Les colleuses. Recouvrir les murs contre les féminicides | Hiatus
►https://audioblog.arteradio.com/blog/126331/podcast/139539/les-colleuses-recouvrir-les-murs-contre-les-feminicides
Les colleuses. Recouvrir les murs contre les féminicides | Hiatus
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Rue des anges
▻http://superfeministe.blogspot.com/2019/10/rue-des-anges.html
(Les images ont des adresses de 3 km et ne s’affichent pas ici.)
C’est une histoire qui claque sur les #violences_conjugales et les pauvres réponses sociales aux #féminicides. Très bien écrite !
’Rue des Anges’ est un témoignage que nous souhaitons diffuser pour ce qu’il montre de la continuité affligeante entre violences domestiques, patriarcales, institutionnelles. C’est une histoire violente (trigger warning : récit d’agression physique violente), c’est une histoire vraie, c’est aussi une histoire de résistance, et de luttes encore à mener pour obtenir le minimum : une police formée qui protège les femmes.
Sur les #violences_masculines ou #violences_de_genre, je remets d’autres textes basés sur des #témoignages.
Audioblog - Les colleuses. Recouvrir les murs contre les féminicides
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Elles sont féministes et elles luttent. Alors que le gouvernement organise un « Grenelle contre les violences conjugales », elles s’approprient les rues pour alerter sur les féminicides. Depuis début septembre 2019, des groupes de femmes recouvrent les murs de plusieurs villes de messages qui rendent hommage aux femmes assassinées et dénoncent le patriarcat et ses complices. De la peinture des messages dans un appartement à leur collage sur les murs de Lyon, plongée sonore avec les colleuses. Vous pouvez suivre ou rejoindre les colleuses grâce à leur instagram : @collages_feminicides_lyon
Ce monde où l’on menace de garde à vue trois femmes qui collent des feuilles A4 sur les murs avec un mélange de farine et d’eau, mais où on renvoie gentiment chez lui un homme qui a étranglé et poussé sa compagne dans les escaliers. Où des milliers de femmes attendent de l’aide, cognent aux portes, manquent de solutions pour quitter leur domicile ou en chasser leur conjoint violent. Où des hommes écrasent leurs compagnes, leurs ex-compagnes, leurs partenaires ou les prostituées qu’ils fréquentent. Où des plaintes s’empilent, sont classées sans suite. Où des dépôts de plainte sont continuellement refusés. Où des femmes, découragées d’avance, ne poussent pas la porte des commissariats.