à Villeveyrac, une cigogne s’électrocute et enflamme la garrigue

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  • Près de #Montpellier : à Villeveyrac, une cigogne s’électrocute et enflamme la garrigue
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    Un feu de végétation qui a détruit un hectare de garrigue basse dimanche soir sur la commune de Villeveyrac au Nord de l’étang de Thau, à 50 kilomètres à l’Ouest de Montpellier, n’a été provoqué par une main criminelle, mais par les griffes brûlantes d’une cigogne, électrocutée sur une ligne à haute tension.

    L’alerte a été donnée vers 21h30, hier, quand des flammes se sont élevées dans la garrigue, sur la route de Loupian, sur la commune de Villeveyrac. Le Sdis 34 a dépêché 3 groupes d’intervention feux de forêt -GIFF-, soit 50 sapeurs-pompiers des casernes du bassin de Thau. La progression du feu a été stoppée à 22h30. Un hectare a brûlé.

    Du coup, je découvre qu’il y a un métier qui sert pour quand les oiseaux s’électrocutent :

    Quand un oiseau est mort dans la végétation des suites d’une électrocution, c’est un lieutenant de louveterie qui intervient pour embarquer les oiseaux morts.

    Heureusement y’a Kikipédia :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Lieutenant_de_louveterie

    Le louvetier ou lieutenant de louveterie est en France sous l’Ancien Régime un officier qui commande un équipage du roi pour la chasse au loup1,2. Venator luparius3,4. Il y a eu en France des louvetiers entretenus dans toutes les forêts du domaine royal, on les nommait alors « loutiers », « louviers » et « chasseleur »5,6.

    La charge de grand louvetier de France a été créée en 1520 par le roi François Ier ; il prête serment de fidélité dans les mains du roi et reçoit les serments des autres officiers de louveterie ; il met deux têtes de loup arrachées en dessous de l’écu de ses armes pour marquer sa charge7.

    La fonction de lieutenant de louveterie a été supprimée sous l’Ancien Régime par une ordonnance royale du 9 août 1787, elle a été rétablie sous la Révolution française, réorganisée par Napoléon. Elle est devenue pendant un temps purement honorifique puisqu’il n’existait plus de loups en France, mais elle a repris une utilité par un décret de 1977.