« De plus en plus, Internet et le secteur du digital sont pointés du doigt [ah, ah] pour leur…

Numérique et pollution : une question de production plus que d’usage

Par exemple, expliquer que ce n’est pas l’usage du numérique en soit qui est en cause (et donc l’usager), mais son infrastructure, c’est-à-dire les équipements qui permettent l’usage du digital (donc la production).

Comment agir sur la pollution numérique ?

Pour réduire la pollution du numérique, il s’agirait de :

1. Réduire le nombre d’objets connectés en favorisant leur mutualisation et leur substitution et en ouvrant leurs APIs.
2. Réduire le nombre d’écrans plats en les remplaçant par d’autres dispositifs d’affichage : lunettes de réalité augmentée / virtuelle, vidéo projecteurs LED, etc.
3. Augmenter la durée de vie des équipements en allongeant la durée de
garantie légale, en favorisant le réemploi, et en luttant contre certaines formules d’abonnement.
4. Réduire les besoins des services numériques via leur écoconception.

C’est moi ou l’article ne parle que de CO2 comme pollution ? Et la pollution chimique de l’extraction ? de la fabrication ? de tout le matériel jeté (qu’on jette bien plus rapidement que les voitures) ?

Sans doute en lien avec ceci aussi ▻https://seenthis.net/messages/808749 mais j’ai pas encore pris le temps de lire tout ça... La pire des pollution n’est-elle pas avant tout générée par le sentiment d’urgence ?

Oui @rastapopoulos, c’est un critère assez réducteur. Mais ça correspond au focus climat des gens qui découvrent l’écologie, focus qui cache les autres crises écologiques : terres, eau, déplétion pour les usages futurs acceptables, etc.
#sobriété_énergétique #désinformation aussi