• Syrie: “Washington ment” (Russie)
    Sat Jul 22, 2017
    http://presstv.com/DetailFr/2017/07/22/529285/Syrie-Washington-ment-Russie

    Des agences d’information font état de l’envoi par la Russie en Syrie d’un nouveau navire de guerre doté de missiles « ailés ». Il s’agit d’engin ultra performant capable de viser avec précision des cibles situées sur les côtes. Cette annonce intervient trois jours après que les Américains ont annoncé vouloir geler l’expédition d’armes et de munitions aux terroristes qui se battent depuis 2011 contre l’État syrien.

    Dans un entretien accordé à NBC News, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a été trop critique vis-à-vis des États-Unis qu’il accuse implicitement de menteur. La Russie semble ne pas croire à un « changement de cap » américain en Syrie. Pour le haut diplomate russe, les annonces américaines à propos de la Syrie ne sont qu’un leurre. Car nonobstant leurs déclarations, « les États-Unis soutiennent toujours des groupes armés en Syrie ». Lavrov a aussi évoqué la présence militaire américaine en Syrie qui est illégitime puisque « non mandatée par l’État syrien ».

    Plus loin dans ses propos, le chef de la diplomatie russe est revenu sur la fuite d’informations en provenance des sources turques, informations qui confirment la présence d’une dizaine de bases militaires américaines dans le nord de la Syrie : « Le directeur de la CIA, Mike Pompeo, est doté d’une double personnalité tout comme son discours qui est équivoque au sujet de « l’établissement de bases militaires en Syrie ». Lavrov a déclaré que les propos de Pompeo critiquant la présence de la Russie en Syrie et l’établissement de bases militaires sur la côte méditerranéenne, lors du Aspen Security Forum jeudi, ont montré que « quelque chose n’allait pas avec le double standard ». Pour Lavrov, la présence illégitime du Pentagone en Syrie ne se limite pas au nord du pays, car il existe « des centaines de bases militaires des États-Unis partout dans le monde et aux alentours de la Russie ».

    #Syrie

  • Question on Saudi democracy gives State Dept pause
    http://www.al-monitor.com/pulse/afp/2017/05/us-diplomacy-saudi-media-politics-vote.html

    Long silence éloquent de la diplomatie US quand on l’interroge sur la démocratie saoudienne...

    <iframe src='https://seenthis.net/http://PressTV.com/Default/Embed/523717" width="580" height="326" frameborder="0"></iframe>

    Jones is a respected career diplomat and former US ambassador to both Iraq and Jordan who has been thrust into the limelight as the administration has been slo w to fill more senior posts.

    He accompanied Trump and Secretary of State Rex Tillerson to Saudi Arabia and Israel last week and took to the State Department podium to brief reporters on their achievements.

    His account of success in building ties with Saudi and other Muslim and Arab leaders matched the later White House briefing in substance, if not in Spicer’s hyperbolic language.

    But when an AFP reporter asked him whether the United States believes that democratic governance could help limit the spread of extremism, he fell silent.

    • À la fin (15 minutes 50) :
      https://www.youtube.com/watch?v=wYMcYCxWJ64&start=951

      La transcription officielle ne reproduit pas le silence gênant (alors je l’ai ajouté), mais permet de constater à quel point le type ne répond pas à la question…

      Briefing on the President’s Trip to the Middle East
      https://www.state.gov/r/pa/prs/ps/2017/05/271445.htm

      QUESTION: Thank you. While you were over there, the Secretary criticized the conduct of the Iranian elections and Iran’s record on democracy. He did so standing next to Saudi officials. How do you characterize Saudi Arabia’s commitment to democracy, and does the administration believe that democracy is a buffer or a barrier against extremism?

      <awkward moment>

      MR JONES: I think what we’d say is that at this meeting we were able to make significant progress with Saudi and GCC partners in both making a strong statement against extremism and also – and also putting in place certain measures through this GCC mechanism where we can combat extremism.

      Clearly, one source of extremism, one terrorism threat, is coming from Iran, and that’s coming from a part of the Iranian apparatus that is not at all responsive to its electorate.

  • Israël a échoué à contrer la menace du Hezbollah - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/israel-a-echoue-a-contrer-la-menace-du-hezbollah.html
    http://217.218.67.233/photo/20161117/512c2b1a-9ee1-426b-ac98-d879654acb26.jpg

    Les efforts d’Israël pour évacuer les réservoirs d’ammoniac du port de Haïfa ont tous échoué : la « bombe atomique » évoquée par Hassan Nasrallah dans l’un de ses discours, menace donc toujours le port stratégique israélien dans le nord d’Israël.

    En effet, au cas où le Hezbollah se mettrait, au cours d’une prochaine confrontation, à viser lesdits réservoirs, Haïfa se transformerait en un enfer pour les colons israéliens qui y vivent.

    Le journal libanais Al Akhbar revient dans un récent article sur l’échec des autorités israéliennes à déplacer ces réservoirs et écrit : "Après la menace formulée par le secrétaire général du Hezbollah qui a affirmé ne pas hésiter à prendre pour cible de ses missiles, les usines d’ammoniac du nord d’Israël, la presse israélienne a qualifié cette perspective de « menace atomique du Hezbollah ». Aussitôt après, le ministère israélien de l’Environnement a commencé à travailler au projet de transfert des réservoirs en question dans une autre région. Le ministère dit avoir proposé aux entreprises impliquées de planter leurs usines dans le désert de Néguev au sud d’Israël, loin des zones d’habitation. Or, ces entreprises ont refusé l’offre du ministère qui parle de l’échec de son projet." 

    « Le choix du désert du Neguev comme lieu de construction de nouvelles unités pour la production de l’ammoniac est bien significatif. Toutes les autres villes et colonies israéliennes ont refusé de voir les usines d’ammoniac s’implanter à leur proximité. Les habitants sont inquiets », ajoute le journal. 

    Une roquette du Hezbollah a visé une station de métro à Haïfa en 2006. (Photo d’archives)
    Depuis le mois de février 2016 où Hassan Nasrallah a formulé cette menace, les responsables israéliens tentent de rassurer la population et vont de promesse en promesse. Mais rien n’arrive dans les faits puisque personne ne veut des usines de Haïfa. Les missiles du Hezbollah pourront provoquer des explosions en cascades et le gaz toxique qui s’émanerait des usines, suffirait à provoquer la mort des milliers d’Israéliens. 

    Les réservoirs de Haïfa contiennent, selon les dernières estimations, quelque 12.000 tonnes de substances toxiques. La fuite d’une cinquième de ces substances pourrait causer la mort de 17.000 personnes. Les experts israéliens estiment que ce chiffre pourrait augmenter à 80.000 dans le pire des cas. Quant aux dégâts matériels, ils sont chiffrés à 10 milliards de dollars, si les missiles du Hezbollah s’abattaient sur les usines en question.
     

    http://presstv.com

  • Les 60.000 Toyota de Daech
    http://presstv.com/DetailFr/2016/10/25/490587/Daech-Vhicule-Toyota

    Toyota aux terroristes de Daech en Syrie et en Irak.

    Selon les services secrets russes, les pays arabes ont acheté ces derniers temps quelque 60.000 véhicules Toyota, dont les traces sont bien visibles en Syrie et en Irak. 

    Le constructeur japonais a révélé une liste des principaux clients ayant acheté ces véhicules. Selon cette liste, quelque 22.500 véhicules auraient été vendus aux Saoudiens contre 32.000 aux Qataris. Les clients émiratis auraient de leur côté acheté 11.650 véhicules. 

    Toujours selon ce rapport des services russes, ce serait l’armée jordanienne qui aurait facilité le transfert de ces véhicules vers la Syrie et l’Irak, en contractant des prêts auprès des banques saoudiennes.

    Les terroristes de Daech disposent de quelque 7.000 véhicules Toyota en Irak et en Syrie. Les experts du contre-terrorisme affirment que les Toyota sont les meilleurs véhicules civils pouvant être utilisés à des fins militaires. Mais ce n’est pas là la seule raison poussant les terroristes à se procurer ce genre de voitures. « Le Japon est un pays neutre et les acheteurs ne risquent aucune poursuite dans le cas où des enquêtes seraient ouvertes à leur encontre », indique le rapport.

    Selon l’association Paix mondiale, les véhicules Toyota sont également très prisés en Afrique, où diverses milices terroristes sont en action.

  • Une confrontation Israël/Hezbollah, inévitable en Syrie ? - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/preview
    http://217.218.67.233/photo/20161024/1883b96b-5abe-46c9-b8fa-f0b147e8f392.jpg

    Les soldats israéliens évacuent l’un des leurs, blessé près des frontières avec le Liban, le 28 janvier 2015 ©Al-Arabiya #Liban
    Le Hezbollah sort renforcé de la guerre en Syrie, ce qui rend « inévitable » une confrontation militaire avec ce mouvement, affirment les stratèges israéliens. 

    Amos Yadlin (Photo d’illustration)
    Ce point de vue est celui du général Amos Yadlin, ancien chef du renseignement de l’armée israélienne et qui dirige actuellement le think tank « Sécurité intérieure ». Il écrit :" Aussi bien le Hamas sur nos frontières sud que le Hezbollah sur nos frontières nord ont les qualités de vrais États. Et ce sont des États qui n’ont pas renoncé à leur hostilité envers Israël. Ils continuent à croire à la force armée pour détruire Israël", affirme Yadlin cité par le site israélien Arutz Sheva qui ajoute :" Ce sont en effet les missiles et les armements du Hezbollah qui constituent les ressorts de sa puissance et Israël fait tout pour empêcher que cet arsenal grossisse." 

    Pour Yadlin, " le front nord (Hezbollah) est « plus solide » que le front sud (Hamas) dans la mesure où « les deux ennemis jurés ont la capacité de prévoir leurs agissements mutuels et d’éviter un embrasement imprévu. » 

    « Cela dit sur le front qui nous oppose au Hamas, il existe une sorte de friction constante qui se manifeste à travers la restriction à la circulation, le blocus maritime, ou encore notre refus d’autoriser la reconstruction de Gaza. » 

    Selon Yadlin, le front sud implique de multiples acteurs, ce qui complexifie la donne. Certains de ces acteurs tirent des missiles en direction d’Israël pas vraiment pour s’opposer à Israël, mais pour ennuyer le Hamas. L’ensemble de ces caractéristiques invite donc les dirigeants militaires et politiques israéliens à se poser les questions suivantes en prévision d’une guerre qui semble inévitable : 

    1- Quels seront les objectifs stratégiques d’Israël en cas de guerre ? Le fait d’attaquer les infrastructures de l’adversaire suffira-t-il pour que ces objectifs soient atteints ? 

    2- Comment les acteurs régionaux et internationaux réagiront-ils à cette guerre et à l’engagement israélien ? En réaction, vont-ils décider de sanctionner Israël voire de le combattre ou se contenteront-ils de le menacer ? 

    3- Quel est le moment opportun pour déclencher cette offensive et quelles sont les informations dont dispose Israël sur les finalités et les intentions de son adversaire ? Faut-il se préparer à une occupation ou à une présence militaire provisoire ? 

    4- Et la société israélienne, comment devra-t-elle se préparer à la guerre et y a-t-il oui ou non le risque pour que plusieurs fronts soient ouverts dans le même temps ? 

    L’auteur reconnaît à la fin que les « guerres déjà menées contre le Hamas et le Hezbollah n’ont pas vraiment été bien préparées : » pour tout dire en un seul mot, la guerre à venir sera bien différente de tout ce que nous avons pu vivre jusqu’à présent. Cette guerre-là devra être bien préparée, c’est-à-dire avec sérieux et de manière logique et non passionnelle ". 

    Source : http://presstv.com

  • Los Zetas drug cartel operate spy networks in Mexico and U.S. - Wichita Military Affairs | Examiner.com
    https://www.examiner.com/article/los-zetas-drug-cartel-operate-spy-networks-mexico-and-u-s

    To protect and ever expanding criminal enterprises, the Zetas drug cartels maintain highly developed intelligence networks on both sides of the border and have hired private armies to carry out enforcement measures and espionage according to U.S. government sources (see report: A Line in the Sand: Confronting the Threat at the Border, prepared by the Majority Staff if the House Committee in Homeland Security, Subcommittee on investigations http://www.house.gov/sites/members/tx10_mccaul/pdf/Investigaions-Border-Report.pdf ).

    #drogues #mexique #espionnage