• http://www.framablog.org/index.php/post/2012/11/20/framazic

    Il pleut des nouveaux projets actuellement chez Framasoft !

    Framazic, c’est l’impressionnant résultat du stage universitaire que notre plus jeune recrue Martin Gubri a réalisé chez nous l’été dernier. Et le mieux c’est encore de lui céder la parole pour vous le présenter.

    PS : Il pleut des nouveaux projets mais un peu moins de dons, alors si votre CB a envie de prendre un peu l’air…

    Précisons tout d’abord que Framazic n’est pas une nouvelle plateforme de musique libre.

    Il n’est en aucun cas question de faire concurrence ou de l’ombre à des associations comme Dogmazic qui font très bien leur travail et depuis longtemps. Nous hébergeons uniquement quelques morceaux et quelques albums pour donner un premier goût de ce que peut être la musique sous licence libre. Il existe déjà de multiples sites qui hébergent de la musique libre. Mais rares sont ceux qui prennent le temps de tenter d’expliquer clairement ce qu’est une licence libre, une licence de libre diffusion, son fonctionnement, ses enjeux, etc. L’exception est peut-être la documentation de Dogmazic qui est riche quoiqu’assez austère.

    http://framazic.org
    #framasoft #libre #musique #musique_libre

  • http://www.framablog.org/index.php/post/2012/11/20/framazic

    Trollons : la #clause #NC c’est du #libre ?

    J’ai voulu apporter une position claire sur le sujet, en distinguant les licences libres des licences de libre diffusion. Dès que l’on a affaire à une clause NC (pas d’usage commercial) ou ND (pas de modification), la licence ne peut pas être qualifiée de libre, au sens où nous l’entendons nous, c’est-à-dire celui du logiciel libre. Nous avons repris la classification de Wikipédia. D’une part, pour être clair, il faut poser des catégories bien définies. Et d’autre part, je pense honnêtement que dès que l’on utilise une de ces clauses, on restreint la diffusion, ce qui ne permet pas d’assurer la pérennité, la stabilité juridique, et les possibilités de « remix » de la culture. Un exemple concret : la rédaction assez floue de la clause NC dans les #Creative Commons 3.0 qui autorise certaines dérives, comme le récent accord Creative Commons-Sacem, et sur lequel je reviendrai dans la question suivante.

    Les clauses BY et SA permettent déjà selon moi de bien protéger son œuvre. Par exemple, un publicitaire ne voudra ni s’encombrer de mettre son spot sous licence libre, ni « perdre » quelques caractères pour citer l’artiste, là où la seconde vaut cher. Il préférera signer un contrat et payer le musicien pour lever les clauses qui l’indisposent. Ça n’engage que moi, mais je pense que de manière générale dans la musique, la clause SA permet à peu de chose près d’interdire par défaut (c’est à dire sans l’autorisation du propriétaire des droits) les mêmes utilisations qu’une clause NC, mais avec tous les avantages de la licence vraiment libre. Quelqu’un qui voudra payer pour lever une clause NC, sera aussi prêt à payer pour lever une clause SA. Dire que les modifications doivent porter la même licence est beaucoup plus facile à appliquer, définir, et respecter, que de classifier des cas d’utilisations commerciales et non-commerciales. Ma position est donc claire là-dessus, je ne conseille pas la #clause NC.

  • http://framazic.org

    http://www.framablog.org/index.php/post/2012/11/20/framazic

    "Eh oui encore un nouveau projet Framasoft ! Il s’agit cette fois de mettre l’accent sur la culture dite libre. L’élargissement des perspectives de la Framagalaxie s’était déjà amorcé depuis un moment : Framabook, avec sa collection de livres libres incluant de plus en plus d’essais, de BD, et même un roman ; FramaDVD qui embarque quelques textes, images, vidéos et musiques libres ; le Framablog, bien sûr, dont les sujets vont même au-delà de la culture et du logiciel libres ; Framakey avec notamment sa récente version Wikipedia ; et maintenant donc Framazic !

    C’est en fait un portail dédié à la promotion de la musique libre : explication du concept et du fonctionnement des licences libres, des enjeux artistiques et culturels liés à la musique libre, ainsi que des problèmes que pose actuellement le système actuel du marché de la musique non-libre. Le discours est à la fois destiné aux personnes qui aiment la musique (ou pas !), aux musiciens, et aux diffuseurs. Ce qu’on observe c’est que chacun a son niveau peut y trouver un intérêt, qu’il s’agisse de créer, écouter ou partager de la musique sous licence libre....