• États-Unis : dans un McDonald’s, deux enfants âgés de 10 ans travaillaient sans être payés Julien Henninot - Le figaro

    Le département américain du Travail a découvert, par ailleurs, que plus de 305 jeunes ont été employés dans des restaurants de franchisés dans plusieurs États.

    C’est une découverte choquante, faite par l’inspection du travail américaine. Dans un communiqué publié par le US Department of labor cette semaine, l’administration explique avoir découvert « deux travailleurs de 10 ans dans un restaurant McDonald’s de Louisville » , dans le Kentucky, à la suite d’une enquête chez trois franchisés de l’État.

    Les deux enfants étaient employés, sans être payés, « parfois jusqu’à 2h du matin », à de multiples postes, dont la préparation et la distribution des commandes ou le nettoyage du restaurant, précise aussi le document. En outre, « l’un des deux enfants était autorisé à faire fonctionner une friteuse, une tâche interdite aux travailleurs de moins de 16 ans ».


    La présence de ces deux mineurs n’était pas la seule violation relevée par l’administration durant cette enquête chez les franchisés gérant 62 restaurants McDonald’s dans plusieurs États. 24 mineurs de moins de 16 ans ont travaillé « plus que les heures légalement autorisées », chez l’un des franchisés disposant de dix restaurants McDonald’s, et, chez un autre, 242 mineurs de 14 à 16 ans ont pu travailler « plus que les heures autorisées », par exemple. De même, chez le troisième, des enfants ont pu travailler « pendant les heures d’école », une violation de la régulation.

    212.754 dollars d’amende
    « Ces rapports sont inacceptables, profondément troublants et vont à l’encontre des attentes élevées que nous avons pour l’ensemble de la marque McDonald’s », a réagi la patronne des ressources humaines et vice-présidente chez McDonald’s, Tiffanie Boyd, sur CNN. De son côté, l’un des franchisés a indiqué au média américain que les deux travailleurs de 10 ans étaient les enfants d’un employé qui venaient voir leur parent sur son lieu de travail, sans avoir obtenu le feu vert de la direction.

    Au total, les trois franchisés ont permis à 305 mineurs de travailler plus que le nombre d’heures autorisés, ou d’effectuer des tâches interdites aux jeunes travailleurs, résume le communiqué. Les employeurs ont par ailleurs écopé d’amendes de 212.754 dollars pour violation des lois sur le travail des enfants.

    Aux États-Unis, les adolescents peuvent travailler dès 14 ans, bien que leur charge soit encadrée par la loi. Les autorités fédérales tentent de serrer la vis face aux abus : « Nous constatons une augmentation des violations fédérales du travail des enfants, notamment en permettant aux mineurs d’utiliser des équipements ou de gérer des types de travail qui les mettent en danger ou les emploient pendant plus d’heures ou plus tard dans la journée que ne le permet la loi », s’indigne, dans le communiqué, Karen Garnett-Civils, en charge de ces problématiques à Louisville.

    #enfants #enfance #travail #exploitation #capitalisme #néolibéralisme #pauvreté #économie #macdo #mcdonald's #malbouffe #travail_des_enfants #exploitation_humaine #enfance_volée

    Source : https://www.lefigaro.fr/conso/etats-unis-dans-un-mcdonald-s-deux-enfants-ages-de-10-ans-travaillaient-san

  • Pricing : Casino ose… le tarif (majoré) du dimanche ! Olivier Dauvers - Le web grande conso
    https://www.olivierdauvers.fr/2023/02/08/pricing-casino-ose-le-tarif-majore-du-dimanche

    Il y a bientôt quatre ans, Jean-Charles Naouri évoquait pour la première fois son intérêt pour le “pricing dynamique”. En clair ne pas proposer le même prix tous les jours ou à tous les moments de la journée. C’est désormais le cas avec un pricing spécifique pour le dimanche dans les hypers de Casino. Ce qu’a révélé VIGIE GRANDE CONSO il y a quelques jours…


    En 2019, en marge de la présentation des résultats financiers de l’exercice 2018, Jean-Charles Naouri, patron et propriétaire de Casino, évoquait le “pricing dynamique” ou “yield management” des prix (revoir ici). En clair – et selon ses termes – que “les prix puissent varier en fonction des jours et des heures”. Après une expérimentation qui aurait eu lieu chez Franprix (jamais démontrée, d’où le conditionnel), c’est désormais à grande échelle dans le réseau Géant / Casino Hyper Frais. Et, cette fois-ci, c’est avéré (si mon p’tit doigt est bien informé, c’est pas d’hier…)

    Pour en avoir le cœur net (car j’avoue ne pas y avoir cru à l’origine comme quelques “patrons” que je sondais sur le principe même du pricing dynamique), pour en avoir le cœur net, donc, j’ai relevé les prix de centaines de produits le samedi après-midi et le dimanche matin. Pour l’exercice, seuls certains produits étaient de facto éligibles : avec une étiquette électronique (ce qui est le cas de la grande majorité du PGC / Frais LS) et hors promotion prospectus (le prix étant alors annoncé, donc figé).

    Sur ces produits “éligibles”, environ la moitié étaient majorés le dimanche.  Avec, dans les 5 hypers visités, un niveau moyen d’augmentation très homogène, environ 15 % . Particularité : tant les marques nationales que les MDD sont concernées par la majoration. Avec des cas réellement stupéfiants au point de s’interroger sur le réel pilotage de l’exercice…  Impossible en effet de ne pas être surpris devant les 36 % d’inflation dominicale de Danette pistache (voir infographie), sur un prix déjà en limite haute du marché (2,10 € vs PVC moyen France : 1,75 €) même en retranchant les 10 % de remise via l’abonnement Casino Max. 

    Autre surprise : l’absence de cohérence évidente dans le choix des produits majorés. Difficile d’expliquer par exemple que la bouteille de Ricard de 50 cl soit majorée, celle de 70 cl non. Autres cas : sur les pâtes MDD. Certaines références sont inflatées, d’autres non. Et pas nécessairement les mêmes d’un hyper à l’autre.

    Interrogé, Casino confirme l’adoption de ce pricing dynamique. Avec, en l’espèce, deux justifications. D’abord, le service rendu, en l’occurrence l’ouverture le dimanche, notamment après-midi où l’enseigne est, de fait, la seule à exploiter autant de magasins en mode autonome. Reste que l’argument n’est pas valable pour le dimanche matin où, désormais, trois hypers sur quatre sont ouverts ! Seconde explication : les coûts plus élevés, notamment le lundi matin pour remettre les magasins “au carré”. 

    Au-delà, il est certain que le prix d’acceptation peut évoluer en fonction des circonstances et des alternatives qui existent ou non. Exemple peut-être caricatural mais facile à comprendre : une boîte de préservatifs. Sa valeur (perçue) peut varier en fonction de la disponibilité plus au moins facile du produit. Mais ces produits sont-ils vraiment nombreux ? 

    La vraie question est probablement ailleurs : le principe même du pricing dynamique est-il socialement acceptable ? Si le yield management n’émeut plus guère dans l’aérien ou les lignes TGV, pas certain que sur le sujet – bien plus sensible – de l’accès à l’alimentation, la majoration des prix lorsque les concurrents sont fermés (puisque c’est le premier argument de Casino) soit compris autrement que par l’envie de… “profiter”. Économiquement, ça peut se défendre. Commercialement, c’est déjà délicat (dans la confiance qui se tisse avec le client puisque rien n’est évidemment dit en magasins). Socialement, il y a carrément un sacré doute. Les prochaines semaines le diront. Mais, là encore, le mérite de Casino sera de mener la R&D pour le compte de tous ! Comme avec les premiers magasins autonomes il y a trois ans. Et, de fait, sur ce sujet, Casino a ouvert la voie, désormais suivie par Carrefour. De là à ce que Casino soit aussi suivi sur ça hein…

    #inflation #prix #tarif #super_marché #magasins #courses #bénéfices #travail le dimanche #commerce

    • ENFIN !

      Quand je vois des retraité.e.s faire les courses le dimanche au casino de Marcq en Baroeul (chez les grandes bourgeoises et les grands bourgeois) j’ai une sacrée envie de leur faire décharger les camions, remplir les rayons et tenir la caisse.

    • J’ai du mal à me positionner. Faire travailler le dimanche dans des secteurs où on pourrait éviter, je trouve ca vraiment capitaliste. Et pour réduire la demande le dimanche, quoi de mieux qu’une augmentation de prix. Comme ca, les personnes conscientes du mal qu’elles feraient en réclamant des services des autres le dimanche sont épargnées et celles non conscientes payent le prix fort. C’est OK.
      Mais évidemment, on peut aussi faire le rapprochement entre le prix et les charges patronales doublées le dimanche (enfin, là, je suis pas sur, proximité, donc déplacement du WE sur 2 autres jours de la semaine sans contrepartie... mais je me trompe peut etre en droit). Donc c’est un patron, qui mécontent de payer des charges, les fait payer à ses clients. En vrai, c’est OK aussi.
      Et dernier point. Qui est la victime ? Des bobo qui étaient bien trop pris le samedi par leurs loisirs, ou des pauvres contraints de bosser le samedi au point de ne pas pouvoir faire leurs courses ?

    • La cible, c’est faire de l’argent car bousiller la vie des employés, si ça coute c’est pas bien.
      Les pauvres contraints de bosser le samedi  ? ? ? ? ? Est tu actionnaire de Casino ?

      L’ouverture des supermarchés le dimanche n’apporte aucun chiffre d’affaire supplémentaire, les achats sont « lissés » sur 7 jours au lieu de 6.
      Les clients ne peuvent dépenser plus.
      C’est du délire de manager.

    • Les enseignes Casino s’engagent à ne plus majorer les prix le dimanche afp
      https://www.lefigaro.fr/conso/les-enseignes-casino-s-engagent-a-ne-plus-majorer-les-prix-le-dimanche-2023

      Avec des hausses pouvant aller jusqu’à 36%, l’enseigne pratiquait le « pricing dynamique ».

      Les enseignes Casino, notamment les hypermarchés Casino Hyper Frais (ex Géant), ont assuré vendredi avoir renoncé au « pricing dynamique le dimanche », en d’autres termes à une majoration des prix en rayons, révélée par l’expert en consommation Olivier Dauvers. « Les enseignes Casino, fortes de toutes leurs initiatives en faveur du pouvoir d’achat, ont pris la décision de ne plus appliquer fin janvier le pricing dynamique le dimanche » , a indiqué la communication de l’enseigne dans une déclaration écrite.

      En milieu de semaine, Olivier Dauvers avait publié sur son blog « Le Web Grande Conso » des relevés de prix dans cinq hypermarchés sous enseigne Casino, desquels ils ressortaient qu’environ la moitié des prix relevés étaient « majorés le dimanche » par rapport au samedi après-midi. Il prenait l’exemple de quatre crèmes Danette pistache passant de 2 euros 10 le samedi après-midi à 2 euros 85 le dimanche matin, soit une hausse de prix de 36%. Au global, il a recensé une « augmentation très homogène, environ 15% ».

      « Les enseignes Casino ont instauré depuis décembre 2018 un service, inédit alors, d’ouverture dominicale sur toute la journée » , a rappelé vendredi la communication de ces enseignes. « À l’époque, ce service qui apporte un confort supplémentaire au consommateur s’était vu accompagné d’une expérimentation visant à appliquer une variation tarifaire mineure sur les produits et ce, exclusivement les dimanches ».

      La révélation de cette tarification dynamique, qui rappelle par exemple le prix des billets d’avion ou de TGV, a fait l’objet de nombreux commentaires, dans un contexte de forte inflation où les consommateurs sont très sensibles au prix des produits qu’ils achètent.

      Sur Twitter, le rédacteur en chef du magazine spécialisé LSA Yves Puget a rappelé que la pratique était « légale », qu’il s’agissait d’une « pratique de base dans l’e-commerce », se demandant si nous allions « vers la fin du prix unique », avec une variation en fonction des jours ou des formats de magasins. De son côté, le blog spécialisé dans l’actualité des produits de grande consommation Marketing PGC a estimé que Casino, groupe propriétaire de nombreuses enseignes (Monoprix, Franprix, Naturalia ou le e-commerçant CDiscount) avait « brisé un tabou » , ce dont le ° « secteur de la distribution peut (se) féliciter » , mais tout en rendant « le sujet explosif auprès du grand public ». _

  • Ah ah, au Figaro aussi on se passionne pour les articles sur le thème très en vogue « nos conseils pour faire des économies ». Avec pour seuls exemples une dame qui achète une télé à 2000 euros (« c’est une super affaire »), et Ahmed, qui met 800 euros, « plus de la moitié de sa paye mensuelle », dans un téléphone.

    Voui voui : toi aussi avec le Figaro tu peux consommer malin et lutter contre les fins de mois difficiles.

    « C’est une super affaire ! » : les Français se ruent sur les produits soldés à l’occasion du Black Friday
    https://www.lefigaro.fr/conso/c-est-une-super-affaire-les-francais-se-ruent-sur-les-produits-soldes-a-l-o

    Elle aura tout de même déversé près de 2000 euros, ticket de caisse à l’appui, pour s’offrir ce téléviseur dernier cri dégriffé d’un tiers de son prix.

    […]

    Il faut dire que le budget de 800 euros qu’il est prêt à allouer à son nouveau téléphone représente plus de la moitié de sa paye mensuelle.

  • Consommation : les Français ne croient pas aux promesses écologiques des industriels Par Julien Da Sois
    https://www.lefigaro.fr/conso/consommation-les-francais-ne-croient-pas-aux-promesses-ecologiques-des-indu

    Une large majorité juge que les entreprises ne sont pas suffisamment impliquées dans les enjeux écologiques, sociaux et sociétaux.

    Des Français sensibles aux enjeux environnementaux et sociaux dans leurs choix de consommation, mais critiques envers les efforts des entreprises dans ces domaines. C’est ce qui ressort du Baromètre de l’engagement des entreprises, réalisé par l’ObSoCo (Observatoire Société & Consommation) et Trusteam Finance, dévoilé mardi 7 septembre.

    Les sondés sont en effet une majorité à affirmer que l’impact environnemental (62%) et social et sociétal (52%) est un critère d’achat important entre des produits concurrents. Si le prix reste, de loin, le premier critère de choix, près d’un quart des personnes interrogées (24 %) indique avoir renoncé à un achat au cours des 12 derniers mois en raison d’une insuffisance de la marque ou de l’enseigne sur le plan environnemental, social ou sociétal.


    Près d’un quart des personnes interrogées affirme avoir renoncé à un achat au cours de l’année écoulée en raison d’une insuffisance de la marque sur le plan environnemental, social ou sociétal. CHARLY TRIBALLEAU / AFP

    Et à en croire ce sondage, effectué auprès d’un échantillon de 2.000 personnes représentatif de la population de France métropolitaine âgée de 18 à 75 ans, les Français sont cependant sévères vis-à-vis des efforts entrepris par les sociétés. Ils sont en effet environ sept sur dix à juger qu’elles ne sont pas suffisamment impliquées dans la réponse à la crise écologique et dans les grandes questions sociales et sociétales de notre époque (discriminations, pauvreté, équilibre territorial...).

    Soupçon de « greenwashing » et de « social washing »
    Plus de huit sur dix (84%) sont même incapables de citer spontanément la moindre entreprise particulièrement engagée. Ils sont malgré tout plus nombreux à observer une évolution positive sur ces sujets : 21% estiment que l’engagement des entreprises a eu tendance à progresser au cours des 12 derniers mois, contre 13 % à penser qu’il a reculé.

    Les campagnes de communication des entreprises autour de ces problématiques sont par ailleurs jugées peu crédibles par les consommateurs. En effet, 68% sont d’accord avec l’affirmation selon laquelle « les engagements des entreprises en faveur du bien commun (respect de l’environnement, lutte contre le gaspillage, les discriminations ou en faveur du pouvoir d’achat…) ont pour seul objectif d’améliorer leur image ».

    Le baromètre montre également que la méfiance est plus importante entourant les grandes entreprises. Lorsqu’elles mettent en avant des actions en vue de réduire l’impact environnemental et sociétal de ses produits, une majorité de sondés (56%) disent considérer qu’il ne s’agit que « de belles paroles et que rien de significatif n’a changé en réalité ». Une proportion qui tombe à 39% dans le cas d’une petite ou d’une moyenne entreprise.

    #écologie #agriculture #industrie #promesse #publicité #publicitaires #greenwashing #social_washing #croyances #multinationales #sociétal #engagement #discriminations #pauvreté #promesses #enjeux_écologiques

  • Excédé.e.s face à l’attente aux caisses, des client.e.s abandonnent 168 caddies dans un supermarché.e ce 1er mai Idem pour d’autres magasins

    Privés de caissiers, le Géant Casino de Fréjus avait ouvert ses portes en libre-service ce samedi 1er mai.


    Illustration sexiste du Figaro, comme si les hommes étaient les seuls pousseurs de caddies.

    Mauvaise surprise pour les employés du Géant Casino de Fréjus (Var) en arrivant sur leur lieu de travail le dimanche 2 mai. La veille, plus d’une centaine de caddies ont été laissés à l’abandon dans les allées du supermarché. La raison ? Face à la longue attente aux caisses automatiques du magasin, certains clients impatients ont abandonné leur chariot avec leur course à l’intérieur.

    Bien qu’il s’agisse d’un jour férié, le supermarché avait gardé ses portes ouvertes en libre-service. L’absence de caissiers en raison de la fête du Travail a contrasté avec l’afflux de clients de ce samedi, qui ont dû se contenter des 21 caisses automatiques mises à leur disposition pour régler leurs achats. Ainsi, chaque client devait tour à tour scanner, peser, ranger et payer par carte, via l’application Casino Max ou par espèce en caisse rapide ses courses, ce qui a engendré de longues queues au moment de payer. Excédés face à l’attente, certains clients ont abandonné leur course, laissant derrière eux 168 caddies dispersés dans les allées du supermarché.

    En arrivant le lendemain, les salariés ont dû s’occuper du rangement et du réapprovisionnement des rayons. . . . . .

    La suite, sans intêret : https://www.lefigaro.fr/conso/excedes-face-a-l-attente-aux-caisses-des-clients-abandonnent-168-caddies-da

     #france #casino #monoprix  #carrefour #auchan #grande_distribution #travail #centre_commercial #Connards #travail #caissières

  • Zizi-panpan, fusil de chasse et féminicides

    Je cherche le nombre de permis de port d’armes en france et le sexe ratio des détenteur·ices de tous ces fusil de chasse qui sont à l’origine de nombreux féminicides.

    Il y aurait plus de 15 millions d’armes en circulation en France
    Les filières d’ex-Europe de l’est et des Balkans rendent plutôt simple l’acquisition d’une arme à feu en France, et particulièrement l’achat de kalachnikovs.

    https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/il-y-aurait-plus-de-15-millions-d-armes-en-circulation-en-france-7793150521

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    Et invariablement, la réponse des armuriers est la même : il est totalement impossible d’acheter une arme, à moins de posséder un permis de chasse (1,4 million de titulaires) ou d’être licencié de la Fédération française de tir (160.000 personnes), permettant d’entamer la procédure pour obtenir un port d’armes. Seule possibilité pour le quidam qui n’est ni chasseur ni tireur sportif : les armes de « catégorie D », à savoir les couteaux, les armes à impulsion électrique, les bombes aérosols, les matraques, et les « armes d’épaule à canon lisse tirant un coup par canon », ces dernières étant soumises à enregistrement. Yves Gollety, lui-même armurier à Paris, conteste donc l’idée d’une explosion de l’activité de ces commerces après les attentats : « Pendant quinze jours, on va vendre des bombes lacrymo. Et des munitions aux gens qui ont des autorisations. Mais c’est tout ».

    https://www.lefigaro.fr/conso/2015/11/20/05007-20151120ARTFIG00071-malgre-la-demande-la-plupart-des-particuliers-ne-

    Du coup il faut que je trouve le sexe ratio des 1,4 millions de titulaires d’un permis de chasse et des 160.000 adherents à des clubs de tir.

    Pour la chasse c’est autour de 2% soit - 28000 chasseresses
    Pour le tir c’est entre 10 et 13% selon la fédération - soit environ 16.000
    https://www.fftir.org/images/documents/fftir_plan_de_fe_minisation_2013_2017_.pdf

    ce qui fait environ 44000 femmes armées pour 1.516.000 hommes en France

    sachant ceci une solution serait fournir un permis de port d’arme à chaque femme qui a un homme possesseur d’un permis de port d’arme dans son entourage.
    –—
    #chasse #féminicide #armes_à_feu

  • À l’approche de l’hiver, 7 Français sur 10 s’inquiètent pour leur facture d’électricité
    https://www.lefigaro.fr/conso/a-l-approche-de-l-hiver-7-francais-sur-10-s-inquietent-pour-leur-facture-d-

    Alors qu’une importante vague de froid doit toucher l’ensemble de l’Hexagone cette semaine, la dernière étude de l’institut de sondage Odoxa, publiée ce mardi 12 novembre, met en lumière l’inquiétude des Français concernant leur facture d’#électricité.

    Sur l’échantillon de 1 005 Français âgés de 18 ans ou plus interrogés par l’étude, 71% voient dans l’arrivée de l’hiver une augmentation imminente de leur facture de #chauffage, qui représente à lui seul 62% de la consommation électrique selon EDF.

    #pauvreté