• #féminicide again and again

      La méthode :

      Cette liste macabre n’est pas exhaustive. Elle s’appuie sur les cas qui ont été mentionnés dans la presse nationale ou locale depuis janvier 2017. Outre les cas qui ont pu nous échapper, par précaution, nous avons préféré ne pas intégrer certaines affaires pour lesquelles l’enquête n’était pas suffisamment avancée. Ne sont pas non plus comptabilisés les meurtres par « dépit amoureux », si les personnes n’ont jamais été en couple.

      Nous avons également choisi de ne pas inclure ce qu’on appelle les « suicides altruistes », ces couples où la femme est malade, par exemple atteinte d’Alzheimer, et où le mari la tue pour mettre fin à sa souffrance, ou parce que, lui-même malade, il sait qu’il ne pourra plus s’occuper d’elle.

      Les survivantes, parfois très gravement blessées, ne sont pas non plus intégrées au décompte.

      Quand les enfants sont aussi victimes (13 morts dans notre recension de l’année 2017), nous le mentionnons dans chaque article, tout comme les autres victimes (amant, nouveau conjoint, entourage).