/une-juge-condamne-a-une-amende-des-plai

  • Judge fines petitioners for challenging Israel’s arms sales to Philippines By Orly Noy |Published October 17, 2019 | +972 Magazine
    https://972mag.com/israel-arms-sales-philippines-ruling/143991

    A judge imposes a fine on petitioners who brought suit against the government in an attempt to end its arms exports to the Philippines, sending a clear message to those protesting Israel’s complicity with some of the world’s most repressive regimes. (...)

    #IsraelPhilippines
    #marchand_de_canons

    • Une juge condamne à une amende des plaignants qui contestaient les ventes d’armes d’Israël aux Philippines
      Par Orly Noy | publié le 17 octobre 2019 | Trad. CG pour l’Agence Media-Palestine | Source : +972 [ci-dessus]
      https://agencemediapalestine.fr/blog/2019/10/28/une-juge-condamne-a-une-amende-des-plaignants-qui-contestaient-

      Une juge impose une amende à des plaignants qui intentaient un procès au gouvernement pour tenter de mettre fin à ses exportations d’armes vers les Philippines, envoyant un message clair à ceux qui protestent contre la complicité d’Israël avec certains des régimes les plus répressifs du monde.

      La juge Gilia Ravid du tribunal du district de Tel Aviv a rendu jeudi une décision sur la requête déposée par l’avocat des droits humains Eitay Mack au nom de plus de 50 militants des droits humains, qui réclamaient qu’Israël cesse ses exportations d’armes vers les Philippines. Comme il est usuel dans des requêtes de ce genre, l’audition a eu lieu à huis clos et la décision elle-même a été soumise à embargo. Cependant, dans un geste inhabituel, la juge a imposé aux requérants le paiement de 10000 shekels (environ 2500 euros) pour frais juridiques — la seule partie de la décision autorisée à être rendue publique.

      En réponse à la requête de l’état, l’audition s’est tenu à huis clos « pour empêcher toute atteinte à la sécurité de l’état et aux relations étrangères ». Même si c’est la norme pour de tels procès, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur le motif sous-jacent et l’efficacité d’une telle exigence, puisque la majeure partie des preuves fournies par les requérants étaient déjà dans le domaine public et avaient été discutées par les médias, tant israéliens qu’internationaux. (...)