Enemies of the State? How governments and businesses silence land and environmental defenders
More than three people were murdered each week in 2018, with countless more criminalised, for defending their land and our environment.
C’est amusant comme ce genre de statistiques n’inclus jamais la Palestine !
J’avais déjà remarqué le non recensement de la mort de Rémy Fraisse en 2014...
Annual report 2018
▻https://pchrgaza.org/en/wp-content/uploads/2019/07/annual-report-engish-2018.pdf
1. Willful Killings and Other Violations of the Right to Life and Personal Security
In 2018, PCHR documented that the Israe-li forces and settlers killed 302 Palestini-ans5; 245 of them were civilians, including 57 children and a woman. Among the total number of civilian victims, PCHR documented the killing of 2116 civilians in the Gaza Strip, including 50 children and a woman, while in the West Bank 34 Pal-estinians were killed, including 7 children. During this period, 10,731 persons were wounded; most of them were civilians, including 390 in the West Bank and 10341 in the Gaza Strip.
@odilon, oui la plupart du temps c’est des “violences” entre parties supposées égales et pas entre oppresseurs et oppressés.
Peut-être fait-on la différence entre les personnes tuées par les services armés de leur propre gouvernement et les autres ?
Je pense que ce que George veut faire remarquer, c’est que les victimes palestiniennes sont usuellement considérées comme des victimes de violences « de guerre », et non comme un ciblage spécifique contre les militants et activistes (ou les artistes et les journalistes), dont le seul crime est de défendre « leur terre et leur environnement ». Ce qui est l’objet du graphique initial, me semble-t-il. Et comme l’article évoque aussi la « criminalisation » de cette simple activité, il est là encore choquant de ne pas trouver Israël dans la liste des pays criminels.