• Bandes de femmes, réseaux de femmes à travers l’Histoire – L’Histoire par les femmes
    https://histoireparlesfemmes.com/2019/06/11/bandes-de-femmes-reseaux-de-femmes-a-travers-lhistoire

    …en Égypte antique, une école formait les femmes à la médecine ?
    …le Dahomey comptait un régiment officiel de femmes guerrières et redoutées ?
    …en France, des femmes ont été élues avant même d’obtenir le droit de vote ?
    …pendant la Seconde Guerre mondiale, des aviatrices soviétiques ont semé la terreur dans les rangs allemands ?
    …la conquête spatiale s’est appuyée sur le travail précis et méticuleux d’unités entières de mathématiciennes ?

    Plutôt que de s’attacher à des destins singuliers et exceptionnels, l’ouvrage décrit des actions ou des destins collectifs de femmes anonymes, de l’Antiquité à nos jours, sur tous les continents. Il s’efforce de mettre en lumière ces femmes de l’ombre qui ont lutté ensemble pour leurs droits, affronté des destins communs, défendu main dans la main une cause ou encore fait progresser la science et la culture !

    A retrouver dans votre librairie préférée ou sur le site des éditions Jourdan !

  • Dinara Assanova, cinéaste réaliste – L’Histoire par les #femmes

    Pour me rappeler de ma période centrale asiatique. Una artiste remarquable

    https://histoireparlesfemmes.com/2019/06/06/dinara-assanova-cineaste-realiste

    Dinara Kuldashevna Assanova (Динара Кулдашевна Асанова) naît le 24 octobre 1942 à Frounzé (actuelle Bichkek) en République socialiste soviétique kirghize (ou Kirghizie), alors en URSS et qui deviendra en 1991 le Kirghizistan. Elle a une sœur, prénommée Klara. À la sortie de l’école en 1959, alors que ses parents espèrent la voir se diriger vers une carrière dans l’enseignement, Dinara voit les choses différemment : elle, c’est de cinéma qu’elle rêve.

    Alors qu’elle n’est âgée que de dix-sept ans, Dinara commence sa carrière cinématographique en se faisant engager au sein de la société de production cinématographique Kirghizfilm, qui s’appelle alors « Studio d’actualités et de films documentaires de Frounzé ». Elle y travaille comme accessoiriste, monteuse, actrice, jusqu’à devenir assistante réalisatrice pour le film Une fille de Tien Shan (1960) d’Algimantas Vidugiris. Elle assiste également la réalisatrice soviétique Larissa Chepitko sur son long-métrage Chaleur torride.

    #asie_centrale #cinéma #kirghizstan