohnauftrag die „Großdeutsche Volkszählung“ ausgewertet, bei der auch die „rassische“ Abstammung erhoben wurde. Kunden waren neben den statistischen Ämtern und der Industrie unter anderem die Abteilung für Maschinelles Berichtswesen der Wehrmacht und die SS. Auch die Organisation des Holocausts durch die Nationalsozialisten erfolgte mit Hilfe der durch die IBM-Tochter vermieteten weiterentwickelten Lochkartensortiermaschinen, welche auch in den Konzentrationslagern selbst von Technikern der DEHOMAG gewartet wurden.[5] Bis zur Kriegserklärung des Deutschen Reiches an die Vereinigten Staaten im Dezember 1941 konnten die so erwirtschafteten Gewinne der DEHOMAG als Lizenzabgaben verschleiert an IBM in die Vereinigten Staaten überwiesen oder in Deutschland in Immobilien investiert werden.

    #nazis #IBM #histoire #holocauste #Berlin #Lichterfelde #Lankwitzer_Straße

  • Hindenburgdamm
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Hindenburgdamm-12203-Berlin


    Rede Adolf Hitlers anläßlich der Beisetzung Paul von Hindenburgs im Tannenberg-Nationaldenkmal von Hohenstein (Olsztynek), Ostpreußen

    Im schwärzesten aller Berliner Bezirke häufen sich die Reminiszenzen an Preußens Gloria. Am Ostpreußendamm (ab 1961) , der an die verlorenen Ostgebiete erinnert, liegt das ehemalige Tannenberg Gymnasium (1933-1990) und einen Hindenburgdamm (ab 16.11.1914), der nicht auf die Insel Sylt führt, gibt es auch. Der Dreiklang steht für die Kontinuität vom preußischen Militarismus über die Naziherrrschaft zum Rechtsaußen-Revanchismus der lokalen CDU. Namen der Helden aus der Weimarer Republik oder dem ersten sozialistischen deutschen Staat finden sich in Steglitz-Zehlendorf so gut wie keine, zumindest fällt dem Autor ad hoc nichts dazu ein.

    Ortsteil: Nr. 1-62, 68-138 Lichterfelde, Nr. 64-65E Steglitz
    Straßenverlauf: von Königsberger Straße, Drakestraße und Goerzallee bis Schloßstraße und Braillestraße Nr 1-65E, zurück 68-138
    Ehemaliger Bezirk: Steglitz
    Alte Namen: hausseestraße (vor 1878-1914)
    Name seit: 16.11.1914

    Der Vollständigkeit halber sei auch der Berliner Hindenburgplatz erwähnt.
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Hindenburgplatz-14053-Berlin

    Straßenverlauf: an Friedrich-Friesen-Allee

    Der ist ein Sportfeld auf dem Gelände des Sportforums im Westend, westlich des Gutsmuthsweg und nördlich der kreuzenden Friedrich-Friesen-Allee
    https://www.openstreetmap.org/way/54065472#map=15/52.5180/13.2408

    Schlacht bei Tannenberg (1914)
    https://de.wikipedia.org/wiki/Schlacht_bei_Tannenberg_(1914)

    Die Schlacht bei Tannenberg war eine Schlacht des Ersten Weltkrieges und fand in der Gegend südlich von Allenstein in Ostpreußen vom 26. August bis 30. August 1914 zwischen deutschen und russischen Armeen statt. Die deutsche Seite stellte hierbei 153.000 Mann, die russische Seite 191.000 Soldaten ins Feld. Sie endete mit einem Sieg der deutschen Truppen und der Zerschlagung der ins südliche Ostpreußen eingedrungenen russischen Kräfte.

    Anfänglich in den deutschen Medien als „Schlacht bei Allenstein“ bezeichnet, wurde sie auf Wunsch Paul von Hindenburgs kurze Zeit danach zu Propagandazwecken in Schlacht bei Tannenberg umbenannt. Tatsächlich liegt nicht die Ortschaft Tannenberg (heute Stębark) unmittelbar im Hauptkampfgebiet, sondern Hohenstein. Mit der Namensgebung sollte die in der deutschen Geschichtsschreibung als Schlacht bei Tannenberg bezeichnete Niederlage der Ritter des Deutschen Ordens gegen die Polnisch-Litauische Union im Jahre 1410 überstrahlt werden.

    Ostpreußendamm
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Ostpreussendamm-12207-Berlin

    Straßenverlauf: von Siemensstraße und Gärtnerstraße über Schwelmer Straße bis Stadtgrenze Nr 1-100, zurück 101-184
    Ehemaliger Bezirk: Steglitz
    Alte Namen: Berliner Straße (vor 1878-1961)
    Name seit: 1.10.1961

    75 JAHRE TANNENBERG Gymnasium 1905-1980 Berlin Ostpreußendamm Chronik Geschichte - EUR 22,90 | PicClick DE
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    Im Jahr 1980 war der Name „Tannenberg“ noch derart selbstverständlich für Schulleitung und Verfasser Dr. H. Schwarz, dass im Titel der Festschrift einfach unterstellt wurde, die Schule wäre schon immer nach der Schlacht im ersten Weltkrieg benannt gewesen. Tannenberg war ein fester Bestandteil der deutschen Mythologie, die fest in die Köpfen der Lichterfelder Honoratioren hineingeprügelt worden war. Präzise hätte der Titel lauten müssen 47 Jahre Tannenberg Gymnasium . Der Bezug zur Naziherrschaft wäre dann wohl doch zu auffällig gewesen. So entschied man sich fürs ewig Deutsche und vergaß mal eben, welche Bedeutung Name und Datum der Benennung haben.

    75 Jahre Tannenberg Gymnasium 1905-1980 Berlin Ostpreußendamm Chronik Geschichte
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    Vom Tannenberg zum Willi-Graf-Gymnasium
    https://willi-graf-gymnasium.de/WirUeberUns/Historie/Namensgebung

    18. Januar 1933

    Das REALGYMNASIUM BERLIN LANKWITZ bittet den Bezirksschulausschuß, der Schule den Namen „Tannenberg“ zu verleihen:

    Im Auftrage von Lehrerkollegium und Elternbeirat bitte ich, dem Realgymnasium Lankwitz den Namen „Tannenberg-Realgymnasium zu Berlin Lankwitz“ zu verleihen. Lehrerkollegium und Elternbeirat haben sich bei der Wahl dieses Namens von der Hoffnung leiten lassen, daß von ihm Entwicklungen besonderer Art auf die Schüler ausgehen können und werden. Der Name Tannenberg erinnert nicht nur an die Tage höchster Leistung und höchsten Ruhmes und ist so geeignet, vaterländischen Stolz zu erwecken; er erinnert ebenso an Zeiten tiefsten Falles, verursacht durch den Nationalfehler der Zwietracht und soll dadurch zu einer Mahnung werden. Er soll die Schüler, die durch den Lehrplan vor allem auf den westeuropäischen Kulturkreis hingeführt werden, auf die Bedeutung des Ostens für Volk und Vaterland hinweisen und zugleich eine Huldigung sein für unseren Führer in Krieg und Frieden, den Reichspräsidenten Hindenburg, dessen Name so unlösbar mit dem Namen Tannenberg verbunden ist.

    gez. Dr. von Hymmen
    Studiendirektor

     

    18. November 1933

    Das REALGYMNASIUM BERLIN LANKWITZ teilt dem Reichspräsidenten Hindenburg die Benennung der Schule nach der Schlacht von Tannenberg mit:

    Hochzuverehrender Herr Reichspräsident, Herr Generalfeldmarschall!

    Durch Erlaß des Preußischen Herrn Ministers für Wissenschaft, Kunst und Volksbildung vom 1. November 1933 ist dem Städtischen Realgymnasium zu Berlin Lankwitz die Bezeichnung „Tannenberg-Schule“ verliehen worden. Ihnen als dem Manne, dessen Name mehr als der irgend eines anderen mit dem Namen Tannenberg verbunden ist, gibt die Schule von dieser Auszeichnung Kunde. Gleichzeitig legt sie das Gelöbnis ab, in dieser Auszeichnung eine neue Verpflichtung zu sehen, den Geist der Augusttage von 1914 für immer in der deutschen Jugend lebendig zu erhalten. In tiefster und dankbarster Verehrung das Lehrerkollegium der Tannenberg-Schule zu Berlin Lankwitz.

    gez. Dr. von Hymmen

     

    21. November 1933

    Der Herr Reichspräsident dankt der Schule für die Benennung:

    Sehr geehrter Herr Studiendirektor!

    Für Ihre freundliche Meldung vom 18. d. Mts., in der Sie mir die Neubenennung des Realgymnasiums zu Lankwitz als „Tannenberg-Schule“ mitteilen, danke ich Ihnen herzlich. Dem Lehrerkollegium und den Schülern der Anstalt sende ich aus dem denkwürdigen Anlaß meine herzlichen Glückwünsche in der Hoffnung, daß der Geist vaterländischer Einigkeit und Opferbereitschaft stets in den Räumen der Anstalt eine Heimstätte haben möge.

    Mit freundlichen Grüßen

    gez. von Hindenburg

     

    07. November 1985

    41 von ca. 60 Lehrern der Tannenberg-Oberschule sprechen sich im Rahmen einer Lehrergesamtkonferenz für eine Namensänderung aus

    25. Februar 1986

    Beschluß der Schulkonferenz (10:2 Stimmen), eine Namensänderung beim Bezirksamt zu beantragen

    12. Mai 1986

    Ablehnung des Antrags durch das Bezirksamt (5:2 Stimmen)

    16. Mai 1986

    Anfrage der SPD-Fraktion über die Namensänderung der Tannenberg-Oberschule

    20. Mai 1986

    Antrag der SPD-Fraktion auf Namensänderung der Tannenberg-Oberschule

    02. Juni 1986

    Sitzung der Bezirksverordneten-Versammlung: Namensänderung wird in Schulausschuß verwiesen

    26. Juni 1986

    Sitzung des Schulausschusses - Ablehnung des Antrags der Schulkonferenz auf Namensänderung

    10. September 1986

    Brief von 41 Lehrern der Tannenberg-Oberschule an die Bezirksverordneten Berlin-Steglitz

    06. Oktober 1986

    Podiumsdiskussion in der Tannenberg-Schule zum Thema „Ist Tannenberg ein verdorbener Name?“

    15. Oktober 1986

    Sitzung der Bezirksverordneten-Versammlung; Tannenberg -Namensänderung wird mit 25:18 Stimmen abgelehnt

    29. Januar 1989

    Wahlen zum Berliner Abgeordnetenhaus und zu den Bezirksverordnetenversammlungen. Die CDU verliert die absolute Mehrheit in Berlin-Steglitz

    03. April 1989

    Antrag der FDP - Fraktion in Steglitz auf Namensänderung der Tannenberg-Oberschule

    24. Mai 1989

    Der Schulausschuß empfiehlt der BVV, dem Antrag der FDP zuzustimmen

    20. September 1989

    Sitzung der BVV Steglitz: Der Antrag der FDP und SPD wird mit 23 zu 21 Stimmen angenommen

    25. September 1989

    Der Stadtrat für Volksbildung fordert die Tannenberg-Oberschule auf, Vorschläge für einen neuen Namen zu sammeln

    15. Februar 1990

    Projekttag der Schule zur Namensfindung. Es liegen 15 Vorschläge vor

    02. März 1990

    Abstimmung der Schüler über Beibehaltung des Namens Tannenberg

    03. März 1990

    Abstimmung der Schüler über neuen Namen

    04. März 1990

    Meinungsbild bei den gewählten Elternvertretern

    05. März 1990

    Abstimmung auf der Gesamtkonferenz der Lehrer

    22. März 1990

    Die paritätisch besetzte Schulkonferenz macht dem Bezirksamt 4 Namensvorschläge.

    21. Mai 1990

    Das Bezirksamt beschließt mit den Stimmen von SPD und AL gegen die der CDU die Umbenennung der Tannenberg-Oberschule in Willi-Graf-Oberschule.

    Die Entscheidung des Bezirksamts:

    Auszüge aus der Begründung des Volksbildungsstadtrats:

    (...) Der neue Name der Schule soll die jahrelange Diskussion über den Schulnamen beenden und den Schülern eine positive Vorbildfunktion geben. Das Bezirksamt hat am 21.5. 90 beschlossen, daß die Schule künftig den Namen „Willi-Graf-Oberschule“ tragen soll. (...) Der künftige Name der Schule bietet den Schülerinnen und Schülern Gelegenheit, sich mit Willi Graf und der Gruppe der „Weißen Rose“ zu befassen, sich mit ihrer Denkweise auseinanderzusetzen und diese zu hinterfragen. Willi Graf und seine Freunde waren mutige junge Menschen, die bereit waren, Verantwortung zu übernehmen; die nicht nur genau hinsahen, sondern auch handelten, um etwas zu verändern. Der künftige Name ist auch Auftrag an die Schülerinnen und Schüler, sich mit den geschichtlichen Entwicklungen auseinanderzusetzen, die zur Schreckensherrschaft der Nationalsozialisten und zum 2. Weltkrieg geführt haben. Er bietet daher auch die Möglickeit, sich rückblickend mit dem alten Namen der Schule und dem historischen Hintergrund der Namensgebung „Tannenberg-Oberschule“ im Jahre 1933 auseinanderzusetzen. Aus diesem Grunde hat sich das Bezirksamt trotz der von Teilen der Lehrer, Schüler- und Elternschaft favorisierten anderen Namen endgültig für „Willi-Graf-Oberschule“ entschieden. Alle Mitglieder der Schulkonferenz haben nach ausführlicher Diskussion über die Stellungnahme der Abt. Volksbildung zu den eingereichten Vorschlägen im Rahmen einer abschließenden Anhörung am 14. Mai die Entscheidung der Abt. Volksbildung akzeptiert.

    Härtel

    Bezirksstadtrat

     

    Es wurde zitiert nach:

    Resag, Christina mit Unterstützung des Bezirksamts (Herausgeber) :
    Vom Umgang mit unserer Geschichte: Der Streit um den Namen Tannenberg

    Geboren vor fast 100 Jahren › Stadtteilzentrum Steglitz e.V.
    https://www.stadtteilzentrum-steglitz.de/2014/11/geboren-vor-fast-100-jahren


    Die Erzählung dieses Ehemaligen des Lankwitzer Realgymnasiums verkörpert die typische Sichtweise auf die letzten einhundert Jahre Bezirksgeschichte.

    Der Versailler Friedensvertrag tritt am 10. Januar in Kraft. Deutschland leidet unter dem schwierigen Wiederaufbau nach dem Krieg und durch die immensen Reparationsleistungen, die aufgrund des Vertrags erbracht werden müssen. Es herrscht Mangel unter dem die Menschen leiden. Die NSDAP wird gegründet. Der Kapp-Putsch treib Parteien und Gewerkschaften auf die Straße. Es ist das Jahr 1920, das Geburtsjahr von Heinz Rothe, in dem seine Kindheit begann. In diesem Jahr wird er am 27. November 94 Jahre alt und trotzdem erinnert er sich an die Kindheit, als wäre sie gestern erst gewesen. Eine Kindheit, die mit den heutigen Kindertagen so wenig Gemeinsamkeit hat.

    Heinz Rothe wird in der Kaserne des Gardeschützenbataillons im Gardeschützenweg, der früheren Steglitzer Straße in Lichterfelde geboren. Der Vater war Berufssoldat, arbeitete dort in der Bataillonsschmiede, die er als Feldwebel leitete und so konnte die Familie eine kleine Dienstwohnung beziehen. Das Kasernenleben wurde eine der prägendsten Erinnerungen für Heinz Rothe. Für den Jungen gehörte das Militär zum gewohnten Bild, lebte er mit den Eltern ja mitten im Kasernenalltag. Exerzierende oder Sport treibende Soldaten, Militärmusik, Paraden, gehörten genauso dazu wie Uniformen und ein korrekter Gruß unter den Männern. Wollten die Eltern ins Theater gehen, wurde der Junge im Kinderbett in die Stube des Feldwebels geschoben, wo er schlief bis die Eltern heimkehrten. Und später als er auf Entdeckungsreise ging, wurde die ganze Kaserne ein riesengroßes Abenteuerland für ihn. Es gefiel ihm natürlich, bot die Kaserne doch alles, was kleine Jungen sich in der Zeit für heldenhafte Abenteuer ausdachten. Er wurde immer fündig in der Schmiede, der Tischlerei und selbst die Kleiderkammer bot mit Schulterklappen und Knöpfen viele Möglichkeiten, sich Geschichten auszudenken. Heinz Rothe erinnert sich an ein Schaukelpferd, das mit echten Fellen und einem richtigen Sattel ausgestattet war. Eine Eisenbahn mit Dampfmaschine und ein Bahnhof aus Blech gehörte zu seinem Spielzeug. Für zehn Pfennig konnte er sich fünf Zinnsoldaten kaufen und sich mit ihnen in sein Spiel vertiefen. Brauchte er einen Groschen, ging er zu den Soldaten bei denen er für ein ordentliches Lied das Gewünschte bekam und beim Bäcker gegenüber der Kaserne in einen Lutscher, Gebäck oder ein paar Bonbons tauschen konnte. Seine Freunde kamen gerne zu ihm in die Kaserne, in der es immer etwas Spannendes zu erleben gab.

    annaschmidt-berlin_heinz_rothe_3Mit den Eltern hat er kaum gespielt, wenn eher mit der Mutter. Den Vater sah er eher wie einen großen Bruder an, war er doch sehr beschäftigt. Die Mutter war auch die strengere von beiden, die durchaus mal den Kochlöffel gebrauchte. Hatte er sich bei den Aufgaben verschrieben, kannte sie kein Pardon und riss ihm die Seite aus dem Heft. An die Weihnachtsfeste kann er sich gut erinnern, aber sie wurden doch ganz anders als heute gefeiert. An Wachskerzen und viel Lametta erinnert er sich. Das besondere am Fest war jedoch mal eine Dose Sprotten oder eine Kiste Mandarinen, das war eben so in der kargen Zeit. Dabei ging es der Familie noch gut, denn hin und wieder kam es vor, dass einer der Soldaten, der die Bügelhilfe der Mutter zu schätzen wusste, mit einem Fasan oder einem Huhn vorbeikam.

    1927 konnte die Familie in ein Zweifamilienhaus der Genossenschaft Lankwitz umziehen. Der Vater war in der Zwischenzeit Beamter geworden und hatte Anspruch auf diese Wohnung. Für Heinz Rothe begann in diesem Jahr zusätzlich die Schulzeit. Die Paul-Schneider-Schule sollte für die nächsten Jahre sein Leben prägen. Dies besonders in der Person des Lehrers Paul Hiller. Eine Klasse mit 42 Schülern leitete er nach seiner Lehrerauffassung. Paul Hiller habe ihn den Grundstock für’s Leben gegeben, sagt Heinz Rothe, ein Lehrer, der auf Disziplin setzte, durch aus den Rohrstock gebrauchte, dennoch gerecht und korrekt war. Die Zeichnungen aus der Schulzeit hat Heinz Rothe noch alle zuhause. Sieht man sie durch, erkennt man auf den ersten Blick, wie korrekt die Aufgaben von den Schülern durchgeführt werden mussten. Später ging er auf das Tannenberg-Gymnasium, derzeit eine reine Jungenschule, auf der er 1939 das Abitur machen konnte. Da er vom Elternhaus her zur minderbegüterten Klasse gehörte, konnten sich die Familie das Schulgeld von 15 Reichsmark leisten, was nicht vielen Schülern möglich war. Von 1934 gehörte Heinz Rothe der Hitlerjugend an. Das erzählt er ohne besondere Scheu, denn dort wurde den jungen Leuten das geboten, was sie suchten. Jeden Mittwoch gab es einen Heimatabend, bei dem von 16.00 – 18.00 Uhr Lieder gesungen wurden, sie konnten an Zeltlagern und vielen Dingen, die Jugendliche in dem Alter gerne machten, teilnehmen. Politische Richtungen waren kaum Inhalt der Aktivitäten, galt es zunächst nur Bindungen zu schaffen und die Jugendlichen für gemeinsame Ziele zu begeistern.

    annaschmidt-berlin_heinz_rothe_2Nach dem Abitur begann für Heinz Rothe der Arbeitsdienst und später wurde er Offizier. Die Kindheit und das Elternhaus hatten sein Leben militärisch geprägt, in einer Zeit, in der dem Militär ein hohes gesellschaftliches Ansehen entgegen kam. Mit dem Jahr 1939 hörte die Kindheit für ihn auf, die später in Kriegs- und Gefangenschaftserlebnisse münden sollte. „Ich habe überlebt!“ heißt sein Buch in dem er diese Lebensphase schildert und verarbeitet. Er hat den Weltkrieg überlebt, konnte nach sechs jähriger Kriegsgefangenschaft in der Sowjetunion am 4. Mai 1950 in ein zerstörtes Deutschland zurückkehren. Der Vater war erschossen worden und um die Mutter nicht alleine zu lassen blieb er bei ihr. Er wurde Beamter und später Zollrat – Leiter der Zentralstelle für alle Meldungen, die von den Zollbeamten an der Grenze als „ Auge und Ohr“ fernmündlich ihm zugeleitet wurden. Heinz Rothe kann sein ganzes Leben belegen – in Bildern, Berichten, Ausweisen, Briefen, Urkunden und vielem mehr. Er ist Zeitzeuge für den BND, bei dem er jüngst einen Vortag in seinem Geburtszimmer halten durfte. Zeitzeuge für die Olympiade 1936 in Berlin, für die 700 Jahr Feier der Stadt Berlin, für die Paul-Schneider-Schule, die frühere Tannenberg-Schule (dem heutigen Willi-Graf-Gymnasium) und vieles mehr. Was besonders beeindruckt, ist sein waches Erzählen und der Wunsch auch noch eine 100 als Geburtszahl zu erreichen. Das was er aktiv erlebt hat, können die meisten von uns nur noch aus den Geschichtsbüchern erfahren. Ein großartiger Mann und beeindruckender Zeitzeuge!

    Das Buch “Ich habe überlebt“ ist persönlich bei Heinz Rothe für 16 Euro, Telefon 030 7 72 24 51, erhältlich.

    #Berlin #Steglitz #Lichterfelde #Hindenburgdamm #Ostpreußendamm #Ostpreußenplatz #Westend

  • Solidarität


    Solidarität mit dem palästinensischen Volk


    Internationale Solidarität


    Für Aktionseinheit und Solidariät aller Werktätigen in der Welt - für Frieden und sozialen Fortschritt, XI. Weltgewerkschaftskongreß 1986, Berlin DDR


    Solidarität, 1977


    Internationale Solidarität

    Solidarität mit Nikaragua, 1983


    Solidarität (Kreuzknoten)


    Solidarity with Vietnam


    Unbesiegbares Vietnam

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