Aux ordres de l’anarchie – série de podcasts à écouter – France Culture
▻https://www.franceculture.fr/emissions/serie/anarchie
Les Chemins de la philosophie 4 épisodes par Adèle Van Reeth
Aux ordres de l’anarchie – série de podcasts à écouter – France Culture
▻https://www.franceculture.fr/emissions/serie/anarchie
C’est Géraldine Mosna-Savoye qui présente l’émission maintenant.
Ah, merci pour le rappel @vanderling , je voulais l’écouter justement.
des liens dans l’épisode n°3 Manuel à l’usage d’un.e anarchiste
Jean-Christophe Angaut, membre du comité de rédaction de la revue Réfractions , auteur d’un blog sur Bakounine.
►https://refractions.plusloin.org
▻http://atelierdecreationlibertaire.com/blogs/bakounine
et les dernières nouvelles (pour les parisiens) de l’ anarchiste Claude Guillon : ▻https://lignesdeforce.wordpress.com/2021/11/12/amis-dessous-la-cendre-un-documentaire-realise-par-les-amis
Matériaux pour accompagner le documentaire "Amis, dessous la cendre"
▻http://gimenologues.org/spip.php?article959
Quatre philosophes russes (4/4) : Bakounine, l’anarchiste
►https://www.franceculture.fr/emissions/les-chemins-de-la-philosophie/quatre-philosophes-russes-44-bakounine-lanarchiste
Il y a beaucoup d’idées reçues sur l’anarchisme : casse, opposition violente, mort de l’ordre et des lois... Mais qu’est-ce qu’était l’anarchisme pour le philosophe Michel Bakounine ? En quoi sa remise en cause de l’Etat l’a-t-il opposé à Marx ? Quels mouvements incarnent sa pensée aujourd’hui ?
Une émission présentée par Géraldine Mosna-Savoye
▻http://atelierdecreationlibertaire.com/blogs/bakounine/retour-sur-une-emission-1236
►http://refractions.plusloin.org
▻http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article153790
#Bakounine #anarchie #ACL
Autoportrait d’un monstre : Bakounine à la plume
Par Alain Pessin (1998)
▻https://www.non-fides.fr/?Autoportrait-d-un-monstre-Bakounine-a-la-plume
source : #non-fides
Lu sur OCL : "Eduardo Colombo est mort hier soir
Cérémonie lundi 16 h au Crématorium du Père Lachaise
#Eduardo_Colombo
Né en 1929 en Argentine il milite à la #FORA et est rédacteur du journal La Protesta. La federacion obrera regional argentina développe une position originale au sein du mouvement anarchiste international consistant à ne pas séparer le « politique » (la finalité anarchiste communiste) du « syndical » revendicatif. Elle s’oppose ainsi au syndicalisme révolutionnaire qui veut devenir la colonne vertébral de la société future.
▻http://www.oclibertaire.lautre.net/spip.php?article2047
▻http://www.autrefutur.net/Eduardo-Colombo-1929-2018
▻https://florealanar.wordpress.com/2018/03/14/eduardo-colombo-est-mort
▻http://refractions.plusloin.org/spip.php?article1158
#combattant_anarchiste
Tentative de compréhension du cas des éditions Agone | Enoga ▻http://enoga.wordpress.com/2013/12/01/tentative-de-comprehension-du-cas-des-editions-agone
Pour sa nouvelle parution (n°31, automne 2013), la revue Réfractions a choisi de se confronter à un thème difficile mais oh combien important : les conflits. Au sommaire prometteur de ce numéro on pourra notamment lire une contribution d’Annick Stevens intitulée « Tentative de compréhension du cas des éditions Agone ».
Vu l’actualité de ce texte, Réfractions a décidé de mettre en ligne cet article dès la parution du numéro.
PDF, 12 pages : ▻http://refractions.plusloin.org/IMG/pdf/agone.pdf
La leçon générale de ces événements pourrait être qu’il faut prévoir dès le départ une instance de #médiation, qui se tient à distance tant qu’elle n’est pas nécessaire, qui prend très au sérieux tout indice de problème grave, et dont on s’assure qu’elle partage bien les mêmes exigences politiques. Les libertaires ont souvent du mal à endosser ce rôle, parce qu’ils redoutent de devoir prendre parti pour un copain contre un autre. Or, le meilleur copain peut déconner, et il faut que quelqu’un l’arrête. Il faut désamorcer l’affectif en agissant non en tant que copain mais en tant qu’instance formelle.
Et bien entendu il faut le faire le plus tôt possible dès l’apparition du conflit, car il est clair qu’après un certain temps d’accumulation de griefs réciproques, même si l’on parvenait à accorder les parties sur certaines résolutions, la perte de l’estime, voire l’aversion causée par les comportements incriminés, rendrait impossible toute collaboration. Il ne faut pas se forcer non plus à trouver des torts égaux des deux côtés : ce n’est pas ça l’impartialité. Celle-ci consiste à écouter les deux parties, vérifier et recouper les informations, rappeler ce qui est inacceptable par rapport aux principes et valeurs qui sont à la base de l’association. Encore faut-il, évidemment, que tous s’accordent sur l’attachement à ceux-ci par rapport à d’autres facteurs qui seraient jugés prépondérants
Un ancien correcteur aboutit à peu près à la même conclusion :
« Si on n’a pas su empêcher la grande gueule rassembleuse des débuts – qu’on défendit contre vents et marées, dont on supporta des défauts à la mesure de ses qualités, et dont personne ne rechigna jamais à reconnaître ce qu’il lui devait (mais il aurait fallu lui devoir tout, et lui rien aux autres) – de devenir un tyran, eh bien il faut l’admettre et se barrer, et puis en retenir la leçon et l’enseigner aux prochains tendres inadaptés prêts à se faire lessiver par les prochains patrons d’extrême gauche. »
L’IMPORTANCE DES « DIFFICULTÉS OBJECTIVES »
Le rôle de ce que nous avons appelé les « difficultés objectives » n’est pas pour autant à négliger. Il est évident en effet que, quels qu’aient été le poids et la prépondérance des problèmes relationnels dans l’éclatement du collectif, les divergences concernant les stratégies et choix éditoriaux ont constitué des murs sur lesquels revenaient systématiquement s’écraser les tentatives de résolution.
Un argument peut-être plus important contre l’ #autogestion serait qu’elle ajoute à la pression concurrentielle de toute entreprise l’impossibilité pour les travailleurs de se défendre contre de mauvaises conditions de travail, du fait qu’ils sont leurs propres patrons et que c’est la survie de leur propre entreprise qui est en jeu.
En outre, en cas de division dans le #collectif, il n’existe pas d’instance neutre intermédiaire, pas d’espace formel dévolu à la résolution du #conflit. Des éléments de réponse ont déjà été avancés dans le présent article : une certaine auto-exploitation peut être acceptée lucidement comme une part militante, tant qu’elle est partagée et au service des objectifs qu’on s’est fixés ; il est indispensable d’instituer l’instance de médiation dès la fondation de l’association et de veiller à ce qu’elle soit prête à intervenir
Edito du numéro (extrait) :
Il s’agissait d’abord de savoir s’il était possible de définir une position singulière des anarchistes sur la question du conflit en général, et de leurs conflits en particulier. Il existe, chez plusieurs auteurs de la tradition anarchiste, une véritable pensée de l’antagonisme, pensée qui, sans toutefois être jamais exempte de tensions internes (encore heureux !), a pour point commun le refus d’une instance transcendante qui réglerait les litiges. Ce mode d’appréhension nous a semblé mériter d’être confronté avec d’autres, qu’il s’agisse de courants idéologiques ou d’autres cultures. Il s’agissait en outre de savoir dans quelle mesure les anarchistes ont pu penser et pratiquer des manières originales de résoudre ou de désamorcer des conflits, depuis les jurys d’honneur jusqu’aux groupes affinitaires, en passant par la pratique du consensus formel. Aucune de ces manières ne constitue une recette pour en finir avec la conflictualité. Elles sont bien plutôt l’indice que l’anarchisme se confronte véritablement aux antagonismes, y compris dans ce qu’ils peuvent avoir d’interminable ou d’insoluble.
Les hommes proféministes : compagnons de route ou faux amis ? | Francis Dupuis-Déri (Recherches féministes)
►http://www.erudit.org/revue/rf/2008/v21/n1/018314ar.html
L’objectif de l’auteur est de réfléchir à la position politique paradoxale et problématique qu’occupe l’homme proféministe dans son rapport aux femmes en général et aux féministes en particulier. Après avoir rappelé très brièvement quelques problèmes associés à l’engagement malheureux d’hommes proféministes à la fin du XIXe siècle et au XXe siècle, l’auteur montrera, dans une perspective féministe radicale matérialiste (Christine Delphy), que les hommes, même les mieux intentionnés, sont toujours privilégiés en tant que mâle. Il proposera conséquemment que les hommes proféministes s’engagent dans un processus de disempowerment. En reprenant la distinction entre le « pouvoir sur » (pouvoir de domination) et le « pouvoir de » (pouvoir d’agir), l’auteur clarifiera ce qu’il entend par disempowerment, soit un processus par lequel des hommes devraient travailler individuellement et collectivement à limiter le pouvoir qu’ils exercent sur les femmes et les féministes. Il rappellera enfin que, malgré leurs bonnes intentions, l’engagement des hommes proféministes recèle toujours un potentiel problématique pour des féministes et que c’est le rapport de force créé et entretenu par des féministes qui pousse des hommes à se dire proféministes et qui limite les effets négatifs de leur engagement. Source : Recherches (...)
Sur le même sujet, par le même auteur :
« Hommes anarchistes face au féminisme », Réfractions, no. 24, 2010 (version française et légèrement modifiée de « What about patriarchy ? Some thoughts of a heterosexual anarcho-male », Social Anarchism, 43, 2009.)
►http://refractions.plusloin.org/IMG/pdf/2412_1_.pdf