• 95 Civilians Shot and Injured, Including 43 Children, a Woman, 2 Paramedics and a Journalist by IOF at 80th GMR
    October 25, 2019 | Palestinian Center for Human Rights
    https://pchrgaza.org/en/?p=13088

    Ninety-five Palestinian civilians, including 43 children, a woman, 2 paramedics and a journalist, were shot and injured by Israeli occupation forces (IOF) fire against peaceful protestors at the 80th Great March of Return (GMR), this Friday, 25 October 2019.

    IOF continued to use excessive force against protestors, wounding 36 civilians with live bullets and shrapnel in addition to other injuries in the upper body due to direct targeting with rubber bullets and tear gas canisters.

    Thousands of civilians took part in this week’s peaceful protests titled: “For our Prisoners in Israeli Jails and al-Aqsa Mosque,” and they raised the Palestinian flag and chanted national slogans.

    #marcheduretour 80

    • PCHR Gaza : 95 civils blessés, dont 43 enfants, lors de la 80e Grande Marche du Retour
      PCHR (Centre Palestinien pour les droits de l’homme) – 26 octobre 2019 - Traduction : BP pour l’Agence Média Palestine
      https://agencemediapalestine.fr/blog/2019/10/28/pchr-gaza-95-civils-blesses-dont-43-enfants-lors-de-la-80e-gran

      Vendredi, à Gaza, 95 civils palestiniens, dont 43 enfants, une femme, deux auxiliaires médicaux et un journaliste, ont été blessés par les forces israéliennes qui ont tiré à balles réelles sur les Palestiniens pacifiques qui manifestaient pour la 80e Grande Marche du Retour.

      Les forces israéliennes continuent d’employer une force excessive contre les manifestants pacifiques, elles ont blessé 36 civils avec des balles réelles et des éclats d’obus, sans compter les autres blessures dans le haut du corps causées par des tirs avec des balles d’acier enrobées de caoutchouc et des grenades lacrymogènes.

      Des milliers de civils participaient à la manifestation pacifique de cette semaine sous le mot d’ordre : « Pour nos prisonniers dans les prisons israéliennes et à la mosquée al-Aqsa », hissant le drapeau palestinien et scandant des slogans nationaux.

      Les manifestations ont duré de 15 h à 18 h 60 et comprenaient des activités telles que prises de parole et représentations théâtrales. Des centaines de civils ont manifesté à différentes distances de la clôture frontalière à travers la bande de Gaza, où certains manifestants se sont mis à brûler des pneus et quelques-uns à lancer des pierres, des cocktails Molotov et des pétards sur les forces israéliennes, qui répondirent avec une force excessive.

      Selon la documentation du PCHR, depuis le déclenchement des manifestations le 30 mars 2018, le nombre des tués monte à 214, dont 46 enfants, 2 femmes, 9 personnes avec des handicaps, 4 auxiliaires médicaux et 2 journalistes. De plus, 14 453 Palestiniens ont été blessés, dont 3592 enfants, 383 femmes, 250 auxiliaires médicaux et 216 journalistes, en notant que beaucoup de ces blessés ont subi de multiples blessures en diverses occasions.

  • Judge fines petitioners for challenging Israel’s arms sales to Philippines By Orly Noy |Published October 17, 2019 | +972 Magazine
    https://972mag.com/israel-arms-sales-philippines-ruling/143991

    A judge imposes a fine on petitioners who brought suit against the government in an attempt to end its arms exports to the Philippines, sending a clear message to those protesting Israel’s complicity with some of the world’s most repressive regimes. (...)

    #IsraelPhilippines
    #marchand_de_canons

    • Une juge condamne à une amende des plaignants qui contestaient les ventes d’armes d’Israël aux Philippines
      Par Orly Noy | publié le 17 octobre 2019 | Trad. CG pour l’Agence Media-Palestine | Source : +972 [ci-dessus]
      https://agencemediapalestine.fr/blog/2019/10/28/une-juge-condamne-a-une-amende-des-plaignants-qui-contestaient-

      Une juge impose une amende à des plaignants qui intentaient un procès au gouvernement pour tenter de mettre fin à ses exportations d’armes vers les Philippines, envoyant un message clair à ceux qui protestent contre la complicité d’Israël avec certains des régimes les plus répressifs du monde.

      La juge Gilia Ravid du tribunal du district de Tel Aviv a rendu jeudi une décision sur la requête déposée par l’avocat des droits humains Eitay Mack au nom de plus de 50 militants des droits humains, qui réclamaient qu’Israël cesse ses exportations d’armes vers les Philippines. Comme il est usuel dans des requêtes de ce genre, l’audition a eu lieu à huis clos et la décision elle-même a été soumise à embargo. Cependant, dans un geste inhabituel, la juge a imposé aux requérants le paiement de 10000 shekels (environ 2500 euros) pour frais juridiques — la seule partie de la décision autorisée à être rendue publique.

      En réponse à la requête de l’état, l’audition s’est tenu à huis clos « pour empêcher toute atteinte à la sécurité de l’état et aux relations étrangères ». Même si c’est la norme pour de tels procès, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur le motif sous-jacent et l’efficacité d’une telle exigence, puisque la majeure partie des preuves fournies par les requérants étaient déjà dans le domaine public et avaient été discutées par les médias, tant israéliens qu’internationaux. (...)