• En Californie, accident mortel avec une Tesla apparemment sans conducteur
    https://www.rts.ch/info/monde/12133551-en-californie-accident-mortel-avec-une-tesla-apparemment-sans-conducteu

    Deux hommes sont morts au Texas dans l’accident d’une Tesla à bord de laquelle il n’y avait apparemment personne derrière le volant, ont indiqué dimanche le Wall Street Journal et la chaîne de télévision locale KPRC2.
    Le véhicule roulait à vive allure quand il s’est écrasé samedi soir contre un arbre et a pris feu, selon ces médias. Les autorités n’ont retrouvé que deux individus, l’un à la place du passager et l’autre sur le siège arrière.

    https://www.rts.ch/2021/04/19/04/13/12133544.image?w=1280&h=720
    « Les premiers éléments de l’enquête, qui n’est pas encore terminée, montrent qu’il n’y avait personne au volant du véhicule », a indiqué un responsable de la police du comté de Harris, Mark Herman, au Wall Street Journal.

    Ils n’avaient pas encore déterminé dimanche si l’airbag du siège du conducteur s’était déployé et si le système d’assistance à la conduite du véhicule était enclenché au moment de la collision.

    Un véhicule pas encore autonome, selon Tesla
    Sur son site internet, Tesla prévient que les systèmes d’assistance à la conduite qu’ils proposent ne rendent pas le véhicule autonome et que la supervision active d’un conducteur reste nécessaire.

    Mais des vidéos montrent régulièrement des Tesla avec des conducteurs endormis ou sans les mains sur le volant pendant un temps prolongé.
    ats/ther
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    • Les géants du numérique nous prennent-ils pour des idiots ? Anouch Seydtaghia

      Deux Américains sont morts dans l’accident d’une Tesla Model S au Texas. D’après les forces de police, il n’y avait personne au volant au moment des faits. Sommes-nous devenus naïfs face à la technologie ou est-ce la faute des géants de la tech ?

      Un accident mortel lors duquel personne ne conduisait la Tesla Model S, semble-t-il. La voiture est sortie de la route et a heurté un arbre avant de prendre feu. Dans un tweet publié le 18 avril toutefois, le PDG de Tesla, Elon Musk, est formel. Selon lui, l’Autopilot n’était pas en marche au moment de l’accident et il assure que le « Full-Driving System » n’avait pas été acheté pour ce véhicule.

      Est-ce de la faute de Tesla, qui joue sans cesse avec les mots en affirmant que ses voitures sont presque autonomes ? Ou est-ce la faute des occupants du véhicule, qui ont mis leur destin entre les mains d’une technologie non aboutie ?

      Même si ce type d’accident est extrêmement rare, il met en lumière certaines de nos faiblesses, dont celle de trop faire confiance à la technologie.

      Reconnaissance vocale
      Aujourd’hui, les systèmes de reconnaissance vocale sur smartphone font des merveilles. Nous passons de plus en plus de temps, dans les voitures, à dicter nos messages en roulant. Même si nous gardons les yeux sur la route, c’est une source de distraction.
      Plus la technologie évolue, plus la tentation d’aller plus loin est grande, comme de participer à une vidéoconférence depuis son véhicule. Il semblerait que certains installent leur téléphone sur le tableau de bord, ce qui est un comportement illégal et irresponsable.
      Quand les services sont performants et la qualité de connexion puissante, il est difficile, pour certains, de résister à l’envie de pousser de nouvelles limites, quitte à adopter des comportements dangereux.

      Lève la tête avec Google
      Certains géants du numérique pensent alors que les utilisateurs ont besoin d’une application pour que notre téléphone nous enjoigne à regarder autour de nous dans l’espace public. C’est ce qu’estime Google avec l’application « Heads up » qui incitera à regarder devant nous si un mouvement de marche est détecté par le téléphone. Pour l’instant, cette fonctionnalité n‘est disponible que sur les smartphones Pixel de Google.

      En d’autres mots, la société qui nous a rendu accro aux smartphones nous fournit un outil pour éviter de se cogner contre un lampadaire.

      Bien sûr, la technologie permet d’accomplir des choses extraordinaires, mais il faudrait évaluer ce que la technologie nous apporte concrètement, sans « avaler » toutes les innovations comme des moutons. Il est temps d’être un peu plus critique, un peu plus responsable et surtout… un peu moins connecté.

      Source : https://www.rts.ch/info/culture/12152127-les-geants-du-numerique-nous-prennentils-pour-des-idiots.html

  • Verträge werden immer öfter nach englischem Recht geschlossen: Vertragsgestaltung: Die Tücken des Common Law
    https://www.handelsblatt.com/finanzen/steuern-recht/steuern/vertraege-werden-immer-oefter-nach-englischem-recht-geschlossen-vertragsgestaltung-die-tuecken-des-common-law/3138970.html?ticket=ST-7350415-Qwp0pDJ4gHLIO7oaHlA2-ap6

    Um die Vorteile des deutschen Rechts auch für international tätige Unternehmen zu erörtern und ein Stück der verlorenen Reputation des deutschen Rechts wieder herzustellen, haben berufsständische Verbände der deutschen Justiz mit Weihe des Bundesjustizministeriums die Kampagne „Law Made in Germany“ ins Leben gerufen. Damit reagieren die Bundesrechtsanwaltskammer (BRAK), der Deutsche Anwaltsverein, der Deutsche Richterbund und die Bundesnotarkammer in selten gesehener Einigkeit auch auf eine als aggressiv empfundene Broschüre der englischen Law-Society, prominent vom englischen Justizministerium unterstützt.

    Axel Filges, Präsident der BRAK und als Partner von Taylor Wessing selbst Mitglied einer internationalisierten Kanzlei, hat dabei nichts gegen die englischen Kollegen einzuwenden. Wenn das englische Recht Vorteile bietet, sieht er keine Probleme in einer taktischen Rechtswahl. Wenn aber „in der Hamburger Hafencity zwischen überwiegend deutschen Vertragspartnern ein Gewerbemietvertrag nach englischem Recht geschlossen wird“, werde nicht genug nachgedacht.

    „Ohne Not wird hier auf deutsches Recht verzichtet“, klagt Filges. In der gegenwärtigen Finanzkrise sieht der Präsident der BRAK jetzt einen geeigneten Zeitpunkt, Verträge auf ihre Belastbarkeit hin zu überprüfen. Inländische Unternehmen könnten im deutschen Recht auf ein Regelwerk zurückgreifen, das anders als im englischen Recht nicht auf eine unüberschaubare Zahl von Einzelfällen blickt, sondern mit seinen abstrakten Regeln gerade für unerwartete Situationen faire Lösungen anbiete. „Viel positive Resonanz von deutschen Unternehmensjuristen“ hat Filges mittlerweile erfahren.

    #droit #Allemagne