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  • « Mais pourquoi ils veulent faire revenir les jeans taille basse ? » Sur les réseaux sociaux, les générations se taquinent... et tentent de mieux se comprendre
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/mais-pourquoi-ils-veulent-faire-revenir-les-jeans-taille-basse-sur-les-rese

    Par Klara Durand

    Selon la plateforme de veille Visibrain, rien que ces trente derniers jours, les vidéos en lien avec les générations totalisent 37 millions de mentions « j’aime ». Capture d’écran le Figaro

    « GenZ », « millenials » et « boomers » se moquent par publications interposées des clichés accolées à leurs années de naissance. Une tendance qui permet aussi d’ouvrir la discussion entre familles, amis et collègues.

    « Je suis une millennial et hier, j’ai vu une vidéo qui décrivait les choses que la GenZ trouve dépassées dans ma génération….Comment vous dire que je me suis sentie vieille. » Auriane Lavaux, la trentaine, fait mine d’être désespérée en entamant sa vidéo de maquillage sur TikTok. Elle est donc considérée, à son grand désarroi, comme faisant partie de la génération Y, qui englobe les personnes nées entre 1980 et 1996. Depuis plusieurs mois, elles sont devenues un objet de moquerie pour la GenZ, la génération née juste après, entre 1997 et les années 2010.
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    Ces derniers imitent leurs aînés dans des vidéos TikTok virales où ils apparaissent vêtus de jean moulant et dansent sur le titre Turn Down for What, sorti en 2013. Lequel servaient le plus souvent lors des flashs mob, ces rassemblements diffusés sur Internet dans les années 2000 où les personnes se mettaient soudainement à faire une action inattendue en public.

    Auriane raconte, quant à elle, avoir découvert sur TikTok que les plus jeunes estiment « que les gifs et les mèmes sont dépassés. » Mais, pour la jeune femme, le coup de massue arrive avec une autre information. « Je ne comprends pas.... Ils veulent faire revenir les jeans taille basse alors que ça n’est pas confortable », s’indigne-t-elle en s’appliquant son mascara.

    @_aurianelavaux

    bref, je suis une jeune vieille #milenials #milenialsvsgenz
    son original - Auriane

    Auriane est loin d’être la seule à s’intéresser à ce que la GenZ pense d’elle et de sa tranche d’âge. De façon générale, le sujet des générations passionne sur le réseau social chinois. Ces trente derniers jours, les vidéos comportant les mots « GenZ », « millennials », « boomer » (les personnes nées entre 1947 et les années 60) et « GenX » (les personnes nées entre 1965 et 1981), totalisent 37 millions de mentions « j’aime », rapporte la plateforme de veille du web Visibrain.
    Communication par vidéos interposées

    « Sur TikTok, les personnes aiment bien raconter leurs anecdotes du quotidien », confirme la tiktokeuse Adeline du compte unamourdechef. La millennial, comme elle aime à se surnommer, a découvert grâce à ces contenus ce que pense la GenZ du monde du travail. « Moi comme d’autres, on avait la sensation d’être les aînés qui ont eu à respecter toutes les règles, devant les petits derniers qui, eux, racontent face caméra leurs besoins d’avoir une vie privée en dehors du travail ». La vidéaste décide toutefois d’aller plus loin et d’interroger ses jeunes abonnés sur ce qui leur déplaît chez certains codes du monde de l’entreprise.

    Des discussions qui donnent lieu à vidéos humoristiques, où la jeune femme ironise sur sa propre génération. « Je suis choquée, la GenZ quand elle est malade... Elle pose un arrêt maladie », entame-t-elle, l’air éberlué, dans une des publications les plus vues de son compte. Une vidéo qui lui permet d’ouvrir, dans la section commentaires, les discussions entre générations. « Des employeurs ont expliqué mieux comprendre la vision du travail des plus jeunes et, parmi ces mêmes jeunes, certains se sont défendus en disant ne pas se reconnaître dans ce qu’on dépeint de leur génération », reprend Adeline. « Ça permet de dépasser les clichés chez chacun finalement ». Toujours selon la plateforme de veille Visibrain, le seul hashtag GenZ a généré 1,4 million de publications depuis sa création.

    @unamourdechef

    Faut pas dire aVous vous rendez pas compte#rh #humour #tiktokacademie #apprendresurtiktok #tiktokcomedie #hr #corporatehumor #entretien
    Quirky - Oleg Kirilkov

    Au sein des familles, on se partage aussi ce type de vidéos entre parents et enfants, qu’ils soient encore à la maison... ou loin du nid. Les réseaux sociaux permettent en effet de maintenir une forme de lien. À l’instar de Véronique 63 ans et sa fille Alice*, 24 ans, qui lui a créé un compte sur TikTok il y a deux ans. « Souvent, on s’envoie des vidéos drôles qu’on découvre sur TikTok, comme des extraits de spectacles d’humoristes ou de courtes publications de chutes drôles », détaille Véronique. « Ça devient un moment le soir où on échange via des références communes et puis, pour moi, ça me permet de me vider la tête », confie-t-elle, amusée.
    Instagram, le réseau social intergénérationnel

    Cette façon de communiquer ne surprend pas la chercheuse Anne Cordier, professeure des universités en science de l’information et de la communication. « Il faut arrêter avec ce discours de la rupture générationnelle sur les réseaux sociaux. Les parents d’aujourd’hui ont 40 ans ou 50 ans, bien sûr qu’ils sont sur les mêmes espaces que leurs enfants », souligne-t-elle. « Au moment du confinement, les générations de parents et de grands-parents ont pris la mesure de l’épaisseur sociale des vidéos TikTok », poursuit la professeure. « De façon générale, ils ont compris l’outil que représentent les réseaux sociaux pour maintenir le lien social ».

    D’après Anne Cordier, c’est Instagram (détenu par le groupe Meta) qui serait le plus utilisé par l’ensemble de ces générations. Avec 2 milliards d’utilisateurs actifs mensuels, on y retrouve aussi bien la GenZ, « qui poste peu mais partage des publications éphémères avec la fonction story », constate Anne Cordier, mais aussi leurs parents et grands-parents. « Les familles suivent des comptes en commun et elles voient des vidéos similaires sur le nouveau fil ’’découvertes’’ d’Instagram », complète-t-elle. « Elles partagent ainsi un lieu commun sur le numérique. »
    Les parents tout aussi actifs que leurs enfants

    Antoine, 28 ans, en sait quelque chose. Instagram est devenu le point de départ des potins avec ses parents et, surtout, avec sa mère. « Si je poste une story, elle va forcément y répondre », décrit-il. Cette dernière s’est créé un compte peu avant le confinement. Elle est depuis devenue une fervente utilisatrice de ce réseau social. « Elle a carrément ajouté mes propres amis, qui ont trouvé ça drôle », témoigne le jeune homme. « Parfois, c’est même elle qui me dit au téléphone ce que tel ami est allé voir en concert récemment, ou dans quel pays il s’est rendu », s’amuse-t-il. « Et c’est ma mère qui publie le plus de photos, surtout de ses vacances avec mon père. Moi je ne publie presque jamais rien ».

    Un point qui interpelle Anne Cordier. « Dans ces nouvelles formes de communication, on pose souvent la question de ce que les enfants dévoilent à leurs parents sur les réseaux, mais très peu de ce que les parents donnent à voir à leurs enfants », souligne la spécialiste en communication. « Pourtant, cela vaudrait le coup de s’interroger sur ce qu’on leur laisse à voir sur les réseaux sociaux », conclut-elle, pensive.

    #Médias_sociaux #Genérations #Anne_Cordier

  • Médicaments non délivrés, devis et facturation en panne… Une cyberattaque perturbe sérieusement le système de santé aux États-Unis Ingrid Vergara

    La cyberattaque d’une filiale de la plus importante compagnie d’assurance-santé américaine tourne à la crise d’ampleur aux États-Unis. Victime d’un rançongiciel qui affecte une de ses divisions depuis le 21 février, le groupe UnitedHealthcare n’est plus en mesure d’assurer de nombreuses tâches nécessaires au bon fonctionnement du système de santé. Des médecins qui ne peuvent plus savoir si un patient bénéficie ou non d’une assurance-santé, des pharmacies incapables de transmettre les demandes de remboursement de patients, des factures d’hôpitaux non réglées, des retards dans les délivrances d’ordonnances de médicaments…

    Les réactions en chaîne s’étendent et s’aggravent au fur et à mesure que les jours passent. Car UnitedHealthcare est la plus grande plateforme d’échange de paiements entre médecins, pharmacies, prestataires de soins de santé et patients du système de santé américain. Sa filiale Change gère la facturation de quelque 67.000 pharmacies, . . . . .

    #Santé #internet #sécurité_informatique #cyberattaques #cybersécurité #malware #usa #UnitedHealthcare #algorithme #juste_à_temps #dématérialisation #intelligence_artificielle #artificial-intelligence #blockchain #IA

    Source et suite (payante) : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/medicaments-non-delivres-devis-et-facturation-en-panne-une-cyberattaque-per

  • Données de santé des Français : l’hébergement chez Microsoft fait polémique
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/donnees-de-sante-des-francais-l-hebergement-chez-microsoft-fait-polemique-2

    C’est une autorisation qui fait grand bruit. La Cnil a donné un feu vert à la création d’un entrepôt de données de santé de citoyens français et européens qui sera hébergé sur les infrastructures cloud de l’américain Microsoft. Rendue publique le 31 janvier, cette décision répondait à une demande d’autorisation - obligatoire - qui lui avait été faite en août dernier par le Health Data Hub (HDH).

  • À San Francisco, un taxi autonome commercialisé par Google a été vandalisé et incendié en pleine rue
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/a-san-francisco-un-taxi-autonome-commercialise-par-google-a-ete-vandalise-e

    [...]
    Un taxi autonome Waymo, du groupe Alphabet, la maison mère de Google, a été vandalisé et totalement incendié par plusieurs personnes samedi soir à San Francisco (Californie), sans faire de blessé, alors qu’il circulait dans la ville sans aucun passager à son bord. Une porte-parole de Waymo a précisé à l’AFP que vers 21H00 samedi, « un véhicule Waymo entièrement autonome traversait San Francisco lorsqu’une foule a encerclé et vandalisé le véhicule, brisant la vitre et lançant un feu d’artifice à l’intérieur, ce qui a mis le feu au véhicule ».
    [...]

    Yeah !

  • Des fans de la Star Academy aux agriculteurs en colère, comment les groupes Facebook sont devenus « la nouvelle place du village »
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/des-fans-de-la-star-academy-aux-agriculteurs-en-colere-comment-les-groupes-

    Les groupes Facebook ont été lancés en 2017 par le réseau social. Ci-dessus, un groupe consacré aux Gilets jaunes, un autre aux contestations agricoles et le dernier à la candidate Héléna de l’émission Star Academy. Capture d’écran Figaro

    Lancés en 2017, ces groupes thématiques permettent aux utilisateurs du réseau social de se réunir et d’échanger facilement. Ils sont aussi devenus des espaces d’organisation de mouvements sociaux.

    « Sur le groupe Facebook, il y a du respect, pas de moquerie, juste des fans qui soutiennent une personne », souligne Séverine. Ce mercredi 24 janvier, cette Belge de 33 ans, adepte de l’émission de télévision Star Academy, anime le groupe de soutien à la candidate Héléna. Cette dernière est en demi-finale le samedi suivant et, comme Séverine, plus de 30.000 fans de la jeune femme publient frénétiquement des messages ou créent des sondages sur le groupe « Team Héléna Star Ac 2023« pour évaluer ses chances d’atteindre la finale.
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    « Je me souviens qu’après l’émission du 3 janvier, on est passés de 3500 membres à plus de 10.000 en 48 heures », s’amuse Séverine. « Il faut dire que les membres invitent leur famille et leurs amis, c’est facile d’utilisation et chacun peut interagir ». Et la page “Team Héléna Star Ac 2023” est loin d’être un cas isolé. Les quelque trois milliards d’utilisateurs mensuels actifs du réseau social, qui fête cette semaine ces 20 ans d’existence, sont nombreux à faire partie d’un « groupe », qu’il soit public ou privé. Lancés en 2017, ils consistent en un espace de discussions, greffé à une page Facebook dédiée à une thématique précise.
    Les groupes Facebook, un lieu de rendez-vous

    Ainsi, il existe des groupes Facebook de conseils pour jeunes parents, de brocantes dans le Val-de-Marne et même sur des figurines de chérubins à la mode Sonny Angel… En somme, il y a autant de groupes que de centres d’intérêt. « Sur notre groupe chacun peut publier ses questions ou proposer à la vente certaines de leurs figurines, contrairement à la page Instagram où je suis la seule à pouvoir publier », indique Audrey, qui gère la page française Sonny Angel Wanted, suivie par plus de 2000 personnes. « Les groupes sont pratiques pour aller chercher des informations », confirme sa fille, Rose, âgée de 13 ans.

    « Les groupes Facebook sont un peu la nouvelle place du village, ou le café du coin qui a fermé »
    Fabrice Epelboin, Enseignant spécialiste des médias sociaux et entrepreneur

    « Facebook est aujourd’hui un lieu de rendez-vous entre utilisateurs. Et les groupes, avec leur interface simple, sont logiquement devenus un incontournable du réseau social », analyse Anne Cordier, professeure des universités en science de l’information et de la communication. « Les groupes Facebook sont un peu la nouvelle place du village, ou le café du coin qui a fermé », abonde à son tour Fabrice Epelboin, enseignant spécialiste des médias sociaux et entrepreneur.
    Sur Facebook, il existe des groupes pour tout. Que ce soit pour trouver une brocante près de chez soi, qu’échanger des figurines de poupons ou trouver qui est son voisin mécheux. Capture d’écran Figaro

    Des utilisateurs ont même des souvenirs précis de premières pages Facebook destinées à échanger entre amis du collège ou du lycée, avant même que cela soit appelé des « groupes ». À l’instar de Farah, 25 ans. « J’ai déménagé quand j’étais en cinquième et ma classe, ainsi que celle de ma sœur, avaient créé une page privée nommée “pour que Farah et Fiona restent” » , s’amuse la jeune femme. « Je me souviens qu’à cette époque, il y avait déjà des pages pour tout et rien, souvent reliées aux émissions de la radio Skyrock », décrit-elle. « Il y en avait même des étranges, comme le groupe ’’les BG [beaux gosses, ndlr] mécheux et mécheuses’’ ».
    Un espace de lutte des gilets jaunes aux agriculteurs

    Au fil du temps, cet outil de discussions farfelu et bon enfant s’est mué en un espace de lutte propre à Facebook. « Le tournant s’est opéré en 2017, peu après l’élection de Donald Trump aux États-Unis et un peu avant le scandale de Cambridge Analytica », constate Fabrice Epelboin. « Mark Zuckerberg (le fondateur de Facebook NDLR), a entrepris de faire le tour de certains États pour découvrir qui étaient les électeurs de Trump. C’est à ce moment-là qu’il a considéré qu’il y avait un besoin de resserrer les liens sociaux de proximité entre les gens ».

    Le fil des abonnements des utilisateurs est alors sensiblement modifié. Entre les photos d’amis et le partage d’articles de presse, des groupes Facebook susceptibles d’intéresser la personne sont mis en avant par l’algorithme du réseau social. « Du jour au lendemain pratiquement, l’activité de ces groupes de proximité est devenue plus visible », décrit l’enseignant. « C’est comme ça que sur ces mêmes groupes de brocantes, des gens se sont d’abord mis à râler sur le passage aux 80 km/h puis sur la taxe carburant, donnant naissance petit à petit au mouvement des gilets jaunes. Sans même qu’il y ait, derrière, un syndicat quelconque ».
    À gauche, début 2019, des Gilets jaunes populaires comme Fly Rider se filment régulièrement pour décrire l’évolution du mouvement et inciter d’autres personnes à les rejoindre. En janvier 2024, les groupes de soutiens aux agriculteurs se multiplient et relaient les différentes actions menées par les paysans. Capture d’écran Figaro

    Les groupes Facebook deviennent pour la première fois en France vecteur de mouvements sociaux. En décembre 2018, des utilisateurs s’organisent sur ces mêmes pages pour faire entendre leurs revendications et se filment à la première personne. Dans ces courtes vidéos, ils incitent les autres membres du groupe à rallier les ronds points en arborant un gilet jaune. « Facebook rassemble une large audience, avec des gens qui partagent des caractéristiques sociodémographiques communes. On l’a vu, cette fonctionnalité a été un moyen de consolider ce mouvement des gilets jaunes », souligne, à son tour, David Lavaud, enseignant au Celsa et spécialiste des médias ainsi que du numérique.

    Depuis, les groupes ont largement été utilisés pour organiser et propulser les différentes formes de contestations qui ont suivi. Que ce soit les manifestations contre la réforme des retraites, que celles plus récentes des agriculteurs. « Si on prend l’exemple des agriculteurs, il existe pléthore de groupes sur Facebook où ils s’entraident sur la paperasse liée à leur métier et ces mêmes groupes deviennent un lieu pour partager leurs difficultés », reprend Fabrice Epelboin. « Le problème, c’est que ces groupes servent aussi de canaux d’informations et, malheureusement, propagent des fake news ».
    Une fonctionnalité encore exclusive à Facebook

    Si cette fonctionnalité reste aussi prisée par les utilisateurs du réseau social, c’est parce qu’aucune plateforme concurrente ne l’a réellement cloné. « Elle reste exclusive à Facebook. Même les nouveaux canaux de discussions créés sur Instagram, ne permettent qu’aux influenceurs de publier des messages », indique l’enseignant spécialiste des médias et du numérique, David Lavaud. « De plus, si l’on va sur les groupes d’alumnis [anciens étudiants d’une grande école, ndlr], ces derniers possèdent désormais des communautés énormes et difficiles à déplacer sur un autre réseau. Cet outil se transmet donc entre les générations ».

    « Facebook, ça reste le réseau social du texte par excellence et il est organisé de façon assez scolaire », note également Anne Cordier. « Il correspond encore à une culture des blogs et c’est pourquoi il reste aussi apprécié des internautes de plus de 45 ans ». Toutefois, la force des groupes Facebook pourrait s’étioler avec l’usage sans cesse plus répandu de messageries comme WhatsApp (détenu aussi par Meta) et Telegram. Ces deux plateformes permettent à leurs usagers de créer facilement des groupes à partir de leurs contacts et de se partager des informations. Rien qu’en France, WhatsApp compterait plus de 40 millions d’utilisateurs actifs mensuels.

    « Au moment de la réforme des retraites, les informations sur le blocus du lycée étaient partagées sur un groupe Telegram où étaient ajoutés au fur et à mesure les élèves », témoigne à ce propos Luc*, 16 ans, avant de préciser : « C’est devenu la messagerie où se réunissent les militants ». Le lycéen ne se servait des groupes Facebook « que pour aller vérifier la date d’un rassemblement mais sans les intégrer pour autant ». Lui qui considère que ce réseau social, devenu populaire alors qu’il n’était à peine qu’un nourrisson, est devenu un peu dépassé.

    *Le prénom a été modifié

    #Facebook #Anniversaire #Anne_Cordier

  • Coinbase, puis Binance : une nouvelle zone de turbulences menace le secteur crypto
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/coinbase-puis-binance-une-nouvelle-zone-de-turbulences-menace-le-secteur-cr

    Les deux plus grandes plateformes d’échange de cryptomonnaies sont attaquées en justice par le gendarme financier américain. En l’espace de quelques heures, le gendarme des marchés financiers, la Securities and Exchange Commission (SEC), a attaqué en justice les deux plus grands acteurs de l’écosystème mondial des cryptoactifs : Binance et l’américain Coinbase.

  • Google intègre des outils d’intelligence artificielle générative à ses services en ligne
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/google-integre-des-outils-d-intelligence-artificielle-generative-a-ses-serv

    « Ainsi, si vous êtes un responsable d’équipe qui intègre un nouvel employé, Workspace vous fait gagner du temps et des efforts pour rédiger ce premier e-mail de bienvenue », indique-t-elle.

    Ah, c’est ça l’exemple qu’ils ont trouvé, chez Google ? Vachement humains, ces gens.

    Je suggère donc :
    – c’est votre anniversaire de mariage, Workspace vous fait gagner du temps…
    – un couple d’amis se marie, Workspace vous fait gagner du temps…
    – une naissance dans la famille ? Workspace vous fait gagner du temps…
    – vos proches passent leur temps à choper le Covid, heureusement Workspace vous fait gagner du temps…
    – vous voulez licencier votre employé la veille de ses 56 ans ? Workspace vous fait gagner du temps pour rédiger ce mail d’anniversaire ;
    – pour le décès de la maman d’un ami proche, Workspace vous fait gagner du temps et des efforts pour rédiger ce mail de condoléances.

    • sans chichi

      Cher Monsieur Chanceux,

      C’est avec regret que je vous écris cette lettre pour vous informer de notre décision de mettre fin à votre contrat d’emploi avec notre entreprise. Cette décision est prise dans le cadre de la restructuration de notre entreprise et de la nécessité de réduire nos coûts d’exploitation.

      Votre dernier jour de travail sera le 16 mars 2023, qui sera également la veille de votre 56e anniversaire. Nous avons pris en compte votre longue période de service dans notre entreprise, mais les circonstances actuelles ne nous permettent pas de maintenir votre emploi.

      Nous tenons à vous remercier pour vos nombreuses années de service et pour vos contributions à notre entreprise. Nous apprécions votre dévouement et votre travail acharné, et nous regrettons que cela se termine ainsi.

      Nous souhaitons vous offrir une indemnité de départ qui est conforme à la réglementation en vigueur, ainsi qu’une lettre de recommandation si vous en avez besoin.

      Nous vous souhaitons bonne chance dans vos projets futurs et espérons que cette transition se passera le mieux possible pour vous.

      Cordialement,

      [Signature]

    • Mouarf :

      Nous souhaitons vous offrir une indemnité de départ qui est conforme à la réglementation en vigueur

      ChatGPT est bon prince, moi j’aurais écrit : « Nous avions initialement envisagé vous faire zigouiller par un tueur professionnel, mais comme nous sommes une entreprise formidable, nous souhaitons vous offrir que nous respections la loi. »

  • « Twitter files », deuxième épisode : le réseau social aurait arbitrairement limité la visibilité de certains comptes conservateurs
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/twitter-files-deuxieme-episode-le-reseau-social-aurait-arbitrairement-limit

    Relayée par Elon Musk, une journaliste révèle la mise sur « liste noire » de certains comptes Twitter, à l’insu des utilisateurs du réseau.

    Cette journaliste là 👇

    New York Times’s Bari Weiss Denies Attacks on Arab Scholars Who Criticize Israel
    https://theintercept.com/2018/03/08/the-nyts-bari-weiss-falsely-denies-her-years-of-attacks-on-the-academi

    The New York Times columnist and editor spent years crusading for the type of censorship she claims to loathe. Instead of acknowledging this, she denies it.

    #sans_vergogne

  • Téléphonie, paiements, transports : un document montre la fragilité de la Suisse face à un éventuel black-out Didier Kottelat, avec Pierre Nebel
    https://www.rts.ch/info/suisse/13327003-telephonie-paiements-transports-un-document-montre-la-fragilite-de-la-s

    Comme d’autres pays, la Suisse se prépare à un hiver difficile sur le front de l’approvisionnement énergétique. En cas de pénurie d’électricité voire de black-out, les trains continueront-ils de rouler ? Et pourra-t-on encore téléphoner, surfer sur internet, retirer de l’argent au bancomat ou payer ses courses par carte ? Tour d’horizon.

    C’est une petite musique qui monte : la Suisse n’est pas à l’abri de mesures de rationnement d’électricité, voire de coupures de courant de plusieurs heures. Face à la crise énergétique qui menace, le président de la Commission fédérale de l’électricité (ElCom) Werner Luginbühl, il y a un peu plus de deux semaines, a même invité les ménages à acheter des bougies et à faire des réserves de bois de chauffe.


    La Confédération veut à tout prix éviter ce scénario catastrophe. Mais en même temps, elle se prépare à toutes les éventualités. Le 17 mai dernier, sous l’égide de l’Office fédéral de la protection de la population (OFPP), elle a donc convié à Berne les représentants des infrastructures critiques de la Suisse, de Swisscom aux CFF, en passant par les banques, les grands distributeurs et les fournisseurs d’électricité.

    Objectif de la rencontre : coordonner les efforts des entreprises les plus importantes du pays afin de maintenir les services essentiels à la population et à l’économie en cas de pénurie d’électricité. Nos collègues de la radio alémanique SRF ont obtenu le procès-verbal de la réunion. Celui-ci révèle certaines fragilités, notamment dans le domaine des télécommunications, du trafic de paiement et des transports.

    LES TÉLÉCOMMUNICATIONS
    A l’ère de l’omniprésence du smartphone, un éventuel black-out bouleverserait le quotidien de la population. Il suffit d’une coupure de courant d’une heure environ pour que les réseaux de téléphonie mobile de tous les opérateurs du pays cessent d’émettre, apprend-on dans ce document. Les antennes sont en effet pourvues de batterie, mais cette alimentation de secours ne permet pas de tenir plus de 60 minutes.

    En dernier recours, la Confédération prévoit des délestages cycliques pour tous les consommateurs et entreprises, à l’exception de quelques infrastructures jugées essentielles (hôpitaux, services de secours et de sécurité, ...). On imagine ainsi des coupures de courant de quatre heures toutes les huit à douze heures. « Le temps d’alimentation (entre deux coupures) ne suffit pas à recharger les batteries des antennes. Il en résultera des pannes », affirme le représentant de Swisscom.

    La vulnérabilité du réseau de téléphonie mobile est qualifiée de « choquante » par un participant de la table ronde : « Un black-out peut survenir très rapidement. Et sans communication, la société est confrontée à d’énormes problèmes. » "L’Office fédéral de la communication est en train d’examiner dans quelle mesure des prescriptions supplémentaires sont nécessaires" pour limiter ce risque, répond l’OFPP. Pour l’heure, on en reste toutefois au stade des discussions.

    En matière de données, le réseau semble davantage résistant. Les centres de calcul pourraient tenir au moins 72 heures grâce à des génératrices diesel. Celles-ci pourraient ensuite être réalimentées, de quoi, en théorie, maintenir internet. Mais pour le citoyen lambda, il y a un hic. « C’est clair que si, chez vous, votre routeur n’est pas alimenté en énergie, vous n’aurez pas non plus accès aux données internet », note le porte-parole de Swisscom Christian Neuhaus.

    LE TRAFIC DE PAIEMENT
    Autre sujet évoqué lors de la réunion : le trafic de paiement. Alors que les Suissesses et les Suisses sont toujours plus nombreux à payer quasi exclusivement par carte bancaire ou grâce à leur smartphone, la crise énergétique pourrait marquer le grand retour du cash. Si les systèmes électroniques venaient à être paralysés, la population n’aurait en effet d’autre choix que de se rabattre sur les bons vieux billets de banque.

    Le premier défi pour les banques serait alors de faire fonctionner les bancomats, qui ont besoin d’électricité. Il s’agirait ensuite d’assurer l’approvisionnement en billets des distributeurs, qui seraient sans doute pris d’assaut. La question de la sécurité des clients est également centrale, note Martin Hess, un responsable de l’Association suisse des banquiers, qui insiste sur la nécessaire coopération des banques avec leurs « partenaires d’infrastructure ».

    Quant aux guichets, ils pourraient devoir fermer en cas de black-out. « Il existe des situations dans lesquelles les banques sont invitées à fermer leurs portes pour protéger l’argent de leurs clients. C’est pourquoi la Confédération recommande aux citoyens de garder des billets en petites coupures pour les achats de première nécessité durant quelques jours », relève Martin Hess.

    LES TRANSPORTS
    La question des transports publics est également mentionnée lors de la rencontre du 17 mai. Les CFF disposent de ressources électriques propres, mais cela ne leur permet pas de poursuivre le service en cas de black-out. En cas de panne généralisée, le représentant de l’ancienne régie fédérale évalue l’autonomie énergétique du système ferroviaire à une heure environ. Juste de quoi ramener les trains en gare et ne pas laisser les passagers en rade.

    UN SYSTÈME FRAGILE
    Il n’est évidemment pas certain que le scénario du pire envisagé par la Confédération se réalise cet hiver. Pourtant, pour la première fois depuis bien longtemps, il n’est plus totalement exclu. Les réflexions en cours mettent en tous les cas en évidence la fragilité du système, l’interconnexion des différents acteurs économiques ainsi que l’importance critique des infrastructures de communication et de l’approvisionnement en carburant.

    #énergie #électricité #gaz #téléphones #smartphones #télécommunications #transports #argent #cartes_bancaires #banques #cash #internet

  • Ce Vendredi : Grèves : le métro de Londres pratiquement à l’arrêt Figaro avec AFP

    La paralysie fait suite à une grève des cheminots, qui réclament une augmentation des salaires face une inflation record.

    Le métro de Londres était quasi paralysé vendredi et le reste du réseau de transports en commun fortement perturbé par une grève pour les salaires face à une inflation au plus haut au Royaume-Uni, au lendemain d’un débrayage massif de cheminots.

    « Il n’y a pratiquement aucun service » dans le métro de Londres, même si « deux lignes offrent une circulation réduite » avec un train toutes les 15 minutes environ, a indiqué à l’AFP une porte-parole de l’opérateur de transports publics TfL. Le trafic des bus, surchargés en raison du repli de nombreux Londoniens sur ce mode de transport, était aussi perturbé.


    Plus gros mouvement de grève depuis des décennies
    Devant la station Blackhorse Road (Nord-Est de Londres), des gens rassemblés attendent l’ouverture de l’Overground, réseau de trains de banlieue qui fonctionne vendredi en service réduit. « Overground seulement, pas de métro aujourd’hui », crie à la cantonade un salarié non-gréviste à l’attention des voyageurs dont un grand nombre n’est pas au courant de la grève. « Je vais être en retard au travail, je dois me rendre dans le centre de Londres », lance une jeune femme qui sort en courant de la station et se précipite vers les arrêts de bus attenants.

    Si de nombreux usagers des trains jeudi se montraient compréhensifs envers les grévistes du rail, certains Londoniens en retard se montraient moins cléments vendredi. « Je comprends le message (que les grévistes) veulent faire passer à leurs patrons, mais (...) Londres est une grande ville et de nombreuses personnes ont besoin de se rendre à leur travail », critique Catherine Ondo, une vendeuse âgée de 25 ans. « Je ne sais pas comment je vais me rendre au travail », se désole Greg Skalski, 43 ans, employé dans la construction. Il dénonce « les tarifs de TfL qui ont fortement augmenté » et estime que les salaires de l’opérateur public sont déjà au-dessus de la moyenne du pays.

    Le Royaume-Uni connaît ces jours-ci une nouvelle salve de débrayages massifs dans les transports, la poste, les ports, le plus gros mouvement de grève depuis des décennies face à l’inflation. Un nouveau jour de grève est notamment prévu dans les trains samedi. Les négociations avec la multitude d’opérateurs ferroviaires privés du secteur sont dans l’impasse, selon les syndicats. Ces derniers ont par ailleurs rejeté une offre de hausse salariale de 8% sur deux ans de Network Rail, entreprise publique de gestion des lignes ferroviaires, qu’ils accusent d’être conditionnée à des licenciements massifs.

    Le ministre des Transports Grant Shapps, accusé par les syndicats de bloquer la situation, reproche de son côté aux organisations syndicales de refuser des réformes pour moderniser le rail. Il pourrait passer en force, a-t-il assuré vendredi sur Sky News. « Si nous ne pouvons pas mettre en place ces modernisations, nous devrons (les) imposer », a-t-il dit. Liz Truss, la favorite dans la course à la succession de Boris Johnson à Downing Street, a aussi fait preuve de fermeté envers les syndicats sur Twitter. « En tant que Premier ministre, je ne laisserai pas notre pays être rançonné par des syndicalistes militants », a-t-elle écrit. Le maire travailliste de Londres, Sadiq Khan, qui a autorité sur les transports londoniens et qui est engagé depuis des mois dans un bras de fer sur leur financement avec l’exécutif, s’est dit de son côté « inquiet que le gouvernement ne pousse délibérément (les syndicats) à la grève à Londres », dans des déclarations à Sky News.

    #Londres #grèves #inflation #métro #transports #grève #travail #Salaires #Syndicats #néo_libéralisme

    • La consommation d’eau des data centers microsoft source d’inquiétudes  Elsa Bembaron - Le figaro
      https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/la-consommation-d-eau-des-data-centers-source-d-inquietudes-20220819

      Alors que l’Europe est frappée par la sécheresse, un rapport paru aux Pays-Bas dénonce la hausse de la consommation d’eau de centres de données de Microsoft.

      Cela ne pouvait pas tomber plus mal. Alors que l’Europe est frappée par une des pires sécheresses de son histoire, la presse néerlandaise se fait l’écho d’un rapport accablant pour les centres de stockage de données. L’année dernière, un centre de stockage de données géant de Microsoft, situé dans le nord du pays, a avalé 84 millions de litres d’eau, soit 4 à 7 fois plus que ce qui avait été initialement annoncé par l’Américain. Révélé par un média local, Noordhollands Dagblad https://www.noordhollandsdagblad.nl/cnt/dmf20220810_68483787 , confirmé par le gouvernement des Pays-Bas, l’affaire suscite de nombreuses inquiétudes.

      La hausse de la consommation d’eau inquiète d’autant plus, qu’elle pourrait encore s’aggraver cette année. En effet, comme la plupart des centres de stockage de données de dernière génération, celui de Microsoft utilise l’air ambiant pour rafraîchir ses serveurs. Cette technique, dite du « air cooling », permet de réaliser de substantielle économie d’énergie, puisqu’elle limite le record à la climatisation. Mais pour fonctionner, il faut que la température extérieure soit inférieure à 25 degrés. Quand la chaleur monte, il faut continuer à rafraîchir les installations, très sensibles aux variations. Pour cela, Microsoft a recours à des systèmes de refroidissement à eau. Et plus il fait chaud, plus de data centers consomment de l’eau. L’année dernière, la température a excédé les 25 degrés dans la région concernée pendant six jours. Été 2022, ce seuil fatidique a déjà été franchi six fois au cours depuis début août selon les données disponibles sur le site weatheronline.

      De quoi continuer à alimenter le débat sur l’empreinte environnemental des data centers. Actuellement, ils consommeraient 4% de l’électricité produite dans le monde selon Wavestone... contribuant ainsi indirectement au réchauffement climatique ! Plus que jamais, la question de l’efficacité énergétique est brûlante. Mais d’autres questions se posent, notamment liées aux usages du numérique, aux habitudes de consommation de chacun.

      #Eau #gaspillage #microsoft #big_data #data_centers #chaleurs #électricité #réchauffement_climatique #Données

    • Troisième jour de grève dans les transports britanniques face à l’inflation Par AFP, édité par Victor de Thier
      https://www.rtbf.be/article/troisieme-jour-de-greve-dans-les-transports-britanniques-face-a-l-inflation-110

      Les transports au Royaume-Uni sont affectés samedi par une nouvelle journée de grève pour les salaires, après un premier débrayage de cheminots jeudi et une grève dans le métro de Londres vendredi, face à une forte inflation.

      En pleines vacances scolaires, environ un train sur cinq seulement a circulé samedi en raison de cette grève à l’appel des syndicats Rail, Maritime and Transport (RMT), Transport Salaried Staffs Association (TSSA) et Unite qui réclament une hausse de salaires adaptée à l’augmentation du coût de la vie.


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      La grève de samedi a perturbé notamment les déplacements des touristes, des fans de football se rendant aux matchs et des festivaliers. Elle devrait aussi affecter la circulation des trains dimanche matin.
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      Dimanche, les dockers du port de Felixstowe (est de l’Angleterre) - le plus gros pour le fret dans le pays - démarrent une grève de huit jours, menaçant de mettre à l’arrêt une grande partie du trafic de marchandises du pays.

      Côté rail, Mick Lynch, secrétaire général du RMT, a déclaré que les grévistes avaient le soutien du public affirmant : ils sont « juste derrière nous ».

      « Je pense que le public britannique en a assez d’être arnaqué par ce gouvernement et par les entreprises britanniques, avec des entreprises comme BP et British Gas qui font des profits énormes alors que les gens ont du mal à gagner leur vie », a-t-il déclaré samedi sur la BBC.
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  • GTA 6 Release Date : Rockstar Cleans Up Image After Employee Backlash - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2022-07-27/gta-6-release-date-rockstar-cleans-up-image-after-employee-backlash

    Since that outcry, Rockstar has attempted to reinvent itself as a more progressive and compassionate workplace, according to interviews with more than 20 people who work there or left recently, all of whom requested anonymity because they weren’t authorized to speak publicly. One employee described it as “a boys’ club transformed into a real company.” A spokesman for Rockstar declined to comment.

    Can a kinder, gentler Rockstar still produce the chart-topping caliber of game the studio has become known for? Some employees aren’t sure. Morale across the company is higher than it’s ever been, according to many staffers. But the development of Grand Theft Auto VI has been slower than impatient fans and even longtime employees have expected.

    Much of that has to do with the pandemic, but the delay is also due to some of the changes that the company implemented in an effort to improve working conditions, such as a restructuring of the design department and a pledge to keep overtime under control. Some workers say they’re still trying to figure out how to make games at this new iteration of Rockstar and wonder even what a Grand Theft Auto game looks like in today’s environment. Besides, several Rockstar employees pointed out that you can’t really satirize today’s America — it’s already a satire of itself.

    Une héroïne, une action située à Miami... les premiers détails sur le jeu vidéo GTA VI fuitent
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/une-heroine-une-action-situee-a-miami-les-premiers-details-sur-le-jeu-video

    GTA VI, c’est pour bientôt ? Les joueurs vont encore devoir prendre leur mal en patience. Une enquête de l’agence de presse Bloomberg publiée ce mercredi permet d’en savoir plus sur la date de sortie du tant attendu sixième opus de la série Grand Theft Auto, l’une des plus populaires de l’industrie du jeu vidéo. Le titre pourrait être mis en vente au cours de l’année fiscale 2024 de l’éditeur Take-Two, soit entre avril 2023 à mars 2024. Il va donc s’écouler plus de dix ans entre la sortie de GTA VI et celle de son prédecesseur GTA V, paru en 2013.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #ressources_humaines #développement #rockstar_games #take_two #george_floyd #aux_gendarmes_et_aux_voleurs #jeu_vidéo_grand_theft_auto_v #jeu_vidéo_grand_theft_auto_vi #grand_theft_auto_iii #activision_blizzard #riot_games #ubisoft_entertainment #heures_supplémentaires #récupération #héroïne #miami #bonnie_and_clyde

  • In-Q-Tel : quand la CIA investit dans des #start-up françaises -
    https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/in-q-tel-quand-la-cia-investit-dans-des-start-up-francaises_2167

    Même trois mois après, les responsables de Prophesee peinent encore à cacher une certaine forme de rancoeur. « On se serait bien passé de cette publicité-là », glisse l’un d’entre eux. En octobre dernier, la start-up parisienne qui a développé des technologies de vision avec des applications militaires (surveillance, détection...) s’est retrouvée au coeur de l’actualité après les révélations autour de l’identité de l’un de ses investisseurs : #In-Q-Tel. Si ce nom un brin compliqué à prononcer ne vous dit rien, son propriétaire vous parlera sûrement puisqu’il s’agit ni plus ni moins de l’agence centrale américaine de renseignement, la fameuse « #CIA ».

    Pendant plusieurs jours, élus et investisseurs sont montés au créneau pour s’inquiéter du possible rachat de la pépite tricolore. « On a parlé que de ça », se souvient un investisseur français. L’affaire a pris une telle ampleur qu’elle est remontée jusqu’à Bercy, qui n’a finalement pas donné suite. Il faut dire que In-Q-Tel n’a qu’une infime part du capital de la société. On parle d’un « ticket » d’à peine 200 000 euros, autant dire une broutille qui ne leur donne aucun pouvoir. « Ils ont juste un représentant au conseil qui est là comme observateur mais n’ont aucune influence sur la stratégie de la boîte », résume un proche de Prophesee qui compte à son capital des géants tels qu’Intel, Renault-Nissan ou le chinois Huawei.

    "Un système très malin"

    Mais alors pourquoi avoir mis des billes dans la pépite tricolore ? C’est justement là toute la subtilité et l’objectif du fonds de la CIA créé en 1999. Car In-Q-Tel, dont les mises peuvent atteindre quelques millions de dollars, n’est pas une structure comme les autres. Son but n’est pas de gagner beaucoup d’argent comme n’importe quel autre fonds d’investissement ni de prendre le contrôle des sociétés dans lesquelles il a investi, mais de repérer et de suivre les projets les plus prometteurs qui pourraient servir aux intérêts américains. Ils agissent comme des investisseurs dormants. « C’est un système très malin », souligne un proche du renseignement français. La NSA, connue pour avoir mis la planète sur écoute, a également son propre fonds... Si jamais une société développe une technologie intéressante pour la CIA ou un groupe comme Microsoft, In-Q-tel, va servir d’intermédiaire. « Ils vont les rapprocher et leur permettre de faire du business ensemble », explique un bon connaisseur. Et c’est l’objectif avec Prophesee.

    En un peu plus de vingt ans, le fonds dirigé par Chris Darby a réalisé 500 investissements dans le monde avec une enveloppe annuelle d’un peu plus de 100 millions de dollars. Jusqu’en 2010, ses prises de participation se sont quasi exclusivement limitées au territoire américain. Puis le fonds, composé essentiellement d’anciens membres du renseignement, a élargi son terrain de jeu avec l’Europe en ligne de mire.

    Si In-Q-tel ne communique pas à chaque fois sur ses prises de participation, on estime le nombre de ses investissements à plus de vingt sur le Vieux continent. Parmi ceux-ci, on retrouve le finlandais Iceye (microsatellites), l’espagnol CounterCraft (cybersécurité), ou encore l’allemand Toposens (capteurs de son 3D). « Ils sont présents un peu partout », explique un expert du renseignement français. En France, Prophesee est à l’heure actuelle, officiellement, la seule société tricolore dans laquelle la CIA a investi.

    Si In-Q-Tel n’est pas vu comme une menace, les Européens surveillent tout de même de près son activité. « Il ne faut pas être naïf. Quand on parle de sujets sensibles, il n’y a plus d’alliés », souligne un bon connaisseur du renseignement économique. D’autant plus que les technologies sont devenues l’un des principaux sujets de souveraineté. Et qu’à ce niveau-là, l’Europe part de loin. Conscient du problème, le gouvernement français a ainsi musclé ses dispositifs, notamment pour surveiller les entreprises dites stratégiques.

    En plus de sa vingtaine de délégués en région auprès des préfets pour surveiller les jeunes pousses, Bercy a mis en place en 2020 un dispositif d’alerte, en cas d’achats étrangers de start-up. Ces alertes remontent des ministères et du renseignement. En 2021, il y en a eu près de 500. « Dans ces cas-là, on regarde si la start-up est sur la liste des entreprises sensibles, on regarde qui est l’investisseur et combien il veut prendre. S’il n’y a pas de risque alors on ne s’y oppose pas », souligne-t-on du côté de Bercy.

    Des dispositifs encore très défensifs

    Les dispositifs financiers ont, eux aussi, été renforcés. Côté public, il y a notamment le fonds « French Tech Souveraineté » de Bpifrance. Lancé en 2020 et doté de 150 millions d’euros, ce véhicule est censé permettre d’investir dans toutes les start-up technologiques qui auraient besoin de fonds. Le privé est également de la partie avec des structures comme Tikehau, Ardian ou Eurazeo... « On a un vrai rôle à jouer », explique Marwan Lahoud, qui dirige le dernier fonds aéronautique pour Tikehau Ace Capital (750 millions d’euros), filiale de la société d’investissement Tikehau.

    Reste que ces dispositifs ne suffiront pas à inverser le rapport de force. « On a amélioré les dispositifs, mais on reste des nains », tacle le responsable d’un fonds français. L’Europe part en même temps de beaucoup plus loin que les Etats-Unis. « La France construit son dispositif petit à petit. Il y a maintenant des ponts entre le privé et le public. Avant, ces deux mondes ne se parlaient pas », explique un avocat, qui souligne la nécessité de passer à une phase plus offensive. Quels que soient les domaines, la meilleure défense reste encore l’attaque.

    • Dans les coulisses du Campus Cyber, la nouvelle vitrine de la cybersécurité française
      https://www.latribune.fr/technos-medias/innovation-et-start-up/on-a-visite-le-campus-cyber-la-nouvelle-vitrine-de-la-cybersecurite-franca

      Les locaux du Campus Cyber, à deux pas de l’esplanade de la Défense, grouillent d’ouvriers. Plus de 120 hommes s’activent à déballer des cartons, monter des meubles ou encore installer des routeurs internet. L’enjeu est grand : le bâtiment neuf de 26.000 mètres sur 13 étages doit devenir le lieu totem de la cybersécurité française. Autrement dit, il se positionne comme l’équivalent dans la cybersécurité à ce qu’est Station F pour le numérique, c’est-à-dire un mini-écosystème en pleine ville.

      Michel Van Den Berghe, ancien dirigeant d’Orange Cyberdéfense devenu président du Campus Cyber, essaie de ne pas s’attarder sur les travaux qui restent à faire alors que la date de l’inauguration approche. « Ils installent les enceintes, c’est bon signe », se rassure-t-il après un passage dans le futur auditorium. Le campus doit accueillir ses premiers locataires le 16 février. L’inauguration, elle, est prévue quelques jours avant, en présence -sauf imprévu- du président de la République Emmanuel Macron lui-même. Alors forcément, l’absence de moquette à certains étages et les bruits constants de perceuses ont de quoi angoisser le dirigeant. « Le but de ce lieu, ce n’est pas de faire un projet immobilier, c’est de préparer des offres communes, et de monter le niveau de la cybersécurité de la Nation », rappelle-t-il.

      Toute la cybersécurité française au rendez-vous

      Impulsé par l’exécutif à l’été 2019, le projet de Campus Cyber a émergé très rapidement. Commandité par le premier ministre, Michel Van Den Berghe a remis son rapport intitulé « Fédérer et faire rayonner l’écosystème de la cybersécurité » le 7 janvier 2020. Celui-ci conclut sur la volonté des entreprises du secteur, des grands groupes aux startups, de mieux collaborer les unes avec les autres. Ces résultats ont déclenché la mise en œuvre effective du projet, toujours confiée au même homme. En avril 2021, il quittait donc ses fonctions à la tête d’Orange Cyberdéfense, et 3 mois plus tard, le 21 juillet 2021, il signait le bail du bâtiment, peu après avoir créé la société Campus Cyber, dont l’Etat est actionnaire à hauteur de 44%. Les travaux d’aménagement des bureaux ont débuté au pas de course en septembre, pour donc accueillir les locataires à la fin du mois de février 2022.

      Pensé comme un « porte-avions » de la cybersécurité française, la Campus Cyber accueille toutes les strates de l’écosystème : des grands groupes (Thales, Atos...), la recherche publique (l’Inria, le CEA...), l’Etat (l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information -Anssi-, le ministère de l’Intérieur et celui des Armées), des PME, des startups, des écoles, des associations ou encore des fonds d’investissement. « Nous sommes le seul campus au monde où sont réunis des offreurs, l’Etat, les écoles, mais aussi des clients finaux : 40 sociétés du CAC40 ont placé des experts chez nous », promeut Michel Van Den Berghe. Autrement dit, des grands groupes dont l’activité principale n’est pas la cybersécurité se sont aussi greffés au projet. A titre d’exemple, un groupe interbancaire -avec des experts issus des 8 plus grosses banques françaises- va se réunir sur le campus pour créer des solutions communes.

      En tout, plus de 90 organisations vont s’installer dans le bâtiment, qui regroupera ainsi plus de 1.800 experts de la cybersécurité. « Il ne nous reste que 25 postes sur toutes les places que nous avons commercialisées », se réjouit Michel Van Den Berghe. Pour autant, le Campus ne serait pas encore victime de son succès. « Nous nous sommes arrangés pour que personne ne reste à la porte », rassure-t-il. Pour permettre cette mixité d’organisation, il a fallu s’adapter : le campus se loue à 750 euros du mètre carré, une somme élevée pour une petite entreprise, mais modérée pour le quartier de la Défense, dixit Michel Van Den Berghe. « Les grandes sociétés ont joué le jeu : elles paient leur loyer un petit peu plus cher pour que les petites sociétés paient un peu moins cher. Je trouve que c’est un bel exemple de solidarité. »

      Une vitrine pour la cybersécurité française

      L’architecture de l’immeuble se prête bien à cette cohabitation. Comme une fleur, chaque étage se divise en trois « pétales », accessibles depuis une même colonne centrale -la tige en quelque sorte- où se trouvent les ascenseurs. Les locataires s’installent soit sur un étage entier -c’est le cas d’Orange Cyberdéfense et de Capgemini-, soit sur une ou deux pétales -comme les ministères de l’Intérieur et des Armées-, soit sur des postes dans les espaces collaboratifs opérés par Campus Cyber. Dans le détail, 35% des espaces sont occupés par des grands groupes, 20% par l’Etat ou encore 10% par les écoles (Epita, Simplon...). Bien que le bâtiment serve à mettre en avant les expertises françaises et à créer des synergies entre elles, un des 13 étages est dédié à l’accueil d’entreprises étrangères. On y retrouve les incontournables Google, Amazon Web Services, Microsoft, IBM ou encore Cisco.

      « Quand j’ai signé le bail de l’immeuble, beaucoup de gens m’ont regardé en se disant que c’était un petit peu dingue. Il faut dire que lorsqu’on avait remis l’étude d’opportunité, on parlait de 10.000 à 12.000 mètres carrés », se souvient Michel Van Den Berghe. Finalement, l’immeuble de 26.000 mètres carrés est deux fois plus grand que prévu, ce qui permet à la société de proposer des espaces peu densifiés. Par exemple, le bureau de 8 postes de travail mesure environ 90 mètres carrés, et certains lieux sont dédiés aux échanges. Cette faible densité donne aussi un effet de prestige aux bureaux, essentiel aux yeux de Michel Van Den Berghe. « Notre état d’esprit, c’est de faire de ce lieu un lieu totem, un lieu extrêmement visitable, un lieu le plus ouvert possible pour susciter des vocations ».

      Le précédent Station F

      En France, dès qu’on parle de lieu totem, #StationF apparaît comme un exemple évident. « La #French-Tech est pour moi une réussite car c’est un mouvement qui fédère l’écosystème et crée des dynamiques. Station F c’est 30.000 mètres carrés pour tout le numérique, nous c’est 26.000 mètres carrés rien que pour la cyber, on peut être fiers de ça », fait remarquer le dirigeant du Campus Cyber. Pour endosser sa fonction de vitrine de l’écosystème, le nouveau bâtiment va pouvoir s’appuyer sur une salle de conférence, un auditorium, ou encore un « showroom » équipé en technologies -avec notamment une salle à 360° et des dispositifs de réalité virtuelle- où des démonstrateurs seront installés.

      Le campus intègre aussi une brasserie, un réfectoire sur le modèle des « food courts » américains, un espace de massage ou encore un espace de coiffure. L’objectif : rendre le lieu le plus attractif possible pour les employés des sociétés locataires.

      Délocalisations dans les autres régions

      En s’installant à cinq minutes de l’esplanade de La Défense, le Campus Cyber n’échappe pas aux critiques sur le parisiano-centrisme de la profession. « Le prérequis était que l’immeuble soit extrêmement bien desservi et accessible car sinon, les locataires n’auraient pas réussi à convaincre leurs experts cyber de venir », se défend Michel Van Berghe. D’après lui, le campus israélien Cyber Spark -modèle du genre- installé à Beer-Sheva, peine à faire venir les ingénieurs à cause de l’heure de route qui le sépare de Tel-Aviv.

      Pour autant, un groupe de travail est déjà en discussion avec dix des treize régions françaises pour créer des antennes régionales partout dans l’Hexagone. L’objectif : amener les expertises au plus près du terrain. Campus Cyber prend en charge le processus de labellisation et participera à l’animation du réseau, mais ce n’est pas lui qui gèrera ces autres campus. « C’est la région qui décide de l’implantation du campus et de son statut (GIP, société, association...) », précise Michel Van Den Berghe.

      Pour ce qui est du campus parisien, une extension est déjà prévue dans les Yvelines à l’horizon 2024, à un emplacement à déterminer sur le futur tronçon du RER E (baptisé Eole), qui passera à La Défense. L’ancien patron d’Orange Cyberdéfense projette « un campus à l’américaine, très vert, avec des terrains de sport et une piscine ». Cet espace, plus grand, permettra d’adresser les questions de cybersécurité industrielle -avec des démonstrateurs imposants- ou encore celle des drones -qui ne peuvent pas voler en ville. Mais chaque chose en son temps. « Mon rôle c’est déjà de faire que le projet initial tienne dans la durée », conclut Michel Van Den Berghe.

    • #CampusCyber, capitale de la cybersécurité
      https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/campus-cyber-capitale-de-la-cybersecurite-20220213

      Inauguré ce 15 février, ce lieu innovant doit permettre de renforcer le niveau de sécurité numérique en France.

      « Le porte-avions de la cybersécurité française », « le vaisseau amiral de l’écosystème cyber », « la caserne des casques bleus du réseau » … Les métaphores militaires ne manquent pas pour qualifier le Campus Cyber qui ouvrira ses portes mardi 15 février. Cette tour de 13 étages, située dans le quartier de la Défense, regroupera en un même lieu tout ce que compte l’écosystème cyber en France : les grands industriels privés, des services de l’État comme l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi), des PME et des start-up spécialisées, des sociétés utilisatrices, des centres de recherche, des écoles de formation… Après plus de deux ans de gestation, le projet devient opérationnel. L’objectif : faire travailler ensemble acteurs privés et publics, pour développer l’écosystème français, être à la pointe technologique dans ce domaine hautement stratégique et former les compétences nécessaires. L’enjeu ? Élever in fine le niveau de sécurité informatique de la France.

  • Le directeur exécutif du groupe israélien de cybersécurité NSO quitte ses fonctions
    25 janvier 2022 Par Le Figaro avec AFP
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/le-directeur-executif-du-groupe-israelien-de-cybersecurite-nso-quitte-ses-f

    Les départs se multiplient depuis que l’entreprise technologique se trouve au cœur d’un scandale d’espionnage depuis plusieurs mois.

    Le directeur exécutif de NSO, fabricant du logiciel d’espionnage Pegasus, a quitté mardi ses fonctions tout en assurant que ce départ n’était pas lié aux controverses récentes concernant cette société israélienne de cybersécurité.

    NSO s’est retrouvé exposé en 2021 après des enquêtes publiées par un consortium de 17 médias internationaux affirmant que Pegasus avait permis d’espionner les téléphones de journalistes, d’hommes politiques parmi lesquels des chefs d’États, des militants et des chefs d’entreprise dans différents pays.

    Et la semaine dernière, la justice israélienne a annoncé l’ouverture d’une enquête sur l’utilisation du logiciel espion par la police à la suite d’affirmations en ce sens dans la presse locale.
    Départ du PDG en novembre dernier

    Mardi, NSO a confirmé à l’AFP le départ de son directeur exécutif, Asher Levy, en poste depuis 2020. « Mais il n’y a pas de lien entre mon départ et des publications récentes liées à NSO », a affirmé M. Levy dans une déclaration transmise à l’AFP par la société de cybersécurité basée en banlieue de la métropole économique Tel-Aviv.

    Il précise avoir été nommé à l’époque à son poste par Novlepina Capital, alors un des principaux actionnaires de NSO. « Après un changement de propriété et le transfert (des parts) au fonds BRG (Berkeley Research Group, ndlr) j’avais annoncé aux nouveaux propriétaires que je considérais qu’il était mieux pour eux de nommer à la direction une nouvelle personne pour les représenter », a ajouté M. Levy.

    En novembre dernier, Isaac Benbenisti, vice-président promu PDG deux semaines auparavant, avait claqué la porte en raison des difficultés du groupe aux États-Unis, poussant ainsi son fondateur Shalev Hulio, à reprendre son poste à la tête de NSO.

    #NSO #Pegasus

  • Harcèlement : la pression monte autour d’Activision-Blizzard, le géant américain du jeu vidéo
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/harcelement-la-pression-monte-autour-d-activision-blizzard-le-geant-america

    Une enquête du Wall Street Journal affirme que le dirigeant Bobby Kotick était au courant d’affaires de viols et d’agressions sexuelles au sein des studios et n’en a pas informé son conseil d’administration.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #activision_blizzard #bobby_kotick #viol #harcèlement_sexuel #culture_toxique #blizzard #justice #procès #suicide #alcool #securities_and_exchange_commission #sec #bourse #j._allen_brack #mike_ybarra #jen_oneal #ressources_humaines

  • Réseaux télécoms : les actes de vandalisme se multiplient La Tribune - Pierre Manière
    https://www.latribune.fr/technos-medias/telecoms/reseaux-telecoms-les-actes-de-vandalisme-se-multiplient-892271.html

    Depuis environ un an, les dégradations et destructions visant des antennes de téléphonie mobile ou les réseaux Internet fixe grimpent en flèche, privant à chaque fois des milliers de foyers et d’entreprises de moyens de communiquer. Les opérateurs et le gouvernement se mobilisent pour enrayer ce fléau. Décryptage.

    C’est presque devenu monnaie courante. Pas une semaine ne se passe sans que les réseaux télécoms, mobiles et Internet fixe, essuient des sabotages, incendies volontaires, dégradations ou vols. Ce week-end, des habitants du Tarn en ont fait les frais. Dans la journée de samedi, une antenne-relais a été incendiée près d’Albi. Résultat : pas moins de 52.000 abonnés de Bouygues Telecom et de SFR se sont retrouvés, en un éclair, dépourvus de téléphonie mobile. S’il y a du mieux, « la situation n’est toujours pas totalement rétablie », explique à La Tribune ce lundi Arthur Dreyfuss, le secrétaire général de SFR et président de la Fédération française des télécoms (FFT), le lobby du secteur.


    Depuis la fin du mois d’août, les actes de vandalisme visant des antennes de téléphonie et infrastructures Internet fixe vont crescendo en Ile-de-France. « Plusieurs dizaines de sites ont déjà subi des dégradations », relève Arthur Dreyfuss, le président de la Fédération française des télécoms (FFT). (Crédits : Reuters)

    Le dirigeant précise que c’est un pylône de TDF qui a subi d’importants dégâts. « Or celui-ci irrigue des pylônes d’autres opérateurs, détaille-t-il. Au total, une soixantaine de sites mobiles ont été impactés. » Cette attaque n’a rien d’un cas isolé. Aux côtés de SFR et de Bouygues Telecom, Orange et Free voient régulièrement leurs installations vandalisées dans tout l’Hexagone. Tous sont confrontés à des dégradations d’antennes. « Chez Orange, en moyenne, environ une antenne par semaine est la cible de vandalisme, précise Cyril Luneau, le directeur des relations avec les collectivités locales de l’opérateur. Nous déplorons également des actes de malveillance sur le réseau fixe, dont des vols de câbles en cuivre [essentiels pour apporter la téléphonie et l’ADSL, Ndlr], à hauteur de dix actes par mois. » Il arrive aussi, chez tous les opérateurs, que les points de mutualisation, des installations critiques pour apporter l’Internet fixe à un grand nombre de foyers, soient attaqués.

    Des sabotages en forte hausse en Ile-de-France
    « C’est un fléau », alarme Arthur Dreyfuss. « Les réseaux télécoms sont très sensibles parce qu’ils permettent la connectivité des Français, des entreprises, mais aussi de l’ensemble des services d’urgence, rappelle-t-il. Cela fait dix à douze mois que nous constatons une multiplication des actes de vandalisme. » Le dirigeant précise que les territoires les plus touchés sont aussi, bien souvent, « ceux qui souffrent d’une couverture télécoms compliquée, ce qui est très dommageable pour les habitants et les entreprises ». Lesquels sont parfois extrêmement nombreux à en subir les conséquences. Arthur Dreyfuss se rappelle qu’en début d’année, l’incendie d’une antenne-relais près de Limoges a privé plus d’un million de personnes de télévision pendant plusieurs jours.

    Toutes les régions sont touchées. Mais depuis la fin du mois d’août, les actes de vandalisme vont crescendo en Ile-de-France. « Plusieurs dizaines de sites ont déjà subi des dégradations », relève le chef de file de la FFT. Qui sont, alors, les responsables de ces attaques ? Jusqu’à présent, les enquêteurs semblaient privilégier les pistes de l’ultra-gauche, des anarchistes ou des anti-5G. L’arrivée de la nouvelle génération de téléphonie mobile a notamment suscité une forte opposition et des débats électriques. A gauche et chez les écologistes, beaucoup craignent encore que cette technologie nuise à la planète, et certains redoutent l’impact des ondes sur la santé. Des thèses complotistes ont également circulé, comme celle d’une propagation du coronavirus par la 5G. En mars dernier, le tribunal correctionnel de Valence a ainsi condamné un résident de Pierrelatte (Drôme), opposé à la nouvelle génération de téléphonie mobile, à trois ans de prison - dont un an ferme -, a rapporté France Bleu https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/incendies-a-pierrelatte-un-anti-5g-condamne-a-trois-ans-de-prison-dont-un . En janvier et février, il avait incendié une antenne-relais et une chambre de télécommunications d’Orange. Cela dit, il apparaît bien difficile, aujourd’hui, de dresser des profils types.

    « La question d’un renforcement du dispositif pénal se pose »
    Face à ce vandalisme, les opérateurs et le gouvernement se mobilisent. Ce dimanche, Cédric O, le secrétaire d’Etat en charge du Numérique, a « [condamné] fermement » l’incendie du pylône de TDF dans le Tarn sur Twitter. « Avec Gérald Darmanin [le ministre de l’Intérieur, Ndlr], nous agissons aux côtés de l’ensemble des opérateurs pour mettre fin à ces actes inacceptables, dans le cadre de la convention nationale de lutte contre la malveillance visant les réseaux télécoms, qui met en danger des vies humaines », a-t-il insisté. Cette convention « a vocation à être déclinée localement par les préfectures », précise Arthur Dreyfuss. Elle vise à favoriser le partage d’informations entre les opérateurs, les gestionnaires de sites télécoms, la police, la gendarmerie et la justice. L’objectif est que tous puissent réagir au plus vite lorsque des installations sont vandalisées. Mais aussi d’agir de manière préventive. « Dans ce cadre, nous pouvons transmettre à la police et à la gendarmerie, à l’échelle départementale, des listes de sites sensibles, afin qu’une surveillance puisse, dans certains cas, être mise en place », explique le président de la FFT.

    A ses yeux, cette convention va « dans le bon sens ». Mais « la question d’un renforcement du dispositif pénal et des sanctions se pose lorsque les auteurs de ces faits extrêmement graves sont retrouvés », poursuit-il. Même son de cloche pour Cyril Luneau : « Nous militons notamment pour une politique pénale adaptée en cas de récidive », affirme-t-il. Le message a été bien reçu par le gouvernement. La balle est désormais dans son camp.

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    • Deux moines arrêtés pour avoir ciblé des antennes-relais 5G Le Figaro
      https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/deux-moines-arretes-pour-avoir-cible-des-antennes-relais-5g-20210920

      Les deux hommes, âgés de 39 et 40 ans, disent agir pour « prémunir la population des effets nuisibles » de la 5G.

      Deux moines d’un couvent catholique intégriste du Rhône ont été mis en examen, la semaine dernière, pour s’en être pris à des antennes-relais par hostilité au déploiement de la 5G, a-t-on appris lundi de source judiciaire.

      Selon le parquet de Villefranche-sur-Saône, confirmant des informations du quotidien régional Le Progrès, les deux hommes, âgés de 39 et 40 ans, ont reconnu avoir mis le feu à un premier pylône téléphonique, dans la nuit du 14 au 15 septembre à Saint-Forgeux, au nord-ouest de Lyon. Les dégâts avaient été limités.


      ¨Deux antennes ont été visées par les deux moines. FABRICE COFFRINI / AFP _
      La nuit suivante, les deux moines, membres d’un couvent situé dans le Beaujolais, ont été interpellés en flagrant délit, par les gendarmes, tandis qu’ils tentaient d’incendier une antenne dans une autre commune, à Ancy.

      Mise en examen pour « association de malfaiteurs »
      Placés en garde à vue puis présentés à un juge d’instruction, ils ont reconnu les faits, expliquant avoir agi « pour prémunir la population des effets nuisibles » de la 5G, a précisé à l’AFP la procureure de Villefranche, Laëtitia Francart.

      Mis en examen pour « destruction et tentative de destruction par moyen incendiaire » et « association de malfaiteurs », les deux moines ont été placés sous contrôle judiciaire. Ils font partie d’une communauté capucine basée au couvent Saint-François, à Villié-Morgon, rattaché au mouvement intégriste de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X, selon son site internet.

      Selon Le Progrès, une porte-parole du couvent a évoqué « un acte isolé et une erreur de jeunesse ». « Les ondes sont très nocives à la santé et ils souhaitaient agir pour le bien-être de l’humanité », a-t-elle déclaré au journal.

  • La Chine va limiter les jeux en ligne à 3 heures par semaine pour les mineurs
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/la-chine-va-limiter-les-jeux-en-ligne-a-3-heures-par-semaine-pour-les-mineu

    Le gouvernement chinois sévit contre ce qu’il qualifie d’ « opium mental », et alerte sur ses risques pour la santé et l’éducation.

    La Chine a annoncé lundi qu’elle allait interdire aux moins de 18 ans de jouer plus de trois heures par semaine aux jeux vidéo en ligne, avec l’objectif affiché de lutter contre l’addiction des jeunes.


    Certains enfants chinois peuvent passer des journées entières scotchés à leur écran. Ce phénomène est décrié depuis longtemps en Chine pour ses conséquences négatives : baisse de la vision, impact sur les résultats scolaires, manque d’activité physique ou risque d’addiction.

    La réglementation interdisait déjà aux mineurs de jouer en ligne entre 22h et 8h. Le régulateur de l’audiovisuel, de l’édition et de la radiodiffusion a annoncé lundi que les moins de 18 ans ne pourront plus jouer en ligne qu’une heure par jour, et uniquement les vendredi, samedi et dimanche - soit trois heures maximum par semaine.

    Seulement entre 20h et 21h
    Les mineurs ne pourront par ailleurs jouer « qu’entre 20h et 21h », précise le texte. Les autres jours de la semaine, les jeux vidéo en ligne seront en revanche inaccessibles aux moins de 18 ans. Pendant les vacances scolaires, ils pourront jouer une heure par jour.

    Pour empêcher les mineurs de contourner l’interdiction, ces derniers devront se connecter avec une pièce d’identité. Le calendrier d’application de la mesure n’a pas été précisé. Elle ne s’applique a priori qu’aux jeux vidéo en ligne, soit la grande majorité d’entre eux, et pas à ceux ne nécessitant pas d’accès à internet.

    Début août, un influent journal gouvernemental avait jugé que les jeux vidéo étaient devenus « un opium mental ». L’article épinglait notamment Tencent, le poids lourd du secteur, et son populaire jeu en ligne multijoueurs « Honor of Kings », qui compte plus de 100 millions d’utilisateurs actifs quotidiens.

    Marché en dizaines de milliards de dollars
    Sous pression, le groupe, qui imposait déjà des limitations de temps de jeu et la reconnaissance faciale pour empêcher les moins de 18 ans de jouer la nuit, a depuis encore durci les règles. Tencent limite désormais ses jeux à une heure par jour pour les mineurs.

    Ces mesures interviennent au moment où les autorités se montrent particulièrement intransigeantes contre les pratiques des géants du numérique. Plusieurs mastodontes du secteur ont ainsi été épinglés ces derniers mois pour des pratiques jusque-là tolérées et largement répandues, notamment en matière de données personnelles et de droits des utilisateurs.
    Les jeux vidéo représentent en Chine une importante manne financière : ils ont généré 17 milliards d’euros de chiffre d’affaires rien qu’au premier semestre 2021.

    #Chine #control_social #Internet #Web #jeux_vidéo #jeux_vidéos #jeux_video #jeu #jeu_vidéo #jeux #santé #actualités_informatiques #gamification #cultures_numériques #surveillance #social #contrôle #enfants #adolescents #Tencent #fric #argent #bénéfices

  • #Rire ! : La brosse à dents miracle est arrivée
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/la-brosse-a-dents-miracle-est-arrivee-20210822

    Grâce à une technologie révolutionnaire, il est possible de réduire le temps accordé à ce geste sanitaire indispensable à moins de 10 secondes. Nous avons testé.
    Les experts sont unanimes !
    Le temps consacré au brossage des dents devrait être de 2 minutes minimum pour les adultes et de trois minutes pour les enfants, qui se révèlent moins minutieux que leurs aînés. Or, peu de gens répondent à cette exigence puisque la durée moyenne de brossage des Français s’établit à seulement 43 secondes…

    Afin d’améliorer leur santé bucco-dentaire, la start-up française Y-Brush propose une brosse à dents révolutionnaire : la Y-Brush (95 €, rueducommerce.fr).

    Fonctionnant de la même manière qu’un modèle électrique classique, elle adopte une forme large en Y afin d’englober en une fois l’ensemble de la mâchoire du haut ou du bas, et d’astiquer les dents de façon précise et efficace en un temps de record. Au lieu des 2 minutes réglementaires, elle ne requiert que 10 secondes, décomposées en deux interventions de 5 secondes par mâchoire.

    #start-up #Y-Brush #Santé #MDR

  • Un évêque américain poussé à la démission après que ses données de localisation ont été exploitées contre lui Par Emma Confrere
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/un-eveque-americain-pousse-a-la-demission-apres-que-ses-donnees-de-localisa

    Un média catholique s’est retrouvé en possession de données personnelles recueillies via l’application de rencontres gay Grindr.

    Des données personnelles ont entraîné la démission d’un haut responsable de l’Église catholique américaine. Si cette affirmation paraît saugrenue, c’est pourtant ce qui est arrivé à Jeffrey Burrill, secrétaire général de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis (USCCB). À la suite de la divulgation de ses données personnelles, il s’avérerait être un utilisateur fréquent de l’application de rencontres gay, Grindr. Or, en tant qu’évêque, il doit respecter le célibat sacerdotal, c’est-à-dire ne pas se marier ni avoir d’activité sexuelle.


    L’évêque américain, Jeffrey Burill, aurait utilisé l’application de rencontres gay Grindr, en dépit du célibat sacerdotal imposé par l’Église. IdeaLabProduction / stock.adobe.com

    Un média catholique à l’origine de l’affaire
    Sa démission intervient après des allégations de « comportement inapproprié » portées à l’USCCB par une newsletter catholique, intitulée The Pillar . Le média indique que Jeffrey Burrill aurait visité des bars gays dans plusieurs villes entre 2018 et 2020, tout en utilisant l’application Grindr.

    L’article explique comment The Pillar est arrivé à de telles conclusions. Le média a eu accès aux données de géolocalisation que collecte Grindr sur ses utilisateurs via leurs smartphones, et qui sont ensuite revendues à des data brokers, ou courtiers en données. On ignore comment The Pillar a obtenu ces informations : en les achetant auprès d’un data broker, ou bien en les obtenant de la part d’un tiers ?

    Aux États-Unis, il n’est pas illégal d’acheter de tels fichiers. Aucune loi fédérale de protection des données personnelles, sur le modèle du RGPD européen, n’existe dans ce pays. Cette affaire soulève de brûlantes questions sur le respect de la vie privée et le rôle de mouchard que peut jouer un simple téléphone connecté à Internet.

    Revente des données personnelles
    Les données personnelles revendues aux data brokers sont anonymisées, puis compilées pour créer des profils marketing exploités par les annonceurs afin de cibler leurs campagnes publicitaires.

    Grindr affirme avoir partagé une variété de données personnelles avec des partenaires publicitaires dans le passé, comme des identifiants d’appareil, des données de localisation, des informations de connexion ou encore l’âge et le sexe de l’utilisateur. Mais la société affirme qu’ils ont arrêté de fournir des informations sur l’emplacement, l’âge et le sexe des usagers dès avril 2020, suite à un changement de leurs conditions d’utilisation.

    On ignore comment The Pillar a réussi à faire le lien entre les données anonymisées de Grindr et l’évêque Jeffrey Burrill. Des zones d’ombre persistent donc dans cette affaire. Pour le révérend James Martins, prêtre jésuite et défenseur de l’inclusion des LGBT+ dans l’Église catholique, les prêtres devraient « évidemment tenir leurs promesses de célibat », mais les journalistes catholiques, eux, « ne devraient pas utiliser des moyens immoraux pour les espionner », affirme-t-il auprès de l’agence AP.

  • Cyberattaques : les États-Unis et leurs alliés condamneront ensemble les activités « malveillantes » de la Chine
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/cyberattaques-les-etats-unis-et-leurs-allies-condamneront-ensemble-les-acti

    L’UE, le Royaume-Uni, l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande et l’Otan s’y associeront pour accuser la Chine de « faire appel à des pirates informatiques criminels », selon un haut responsable américain.

    J’ai cru un instant qu’il s’agissait d’un article sur Pegasus et NSO. Mais nan. C’était encore un truc sur le grand méchant loup.