• À 32 ans, Marlène a survécu à un arrêt cardiaque de 45 minutes, elle témoigne - Edition du soir Ouest France - 05/09/2019
    https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/59655/reader/reader.html#!preferred/1/package/59655/pub/85826/page/7

    Ce sont vraiment les premières minutes qui comptent. C’est aussi pour cela [la rapidité d’intervention, NdlR] qu’aujourd’hui, je n’ai pas de séquelles : le cœur oxygène le cerveau et si l’on reste plus de trois minutes sans être oxygéné, il commence à y avoir des séquelles.

    J’ai des lésions cérébrales, mais je n’ai pour l’instant pas de séquelles. Je marche normalement, je parle normalement, j’ai une bonne mémoire. J’ai fait des tests neuropsychologiques dont je n’ai pas encore les résultats…

    « On va suivre une formation aux premiers secours »

    Avec Antoine, on devait se former aux premiers secours. En tant que gérants de camping, cela nous tenait à cœur. Mais nous n’avons pas eu le temps. Antoine s’est souvenu de sa Journée d’appel et de préparation à la défense. Les bases lui sont revenues, et il a fait comme il pouvait. Heureusement qu’il l’a fait : cela a permis d’oxygéner le cerveau et de faire battre, un peu, le cœur.