Evo Morales crie au « coup d’État »

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  • Grève générale en Bolivie : Evo Morales crie au "coup d’État"
    Publié le : 23/10/2019
    https://www.france24.com/fr/20191023-bolivie-presidentielle-evo-morales-coup-etat

    Le président bolivien Evo Morales a dénoncé « un coup d’État en cours » et a déclaré l’état d’urgence, après la grève qui a éclaté mardi soir, alors que le pays attend encore les résultats officiels de l’élection présidentielle. (...)

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    Après trois semaines de contestation, le président bolivien Evo Morales annonce sa démission
    Publié 10 nov 2019 à 13h16, mis à jour à 22h43
    https://www.lemonde.fr/international/article/2019/11/10/evo-morales-annonce-la-convocation-d-une-nouvelle-election-presidentielle-en

    Plus tôt dans la journée, le dirigeant indigène de 60 ans avait annoncé la convocation de nouvelles élections pour « pacifier le pays », sans parvenir à apaiser les tensions.

    « Je renonce à mon poste de président. » Le président bolivien Evo Morales aura fini par céder, dimanche 10 novembre, en annoncant à la télévision sa démission dans le sillage de plusieurs ministres et députés après trois semaines de contestation.

    Un peu plus tôt dans la journée, le dirigeant indigène de 60 ans, au pouvoir depuis 2006, avait annoncé la tenue d’un nouveau scrutin présidentiel – une option qu’il rejetait jusque-là – afin de « pacifier la Bolivie ». Cela n’aura cependant pas suffit à ramener le calme, et les affrontements entre protestataires et forces de l’ordre se sont poursuivis. (...)

    #Bolivie #coupd'état

    • Le président bolivien Evo Morales annonce sa démission
      Par RFI Publié le 10-11-2019 Modifié le 11-11-2019
      http://www.rfi.fr/ameriques/20191110-bolivie-evo-morales-annonce-demission

      Disant vouloir calmer la colère de la rue, M. Morales avait appelé dimanche matin à de nouvelles élections, une option qu’il rejetait jusque-là. Venait d’être divulgué un rapport préliminaire de l’Organisation des États américains (OEA), soulignant de très nombreuses irrégularités dans le processus électoral. Les experts de l’organisation affirmaient ne pas pouvoir valider les résultats de cette élection et recommandaient d’en organiser de nouvelles.

      Mais loin de s’apaiser, la crise politique s’est brutalement accélérée, avec des démissions en série de ministres et de députés. Visé par des manifestants qui ont incendié sa maison à Potosi (sud-ouest), le président de l’Assemblée nationale Victor Borda a été le premier à renoncer à ses fonctions. Il a été rapidement suivi par le ministre des Mines César Navarro, qui a dit vouloir « préserver (sa) famille » après l’incendie de sa maison et l’agression de son neveu.

      « Le cours des événements va à l’encontre de mes principes personnels, ainsi que de mes valeurs spirituelles et démocratiques », a aussi écrit le ministre des Hydrocarbures Luis Alberto Sanchez dans sa lettre de démission publiée sur Twitter.