Agence Media Palestine | SOLIDARITE AVEC LA PALESTINE

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  • From checkpoint to counterpoint: on tour with the Palestine Youth Orchestra - Reuters
    https://uk.reuters.com/article/us-israel-palestinians-music-idUKKCN1VC1I6

    An easier journey was had by Mostafa Saad, the 21-year-old concert master and lead violinist, whose two brothers and sister also play with the orchestra.

    None of the Saad brothers did army duty, despite coming from Israel’s Druze Arab community, whose men usually serve in the Israeli military.

    “Once you play with your friends in #Palestine you can never imagine yourself holding a rifle instead of your instrument,” he said.

    #musique

    • They say they cannot gather the full orchestra at home because Israeli restrictions make it too hard to bring together members from Gaza, the West Bank, Jerusalem and refugees abroad.

      En une phrase un résumé terrible de ce que veut dire « occupation » et « colonisation » en Palestine, ou l’occupant israélien non content de confisquer et de s’approprier des territoires, tue à petit feu la culture et l’art en empêchant autant que possible.

      Je l’ai constaté et vécu en CIsjordanie, et c’est un acte d’une méchanceté pour ne pas dire un sadisme totalement gratuit et inutile. Malgré ces difficultés, l’orchestre continue de jouer tant bien que mal.

      A part ça, l’initiative est magnifissime, et Israël qui se gargarise et qui est si fière de ses orchestres de jeunes (en Israël même ou de jeunes qu’elle fait venir du monde entier) devrait mourir de honte d’imposer de telles restrictions à des musiciens qui ne veulent qu’une seul chose : jouer et faire du beau ensemble.

  • Ce qui se passe au Cachemire ressemble terriblement à la domination d’Israël sur la Palestine
    Par +972 Magazine, le 12 août 2019 | Traduction : J. Ch pour l’Agence Média Palestine
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/08/22/ce-qui-se-passe-au-cachemire-ressemble-terriblement-a-la-domina

    (...) Entre sionisme et nationalisme hindou

    Les relations entre l’Inde et Israël se sont encore resserrées avec la naissance du Parti Bharatiya Janata (BJP) dans les années 1990. Le BJP, qui est aujourd’hui dirigé par Modi, adhère à l’idéologie politique connue sous le nom d’Hindutva, ou Nationalisme Hindou. L’histoire de l’affinité des nationalistes hindous avec le sionisme est bien documentée par le professeur Sumantra Bose de la London School of Economics qui la fait remonter aux années 1920 quand Vinayak Damodar Savarkar, le père de l’Hindutva, a soutenu la création d’un Etat juif en Palestine. Le BJP et autres Nationalistes hindous sont depuis devenus obsédés par la reproduction du projet sioniste en transformant une Inde constitutionnellement laïque en Etat ethnocratique Hindou.

    Une bonne partie des aspirations et des propositions politiques du BJP pour le Cachemire sont des imitations des pratiques israéliennes qui existent en Palestine. La plus importante de toutes est le désir de construire au Cachemire des colonies dans le style israélien réservées aux seuls Hindous afin de provoquer un changement démographique. Par exemple, le Rashtriya Swayamsevak Sagh (RSS), association non étatique de volontaires paramilitaires hindous à laquelle le BJP est affilié, ont longtemps désiré la révocation des lois sur l’état de droit qui ont maintenu le maquillage démographique du Cachemire.

    Ces changements sont clairement inspirés du modèle colonial israélien, comme l’a dit le député du BJP Ravinder Raina qui, en 2015, a déclaré que le gouvernement indien utiliserait sont armée pour protéger les colonies pour Hindous seulement au Jammu et Cachemire. Ce genre de titrisation et de protection entraînerait une expansion de l’appareil qui restreint déjà l’énergie vitale de la plupart des Kashmiris, en les utilisant comme un prétexte pour justifier le nouveau niveau de domination et d’intrusion.

    En plus des parallèles dans les objectifs politiques, le discours utilisé par les supporters du régime actuel en Inde ressemble aux vieux refrains israéliens. Israël comme l’Inde prétendent être des démocraties exceptionnelles, malgré le traitement de larges tranches de populations sous leur contrôle. Ajouté à cela, les Sionistes comme les Nationalistes hindous prétendent que l’existence de nombreux pays musulmans dans le monde nécessite respectivement un Etat juif et un Etat hindou. Cela perpétue le mensonge comme quoi les musulmans palestiniens et indiens peuvent prétendument vivre ailleurs, et choisissent cependant de vivre en Palestine et en Inde simplement pour contrarier les Juifs et les Hindous.

    Cependant, la variété des tactiques utilisées par l’Inde pour contrôler la population civile du Cachemire ressemble énormément à celles utilisées par Israël en Palestine. Ces ont « les arrestations arbitraires, les assassinats extra-judiciaires, les disparitions forcées, les couvre-feux, les punitions collectives, la détention administrative, la torture, le viol et les abus sexuels, la répression de la liberté de parole et de réunion, les démolitions de maisons, etc. ». (...)

    #IsraelInde #Cachemire #Palestine

  • Israel encourages Gazans to leave prison Strip has become
    https://www.al-monitor.com/pulse/originals/2019/08/israel-palestinians-gaza-strip-ayelet-shaked-rightward.html

    srael was willing to encourage one-way emigration of Palestinians from the Gaza Strip. He said that the National Security Council had put out feelers to Arab states to see if they would take Gaza immigrants in, but they had refused. The official also told the dumbfounded reporters that the prime minister had approved the plan and the security cabinet had discussed it several times. He added that Israel had expressed its willingness to cover the costs of moving the Gazans abroad and to put Air Force bases (probably the southern Nevatim base) at their disposal to facilitate their departure.

    The official did not divulge what foreign governments Israel had approached, but they were probably Gulf states with which Israel has greatly improved diplomatic ties. These countries are in dire need of working hands, whereas the Palestinians, many of them skilled construction workers, would serve as a cheap labor source.

    #palestine #gaza #migrants #réfugiés, une définition bien difficile une fois de plus !

    • Israël encourage l’émigration palestinienne de Gaza, selon un haut responsable
      Par RFI Publié le 20-08-2019 - Avec notre correspondant à Jérusalem, Michel Paul
      http://www.rfi.fr/moyen-orient/20190820-israel-encourage-emigration-palestinienne-gaza-selon-haut-responsable

      Un député arabe israélien accuse le gouvernement de Benyamin Netanyahu de vouloir procéder à un « transfert de population » dans la bande de Gaza.

      C’est une polémique qui secoue en ce moment tout le pays. En cause, la nouvelle politique que chercheraient à mettre en œuvre les autorités israéliennes dans l’enclave palestinienne, à savoir tout faire pour la vider de ses habitants, en s’efforçant de leur trouver différents pays d’accueil.

      Les Israéliens seraient prêts à assumer les coûts liés à cette émigration, et seraient même disposés à permettre l’utilisation d’un aérodrome israélien situé près de Gaza pour permettre aux Palestiniens de s’envoler vers leur nouvelle destination. Le problème, à ce stade, est qu’Israël n’a trouvé aucun pays d’accueil.

      Haut fonctionnaire anonyme

      Cette information est reprise par l’ensemble des médias en Israël avec une même source, un haut fonctionnaire anonyme dans l’entourage du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu. Ce dernier est actuellement en déplacement en Ukraine.

      Toujours selon cette même source, il existerait une émigration spontanée de la bande de Gaza, avec des Palestiniens qui trouvent eux-mêmes des pays d’accueil.

      Un « transfert de population »

      Plus de 35 000 habitants de Gaza sur 2 millions ont quitté l’enclave palestinienne en 2018, affirme le haut fonctionnaire anonyme, la plupart en raison de la situation économique.

      Un député arabe israélien a affirmé que cette politique n’était autre qu’une forme de « transfert de population ». Si les habitants de Gaza doivent émigrer, a renchéri un de ses collègues, c’est vers la Palestine.

  • « Manigancer une majorité juive à Jérusalem » : les Palestiniens chassés par les politiques « vertes » d’Israël
    Par Jan-Peter Westad – WADI YASUL, Jérusalem-Est occupée
    Date de publication : Mardi 20 août 2019 - 16:30 | Dernière mise à jour : il y a 1 heure 18 min | Middle East Eye édition française
    https://www.middleeasteye.net/fr/actualites/manigancer-une-majorite-juive-jerusalem-les-palestiniens-chasses-par-

    Sur une colline juste au sud de la vieille ville de Jérusalem se dresse une pinède florissante de 54 hectares, au cœur du quartier palestinien de Silwan – l’une des zones les plus ghettoïsées de Jérusalem-Est occupée à la suite des initiatives du gouvernement israélien et des colons.

    Le parc, baptisé « Forêt de la Paix », est une attraction touristique présentée comme un « trésor naturel » lié à la Cité de David, un site archéologique israélien ouvert au public.

    Créée et baptisée peu après l’occupation israélienne de Jérusalem-Est en 1967, cette forêt est l’œuvre du Fonds national juif, une organisation qui soutient financièrement des projets de colonisation juive illégale dans des quartiers palestiniens.

    Depuis les années 1970, le gouvernement israélien a fait du quartier une zone « verte », un statut qui interdit toute construction.

    En 1977, les autorités israéliennes ont confié le contrôle du projet de la Cité de David à l’organisation de colons juifs El’ad.

    Le secteur de Wadi Yasul à Silwan, qui compte plus de 500 habitants, doit être démoli par les autorités israéliennes.

    Faute de place pour s’étendre au cours des décennies, les habitants de Wadi Yasul ont dû construire sans permis israéliens difficiles à obtenir, ce qui les a exposés à des ordres de démolition et à des déplacements.
    « Chaque fois que l’on sort de sa maison, on court un risque »

    Les familles se battent devant les tribunaux depuis plus de quinze ans pour retransformer le secteur en zone résidentielle, mais le gouvernement a maintenu qu’il devait rester « vert ».

    Un certain nombre de bâtiments du secteur ont déjà été démolis – les forces israéliennes ont détruit une étable et un entrepôt le 17 avril ainsi que deux habitations le 30 avril, provoquant le déplacement d’onze personnes. (...)

    #colonialisme_de_peuplement #jerusalem

  • Des jeunes musiciens palestiniens défient le « système d’oppression » | Agence Media Palestine
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/08/16/des-jeunes-musiciens-palestiniens-defient-le-systeme-doppressio

    Normalement, lorsque les gens parlent des Palestiniens, c’est parce que nous sommes sous occupation et défavorisés », dit N. Barghouti. « L’OJP montre le côté puissant, beau, créatif de la Palestine, qui est si présent. »

  • Utiliser l’indigénéité dans le combat pour la libération palestinienne
    Ahmad Amara et Yara Hawari – 8 août 2019 - Trad. : CG pour l’Agence Média Palestine - Source : Al Shabaka
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/08/13/utiliser-lindigeneite-dans-le-combat-pour-la-liberation-palesti

    (...) Colonialisme d’occupation et indigénéité

    Les différents cas du colonialisme d’occupation ont leurs spécificités, même s’ils ont beaucoup en commun. De fait, alors qu’il y a des caractéristiques uniques à l’expérience coloniale en Palestine, le projet sioniste n’est pas exceptionnel dans la mesure où il suit le schéma de l’invasion et de la domination européennes. Semblables à d’autres mouvements de colonisation, les premiers sionistes affirmèrent la supériorité européenne. En même temps, pourtant, ils affirmaient être eux-mêmes des autochtones retournant en Palestine, sur la base de récits bibliques. De cette manière, ils étaient capables de mettre en avant un récit où ils étaient les propriétaires légitimes du pays. Par exemple, la notion que seuls les colons sionistes peuvent faire « fleurir le désert » en Palestine est à la fois une référence au récit biblique et donc à leur prétendue « indigénéité » autochtone, et une référence à leur supériorité ostensible dans la culture et dans la connaissance, ainsi que dans la productivité caractéristique du capitalisme européen.

    Le mouvement sioniste a donc utilisé la fois l’indigénéité autochtone biblique et reconnu le sionisme comme une entreprise coloniale. Le leader sioniste Chaim Weizmann a illustré la position coloniale dans cette déclaration de 1947 :

    « D’autres peuples ont colonisé de grands pays, de riches pays. Ils ont trouvé quand ils y sont entrés des populations arriérées. Et ils ont fait ce qu’ils ont fait vis-à-vis de ces populations arriérées…J’aimerais dire que, comparé au résultat des activités colonisantes des autres peuples, notre impact sur les Arabes n’a pas produit de résultats bien pires que ce qui a été produit par d’autres dans d’autres pays ».

    Weizmann et ses pairs ont non seulement reconnu la nature coloniale du sionisme, ils ont aussi considéré les « Arabes de Palestine » avec le même dédain que d’autres colonialistes ont eu envers d’autres peuples autochtones. (...)

  • Ne pas mélanger art et politique ? Les artistes sont souvent progressistes ? Pas en israel... un argument pour le boycott culturel !

    Le plus grand club de musique live d’Israël légitimise l’extrême droite. Les artistes ne disent rien
    Uri Agnon, Haaretz, 6 août 2019
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/08/13/le-plus-grand-club-de-musique-live-disrael-legitimise-lextreme-

    La semaine prochaine marque le début du festival Zappa B’Gaï (Zappa dans la vallée de Hinnom) –un effort conjoint du club Zappa de Jérusalem et de la Cité de David. Nous pouvons peut-être espérer que Zappa ne comprenne pas avec qui il va au lit. Peut-être que les artistes qui participent au « festival » – Danny Robas, Arkadi Duchin, Noam Horev, Revital Vitelzon Jacobs, Moshe Lahav, Shlomi Koriat – sont aussi peu familiers de la complexité politique dans laquelle ils se trouvent impliqués.

    En bref : la Cité de David est un parc national au cœur du quartier palestinien de Silwan à Jérusalem Est. Ce parc est géré par l’association Elad, une organisation sans but lucratif, messianique de droite, qui fait des efforts énormes pour judaïser cette zone, avec l’aide d’un système discriminatoire de lois et des paquets d’argent de sources anonymes.

    L’art est toujours politique mais tous les artistes et toutes les institutions culturelles ne choisissent pas de s’exprimer publiquement contre l’occupation, de la même façon que tout un chacun ne s’y oppose pas activement ou ouvertement. Il y a d’innombrables sujets d’œuvres artistiques. Dans une démocratie, les artistes et les institutions peuvent même exprimer des opinions opposées, c’est à dire ultranationalistes et antidémocratiques, mais il est hypocrite et décevant de dissimuler des opinions extrémistes sous le couvert du courant dominant apolitique.

    #Palestine #Musique #Musique_et_politique #BDS #Boycott_culturel #Jérusalem_Est #Cité_de_David #Elad

  • Haidar Eid, militant et chanteur de Gaza, souligne l’importance de l’art et en particulier de la chanson dans la lutte pour l’autodétermination des Palestinien.ne.s :

    Documenter le désir des Palestiniens d’être libres
    Haidar Eid, Mondoweiss, le 7 août 2019
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/08/10/documenter-le-desir-des-palestiniens-detre-libres

    Il annonce à cette occasion la sortie d’un nouveau CD, Tyrants’ Fear of Songs avec des chansons de résistance qu’il interprète en arabe, historiques et récentes, d’Egypte au Yémen, en passant par la Palestine et la campagne BDS...
    https://haidareid.bandcamp.com/releases

    #Palestine #Musique #Musique_et_politique #Haidar_Eid #BDS #Boycott_culturel #Gaza

  • J’ai dit non à une audition pour une série sur Netflix parce que je défends les droits des Palestiniens
    David Clennon, Truthout, le 7 août 2019
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/08/09/17290

    « Sycamore/Hit and Run » est peut-être ou peut-être pas aussi offensant que « Fauda », mais il y a ici une question tout aussi importante : les sociétés de production israéliennes comme celles d’Issacharoff et Raz tirent un bénéfice énorme de leurs alliances avec leurs partenaires américains et Netflix. En plus d’un revenu substantiel pour ces sociétés et l’économie israélienne, le gouvernement d’Israël profitera du prestige de partenariats créatifs avec Hollywood. Ces relations d’affaires dans le spectacle importent, politiquement.

    La réponse des Palestiniens sur Twitter :
    https://twitter.com/PACBI/status/1159506070471094273

    #David_Clennon #Netflix #Palestine #USA #Boycott #Boycott_culturel

  • D’un côté l’UE dénonce mollement les destructions de maisons palestiniennes à Jérusalem-Est, et d’un autre côté...

    L’UE finance désormais le ministère de la Guerre d’Israël
    David Cronin – The Electronic Intifada – 2 août 2019
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/08/05/lue-finance-desormais-le-ministere-de-la-guerre-disrael

    Le ministère de la Défense d’Israël vient justement de commencer à récupérer des fonds de l’Union européenne, pour la première fois.

    Il fait partie des bénéficiaires d’un nouveau programme de recherche de 9 millions de dollars sur l’utilisation de drones en cas de catastrophe. Connu sous le nom de Respondrone, ce programme est financé dans le cadre du programme scientifique de l’UE, Horizon 2020.

    #Europe #israel #armée #drones #complicité #financement #Horizon_2020 #Recherche #Université #BDS #boycott_universitaire

  • AIPAC may be celebrating now, but the BDS battles in Congress have just begun -

    House vote shows that Democrats object to BDS, but they can expect growing Republican pressure to support more thorough anti-boycott legislation
    Allison Kaplan Sommer
    Jul 27, 2019

    https://www.haaretz.com/us-news/.premium-aipac-may-be-celebrating-now-but-the-bds-battles-in-congress-have-

    You could practically hear the champagne corks popping and fireworks exploding across AIPAC’s social media feeds on Wednesday.

    The celebration was justified. At a time of unprecedented partisan division, it was no small feat for legislation condemning the boycott, divestment and sanctions movement against Israel to make it through the Democrat-led House of Representatives, let alone by a vote of 398-17. Even better for the pro-Israel lobby, which aspires to wall-to-wall support of the Jewish state, the overwhelming endorsement garnered “yea” votes from prominent progressives, including a member of the vaunted “squad” — Rep. Ayanna Pressley (Massachusetts).

    Supporters of AIPAC were delighted that with the passage of House Res. 246, no less than 92 percent of the House had agreed “to condemn the BDS campaign as anti-Israel, anti-peace and damaging to U.S. interests.” This, they said, was “representative of the broad, bipartisan support in Congress for Israel and the U.S.-Israel relationship.”

    But anyone who believes that this resolution will in any way resolve or mitigate the bitter political wrangling over BDS has been drinking too much celebratory champagne, said Lara Friedman, president of the Foundation for Middle East Peace — a nonprofit that promotes a two-state solution.

    “You’d have to be delusional to think that this is over,” said Friedman.

    The nonbinding vote Wednesday may have been impressive, but it was just a short chapter in the saga of BDS legislation that has been underway for two years and will continue into the future. And even as the celebrations continued, future battles were shaping up on both sides of the aisle.

    Although the passage of the resolution did put Democratic objections to the “the Global BDS movement” on the record, Republicans openly dared them to move beyond mere words and support binding legislation that would deliver real consequences to entities that boycott Israel or the settlements.

    Sen. Marco Rubio (Republican of Florida) is author of the Combating BDS Act, which encourages state governments not to sign contracts with supporters of boycotts against Israel or its settlements (passed by the Senate in February). He goaded House Democrats and Speaker Nancy Pelosi by saying that for months she “has refused to bring my bipartisan bill to combat the BDS movement’s discriminatory conduct and strengthen America’s security in the Middle East to the House floor. … Out of fear of retaliation from the far left wing of her conference, it’s clear that Speaker Pelosi has allowed the radical, anti-Semitic minority in the Democratic Party to dictate the House floor agenda.”

    Rubio’s bill was the latest manifestation of legislation that has been in limbo for the past two years. In 2017, the Israel Anti-Boycott Act was first proposed in the Senate, in an attempt to target government-sponsored boycotts of Israel and update laws drafted in response to the Arab League boycott of Zionist goods and services in what was then British Mandatory Palestine in 1945.

    Objections to the legislation — primarily, but not exclusively, among Democrats — focused on the argument that such laws violate free speech, a charge led by the American Civil Liberties Union.

    In his reaction to the House vote, Senate Majority Leader Mitch McConnell (Republican of Kentucky) scoffed while speaking on the Senate floor that “this symbolic BDS resolution is held up as a major victory, while Senate-passed legislation that would actually take action — actually do something against BDS — doesn’t even get a vote.”

    On the Democratic side of the aisle, progressives who were not among the 17 members who voted against the resolution (which included the three other “Squad” members, Reps. Ilhan Omar, Alexandria Ocasio-Cortez and Rashida Tlaib) were on the defensive, following criticism that they caved to pressure from the pro-Israel lobby.

    In a Twitter thread, Pressley said that while “there are a lot of anti-BDS bills out there that infringe on 1st Amendment rights,” in her view the House resolution “wasn’t one of them.” That, she said, convinced her to support “what I heard resounding” in her district: “That voting yes on this resolution affirmed to my constituents raised in the Jewish faith Israel’s right to exist, a view I share as a supporter of a two-state solution.”

    She vowed that she would never vote for a bill that would punish those who support BDS, and stressed that “this resolution does not mitigate the pain and trauma of the Palestinian people and as with my co-sponsorship of the McCollum bill, I will continue to be a strident voice critiquing conservative Israeli policies.”

    Pressley was referring to the bill introduced by Rep. Betty McCollum (Democrat of Minnesota), which would “require that the Secretary of State certify that American funds do not support Israel’s military detention, interrogation, abuse, or ill-treatment of Palestinian children.”

    Another Democratic congressman who voted for the resolution, civil rights icon and Georgia Rep. John Lewis, also defended himself by pointing to another piece of legislation he co-sponsored: a bill introduced with Tlaib and Omar last week. That bill, which did not mention Israel by name, affirms “that all Americans have the right to participate in boycotts in pursuit of civil and human rights at home and abroad.” Lewis said it “was a simple demonstration of my ongoing commitment to the ability of every American to exercise the fundamental First Amendment right to protest through nonviolent actions.” Squad members Pressley and Ocasio-Cortez made a point of signing on as co-sponsors of the bill later in the week as well.

    At the same time, Lewis said he co-sponsored House Res. 246 “as a longtime friend of Israel,” and because he wanted “to make it very clear that I disagree strongly with the BDS movement. Economic, educational and cultural interaction with Israel, America’s democratic ally, is not only in the best interest of Israelis and Americans, but it improves the climate for peace with Palestinians, which is in everyone’s interest to encourage.”

    Friedman, of the Foundation for Middle East Peace, says Democratic leaders are fooling themselves if they think that passage of the resolution will “release some of the pressure on them” to sign onto more punitive anti-BDS legislation and “neutralize the issue as a weapon for attack against them.”

    She predicts that it will have exactly the opposite effect: “Right now, you see Republicans celebrating that they managed to corner the Democrats. For people motivated to go after Democrats, they have signaled that this is an issue on which they — the Democrats — are vulnerable. Once you give into bullies, you are going to get bullied more. I expect BDS to come up in every possible context and that Republicans will keep pushing Democrats, asking them why they won’t move on the Combating BDS Act. They’d have to be nuts not to. the way they see it, this is the gift that keeps on giving.”

  • Israfrique dans toute sa splendeur :

    les 27 et 28 juin derniers, nous avons participé à une conférence dont le titre était « Racialisation et public en Afrique et dans la diaspora africaine » (...) au lieu de cela, cette conférence universitaire internationale sur l’Afrique globale a été réquisitionné pour légitimer l’état colonial et d’apartheid d’Israël (...) et nous voulons avertir les futurs organisateurs de conférences sur les Noirs et sur l’Afrique qui pourraient rencontrer des tactiques similaires de la part d’organisations sionistes.

    Sionisme et études globales de l’Afrique
    Samar Al-Bulushi , Peter James Hudson, Zachary Mondesire, Corinna Mullin, Jemima Pierre, Africa is a Country, juillet 2019
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/07/27/sionisme-et-etudes-globales-de-lafrique

    Cet article fait suite à la déclaration de participants publiée sur le site de la Fondation Frantz Fanon :

    Statement by undersigned participants in the Racialisation and Publicness in Africa and the African Diaspora Conference
    Lettre ouverte, le 4 juillet 2019
    http://fondation-frantzfanon.com/statement-by-undersigned-participants-in-the-racialisation-an

    #Afrique #Conférence #Université #révisionnisme

    A rajouter à la compile #Israfrique :
    https://seenthis.net/messages/685758

  • Des armes israéliennes se cachent-elles derrière « l’agriculture » au Sud Soudan ?
    Ali Abunimah, The Electronic Intifada, le 25 juillet 2019
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/07/26/des-armes-israeliennes-se-cachent-elles-derriere-lagriculture-a

    De nouvelles révélations sur un général israélien accusé de trafic d’armes jettent un doute supplémentaire sur ses déclarations comme quoi il ne ferait qu’aider les Africains dans des projets agricoles.

    En décembre dernier, le gouvernement américain a prononcé des sanctions contre Israel Ziv, général israélien à la retraite qu’il accuse de fournir des armes pour alimenter la guerre civile du Sud Soudan.

    D’après le Département du Trésor américain, Ziv s’est servi d’une société agricole « comme couverture pour vendre à peu près pour 150 millions $ d’armes au gouvernement, dont des fusils, des lance-grenades et des lance-roquettes portables ».

    On dit aussi qu’il « a planifié l’organisation d’attaques par des mercenaires sur les champs pétroliers sud-soudanais et leurs infrastructures, pour essayer de créer un problème que seules sa société et ses filiales pourraient régler ».

    Des télégrammes diplomatiques ont par ailleurs révélé que les fonctionnaires américains étaient déjà préoccupés par les activités de Ziv en Amérique Latine depuis 2006. On dit qu’il a fourni des conseils militaires à la Colombie et au Pérou sur la façon d’écraser les soulèvements.

    Mais quelle pourriture humaine ?!

    #Sud-Soudan #Trafic_d'armes #mercenaires

    A rajouter à la compile #Israfrique :
    https://seenthis.net/messages/685758

  • Les secouristes ont besoin de miracles pour rester en vie à Gaza
    Hamza Abu Eltarabesh, The Electronic Intifada, le 19 juillet 2019
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/07/26/les-secouristes-ont-besoin-de-miracles-pour-rester-en-vie-a-gaz

    Muhammad a été le quatrième secouriste de Gaza à être tué depuis le début de la Grande Marche du Retour l’année dernière.

    Un assassinat semblable – celui de l’infirmière Razan al-Najjar – a bénéficié d’une certaine couverture médiatique à l’international.

    Le cinquième anniversaire de l’attaque de 2014 ravive des souvenirs douloureux pour les secouristes de Gaza.

    Au total, 23 membres du personnel de santé ont été tués pendant cette offensive, 16 d’entre eux en service. Les secouristes qui ont survécu ont, très souvent, eu à faire face à des deuils.

    #Palestine #Gaza #secouristes #Marche_du_Retour #assassinats #Razan_al-Najjar

  • Vous n’êtes pas bienvenus : à propos de la réception palestinienne non accueillante de normalisateurs arabes
    Haidar Eid | 23 juillet 2019 | Traduction : SF pour l’Agence Media Palestine | Source : Mondoweiss
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/07/24/vous-netes-pas-bienvenus-a-propos-de-la-reception-palestinienne
    https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=6UpRyTsd1M0

    (...) En revanche, le fait de dire ‘La Ahlan wala Sahlan’ (Vous n’êtes pas bienvenus) à l’adresse de journalistes saoudiens, émiratis, égyptiens, lors de leur visite de la mosquée d’Al Aqsa et de la vieille ville de Jérusalem, ne devrait pas faire sourciller car l’équipe n’a jamais été invitée par un État palestinien indépendant à visiter un des sites islamiques les plus importants. Les journalistes n’ont fait aucune demande de voyage en Palestine auprès des ambassades palestiniennes de leurs pays. Au contraire, la visite est organisée en coordination avec les autorités israéliennes, c’est à dire les forces d’occupation. La délégation n’aurait pas eu les moyens de se rendre à Yad Vashem à Jérusalem, entre autres sites qui ne comptent pas la barrière Est de Gaza, si la permission ne leur en avait été donnée par les forces d’occupation. (...)

  • Dangereux précédent : Israël démolit des habitations palestiniennes en périphérie de Jérusalem-Est
    Par Hanadi Qawasmi - WADI HUMMUS, Cisjordanie occupée
    Date de publication : Lundi 22 juillet 2019

    Les Palestiniens de Wadi Hummus possédaient tous les permis nécessaires pour construire leur maison dans les zones relevant de la juridiction de l’Autorité palestinienne. Aujourd’hui, l’armée israélienne envoie les bulldozers

    https://www.middleeasteye.net/fr/reportages/dangereux-precedent-israel-demolit-des-habitations-palestiniennes-en-

    Des bulldozers israéliens rejoints par des centaines de soldats et de policiers ont commencé à démolir des habitations palestiniennes à la périphérie de Jérusalem-Est, malgré les protestations locales et les critiques internationales.

    Les forces israéliennes se sont rendues ce lundi dans le village palestinien de Sur Baher pour démolir une dizaine d’habitations dans le quartier de Wadi Hummus, près du mur de séparation israélien.

    La Cour suprême israélienne a tranché en faveur de l’armée le mois dernier et a fixé lundi comme date limite pour démolir les habitations.

    Les forces israéliennes ont coupé à travers une section de fil barbelé de la barrière à Sur Baher sous le couvert de l’obscurité tôt ce lundi et ont commencé à évacuer les habitants.

    Des projecteurs ont illuminé la zone alors que des dizaines de véhicules amenaient les forces de sécurité casquées dans le village.

    Dès les premières lueurs de l’aube, les pelleteuses ont commencé à détruire une maison de deux étages tandis que les soldats investissaient un bâtiment inachevé de plusieurs étages à proximité, rapporte l’agence de presse Reuters.
    (...)
    D’après les accords d’Oslo, Israël ne devrait pas avoir son mot à dire sur la construction ou non d’habitations dans les zones A et B. Cependant, une décision de l’armée israélienne de 2011 a décrété qu’Israël pouvait désormais démolir des bâtiments dans les zones administrées par l’Autorité Palestinienne. Wadi Hummus est le premier cas.

    L’Organisation de libération de la Palestine (OLP) a publié un communiqué accusant la cour israélienne de vouloir « créer un précédent pour permettre aux forces d’occupation israéliennes de démolir de nombreux bâtiments palestiniens situés à proximité » du mur.

    #Colonialisme_de_peuplement

  • « Nous retournons 800 ans en arrière » : Un Palestinien se bat contre la prise de contrôle d’un hôtel de Jérusalem par une ONG de colons.
    Par Nir Hasson, 13 juillet 2019 – Haaretz | Traduction : JPP pour l’Agence Média Palestine | Source : Haaretz
    https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/07/18/nous-retournons-800-ans-en-arriere-un-palestinien-se-bat-contre

    Abu-Walid Dajani, 75 ans, se lance dans ce qu’il appelle la bataille de sa vie : empêcher la fermeture de l’hôtelImperial et sa prise de contrôle par l’organisation Ateret Cohanim, qui gère une yeshiva et installe des juifs dans la Vieille Ville et à Jérusalem-Est.

    Les murs de la Vieille Ville de Jérusalem sont visibles de la fenêtre du bureau de Dajani à l’Imperial, qui semblent presque assez proches pour les toucher. Les murs du bureau portent des photos de l’ancien Président égyptien, Gamal Abdel Nasser, et d’un jeune roi jordanien, Hussein, à côté de photos de famille remontant à un siècle. L’hôtel est situé dans un vaste, grand immeuble sur la place Omar Ibn al-Khattab, proche de la porte de Jaffa dans la Vieille Ville.

    La lutte déterminera le sort de la place centrale de la Vieille Ville, disent Dajani et beaucoup d’autres. « C’est le cœur de Jérusalem » dit-il. « Je dois me préparer pour la bataille. Ma famille vit à Jérusalem depuis 800 ans. Ce sont des pages d’histoire et je veux que mon nom y soit. Jamais je n’abandonnerai. Je suis loyal et si je meurs, je mourrai loyal et heureux ». (...)

  • Israël : des parlementaires français en visite sur un site controversé
    Publié le 16 juillet 2019
    https://www.lapresse.ca/international/moyen-orient/201907/16/01-5234092-israel-des-parlementaires-francais-en-visite-sur-un-site-controv

    Une délégation de 35 parlementaires français s’est rendue mardi sur un site archéologique israélien controversé à Jérusalem-Est, partie palestinienne occupée et annexée de la ville.

    Cet immense site archéologique et touristique, appelé la Cité de David, se trouve au coeur du quartier palestinien de Silwan, en contrebas des murailles de la Vieille ville, et accueille chaque année 500 000 visiteurs.

    Les députés et sénateurs français y ont visité une route souterraine inaugurée récemment par l’association israélienne nationaliste Elad, qui gère le lieu avec l’Autorité nationale israélienne de la nature et des parcs. (...)

    Lors de l’inauguration de la route souterraine le 1er juillet, les Palestiniens avaient dénoncé la participation de l’ambassadeur des États-Unis en Israël et d’un conseiller de la Maison-Blanche, perçue comme un soutien américain à la colonisation israélienne à Jérusalem-Est et dans les Territoires palestiniens, en violation du droit international.

    Une ONG israélienne, La Paix Maintenant, accuse de son côté les auteurs des fouilles d’avoir endommagé les maisons palestiniennes situées au-dessus du tunnel.

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    Des parlementaires français rencontrent Benjamin Netanyahu
    Par Times of Israel Staff | 18 juillet 2019
    https://fr.timesofisrael.com/des-parlementaires-francais-rencontrent-benjamin-netanyahu

    Le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu a annoncé ce mercredi sa rencontre avec la délégation des parlementaires français actuellement en visite en Israël. La rencontre a eu lieu dans ses bureaux, à Jérusalem.

    Parmi les députés présents, on retrouve notamment Aurore Bergé (LREM), présidente du groupe d’amitié France-Israël à l’assemblée, Meyer Habib (UDI), Simon Sutour (PS) ou encore Joachim Son-Forget (UDI).

    « Il est très important que la France et le reste de l’Europe fassent exactement ce que l’Argentine a fait récemment, à savoir déclarer le Hezbollah comme un groupe terroriste, a déclaré le Premier ministre durant la rencontre. Il s’agit de la principale organisation terroriste au Moyen-Orient et dans le monde, qui opère des terroristes sur le sol européen. »
    « Le plus important est donc de désigner le Hezbollah comme une organisation terroriste et je pense que cela devrait être fait immédiatement », a-t-il ajouté.
    (...)
    « Israël est un pays ami et allié et notre enjeu est de banaliser les relations entre les deux pays indépendamment du conflit israélo-palestinien », avait auparavant déclaré Aurore Bergé.

    • La lutte contre l’antisémitisme instrumentalisée à l’Assemblée Nationale
      Agence Média Palestine – 18 Juillet 2019
      https://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/07/18/la-lutte-contre-lantisemitisme-instrumentalisee-a-lassemblee-na

      Une résolution, portée le 20 mai 2019 par le député LREM de la première circonscription de Paris Sylvain Maillard, a pour objectif de faire adopter par l’Assemblée Nationale la définition de l’antisémitisme de l’IHRA (International Holocauste Remembrance Alliance) (1). Celle-ci tend dangereusement vers la restriction de toute expression critique vis-à-vis de la politique d’Israël, et donc de toute solidarité avec la résistance palestinienne à l’occupation, la colonisation et l’apartheid (2).

      
Cette tentative s’inscrit dans une longue série de manœuvres ayant commencé peu après l’élection d’Emmanuel Macron à la Présidence de la République (3). Tout récemment encore, l’examen de la résolution ayant été reporté au mois d’octobre, Sylvain Maillard et quelques-uns de ses collègues ont tenté de soumettre plusieurs amendements allant dans le même sens, lors de l’examen de la proposition de loi « visant à lutter contre la haine sur Internet » (4).

      
Concernant la juste lutte contre l’antisémitisme, il y aurait matière à louer une telle persévérance. Malheureusement, la démarche mise en avant par les parlementaires à l’origine de la résolution, fait ici l’objet d’une instrumentalisation patente. (...)

    • Israël : des parlementaires français en visite sur un site controversé | Moyen-Orient
      https://www.lapresse.ca/international/moyen-orient/201907/16/01-5234092-israel-des-parlementaires-francais-en-visite-sur-un-site-controv

      « C’est le berceau de notre civilisation, un lieu historique de premier plan », a affirmé Simon Sutour, sénateur du Gard et l’un des deux socialistes de la délégation, composée notamment d’élus de La République en marche (LREM), des Républicains (LR) et de l’Union des démocrates et indépendants (UDI).

      « Je comprends ce que les Arabes vivant dans ce quartier peuvent ressentir mais il s’agit d’un lieu historique qui prouve encore la présence juive ici il y a 2000 ans », a ajouté M. Sutour, également vice-président du groupe d’amitié France-Israël.

      « Israël est un pays ami et allié et notre enjeu est de banaliser les relations entre les deux pays indépendamment du conflit israélo-palestinien », a déclaré Aurore Bergé, porte-parole de LREM et présidente du groupe d’amitié.

      #banaliser_les_relations
      #indépendamment_du_conflit_israélo-palestinien