Quelques homards plus tard, où en est l’écologie gouvernementale ?
« Après le départ de Nicolas Hulot, la création d’un Conseil de
défense écologique, le départ d’un marquis aux petits pieds prêt à se
rallier à toutes les causes pour peu que cela lui permette de faire
briller sa particule au firmament de la vacuité politique, et enfin la
nomination d’une techno qui cumule transports et écologie, essayons de faire un point.
Depuis que Macron a décidé que le bon niveau pour l’écologie, c’était
l’Europe, c’est peu de dire que la présence d’un ministre de
l’Écologie dans le gouvernement est inutile sinon pour signer en
catimini des arrêtés favorables à la chasse et autres dérogations à la
règle pour des agriculteurs qui construisent des retenues sans
autorisations.
(…)
« C’est le Ministère de la Parole qui s’agite et produit du vent. Pas
besoin de crédits affectés à ce Ministère. A défaut de mesures
cohérentes, on continuera de taxer en faisant croire que c’est bon
pour la planète.
C’est la politique du brumisateur, de la gourde, de la fin du
coton-tige et des pailles en plastique, du mousseur de robinet, et de
la brosse à dents au manche en bambou. C’est dire si le climat va
s’améliorer ! »
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