Arrivé à Paris dans les 60’s, James Baldwin observe que si on est prompt à déplorer devant lui le racisme américain, peu s’interrogent sur le sort réservé à ceux qu’il appelle « les misérables », maghrébins malmenés et violentés. La suite ici...
Arrivé à Paris dans les 60’s, James Baldwin observe que si on est prompt à déplorer devant lui le racisme américain, peu s’interrogent sur le sort réservé à ceux qu’il appelle « les misérables », maghrébins malmenés et violentés. La suite ici...
Merci. Il y était aussi fait allusion ici, en anglais :
“How Does It Feel To Be a White Man ?” : William Gardner Smith’s Exile in Paris
Adam Shatz, The New-Yorker, le 11 août 2019
►https://seenthis.net/messages/796975
#James_Baldwin - Chassés de la lumière (No Name In The Street), Ypsilon, 1972
►http://www.ypsilonediteur.com/fiche.php?id=134
... « bien qu’ils parlassent »... C’est la traduction "–revue, corrigée et enfin complète– de Magali Berger ?
De chez moi je n’ai pas accès au document, pas de certificat SSl...
@gonzo
▻http://ypsilonediteur.com/fiche.php?id=134
lire un extrait ►http://ypsilonediteur.com/images/documents/134.pdf
Traduction –revue, corrigée et enfin complète–
de Magali Berger
Postface de Félix Boggio Éwanjé-Épée
& Stella Magliani-Belkacem
▶ Lumières Noires - Bob Swaim (2006 - documentaire) - YouTube
▻http://www.youtube.com/watch?v=k-hmL1PM62s&feature=share
Via Irène Bonnaud
Lumières Noires - Bob Swaim
Il y a cinquante ans, surmontant obstacles et préjugés, une poignée de créateurs noirs revendiquant avec fierté l’appellation de nègres » parvenait à rassembler à Paris, à la Sorbonne, de nombreux artistes et écrivains venus du monde entier pour un premier Congrès des intellectuels noirs. À la tribune, Alioune Diop, Léopold Sédar Senghor, Aimé Césaire, Richard Wright, Frantz Fanon.Le documentaire raconte comment et pourquoi un tel événement a pu voir le jour, comment et pourquoi les autorités ont cherché à perturber ce colloque, en dénigrer les conclusions, en étouffer la portée.
Je viens d’en voir 15 minutes, c’est une merveille. #merci Irène, merci Irène, merci Irène...
Cétait vraiment la rencontre, la rencontre de la diaspora [mondiale] noire, et pour moi c’était miraculeux
Jenny Alpha
C’était une rencontre d’amoureux. Et après l’amour, on dit que le premier qui parle dit une connerie
Paulin Joachim
Avec une frustration tout de même : plus de son à partir de 43’’41 ... ?!
TRÈS frustrant, en effet.
Heureusement, on trouve dans la marge de YT une version complète.
Et…, on s’aperçoit que les sous-titres sont quasiment encore plus frustrants que le silence complet…
►http://www.youtube.com/watch?v=iMGPM4UMhp0
Il me semble que là le son va jusqu’à la fin
▻http://www.dailymotion.com/video/xxgwbd_infrarouge-lumieres-noires-docu_webcam
►http://fr.wikipedia.org/wiki/Lumi%C3%A8res_noires
« Le 19 septembre 1956, alors que la France se débat avec l’une de ses dernières colonies, alors que les Etats-Unis sont en froid avec le bloc communiste ; alors que les Droits de l’Homme ne concernent pas les noirs, un congrès d’un genre nouveau va bouleverser la face du Monde. Pendant 3 jours, Léopold Sédar-Senghor, Alioune Diop, Aimé Césaire, Louis Armstrong, Joséphine Baker et bien d’autres, vont animer le premier Colloque des intellectuels et artistes noirs à l’amphithéâtre Descartes de la Sorbonne. Leur but, obtenir la reconnaissance de leurs valeurs, de leurs négritudes. Forts des soutiens de Sartre, Gide ou Camus, ils vont allumer la mèche de l’émancipation, pour qu’on laisse enfin entrer l’Homme de couleur sur la grande chaîne de l’Histoire. N’en déplaise au monde occidental.
Dans ce documentaire qui a été diffusé en octobre 2006 sur France 2 dans le cadre de l’émission Infrarouge, le réalisateur américain Bob Swaim revient sur les circonstances de la tenue de ce colloque et explique pourquoi les grandes puissances de l’époque - la France, les Etats-Unis et l’URSS — ont tout fait pour le perturber, en dénigrer les conclusions et en étouffer la portée. Des images d’archives et le récit de certains participants illustrent le propos. »
Léopold Sédar-Senghor, Alioune Diop, Aimé Césaire, Louis Armstrong, Joséphine Baker, Richard Wright, Frantz Fanon, René Depestre, Édouard Glissant, James Baldwin, mais aussi Jean-Paul Sartre, André Gide, Claude Lévi-Strauss ou Albert Camus...
Sur cette période:
“How Does It Feel To Be a White Man?”: William Gardner Smith’s Exile in Paris
Adam Shatz, The New-Yorker, le 11 août 2019
►https://seenthis.net/messages/796975
Voir aussi :
James Baldwin - « Chassés de la lumière » (No Name In The Street) Ypsilon (1972)
▻https://seenthis.net/messages/857909
►http://www.ypsilonediteur.com/fiche.php?id=134