Le Figaro - Bourse de Paris : Actualité financière, cotations et cours en direct

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  • Le Covid a fragilisé les pharmacies françaises
    https://www.lefigaro.fr/societes/le-covid-a-fragilise-les-pharmacies-francaises-20210624

    Sur les cinq premiers mois de l’année, la rémunération qu’elles perçoivent sur la vente de médicaments remboursés a ainsi baissé de 2 %. « Le port du masque et l’application des gestes barrières, notamment le lavage des mains, ont fortement réduit la diffusion des pathologies traditionnelles (angines, otites, diarrhées…), commente Philippe Besset, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France. Cela se ressent dans les ventes. »

    #santé #épidémie #pandémie #covid_19 #pharmacie #économie #gestes_barrières #masque #hygiène #angine #otite #diarrhée #france

  • À Paris, des logements Airbnb à vendre faute de touristes
    https://www.lefigaro.fr/societes/a-paris-des-logements-airbnb-a-vendre-faute-de-touristes-20210307

    La pandémie, qui a mis à terre le secteur du tourisme, bouscule aussi le marché immobilier. Un nombre croissant de logements Airbnb, vides depuis des mois faute de vacanciers, se retrouvent sur le marché de la vente. Les propriétaires, pris à la gorge par leurs échéances de crédit, sont obligés de les céder, quitte à y perdre des plumes. « On a de plus en plus de vendeurs dans ce cas. La banque a accepté de geler leur crédit quelques mois, mais ils ont dû reprendre le remboursement et, sans touristes, ils ne s’en sortent pas », constate Frédéric Teboul, patron de plusieurs agences Guy Hoquet Aleph à Paris.

  • Juste une feuille d’un media « mainstream » pour entrer en matière. Est-ce que certain·es d’entre vous ont de quoi alimenter le sujet ?

    « Ce n’est juste pas possible » : les salariés d’EDF disent non au plan Hercule | LCI
    https://www.lci.fr/societe/augmentation-du-prix-de-l-electricite-de-la-frequence-des-coupures-et-dumping-so

    Cela fait 18 mois maintenant que les organisations syndicales d’EDF mènent un combat acharné contre le plan Hercule. Demandé par la Commission européenne pour éviter que les aides d’Etat à l’électricien français ne viennent fausser la concurrence, ce dernier prévoit la séparation des activités du groupe public en trois pôles : un « EDF Bleu », qui comprendrait les activités nucléaires et resterait public ; un « EDF Vert » pour les énergies renouvelables, dont 35% seraient cotés en Bourse ; et, une filiale « EDF Azur » qui gérerait l’activité hydroélectrique.

    #électricité #énergie #EDF #Engie #privatisation

    • Hercule : le nouvel accès de folie de Jupiter !
      https://www.youtube.com/watch?v=uz3IWCnVHRY

      J’ai l’impression qu’on a des anarchistes de la concurrence au gouvernement ! Le train roulait, ils l’ont cassé, désorganisé, il y a vingt ans. L’hôpital tournait, ils l’ont broyé, désorganisé, par la réduction des coûts et la concurrence. C’est au tour du service public de l’électricité d’être, aujourd’hui, désorganisé par la concurrence la concurrence...

      Mais même le patronat pourrait se réveiller et dire à la Macronie : « Oh ! Bousiller le pays, ça suffit ! »

      (Je sais : les anarchistes ne veulent pas l’absence d’ordre, mais un ordre sans pouvoir. Tandis qu’aujourd’hui, on a l’inverse : un pouvoir sans ordre.)

    • Bon, c’est très orienté :
      Hercule : un projet de pillage insupportable

      À l’appel des syndicats, les salariés d’EDF se sont massivement mobilisés contre le projet « Hercule ». Ils font bien. De quoi s’agit-il ? Démanteler le géant public français. Il avait été créé en 1946, dans la foulée de la loi de nationalisation de l’énergie. Un projet venu du Conseil National de la Résistance. Le ministre communiste Marcel Paul le portait.

      L’énergie est un secteur stratégique pour la vie d’un pays. La stabilité et la fiabilité de son système d’approvisionnement est une question capitale. L’énergie est un bien commun. Sa gestion publique est primordiale. L’urgence écologique implique de garder la maîtrise de toute la chaîne de production et de distribution. Autrement, il sera impossible de planifier sur le long-terme la bifurcation. Un pôle public de l’énergie est donc nécessaire. Quoi que décide aujourd’hui Macron, nous reconstituerons le pôle public le moment venu. Et sur ce dossier comme sur d’autres une enquête approfondie permettra d’établir la responsabilité de chaque personne ayant participé au pillage du domaine public.

      La situation est grave. Le projet « Hercule » porterait le coup fatal à EDF. Il est l’aboutissement d’un plan de la Commission européenne ourdi de longue date. Obsédée par la concurrence, aiguillonnée par les lobbies, celle-ci s’emploie à déréguler le secteur de l’énergie française depuis de longues années. Il y a encore vingt ans, EDF était en situation de monopole sur toute la chaîne de l’électricité française. Mais la Commission européenne n’est pas seule fautive. Les gouvernements successifs, de droite et socio-libéraux ont empilé les lois pour casser ce monopole public. Depuis le début, leur but est de permettre l’émergence d’acteurs privés. C’est toujours le même mythe : là où l’État se retire, le marché fait pousser cent fleurs odorantes, efficaces et compétitives. Naturellement c’est une vue de l’esprit. Surtout en France où le capitalisme national est très faible et peu audacieux. À quelques exceptions près il s’agit d’un capitalisme parasitaire de l’État et souvent purement tributaire.

      En tous cas le zèle et l’activisme ont été au rendez-vous de tous les gouvernements. En 2004, les entités EDF et GDF sont séparées et deviennent des sociétés anonymes. Deux ans plus tard, GDF est privatisée par sa fusion avec Suez. En 2007, le secteur du gaz et de l’électricité est entièrement ouvert à la concurrence. En 2011, le gouvernement Fillon vote la loi sur la Nouvelle Organisation du Marché de l’Électricité (NOME). Cette loi introduit un mécanisme complexe : l’Accès régulé à l’électricité nucléaire historique (Arenh). Celui-ci impose à EDF de revendre à prix coûtant 25% de sa production d’électricité à ses concurrents privés. Le mécanisme arrive à échéance en 2025. La Commission européenne fait pression pour permettre ensuite à l’ensemble des fournisseurs d’accéder à 100 % de la production nucléaire d’EDF à un prix de vente régulé par les pouvoirs publics.

      Les libéraux sont actuellement pris au piège de leurs propres obsessions. D’un côté, ils s’entêtent dans l’obsession idéologique d’ouverture à la concurrence. Elle était censée faire baisser les prix. Cela ne s’est jamais vérifié. Au contraire, le prix de l’électricité a depuis augmenté de 50%. Mais l’introduction du mécanisme de l’Arenh a fait perdre de nombreux clients à EDF. De l’autre, les libéraux tentent quoiqu’il en coûte de sauver le soldat nucléaire. Les problèmes sont majeurs et multiples. EDF est accablé d’une dette de près de 60 milliards d’euros dont la moitié résulte du fiasco des EPR. Six nouveaux réacteurs sont en projet pour la modique somme de 46 milliards d’euros. Opérer le grand carénage des centrales pour prolonger leur utilisation va coûter au moins 100 milliards d’euros dans les 15 ans à venir. Et il faut également investir massivement dans les énergies renouvelables pour atteindre les objectifs fixés.

      Comment faire ? Les libéraux appliquent toujours la même recette : socialiser les pertes, privatiser les profits. Le projet « Hercule » n’y échappe pas. Il vise à scinder EDF en plusieurs parties : les dettes d’un côté et les profits de l’autre. La SNCF a par exemple a déjà fait les frais de cette méthode. Concernant l’énergie, le projet est le suivant. Un EDF « bleu » 100% à la charge de l’État contiendrait le nucléaire. Un EDF « vert » devrait regrouper les activités jugées rentables : les énergies renouvelables, les réseaux de chaleur, la distribution (Enedis, ex- ERDF) et les activités commerciales. Il serait dans un premier temps ouvert à des investisseurs privés à hauteur de 35 %. Bien sûr, on sait comment ce genre de manœuvre finit : en privatisation complète de l’entreprise nationale. Cela promet de juteux bénéfices pour les acteurs privés investissant dans ces secteurs.

      Le destin des concessions hydroélectriques n’est pas encore scellé. La Commission européenne somme depuis plusieurs années la France d’ouvrir également ce secteur à la concurrence. En mars 2019, le gouvernement proposait de privatiser 150 barrages. Pourtant, de multiples raisons les rendent stratégiques. Ils ont un rôle d’équilibre dans le système électrique. Leur place est cruciale aussi dans la gestion de la ressource en eau. La sûreté est aussi un enjeu. Une gestion privée serait catastrophique. La Commission européenne revient à la charge dans le projet Hercule. Elle veut ajouter une troisième filiale dite « Azur » sous la forme d’une holding indépendante pour contenir spécifiquement les barrages. C’est la porte ouverte à la privatisation. Les barrages sont une poule aux œufs d’or pour le secteur privé. Leur sort est sans aucun doute au cœur des négociations en cours. Les macronistes souhaitent une hausse du prix du nucléaire pour couvrir les coûts des centrales. Vont-ils se servir des barrages comme d’une monnaie d’échange dans les négociations avec la Commission ? Il semble que oui. Le pire est à craindre.

      https://melenchon.fr/2020/12/12/hercule-un-projet-de-pillage-insupportable

    • Qui veut la mort d’EDF ? Bruxelles et Paris à la manœuvre
      Dossier avec de nombreux liens.
      https://www.monde-diplomatique.fr/2021/02/DEBREGEAS/62795

      Plus que jamais, la menace du dérèglement climatique commande d’investir dans l’efficacité énergétique et le renouvelable. Mais, à Paris et à Bruxelles, la priorité reste de démanteler le service public. Dernier avatar d’une obstination à favoriser artificiellement les prestataires privés dans la fourniture d’électricité, le projet #Hercule cristallise les inquiétudes.

      http://www.sudenergie.org/site/wp-content/uploads/2020/12/2020-12-Rapport_Hercule-et-Liberalisation-txt-SUD-ENERGIE.pdf
      https://www.lefigaro.fr/societes/pourquoi-edf-perd-pres-de-100-000-clients-par-mois-20201216

  • #Tesla accuse un ancien salarié du vol de 26.000 fichiers confidentiels
    https://www.lefigaro.fr/societes/tesla-accuse-un-ancien-salarie-du-vol-de-26-000-fichiers-confidentiels-2021

    Des téléchargements interdits ont été repérés le 6 janvier 2021, et cet ingénieur informatique, qui télétravaillait en raison du Covid, a assuré qu’il ne s’agissait que de dossiers administratifs personnels, selon cette plainte consultée par l’AFP. Mais Tesla, qui explique l’avoir immédiatement convoqué en visioconférence lorsque les téléchargements ont été signalés, accuse également cet ex-salarié d’avoir cherché à détruire les preuves.

    Le groupe assure que lors de cet entretien, l’ingénieur a refusé de donner l’accès à son ordinateur, et « a pu être vu (...) se pressant d’effacer des informations de son ordinateur », détaille la plainte. L’homme s’est ensuite, à la demande des responsables de Tesla qui l’avaient convoqué, identifié sur le site de #Dropbox, qui permet du stockage de fichiers en ligne. « Cela a révélé que les mêmes fichiers Tesla confidentiels vus sur son ordinateur portable étaient toujours disponibles via son compte de stockage cloud », indique encore la plainte déposée par le constructeur de véhicules électriques.

    Les téléchargements ont commencé le 31 décembre 2020, et ont duré jusqu’au 4 janvier 2021, avec des téléchargements « additionnels » le 6 janvier, selon Tesla. Les fichiers téléchargés « n’ont rien à voir avec ses responsabilités », et concernent l’automatisation de certains procédés de fabrication et de commercialisation, qui pourraient être utiles à un concurrent « pour créer un système automatisé similaire en fraction du temps et avec une fraction de l’argent dépensés par Tesla pour le construire ».

    « Après avoir découvert le vol (...) des secrets commerciaux de Tesla, et en raison de son mensonge et dissimulations répétées au cours de l’enquête, Tesla a renvoyé (l’ingénieur) le jour même », est-il encore précisé. Celui-ci a expliqué au New York Post avoir transféré ces documents dans sa Dropbox par erreur.

  • J’aime ces titres qui semblent découvrir la lune :
    https://www.francetvinfo.fr/economie/bercy-est-favorable-a-l-ouverture-des-commerces-les-dimanches-de-janvie

    Bercy est favorable à l’ouverture des commerces les dimanches de janvier

    Oh, quelle surprise : si tu m’avais demandé, je t’aurais dit que « Bercy » est favorable à l’ouverture des commerce tous les dimanches de tous les mois de l’année, mais ça aurait été moins sensationnel.

  • #Covid-19 : ce que l’on sait de la nouvelle souche plus contagieuse du coronavirus - AFP
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/12/20/covid-19-ce-que-l-on-sait-de-la-nouvelle-souche-plus-contagieuse-du-coronavi

    Le Royaume-Uni a informé l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de la propagation « jusqu’à 70 % » plus rapide de la nouvelle souche, selon le premier ministre, Boris Johnson.

    (...) Le ministre de la santé britannique, Matt Hancock, a estimé dimanche 20 décembre que cette variante était « hors de contrôle » , justifiant ainsi le #reconfinement de Londres et d’une partie de l’Angleterre, reconfinement qui pourrait selon lui durer jusqu’à la mise en place généralisée de la campagne de vaccination.

    « Nous devions reprendre le contrôle, et la seule manière de le faire est de restreindre les contacts sociaux », a déclaré Matt Hancock sur Sky News. « Ce sera très difficile de garder [cette souche] sous contrôle jusqu’à ce qu’un vaccin soit déployé », a-t-il ajouté. La nouvelle #souche du virus serait apparue mi-septembre, soit à Londres soit dans le Kent (sud-est), selon lui.

    Un virus plus contagieux, mais pas plus de mortalité constatée

    [...]

    L’information « concernant cette nouvelle souche est très préoccupante », renchérit le Pr Peter Openshaw, immunologiste à l’Imperial College de Londres et cité sur le site du Science Media Centre, notamment parce qu’ « elle semble de 40% à 70% plus [fortement] transmissible ». « C’est une très mauvaise nouvelle », ajoute le Pr John Edmunds, de la London School of Hygiene & Tropical Medicine, (...). Pour autant, « rien n’indique pour le moment que cette nouvelle souche cause un taux de mortalité plus élevé ni qu’elle affecte les vaccins et les traitements. Toutefois, des travaux urgents sont en cours pour confirmer cela », ajoute Chris Whitty.

    Une souche qui gagne du terrain

    Le conseiller scientifique du gouvernement britannique, Patrick Vallance, avait estimé samedi 19 décembre que cette nouvelle variante du Sars-CoV-2, en plus de se propager rapidement, devenait aussi la forme « dominante » dans les régions concernées, ayant entraîné « une très forte hausse » des hospitalisations en décembre.
    Cet avis s’appuie sur le constat d’une « augmentation– laquelle semble être causée par la nouvelle souche – très forte des cas de contamination et des hospitalisations à Londres et dans le Sud-Est, par rapport au reste de l’Angleterre ces derniers jours », indique Paul Hunter, professeur de médecine à l’université d’East Anglia, lui aussi cité par le Science Media Centre.

    « Les coronavirus mutent tout le temps »

    Sur sa page Facebook, le généticien français Axel Kahn a rappelé que, à ce jour, « trois cent mille mutants de CoV-2 ont été séquencés dans le monde ». [d’autres, épidémiologistes, disent 4 000 variants séquencés, n’ai pas vérifié, ndc] La nouvelle souche porte notamment une mutation, nommée N501Y, dans la protéine du spicule du coronavirus, (la pointe qui se trouve à sa surface et lui permet de s’attacher aux cellules humaines pour les pénétrer). Selon le Dr Julian Tang, de l’université de Leicester, « cette mutation N501Y circulait déjà sporadiquement bien plus tôt cette année et en dehors du Royaume-Uni : en Australie en juin-juillet, aux Etats-Unis en juillet et au Brésil en avril ».

    (...) « Le plus important est de chercher à savoir si ce variant a des propriétés qui ont un impact sur la santé des humains, les diagnostics et les vaccins » . Comme le relève le Pr Axel Kahn :
    « Plus il y a de virus produits – et donc de personnes infectées –, plus il y a de mutations aléatoires, et plus grande est la fréquence de mutations avantageuses pour le virus. »

    L’association entre un nombre si élevé de mutations fait également dire à certains spécialistes que le virus aurait pu évoluer non seulement en sautant d’un hôte à l’autre, mais aussi au sein des cellules d’un même patient, qui aurait hébergé longtemps le SARS-CoV-2. Quoi qu’il en soit, comme un génome viral ne cesse de se transformer et d’évoluer, vivre avec le virus suppose qu’il faille vivre aussi avec les annonces relatives à ses inquiétantes mutations.

    Bon, beaucoup de « semble-t-il »... Mais si l’AFP publie une info qui met en cause la politique sanitaire française, ce n’est peut-être pas pour rien.

    De ce que j’avais vu, les mutations du virus étaient jusqu’ici infinitésimales, n’invalidaient ni les tests ni les vaccins, n’étaient pas non plus davantage contagieuses ou mortelles. Sauf que même à taux de mortalité constant, sans politique de suppression du virus, une contagiosité fortement accrue c’est davantage de risques de saturation/débordement des systèmes de santé, donc de mortalité (prises en charge au rabais, déprogrammations).

    Pendant ce temps, scènes d’exode à Londres avant le reconfinement, Eurostar et avions partent de GB vers le reste du monde.

    Cet excellent entretien (de juin dernier mais passé inaperçu ici) avec Isabelle Stengers aborde les mutations de virus, la crise des systèmes de santé et bien d’autres questions de façon très éclairante https://seenthis.net/messages/892363

    Edit

    L’Allemagne rejoint la liste des pays - Autriche, Pays-Bas, Belgique, Italie - qui interrompent les voyages depuis le Royaume-Uni. En France, un conseil de défense a lieu en ce moment sur la variante du Covid19
    https://www.lefigaro.fr/societes/inquiets-de-la-nouvelle-variante-du-covid-19-des-pays-coupent-leurs-liaison

    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a de son côté appelé ses membres en Europe à « renforcer leurs contrôles ». Selon l’OMS, outre « des signes préliminaires que la variante pourrait être plus contagieuse », la variante « pourrait aussi affecter l’efficacité de certaines méthodes de diagnostic », là aussi selon « des informations préliminaires ». Il n’y a en revanche « aucune preuve d’un changement de la gravité de la maladie », même si ce point fait aussi l’objet de recherches.

    Pour autant, les scientifiques n’ont pas encore réussi à prouver en laboratoire que ce dernier est effectivement plus contagieux.
    https://www.lesechos.fr/monde/europe/coronavirus-ce-quon-sait-de-la-nouvelle-souche-apparue-au-royaume-uni-12756

    « Tout peut être expliqué par une expansion spontanée du virus, similaire à celle observée en France, en Allemagne ou en Suède, observe Patrick Berche, membre de l’Académie de médecine et ancien directeur général de l’Institut Pasteur à Lille.

    #mutation #contagiosité #protéine_Spike #spicule

    • Mutant coronavirus in the United Kingdom sets off alarms but its importance remains unclear
      https://www.sciencemag.org/news/2020/12/mutant-coronavirus-united-kingdom-sets-alarms-its-importance-remains-unc

      #Christian_Drosten, a virologist at Charité University Hospital in Berlin, says that was premature. “There are too many unknowns to say something like that,” he says. For one thing, the rapid spread of B.1.1.7 might be down to chance. Scientists previously worried that a variant that spread rapidly from Spain to the rest of Europe—confusingly called B.1.177—might be more transmissible, but today they think it is not; it just happened to be carried all over Europe by travelers who spent their holidays in Spain. Something similar might be happening with B.1.1.7, says Angela Rasmussen, a virologist at Georgetown University. Drosten notes that the new mutant also carries a deletion in another viral gene, ORF8, that previous studies suggest might reduce the virus’s ability to spread.

      Une incertitude de plus. Bien que l’hypothèse de variants plus dangereux demeure (oui, ça nous pend... au nez), pas de vérification pour l’heure, y compris dans ce cas, comme le disait il y a peu @arno https://seenthis.net/messages/891532

      Par ailleurs, il semble qu’en France on séquence si peu le virus qu’il faille attendre des recherches faites ailleurs toute avancée de la connaissance sur ses mutations (avec dans la presse nawak, entre 4 000 et 300 000 variants identifiés, par les spécialistes les plus éminents). Au pays des Lumières éteintes, ca doit être comme les masques en mars dernier, sans intérêt.

    • Neuf questions sur le nouveau variant du SARS-CoV-2 observé au Royaume-Uni
      https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/12/21/neuf-questions-sur-le-nouveau-variant-du-sars-cov-2-observe-au-royaume-uni_6

      Appelé VUI-202012/01 (variant under investigation n° 1 du mois de décembre 2020), ce variant du SARS-CoV-2 présente au total 17 mutations de son génome par rapport au coronavirus qui avait été séquencé en janvier 2020 à Wuhan.

      Huit de ces 17 mutations impliquent la protéine de spicule présente sur la surface du virus, celle-là même qui donne au virus sa forme de couronne et qui lui permet d’infecter certaines cellules humaines (porteuses du récepteur ACE2).

      Parmi elles, deux sont surveillées de près en raison de leur emplacement stratégique sur la protéine de spicule : N501Y et P681H. Ces deux mutations ont été observées indépendamment l’une de l’autre depuis plusieurs mois, mais n’ont jamais été combinées avant la détection de ce variant.

      A cela s’ajoutent six mutations supplémentaires qui n’engendrent pas un changement de composition des protéines correspondantes, ce qui aboutit à 23 changements génétiques au total. Ce nombre est inédit par rapport à ce qui avait été observé auparavant : selon une étude publiée dans Annals of Surgery début novembre, le génome du SARS-CoV-2 accumule une à deux mutations par mois, un rythme deux fois moins élevé que celui de la grippe et quatre fois moins élevé que pour le VIH.

      On ne peut cependant pas vraiment parler de nouvelle souche [à l’inverse de l’article du même journal cité plus haut, ndc], car le nombre de mutations reste faible par rapport à la taille du génome du virus (23 sur 29 903 nucléotides), et que le comportement et les caractéristiques du virus n’ont pas changé. Il est pour l’instant plus adapté de parler de « #variant ».

      Quand et où est apparue cette mutation ?

      Le consortium Covid-19 Genomics UK (COG-UK), qui s’occupe de la surveillance et du séquençage des mutations du SARS-CoV-2 au Royaume-Uni, a formellement nommé ce variant le 13 décembre à la suite d’une hausse des cas dans le sud-est de l’Angleterre. Mais les premiers génomes porteurs des mutations spécifiques à ce lignage de virus (nommé B.1.1.7) ont été identifiés le 20 septembre dans le Kent et le 21 septembre dans le Grand Londres.

      Un nombre important de mutations ont été observées chez des patients #immunodéprimés, chez qui l’ARN du coronavirus reste détectable environ deux à quatre mois. Cette durée est suffisante pour que la population virale présente une plus grande diversité génétique. Il est donc possible, selon le rapport des chercheurs du COG-UK publié le 19 décembre, que ce lignage soit apparu chez un patient immunodéprimé atteint chroniquement du Covid-19.

      [...]

      « Les modélisations préliminaires montrent une forte association entre la présence de ce nouveau variant dans le Kent, les régions du sud-est de l’Angleterre et l’incidence en hausse de Covid-19 », écrivent les épidémiologistes du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) le 20 décembre. Elle n’est encore qu’une corrélation, non une cause, de l’accélération de l’épidémie dans ces régions.

      Ce qui est notable, en revanche, c’est que ce variant du virus est devenu dominant dans les cas détectés en quelques semaines. A Londres, ce variant était responsable de 28 % des infections début novembre et de 62 % au 9 décembre.

      De plus amples observations, in vitro et in vivo, sont nécessaires pour déterminer si ce nouveau variant a acquis des propriétés qui le rendent plus transmissible. Une des mutations connues, N501Y, est suspectée d’améliorer nettement la stabilité de la liaison chimique entre le virus (précisément le domaine de liaison de sa protéine de spicule) et le récepteur ACE2, la porte d’entrée du virus dans les cellules humaines, selon des travaux publiés dans la revue Cell en août 2020 et confirmés chez la souris un mois plus tard.

      « Les données dont on dispose aujourd’hui sont épidémiologiques, mais des données virologiques sont indispensables pour mieux caractériser ce variant et ses éventuelles conséquences sur les infections et la #vaccination, souligne Vincent Enouf, directeur adjoint du centre de référence des virus respiratoires de l’Institut Pasteur. Nos collègues anglais sont en train d’isoler ces nouveaux virus [sur des malades]. Ensuite, ils les mettront au contact d’une collection de sérums provenant de patients infectés à différents moments de l’épidémie, voire de personnes vaccinées. Grâce à une technique dite de microneutralisation, on pourra vérifier pour chacun des types de sérum si les anticorps neutralisent ou pas ce variant anglais. Les résultats devraient être connus d’ici environ une semaine. »

      (...)« Il n’existe aucune preuve que le nouveau virus est plus ou moins dangereux. Malheureusement, nous allons devoir attendre et voir si les hospitalisations et les décès évoluent dans un sens ou un autre pour le savoir », a expliqué Simon Clarke, professeur de microbiologie à l’université de Reading, au Science Media Center britannique.

      (...) « Pour le moment, il n’existe aucune preuve suggérant que ce vaccin ne soit pas efficace contre la nouvelle variante », a déclaré lundi Emer Cooke, la directrice générale de l’Agence européenne des médicaments, en donnant le feu vert au produit développé par Pfizer-BioNTech. Sur Europe 1, le ministre de la santé, Olivier Véran, a expliqué que « les anticorps développés par les deux principaux vaccins qui arrivent, Pfizer-BioNTech et Moderna, ne ciblent pas cette zone mutée du virus ».

      C’est aussi la conclusion de travaux publiés dans la revue Cell en septembre par une équipe chinoise, qui ont montré que cette mutation N501Y n’avait pas eu, chez les souris, d’effet sur la capacité neutralisante ou la quantité des anticorps fabriqués contre le virus.

      Les mutations du gène codant la protéine de spicule concernent 9 nucléotides sur les 3 821 que contient le gène au total. Les vaccins produisent des anticorps dont l’action neutralisante est dirigée contre de nombreuses régions de la protéine de spicule. Même si on ne peut l’exclure, ce risque est jugé très limité.
      « L’idée du vaccin est que la protéine Spike dans son ensemble est montrée à votre système immunitaire et vous apprenez donc à en reconnaître de nombreuses parties différentes », explique Emma Hodcroft, épidémiologiste à l’université de Berne interrogée par l’AFP. Du coup, « même si quelques parties changent, vous avez toujours toutes les autres parties pour reconnaître » le virus, selon elle.

      Ce variant circule-t-il déjà en France ?

      Lundi 21 décembre, aucun cas positif avec ce nouveau variant n’avait été détecté en France et les cas repérés ailleurs en Europe sont limités : selon le rapport de l’ECDC du 20 décembre, 20 cas avaient été identifiés au Pays de Galles au 14 décembre, 9 au Danemark, 3 aux Pays-Bas et un en Australie. Les médias belges ont rapporté quatre cas.

      Il n’est pas étonnant que le variant ait été observé au Royaume-Uni et au Danemark, deux pays où les efforts de #séquençage à partir des prélèvements de tests positifs sont importants et continus.
      « On ne sait pas si on va tenir très longtemps sans identifier ce nouveau variant en France. Il serait utile que les personnes rentrées d’Angleterre récemment se fassent tester et que ce nouveau variant soit recherché », relève le virologue Vincent Enouf, en précisant que les laboratoires qui séquencent les virus du Covid (dont le laboratoire de référence de Pasteur) partagent leurs données sur la base internationale Gisaid, ce qui permet de repérer rapidement l’apparition de nouvelles mutations.

      D’autres chercheurs estiment cependant que le travail de séquençage est relativement dispersé entre plusieurs acteurs (IHU de Marseille, CNR Pasteur, services de virologie des CHU, etc.), qui ne se partagent pas les séquences obtenues et ne mettent pas en commun leurs efforts pour identifier les lieux et moments où apparaissent les variants en circulation. Une désorganisation qui « conduit à diminuer très fortement l’impact de ce travail », selon une note rédigée par plusieurs chercheurs du collectif FranceTest à l’intention du ministre de la santé, Olivier Véran, à sa demande et transmise lundi 21 décembre à Emmanuel Macron. Ces chercheurs appellent à la création d’un consortium national appelé Senticov, « qui aurait la tâche de mettre en place le séquençage permanent des génomes viraux ».

      Les tests PCR peuvent-ils le détecter ?

      Les scientifiques britanniques ont rapporté que la mutation génétique spécifique sur les 69e et 70e acides aminés de la protéine de spicule (protéine S) observée avec ce variant pouvait être « manquée » par certains #tests_RT-PCR et ainsi donner un résultat négatif lors du dépistage.

      Dans leur rapport, les experts de l’ECDC recommandent de ne plus se fier uniquement aux RT-PCR ciblant le gène de la protéine S « pour la détection primaire de l’infection au SARS-CoV-2 », car « les mutations sont plus susceptibles de se produire dans ce gène ». Mais d’autres tests PCR peuvent détecter le virus en ciblant d’autres régions dans le génome, qui sont insensibles au variant. Le gouvernement britannique a indiqué que les « tests pouvaient être adaptés rapidement pour répondre à ce nouveau variant ».

      Edit Après les avertissements d’arno, un rappel par @kassem, citant Antoine FLAHAULT
      https://seenthis.net/messages/892557

      Durant les épidémies de virus émergents un peu longues, les mutations du virus sont souvent sur-interprétées pour expliquer l’évolution de la situation épidémiologique.

    • Les scientifiques britanniques ont rapporté que la mutation génétique spécifique sur les 69e et 70e acides aminés de la protéine de spicule (protéine S) observée avec ce variant pouvait être « manquée » par certains #tests_RT-PCR et ainsi donner un résultat négatif lors du dépistage.

      Plusieurs connaissances ont eu depuis octobre des symptômes correspondants aux nombreux symptômes potentiels du virus, mais avec des retours de tests négatifs.

    • Le Doc, @Le___Doc
      https://twitter.com/Le___Doc/status/1344422158844497922

      50% d’augmentation des cas en une semaine en Angleterre , +15% d’hospitalisations. 1000 décès en 24h.
      Ce que l’on sait, c’est que le variant B117 prédomine désormais, à 80%. Pour le reste...

      une #variante + contagieuse de 50%, c’est une bien plus mauvaise nouvelle qu’une variante 50% + mortelle
      https://seenthis.net/messages/893449

  • NON À LA SPÉCULATION VACCINALE !

    Le gouvernement a acheté cet automne pour plus d’1 milliard d’euros d’un médicament inefficace et dangereux (Remdésivir)
    Big Pharma organise une véritable vente aux enchères de vaccins, pendant que la loi de finances prévoit de réduire les investissements pour l’hôpital public en 2021...
    Et Messieurs Macron, Castex et Véran continuent de jeter l’argent du contribuable par les fenêtres en commandant des doses... alors même que les problèmes vaccinaux ne font que commencer !

    En 2021 1,5 MILLIARDS en plus pour les labos, 40 millions en moins pour l’hôpital...

    NON à la spéculation vaccinale
 !
    OUI à l’investissement dans l’hôpital !

    C’est le moment de dire NON à la folle spéculation vaccinale prévue dans le budget 2021 en discussion en ce moment-même à l’Assemblée. C’est vers le bien commun de l’hôpital que nous devons investir nos ressources publiques et la manne de nos impôts, pas vers les profits des grands labos à la déontologie catastrophique depuis le début de cette crise.

    Le vaccin avant l’hôpital, c’est l’actionnaire Big Pharma avant le patient, le profit de quelques-uns avant le bien commun de tous.

    Les laboratoires engagés dans la course au vaccin ne méritent pas ce déluge d’argent public.
    Il n’existe AUCUNE preuve médicale à l’heure actuelle sur l’efficacité des vaccins dans le temps, pour faire baisser les hospitalisations et la transmission du virus, sans parler des effets secondaires à long terme… Et c’est normal, nous n’avons pas le recul nécessaire et de loin [1] ;
    En l’état actuel, aucun médecin ni aucune agence de santé n’a de garantie sur la sûreté ni l’efficacité de ces vaccins.

    Toute cette recherche est financée essentiellement sur fonds publics. L’Union Européenne a financé la réponse au virus à hauteur de plus de 500 millions d’euros, dont 100 millions d’euros rien que pour Biontech, le partenaire allemand de Pfizer [3] et les États-Unis ont payé 2,5 milliards de dollars à Moderna, dont 1 milliard de subventions de recherche ! [4]

    Pourtant Merck, Pfizer et Moderna ont refusé de vendre leurs vaccins à prix coûtant [5] (au contraire du gel et des masques) se réservant un gâteau gargantuesque estimé à 40 milliards de dollars de profits après impôts, que NOS gouvernants leur ont concédé dans la plus grande opacité alors que… [6]

    En France, Olivier Véran et Jean Castex viennent de précommander 90 millions de doses pour 1,5 milliard d’euros pour 2021. [8]

    Cette somme est censée couvrir l’achat, la logistique et l’inoculation mais il y a une telle opacité que nous ne pouvons savoir si elle sera réellement suffisante au regard des exigences inouïes des laboratoires, et du défi logistique, sans oublier bien sûr les campagnes de communication de grande ampleur pour « lever l’hésitation vaccinale » de plus en plus grande.
    Nous avons d’un côté 1,5 milliard d’euros pour les labos et leur spéculation vaccinale, avec de fortes suspicions de dérapages… Et de l’autre, nous avons moins que rien pour l’hôpital.
    Pendant que les labos se gavent, c’est toujours restrictions maximales à l’hôpital…

    La dette publique vient de passer à 120% du PIB, le double en comptant le hors-bilan, l’État français est exsangue, mais le racket des labos continue et c’est l’argent de nos taxes et nos impôts qui finance un vaccin sans garantie.

    Les enchères ne cessent de monter, Sanofi et Glaxo Smith Kline parle d’un vaccin efficace à 92%, le russe Gamaleïa s’aligne avec des résultats à 92%, Astra-Zeneca revendique un sérum efficace à 95%, Pfizer renchérit en prétendant passer la barre des 95%, et tous les autres, Merck-Pasteur, Inventiva, etc… redoublent de communiqués et d’annonces dans ce qui est devenu une guerre commerciale.
    Ils courent derrière l’argent gratuit qui tombe des fenêtres, directement dans les poches de tous ces dirigeants et grands actionnaires. La première commande passée auprès de Pfizer par le ministre de la Santé s’élève à plus d’un milliard d’euros !
    Il y a pourtant trop de questions en suspens :
    • Pourquoi les laboratoires refusent-ils de publier leurs études cliniques ?
    • Pourquoi commander des doses pour 45 millions de français en 2020 alors que moins de 10 millions envisagent sérieusement de se faire vacciner ? [13]

    Aucun grand média ne s’est étonné qu’après 10 mois de travail, toutes les sociétés de Big Pharma parviennent à « sortir » un vaccin à 10 jours d’intervalle ? C’est tout simplement aberrant. Il faut pourtant 7 à 10 ans en moyenne pour développer un vaccin en temps « normal ».
    Aujourd’hui nous ne connaissons pas :
    • L’efficacité sur les formes les plus graves de coronavirus, celles nécessitant une hospitalisation et dont l’issue peut être fatale ;
    • L’innocuité à long terme des vaccins, c’est-à-dire l’absence d’effets indésirables ;
    • L’effet contre la propagation ou la transmission du virus.
    • Nous ne savons pas non-plus qui prend la responsabilité de cette spéculation vaccinale, qui en répondra si ces vaccins sont un échec, et pire, s’ils font plus de mal que de bien.

    Le budget de l’État et de la Sécurité sociale est en discussion en ce moment même à l’Assemblée.

    Non à la spéculation vaccinale des labos, oui à l’investissement dans l’hôpital.

    PÉTITION
    https://www.pas-avec-mes-impots.com/signature2

    --
    [1] https://www.rts.ch/vaccins-dans-la-phase-3-des-essais-cliniques.html
    [2] https://www.cnbc.com/2020/10/12/bill-gates-dont-call-trumps-coronavirus-treatment-a-cure-.html
    [3] https://ec.europa.eu/info/research-and-innovation/research-area/health
    [4] https://www.fiercepharma.com/pharma/coronavirus-vaccine
    [5] https://www.ouest-france.fr/coronavirus-vaccins-a-prix-coutant
    [6] https://www.fiercepharma.com/covid-19-vaccine-players-will-split-100b
    [7] https://www.lefigaro.fr/societes/les-futurs-vaccins-contre-le-covid-19-enrichissent-les-labos
    [8] https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/covid-la-campagne-de-vaccination-en-france-1266158
    [9] https://www.gov.uk/government/news/pm-hails-herculean-effort-of-life-science-companies-to-defeat-coronavirus
    [10] https://www.lesechos.fr/segur-de-la-sante-les-principales-mesures-sur-linvestissement-et-la-gouvern
    [11] https://sante-achat.info/performance/ondam-2021-programme-de-540-millions-deconomies-pour-les-achats
    [12] https://www.aa.com.tr/en/latest-on-coronavirus-outbreak
    [13] https://www.francetvinfo.fr/coronavirus/vaccin/covid-19-un-francais-sur-deux-ne-se-fera-pas-vacciner
    [14]https://www.sec.gov/Archives/edgar/data
    [15] https://www.lesechos.fr/plus-de-20000-doses-de-remdesivir
    [16]https://ec.europa.eu/france/news/20201008/contrat_remdesivir
    [17]https://ladroiteaucoeur.fr/2020/11/14/un-achat-compulsif-covid19
    [18] https://www.francetvinfo.fr/oms-recommande-de-ne-pas-utiliser-le-remdesivir

    --

  • Noël approche, le foie gras, les truffes et le champagne coutent cher. Les actionnaires réclament des soussous.

    Les #banques veulent reverser des #dividendes
    https://www.lefigaro.fr/societes/les-banques-veulent-reverser-des-dividendes-20201127

    Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a, pour la première fois, plaidé en ce sens vendredi. En mars, la Banque centrale européenne (BCE) a demandé à ces groupes, d’une part, de ne pas verser de dividendes au titre des résultats 2019, d’autre part, de ne pas racheter leurs actions. Objectif : préserver leur solidité financière et soutenir l’économie. En décembre, l’Institution de Francfort doit se prononcer au sujet d’éventuels dividendes au titre des résultats de l’année 2020.

    « Incontestablement, la mise en réserve de l’intégralité des résultats a été en 2020 une mesure efficace pour soutenir la solvabilité des établissements financiers, estime François Villeroy de Galhau. Toutefois, deux arguments plaident maintenant en faveur d’une ouverture prudente vers une distribution, dont il faudra discuter des modalités. »

  • General Electric va supprimer près de 300 postes en France dans son entité « Steam Power »
    https://www.lefigaro.fr/societes/general-electric-va-supprimer-pres-de-300-postes-en-france-dans-son-entite-

    General Electric s’apprête à supprimer près de 300 postes en France dans son entité « Steam Power », spécialisée dans les centrales nucléaires et à charbon, dont 240 sur son site de Belfort, selon une source syndicale et une source proche du dossier jeudi.

    #cétoutdelafotocovid

    Je vous avais déjà dit qu’à mon sens, le gvt qui avait autorisé de brader Alsthom à GE mériterait un procès en haute-trahison ?

  • L’armée française sécurise une pépite de la tech convoitée par la CIA
    https://www.lefigaro.fr/societes/le-ministere-des-armees-investit-dans-la-start-up-preligens-20201119

    RÉCIT - Visée par In-Q-Tel, le fonds de la CIA, Preligens, leader de l’analyse de données à base d’IA, reste français. La France veut protéger ses pépites technologiques. La décision du ministère des Armées d’investir, via son fonds DefInvest, dans la start-up tricolore Preligens (ex-Earthcube), va dans ce sens. La jeune pousse, leader dans l’analyse de données satellitaires, à base d’Intelligence artificielle (IA), pour le compte des services de renseignement et des armées, vient de lever 20 millions (...)

    #In-Q-Tel #OVH #CIA #algorithme #militaire #Preligens_

  • L’Oréal supprime les mots « blanc », « blanchissant » et « clair » de ses produits (attention : je commente ce titre dégueulasse ci-après)
    https://www.lefigaro.fr/societes/l-oreal-supprime-les-mots-blanc-blanchissant-et-clair-de-ses-produits-20200

    L’Oréal supprime les mots « blanc », « blanchissant » et « clair » de ses produits

    Cette décision intervient dans un contexte mondial de manifestations anti-racistes.

    L’Oréal vient à s’ajouter à la liste des entreprises qui transforme leur stratégie marketing Ty Lim /Shutterstock

    Le groupe L’Oréal a décidé de retirer certains mots, tels que « blanc » ou « blanchissant », de la description de ses produits cosmétiques sur ses emballages, dans un contexte mondial de manifestations anti-racistes.

    À lire aussi : Uncle Ben’s, Banania... Quand la peur guide la stratégie marketing des entreprises

    « Le groupe L’Oréal a décidé de retirer les mots blanc/blanchissant, clair de tous ses produits destinés à uniformiser la peau », indique le géant français des cosmétiques dans un communiqué publié en anglais samedi 27 juin, sans plus de détails, notamment sur un retrait immédiat ou non des rayons.

    Bravo, donc « sans plus de détails », mais vous avez tout de même réussi à tronquer la déclaration pour faire un titre appeau à racistes (dog-whistle) ? « Nan mais tu te rends compte, hein, chez L’Oréal ils ont honte qu’on est blancs… » Vous pouvez dénoncer l’hypocrisie éventuelle du geste, mais L’Oréal dit explicitement qu’il s’agit des produits « destinés à uniformiser la peau », c’est-à-dire un type de produits très spécifiques (et pas « ses produits » en général) auxquels on reproche depuis des années de mettre en avant non pas l’action de lutter contre les taches sur la peau, mais de servir à être « plus blanche ».

    Et il faut donc passer un bon demi-écran pour que ce soit signalé discrètement dans un paragraphe, et encore avec la mention « sans plus de détail », qui laisse entrevoir un excès « PC » des marques.

  • Air France appelle au secours l’État actionnaire et réduit la voilure
    https://www.lefigaro.fr/societes/air-france-appelle-au-secours-l-etat-actionnaire-et-reduit-la-voilure-20200

    Une conversation téléphonique jeudi soir. Un rendez-vous prévu vendredi en fin d’après-midi. Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, et le patron d’Air France-KLM, Ben Smith, ont eu des échanges répétés ces derniers jours. Ce n’est un secret pour personne : Air France aimerait que l’État, actionnaire du groupe à 14,3 %, lui donne un coup de pouce dans cette passe difficile.

    • Note en passant : toujours cet art moisi de l’effet journalistique. Air France « réduit la voilure », ça fait chic ; surtout si Air France possédait une flotte de bateaux et pas des avions.

  • #Huile_de_palme et biocarburant : #Total gagne une bataille à l’#Assemblée
    https://www.lefigaro.fr/societes/huile-de-palme-et-biocarburant-total-gagne-une-bataille-a-l-assemblee-20191

    https://www.liberation.fr/direct/element/lassemblee-maintient-lhuile-de-palme-parmi-les-biocarburants-les-ecologis

    #mede

    la fin de la #niche_fiscale, prévue pour début 2020, grèverait de 70 à 80 millions d’euros par an les comptes de cette usine, qui emploie directement 250 personnes.

    Le Sénat peut aussi revenir sur ce vote. L’amendement n’a en effet bénéficié d’aucun débat et n’a même pas été défendu au micro en séance.

  • Le montant des dividendes versés aux actionnaires atteint un record de 513,8 milliards de dollars
    https://www.lefigaro.fr/societes/le-montant-des-dividendes-verses-aux-actionnaires-atteint-un-nouveau-record

    Malgré le ralentissement de l’économie mondiale, les dividendes versés au deuxième trimestre enregistrent une nouvelle hausse, notamment en France.

    #richesse #finance #dividendes